Jean-Philippe Encausse
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Ice bucket challenge à l’Elysée
Cliquez sur le titre pour lire la note en entier.
DAB : une arnaque à la carte bancaire facilitée par l’impression 3D
Un homme avait trouvé une jolie combine pour arrondir ses fins de mois : il a modélisé des façades de distributeurs de billets (DAB) avec une imprimante 3D pour glaner les numéros des cartes bancaires qui y étaient par la suite glissées.
Now On Kickstarter, Tickle Makes Learning To Code Fun With Scratch
Amazing Cel Shaded Style Jeans.
These pants look like comic jeans. These pants look like they’re right out of the..(Read...)
The Coolest Cat House Ever: An AT-ST Walker For Cats [Pic]
I don’t know about you guys, but I want one of those… for me. Just me.
[Via The Bloggess | TMS]
Ne jetez jamais vos livres, plantez-les !
Hello
Aujourd’hui on mélange culture et culture… celle des livres et celles des plantes ! Nous lisons des livres depuis notre enfance et jusqu’à aujourd’hui, nous en avons tous une collection plus ou moins importante. Parfois, horreur, certains sont même tentés de jeter des livres (sacrilège à mes yeux!). C’est pour cela que « Gardenkultur » a été inventé et nous enseigne une façon très créative d’utiliser nos vieux livres.
Les vieux livres peuvent réellement être recyclés comme des supports / pots pour des plantes. Tout ce dont vous avez besoin est un livre à couverture rigide ou d’un vieux roman et de mettre les graines de votre choix dans une section évidée de votre vieux livre cartonné. Entre la technique de décoration et l’environnement agréable pour la terre de la plante, vous continuerez à vous cultiver… mais différemment
Ne jetez jamais vos livres, plantez-les !
Vous avez sûrement un vieux livre de « Photoshop 7″ ou « Le Cobol pour les Nuls »… Allez, je suis sûr que vous aurez certainement envie de faire un petit essai après avoir vu ces photos
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- Des livres vivants !
- Enfin des couvertures de livres pensées pour les readers !
Ne jetez jamais vos livres, plantez-les ! est publié originellement sur le blog de graphisme & design : Graphisme et interactivité blog par Geoffrey Dorne
Movie Character Selfies [Video]
This is fantastic!
A Visualization of All the Solar Systemâs Solid Surfaces Stitched Together
A Visualization of All the Solar System’s Solid Surfaces Stitched Together by xkcd...(Read...)
Magnetic Target For Keys
Les designers de chez Bower ont imaginé un objet parfait pour ranger ses clefs : le Key-Target. Il s’agit d’une cible aimantée qui sert de porte-clefs très original. Ce produit a été décliné en différents coloris, avec des cibles uniformes, bicolores ou constituées de coups de pinceaux abstraits.
Match.com va utiliser la reconnaissance faciale pour trouver le sosie de votre ex
Microsoft à la recherche de nouveaux développeurs dédiés à Cortana
Un nouveau message publié sur le site Web de Microsoft laisse entendre que Cortana arrivera sur Windows et la Xbox dans un proche avenir. En effet, la société serait à la recherche d’un ingénieur de développement logiciel pour travailler sur le projet.
« Voulez-vous faire partie de l’équipe qui va construire la prochaine génération de Cortana ? », mentionne l’annonce. « Nous recherchons des développeurs forts et motivés pour contribuer à façonner l’évolution de la prochaine génération de l’assistant numérique de Microsoft – Cortana », poursuit-il.
Pour ceux qui l’ignorent, Cortana est l’assistant personnel de Microsoft, un peu comme Siri d’Apple et Google Now en terme de fonctionnalités. Si ce dernier a suscité un vive intérêt du monde de la technologie, malheureusement il est actuellement uniquement disponible pour les utilisateurs de Windows Phone 8.1 Preview. Même si tel était le cas, sachez que vous devez passer votre appareil en anglais (États-Unis).
« En faisant partie de l’équipe Cortana, vous aurez l’occasion de pousser la frontière, redéfinir l’expérience de personnalisation sur Windows », ajoute la description de l’emploi.
Microsoft veut en fin de compte faire de Cortana un élément central de l’expérience Windows sur tous les appareils, et cette demande d’emploi semble confirmer que la société est proche d’atteindre son objectif.
Plus tôt ce mois-ci, le célèbre physicien Stephen Hawking a discuté au sujet de l’intelligence artificielle, en disant que le développement continu des systèmes robotiques avancées – telles que Cortana, Siri, Google Now – pourrait être catastrophique pour l’humanité.
« Les potentiels avantages sont énormes », a écrit Hawking et une équipe de collègues scientifiques. « Le succès dans la création d’AI serait le plus grand événement dans l’histoire humaine. Malheureusement, il pourrait aussi être la dernière ».
Reste maintenant à savoir quand Microsoft révèlera sa prochaine avancée à propos de Cortana.
Segway just started a three-wheeled vehicle war
Segway's claim to fame is its two-wheeled scooters' balancing act, but today it's introducing a product that stands a bit more firmly on the ground: the three-wheeled SE-3 Patroller. As its name suggests, the Patroller is meant for law enforcement and public safety uses. It doesn't really have any special tricks like the traditional Segway does, but it's being pitched as a natural extension of the scooter's product line nonetheless. Their obvious connections are pretty limited though: they're both battery powered, and they both have wheels.
Now You Too Can Summon a Great Old One with this Cthulhuian Font! [Pic]
Ph’nglui mglw’nafh Cthulhu R’lyeh wgah’nagl fhtagn.
Disclaimer: Use at your own risk.
[Source: StapletonMcTavish on Deviantart.com | Via]
Connaissez-vous Joël Pobeda from Vierzon ? Chronocoin : vers un livret de type Caisses d'Epargne en Bitcoin ...
Vierzon (vous voyez où c'est ?) deviendrait-il la capitale française du Bitcoin ? (voir plus..) .. Quelques belle innovations dans les crypto-monnaies.. avec Chronocoin.
Joel et son équipe de développeurs viennent d'ouvrir une plateforme d'achat/vente de Bitcoins.. Simple (ce n'est pas une place de marché), avec un Bitcoin matérialisé avec une clef USB, et le tout sécurisé..
Beaucoup d'innovations .. Comme quoi même à Vierzon..
Pour voir l'e-billautshow de Joël et de son développeur en chef : http://billautshow.tv/Joel-Pobeda-Chronocoin
Simplified Subway Maps
L’architecte Jug Cerovic s’est amusé avec les stations de métro du monde entier. De New York, à Paris en passant par Tokyo, il a remis en ordre le métro en démêlant les lignes entre elles et en simplifiant les trajets qui respectent désormais la réelle architecture des villes. De nouveaux plans de métro à découvrir ci-dessous.
Voir Paris en plus grand.
Voir New York City en plus grand.
Voir Londres en plus grand.
Voir Tokyo en plus grand.
Voir Berlin en plus grand.
Voir Madrid en plus grand.
Voir Barcelona en plus grand.
Voir Moscou en plus grand.
Voir Mexico en plus grand.
Voir Beijing en plus grand.
The new bionics that let us run, climb and dance
s. Herr lost both legs in a climbing accident 30 years ago; now, as the head of the MIT Media Lab's..(Read...)
Meet Flappy48, The Clone Game To End Clone Games
Landscapes in Mirrors
Le photographe américain Cody William Smith a réalisé quatre séries très belles intitulées « A Moment of Reflection ». Il prend des photographies de paysages impressionnants vus à travers des miroirs : la mer, un coucher de soleil, le désert ou des montagnes, un éventail de lieux différents. A voir ci-dessous.
De vieilles montres et un esprit mécanique!
Justin Gershenson-Gates est un artiste qui a grandi dans la passion de la mécanique. Déjà petit, il s’amuse à démonter ses jouets pour y voir les pièces qu’ils contiennent, mais ne rassemblent jamais les pièces ensemble.
Maintenant, il a choisi de s’attaquer aux vieilles montres, qu’il démonte pour ensuite les reconstruire sous une autre forme.
« Mon but est de montrer la beauté du monde mécanique un endroit généralement cachée du public derrière métal et le verre »
Plus d’images dans la suite
Le shop de son site ne semble pas très bien fonctionner, mais ses pièces sont disponible sur Etsy à partir de 40€ pour les pièces toutes simple, et à partir de 200€ pour les modèles plus élaborés.
This miniature robotic printer rolls across a sheet of paper
Would you replace your desktop printer with a tiny robot that prints by creeping across a sheet of paper? Zuta Labs, which recently launched the Pocket Printer on Kickstarter, hopes so. The Pocket Printer, fundamentally, is a robotic Ouija planchette containing an inkjet printer head. Place it on a piece of paper, and it will slowly roll across it with an omnidirectional wheel system, printing as it goes. Currently, it can sync with computers, and the team is working on an Android and iOS app; it's supposed to be a printer you can take anywhere, although most people would probably just leave it on a desk in lieu of the standard box.
Les seules limites sont celles que vous vous fixez !
Introducing the NERF NUKE: The Pinnacle of NERF Weaponry [Pics + Video]
This was an April Fools’ joke from Thinkgeek, but it’s clearly a product that needs to exist.
From Thinkgeek:
The NERF Nuke is quite simply the pinnacle of NERF weaponry. Load it with 80 NERF darts and crank the arming mechanism (which is also the trigger button, so be careful). To conserve space, the NERF Nuke uses a reverse-plunger system, which compromises distance for compactness. But hey, it’ll still fire the darts up to 30 feet when it hits. However, the NERF Nuke Launcher is a tripod-mounted, direct-plunger system, and can rocket the NERF Nuke itself up to 40 feet – just far enough for you to be outside the blast radius. When you need to end it, and end it fast, there’s no other choice than the NERF Nuke!
Safety Warning: Do not fire the NERF Nuke at humans, children, pets, wild animals, trees, the elderly, faces, ghosts, or in very confined spaces. Always wear safety glasses, knee pads, and other forms of protection.
BATMAN WINS! [Comic]
[Source: Dragonart | Dragonart on Facebook]
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Les transactions sur mobile vont s’envoler à 1 000 milliards de dollars en 2015
Prise en main des Google Glass
Les Google Glass fascinent, les Google Glass déchainent les passions et ce depuis deux ans puisqu’elles ont été présentées par la firme américaine en avril 2012. Il aura fallu attendre l’année dernière pour que le programme des Glass Explorers soit lancé et aujourd’hui encore, les lunettes sont très difficiles à trouver. La Caisse d’Epargne est parvenue à mettre la main sur un modèle et elle en a profité pour développer une application spécifique en lien avec son coffre-fort numérique, une application qu’elle a présenté hier midi à quelques journalistes et à une poignée de blogueurs. Dont votre humble serviteur.
Comme certains d’entre vous le savent peut-être, les Google Glass ne sont officiellement disponibles que sur le territoire américain et peu d’européens sont parvenus à décrocher une paire. Alain Regnier, de la société Alto Labs, fait partie des heureux élus. Il est même le premier français à avoir rapporté une paire dans l’hexagone. En outre, c’est aussi lui qui a développé l’application évoquée un peu plus haut.
Cette présentation sera découpée en deux parties : mes impressions sur les Google Glass, et un point sur l’application développée par la Caisse d’Epargne et par Alto Labs.
Google Glass : bien plus qu’un simple gadget
La presse spécialisée est assez partagée en ce qui concerne les Google Glass. Certains journalistes, et quelques confrères blogueurs, sont même peu convaincus par ces drôles de lunettes connectées. J’avais évidemment très envie de les chausser pour m’en faire ma propre idée et le hasard a bien fait les choses puisque je suis arrivé en avance à l’événement organisé par la Caisse d’Epargne. J’ai ainsi eu tout le loisir de manipuler la bête.
Avant de partager mes impressions avec vous, il est préférable de commencer par faire brièvement le tour du propriétaire, pour ceux qui ne sont pas familiers de la chose.
Comme leur nom l’indique, les Google Glass se présentent comme… des lunettes connectées. Merci, Fred. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, elles ne sont absolument pas autonomes et elles devront impérativement être connectées à un smartphone ou à un routeur pour accéder à du contenu en ligne. En Bluetooth ou en WiFi, c’est selon.
Toute l’électronique est embarqué dans des compartiments compacts accrochés sur la branche droite. Sous le capot, on retrouve des composants similaires à ceux d’un smartphone. Avec un processeur, de la mémoire vive, du stockage et même une batterie en prime. Tous les modèles ne partagent pas forcément la même fiche technique mais celui que j’ai eu en main embarquait un processeur TI OMAP 4430 épaulé par 1 Go de mémoire vive et 16 Go d’espace de stockage. C’est peu, certes, mais c’est largement suffisant compte tenu de l’utilisation que nous ferons du dispositif.
Les Google Glass n’intègrent pas d’écran, mais un prisme qui est situé lui aussi sur la droite, sur un coude articulé. L’image est projetée par un pico-projecteur. Dans un premier temps, il faudra commencer par régler les lunettes en bougeant le prisme en avant, en arrière, vers le haut ou vers le bas. Je n’avais pas pris mes lunettes de vue avec moi (je suis myope et astigmate) mais je n’ai rencontré aucun problème particulier.
Il existe deux manières d’interagir avec les Google Glass : en utilisant la reconnaissance vocale, ou en glissant le doigt sur la surface tactile située sur la branche des lunettes. Seul l’anglais est supporté pour le moment. Il faudra attendre la version finale, et le lancement du dispositif en France, pour pouvoir le commander en français. Ceci étant, l’outil développé par Google fonctionne vraiment bien, même dans le bruit ambiant.
La zone tactile nécessite un temps d’adaptation. Pour la situer, mais aussi pour l’utiliser. Les Glass reconnaissent un certain nombre de gestes différents, qu’il faudra impérativement mémoriser pour les utiliser correctement. Une question d’habitude, sans doute.
J’avais peur de ne pas me sentir à l’aise avec des lunettes connectées sur le nez mais les Google Glass ont tendance à très vite se faire oublier. Le truc, c’est que l’écran ne viendra pas se placer dans votre champ de vision, mais dans le coin en haut à droite. Il ne s’agit pas de réalité augmentée mais plutôt… hum… de réalité ajoutée. Le terme n’est pas forcément bien choisi mais l’idée est là. Les lunettes fonctionnent comme un second écran.
Les Google Glass utilisent la conduction osseuse pour transmettre les sons jusqu’à nos tympans et ça fonctionne vraiment bien. Très bien même. Je n’ai pas écouté de musique, mais j’ai eu l’occasion de visionner l’extrait d’un reportage diffusé sur CNN sans aucun problème, et avec une restitution sonore des plus correctes. Je n’irais pas non plus jusqu’à dire que la conduction osseuse fait aussi bien que mon MDR-1RTB, mais elle n’a pas à rougir face aux casques ou aux écouteurs moins haut de gamme.
Chaque application, chaque module, se présente sous la forme d’une carte. Difficile évidemment de ne pas penser à Google Now. Je n’ai pas testé tous les outils embarqués, en revanche, et je me suis finalement concentré sur les vidéos de CNN, sur l’application en charge de la capture de photos, et sur l’application développée par Alto Labs et la Caisse d’Epargne. A chaque fois, les lunettes se sont montrées extrêmement réactives, et très fonctionnelles. Elles font bien ce qu’on leur demande.
L’application coffre-fort numérique de la Caisse d’Epargne
La Caisse d’Epargne a beaucoup investi sur les technologies numériques ces dernières années. Nos hôtes ont beaucoup insisté sur ce point. L’idée, finalement, c’est d’allier « le meilleur du digital et de l’humain ». Ces propos ne sont pas de moi, mais de l’un des représentants de la banque.
Quoi qu’il en soit, cette stratégie semble porter ses fruits. Sur tous les clients connectés de la banque, 12% n’utilisent plus que son application mobile, contre 3% en 2012. Il y a donc une réelle demande.
Le coffre-fort numérique de la Caisse d’Epargne est disponible pour tous les clients de la banque depuis quelques mois maintenant. Comme son nom l’indique assez bien, il permet de stocker dans un espace virtuel (mais sécurisé) nos documents les plus importants. Il est même capable de récupérer automatiquement certains fichiers, comme les factures EDF. La solution est proposé à 1,20 euros par mois et il faut bien l’avouer, elle les mérite amplement puisqu’elle va vous permettre de gagner beaucoup de temps, sans craindre qu’un tiers ne mette la main sur nos précieuses données.
Si le sujet vous intéresse, sachez que le coffre-fort numérique de la Caisse d’Epargne est en réalité géré par la société Dictao. Ce nom ne vous dit pas forcément grand chose mais elle travaille avec beaucoup d’établissements différents, et elle propose plusieurs services pensés pour les banques, comme des logiciels capables de gérer les signatures électroniques.
Alto Labs a donc conçu une application spécifique, entièrement dédiée aux Google Glass. Une application qui va nous permettre d’envoyer rapidement les photos capturées par les lunettes vers notre coffre-fort numérique. Inutile ? Pas du tout, bien au contraire, et le mieux c’est encore de partir d’un exemple concret.
Imaginez par exemple que vous vous rendiez chez le bijoutier du coin pour acheter un beau collier à votre belle. Avec votre paire de Google Glass, vous allez pouvoir photographier le bijoux, et sa facture. Ces deux images seront automatiquement envoyées vers votre espace de stockage. En cas de perte ou de vol, vous disposerez donc de tous les documents nécessaires pour faire jouer l’assurance. Pas besoin de vous embêter à les scanner, le gain de temps est appréciable.
La Caisse d’Epargne ne compte pas en rester là et elle est en train de travailler sur d’autres applications exploitant les lunettes connectées de Google. Beaucoup de pistes sont envisagées mais l’idée générale, c’est finalement de construire une relation de proximité entre le client et son conseiller. A terme et grâce aux Google Glass, notre agence pourra même nous guider en temps réel et nous aider à faire face à un dégât des eaux, ou même à un accident de voiture.
Mon verdict
Les Google Glass sont-elles révolutionnaires ? C’est difficile à dire, surtout avec une prise en main aussi rapide. Je pense cependant qu’elles pourraient parfaitement entrainer une mutation des usages liés au numérique, en nous offrant un accès constant à toute la richesse du web et des services connexes.
Un accès bien plus aisé que ce que proposent nos smartphones, puisque ces derniers ont souvent tendance à immobiliser, au minimum, une de nos mains. Pas spécialement pratique lorsqu’on doit courir dans les couloirs du métro pour changer de ligne, ou même lorsqu’on prépare un bon petit plat pour toute la famille. Avec les Google Glass, tout devient finalement plus simple et plus accessible, le virtuel vient se mélanger au réel et ces lunettes offrent ainsi un autre point de vue sur le monde qui nous entoure.
Une expérience déroutante, mais terriblement stimulante. Elles me manquent déjà, pour tout vous dire.
J’en profite pour remercier nos hôtes, bien sûr, mais également Hadrien de BeGeek et JR de AMHA qui ont accepté de poser pour la postérité.
Valve's virtual reality headset might be better than the Oculus Rift
Valve has been vocal in its support of virtual reality technology, saying that "compelling, consumer-priced VR hardware" could "transform the entertainment industry." Valve says it has offered help to Oculus as it works on the Rift headset, but the Bellevue-based developer is also apparently working on its own virtual reality hardware. A poster on gaming super-forum NeoGAF says he was invited to see and use that prototype after it was shown to a few game developers at the recent Steam Dev Days conference. He says he was shown 15 VR demos that included a demonstration of scale so impressive that people tried to "get out their phones and take a picture," a vignette that placed the subject on the edge of a cliff, and "a mechanical...
Gobble Automates Your Dinner With A Subscription Meal Delivery Service
For people with busy lives, coming home and making dinner for the family can be a pain. Equally as painful? Trying to find a place to go out to or order from that the whole family can agree on. Y Combinator alum Gobble is seeking to alleviate that pain by offering up personalized meal selections through a subscription delivery service.
This isn’t the first time we’ve covered Gobble. When it first launched a few years ago, the startup was focused on creating a marketplace for home-cooked meals.
Since then, the company has changed its business model quite a bit. While the marketplace idea was great for finding new and interesting dishes from quality chefs, it lacked the kind of thing that keeps people coming back for more.
So Gobble built a subscription business designed to help families and groups have great, personalized meals delivered to their homes.
This is how it works: Customers sign up, tell Gobble how many people are in their household (including how many adults and kids), and selects dates and times that they’d like to have meals delivered. They can also specify initial meal preferences or dietary restrictions.
At the beginning of the week, those customers will receive a calendar with meal options for the week laid out for them. They can add or subtract days, or change their meal selection up to 24 hours before delivery.
But here comes the fun part: Customers can rate and provide feedback on meals, which allows Gobble to create a personalized profile for them based on a “taste algorithm.” Over time, the system is designed to offer up things that are more to your liking. Kind of like Pandora, for food.
According to founder Ooshma Garg, the company is also hoping to find “the best” of each dish or cuisine in the area. Since it’s a subscription service with meals planned out days in advance, it has a high level of predictability, which means it can match up chefs, restaurants, and catering services that have excess capacity. (ZeroCater, also a YC alum, does the same kind of thing but with corporate clients.)
Gobble’s main target market is busy families, and the company charges $10 a meal for adult portions, $8 a meal for kids, and a weekly delivery fee of $9.99 for unlimited meals. For now, the service is available in the South Bay, specifically Sunnyvale, Mountain View, Palo Alto, Menlo Park, Redwood City, and San Carlos. (See map below)
The company has raised a total of $1.2 million in seed funding, from investors that include Reid Hoffman (via the Greylock Discovery Fund), Felicis Ventures, Founder Collective, SV Angel, Morado Venture Partners, Thrive Capital, Keith Rabois, Jack Abraham, Lorenzo Thione, Ben Ling, Noah Goodhart, Craig Shapiro, and Doug Chertok.
Le Hack Machine est de retour samedi 1er mars
- 14h : ouverture des portes, chacun s’installe, seul ou à plusieurs, rassemble ses outils, se lance.
- 14h > 20h : conception / développement / prototypage
- 20h : apéro, démo des proto, mais ceux qui le souhaitent peuvent continuer à bricoler/bidouiller/souder/coder.
- Note : Il est possible de venir uniquement à l'apéro, à condition de le préciser en vous inscrivant par mail.
Concernant votre projet
Il n'y a ni thème ni technique imposés. Chacun fait ce qui lui plaît, à condition de sortir de l'ordinaire et de l'utilitaire. Par exemple, lors des précédentes éditions, les participants ont prototypé : une plante qui fume, une voiture télécommandée par internet, un éventail robotisé, un lance-fléchette, un arbre aux origami-feuilles interactives... Il est préférable de réfléchir à l’avance à votre prototype, de savoir de quelles ressources et de quelle durée vous aurez besoin pour le réaliser. Vous pouvez aussi venir finir un projet que vous êtes en train de développer ou ramener un projet déjà réalisé que vous souhaitez présenter, et continuer... Vous pouvez également venir sans idée préalable et vous lancez selon le matériel disponible et votre humeur du moment.Concernant le matériel...
L'équipe vous encourage à apporter vos outils, vos trouvailles de récup’, votre matériel... mais une bonne motivation est déjà une excellente ressource. Le Artlab mettra à disposition certains outils et ressources :- stations de travail électronique (fer à souder, alimentation, multimètres...),
- ordinateurs portables sous Linux
- Arduinos, Raspberry Pis, BeagleBoard, BeagleBone (avec écran tactile dédié)
- nombreux shields, raspberry pi camera...
- capteurs (de niveau sonore, IR, ultrason, d'humidité, de luminosité, et beaucoup d'autres)
- moteurs (servo, pas à pas, DC, d'imprimantes, de ventilateurs, de jouets...)
- LED, strips de LED, lasers en point et en ligne…
- matériel de bricolage (scies, perceuses...)
- picoprojecteurs et projecteur
- un écran de projection en film translucide déroulé sur une fenêtre donnant sur la rue
- imprimante 3D Rapman3 (en cours de réparation), souris 3D
- objets de récup (Playstation, laser à miroir de boîte de nuit, distributeur à pièce de bonbons, projecteur démonté, vieille radio, vieux téléphone à cadran rotatif, jouets, engrenages, moteurs, ventilateurs…)
Infos utiles à savoir
Le Hack Machine n'est pas :- un workshop pour débutants. Pour y participer il faut des notions de bricolage, d'électronique et/ou de programmtion.
- un hackhaton : ce n'est pas une compétition, il y aura pas de gagnants, ni lots, ni frais d’inscription, ni copyright sur les proto.
- une dose d'inventivité
- du prototypage en veux-tu en voilà
- des rencontres enrichissantes
- de la bonne humeur
- un apéro en fin de journée
Il invente une puce capable de faire tourner un OS
Afreed Islam est un jeune homme très talentueux. Étudiant à la Little Flower School de Guwahati en Inde, il vient de lancer officiellement un nouvel ordinateur ultra fin baptisé le ReVo BOOK.
La particularité de cet ordinateur ? Il embarque une puce informatique qui contient un système d'exploitation hybride (D'après l'article, compatible Windows / Linux mais je doute quand même) qui permet de se passer complètement de disque dur et de SSD. L'avantage d'avoir une puce pour faire le boulot, c'est d'abord la vitesse, la durée de vie, la consommation électrique ridicule et la taille qui permet de réduire encore plus l'épaisseur des ordinateurs.
Pour son projet Afreed Islam a travaillé avec un fabricant allemand pour la réalisation du ReVo BOOK et le dépôt de brevet est en cours. Sa puce permet d'obtenir un espace de stockage doublé et 4 fois plus rapide qu'un disque dur traditionnel. Niveau perte de données, on minimise aussi les risques puisqu'il n'y a aucune partie mécanique. Elle n'est pas sensible aux champs magnétiques et elle serait moins sensible qu'un SSD qui quoiqu'on en dise a une durée de vie relativement courte.
De plus en cas de crash du disque dur ou du SSD, l'ordinateur reste parfaitement utilisable.
C'est très prometteur et j'espère que nous verrons débarquer ce genre de puces à OS prochainement dans nos ordinateurs.
Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Il invente une puce capable de faire tourner un OS ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.