We previously posted an article in which you could discover which personality type you have according to the Jung/Myers-Briggs personality test and which celebrities share that type. Here, you can see the strengths and weaknesses, average income and education of your type! If you’re unsure as to which of the sixteen personality types you have, there’s a link on the previously mentioned article.
It always helps to be aware of our strengths and weaknesses, and even if you don’t particularly relate to these sorts of things it’s always good to get some extra perspective. I discovered I was INFP, so according to this infographic I fall into the Idealist category and am ‘The Healer’. INFP strengths appear to revolve around aiding other people, whilst our weaknesses are very emotionally based.
What does your personality say about you? Are you an analytical ISTP? A fun and imaginative ENFP or an INTJ mastermind?
Whether you are intrigued by the idea of personality types or believe them to be nonsense, it’s always interesting to see which type you supposedly fall into and perhaps gain a little more knowledge about yourself. Which Personality Type Are You?
Premier du genre conçu par une école de management en France, il propose une nouvelle approche de l'entrepreneuriat par l'observation : l'Effectuation Ce cours en ligne, développé avec la société UNOW, startup française spécialisée dans le domaine, est validé par un certificat
La dernière scène de The Social Network voyait Jesse Eisenberg (Mark Zuckerberg), seul dans une salle de réunion, rafraîchir de façon obsessionnelle sa page Facebook pour voir si son ex-petite amie avait accepté de devenir son «amie» sur le réseau social qu’il avait créé. La scène était à la fois une des plus tristes du film et une de celles où les téléspectateurs pouvaient le plus se reconnaître (peut-être était-elle si triste justement parce qu’elle nous rappelait ces moments de détresse 2.0). Noah, lui aussi, passe une minute à rafraîchir la page Facebook d’Amy pour voir si elle est toujours in a relationship avec lui. Noah, c’est le héros du court-métrage éponyme écrit et réalisé par Walter Woodman et Patrick Cederberg, 22 et 23 ans respectivement. Leur projet de fin d’étude à la fac de Ryerson, à Toronto, vient de remporter le prix du «meilleur court-métrage canadien» au Toronto International Film Festival (TIFF). Si vous lisez cet article comme je l’écris, avec sept onglets ouverts dont vos mails, Facebook et Grooveshark (Noah préfère iTunes pour la musique), vous allez vite comprendre pourquoi: le court-métrage se déroule entièrement sur l’écran d’ordinateur de Noah, autant dire de vous ou moi.
Il fait 17 minutes, mais regardez-le vite avant ce jeudi 19 septembre[1], date à laquelle il passera en privé sur la playlist du TIFF pour permettre aux réalisateurs de le présenter plus facilement dans d’autres ... Lire la suite
Article - observatoire : Cristina Yang ne sera bientôt plus. Cristina qui? Après dix ans, la comédienne Sandra Oh a annoncé qu'elle était prête à abandonner le personnage du docteur Cristina Yang, qu'elle ...
Vendredi 12 juillet, à l'aéroport de Moscou, Edward Snowden a sorti le bout de son nez devant les caméras des journalistes pour faire un petit discours qui recadre bien la situation et nous permet d'en savoir plus sur son état d'esprit actuel et sur la taille de ses corones. Edward Snowden est soutenu par l'avocate de Wikileaks et par des associations comme Human Rights Watch et Amnesty International.
Ce texte a été brillamment traduit de l'anglais par Gordon Fowler pour Developpez.com sous licence libre. Merci à lui !
« Bonjour,
Je m’appelle Edward Snowden. Il y a un peu plus d’un mois, j’avais une famille, une maison au paradis et je vivais dans un très grand confort. J’avais aussi la capacité, sans aucun mandat, de chercher, de saisir et de lire toutes vos communications. Celles de n’importe qui, n’importe quand. J'avais le pouvoir de changer le sort des personnes.
C’était aussi une grave violation de la loi. Les 4e et 5e amendements de la Constitution de mon pays, l’article 12 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen ainsi que de nombreux accords et traités interdisent un tel système de surveillance massive et omniprésente. Mais bien que la Constitution Américaine qualifie ces programmes d’illégaux, mon gouvernement explique qu’un jugement d’un tribunal secret, que personne ne peut voir, a légitimé ces pratiques illégales. Ce jugement corrompt purement et simplement la notion fondamentale de Justice, notion selon laquelle pour réellement exister la Justice doit être appliquée dans les faits. L’immoral ne peut être rendu moral par une loi secrète.
Je crois au principe établi à Nuremberg en 1945 : « Les individus ont un devoir international qui transcende les obligations nationales d’obéissance. Il en découle que les citoyens ont le devoir de violer leurs lois domestiques pour empêcher que des crimes contre la Paix et contre l’Humanité ne puissent être perpétrés ».
Par conséquent, j’ai fait ce que j’ai cru bon. J’ai lancé une campagne contre ces mauvaises pratiques. Je n’ai pas cherché à m’enrichir. Je n’ai pas cherché à vendre des secrets américains. Je n’ai passé aucun accord avec un gouvernement étranger pour garantir ma sécurité. À la place, j’ai rendu public ce que je savais, pour que ce qui nous touche tous puisse être débattu par nous tous, à la lumière du jour. J’ai voulu un monde de Justice.
Cette décision morale de parler au grand public de ces pratiques d’espionnage m’a coûté très cher, mais c’était la chose à faire et je ne regrette rien.
Depuis, le gouvernement américain et ses services de renseignements ont essayé de faire de moi un exemple, un avertissement pour tous ceux qui seraient tentés de parler à leur tour. J’ai été rendu apatride et traqué pour m’être exprimé politiquement. Les États-Unis d’Amérique m’ont mis sur la liste des personnes interdites de vol aérien. Ils ont demandé à Hong-Kong de m’extrader, en dehors du cadre juridique qui s’applique dans ce pays, et en totale violation du principe de non-refoulement des Nations-Unis. Ils ont menacé de sanctions des pays qui étaient prêts à défendre mes droits et le système d’asile reconnu par l’ONU. Ils ont même franchi une étape, sans précédente, en donnant l’ordre à une puissance militaire alliée de forcer l’avion d’un Président d’Amérique Latine à atterrir pour y chercher un réfugié politique. Cette escalade dangereuse n’est pas qu’une menace contre la dignité de l’Amérique Latine, c’est une menace contre le droit fondamental, partagé par toutes les personnes et par toutes les nations, de vivre sans être persécuté, de pouvoir demander un asile et d’en bénéficier.
Malgré tout, devant cette agression historique et disproportionnée, un peu partout dans le monde, des pays m’ont proposé soutien et asile. Ces nations, parmi lesquelles la Russie, le Venezuela, la Bolivie, le Nicaragua et l’Équateur, ont toute ma gratitude et mon respect pour avoir été les premières à se lever contre ces violations des Droits de l’Homme perpétrées par des puissants, et non par des faibles. En refusant d’abandonner leurs principes devant les intimidations, ils ont gagné le respect du monde. J’ai l’intention de voyager dans chacun de ces pays pour exprimer mes remerciements personnels à leurs peuples et à leurs dirigeants.
J’annonce aujourd’hui que j’accepte officiellement toutes les offres de soutien et d’asile qui m’ont été faites, et toutes celles qui pourront m’être faites dans le futur. Avec, par exemple, la proposition du Président du Venezuela, M. Maduro, mon statut de réfugié est désormais officiel. Aucun état n’a donc le droit ni de limiter ni d’interférer avec mon droit de bénéficier de cet asile. Mais comme nous l’avons vu, certains gouvernements d’Europe Occidentale et d’Amérique du Nord ont démontré leur volonté d’agir en dehors des lois. Ce comportement persiste aujourd’hui et ces menaces illégales me rendent impossible tout voyage vers l’Amérique Latine pour bénéficier de l’asile politique qui m’y a été accordé dans le respect de nos droits universels.
Cette volonté d’états puissants d’agir hors des lois représente une menace pour nous tous, elle ne doit pas être couronnée de succès. Par conséquent, je demande votre assistance (N.D.L.R. : Aux associations) pour me garantir un chemin sûr par les pays concernés en sécurisant mon voyage vers l’Amérique Latine. Je demande également l’asile à la Russie jusqu’à ce que ces états respectent la loi et que mon voyage, légal, soit permis. Je vais soumettre ma requête à la Russie aujourd’hui en espérant qu’elle soit accueillie favorablement.
Si vous avez des questions, j’y répondrai autant que je le peux.
Merci. »
D'après l'ambassadeur américain en Russie, Edward Snowden n'est pas considéré par le gouvernement américain comme un lanceur d'alerte, mais bien comme un traitre qui a violé les lois américaines.
Au moins, on sait de source sûre à quelle sauce, les États-Unis veulent le manger...
As North American oil production continues to outpace pipeline capacity, shipment by rail is increasingly common, and critics worry that safety regulations have not kept up with the expansion and could lead to more disasters like the derailment and explosion in Lac-Mégantic, Que.
Derek Thompson reported on a study by the Center for Disease Control and Prevention that looked at the economic cost of excessive drinking:
Overall excessive drinking costs the American economy over $220 billion.
That means that on average, for every drink an individual has, they are causing $1.90 in economic damage.
The majority of this cost comes from people with hangovers at work.
An increase in healthcare costs and crime rates also contribute to the cost of alcohol.
The cost of drinking is unevenly distributed. 15% of binge-drinkers are responsible for 75% of the costs of excessive alcohol consumption.
Read more about the proportion of the costs borne by federal, state, and local governments, other contributors to the costs of excessive drinking, and how the economic damage from alcohol compares to the economic damage of natural disasters over here.
When adopting a child, you may well be presented with various options priced at different levels writes NPR:
The laws of supply and demand mean that Africa-American children are easier to adopt than biracial, Latino, Asian or Caucasian children.
Adopting an African-American child, for example, would cost one family $18,000. A Caucasian child would have cost $35,000.
Those who set the prices are classifying based on race for altruistic reasons. It is harder to place non-Caucasian children with families, and so the hope is that by setting a lower price, the child is more likely to find a family.
Read more about how some states are moving away from race-based pricing, the experience of adopting for one family, and more over here.
Have too many things to do in too little time? Well, this infographic on how you can boost productivity every day will certainly help. It focuses on to-do lists and making sure you actually complete items on the list. If you aren’t already using to-do lists, you really should be -they are one of the most effective methods of time organization out there and can really help you organize what you need to do and actually track that it gets done.
As someone who has a hard time staying productive, I find this chart incredibly useful, especially the part about doing the hardest task first, which I don’t usually do on my to-do lists -although I’m great at knocking off the small tasks and batching things, so at least I’m not starting from the ground up here.
We have to have Wi-Fi available everywhere — I have withdrawal symptoms if I can’t do my email and check the web often. Recognizing this, many stores offer customers “free” Wi-Fi. I’m sure the cost of the Wi-Fi is passed onto the customers as higher product prices, in what are typically competitive retail industries. But how to avoid people spending hours in the shop surfing the web free of charge, and perhaps causing congestion for other users?
The Whole Foods store on Kensington High Street in London has solved this problem by allowing each computer or smart-phone a two-hour log on period, after which the device is booted off the Wi-Fi. Two hours are enough to satisfy almost any customer, but short enough to prevent non-customers from making the store their Wi-Fi venue of choice. I expect this kind of limit will become more widespread shortly — it is much more effective than warning people not to stay logged on for very long.
The more I learn about the lives of great people, the more I know that many of them are voracious readers. Bill Gates and Warren Buffett are two contemporary examples. My favorite example, though, is Theodore Roosevelt (TR).
While he was at the White House, TR read at least one book a day, even when he was busy. If he had no event at night, he could read one or two more books. Not only that, he had a strong memory of what he had read. Often he could quote passages.
With TR, reading had become a habit since his youth. Whether he was with the cowboys or soldiers, his favorite pastime was reading. This habit gave him an immense knowledge and a broad perspective. It helped him become the effective person he was.
Why You Should Become a Voracious Reader
There are many benefits you can get by being an avid reader. Here are some of them (I focus on non-fiction books here):
It broadens your perspective.
Reading helps you see the world from a new perspective. Among other things, it helps you foresee new opportunities and threats. You will also be able to assess a situation more accurately.
It helps you be more creative.
By feeding your mind with many different ideas, there is a good chance that your various thoughts will cross-pollinate and produce fresh ideas. You will become more creative as a result.
It relaxes your mind.
TR said that reading is “a pure imaginative therapy.” Immersing yourself in a good book is like watching a good movie. It can take you to new worlds. Such an experience is entertaining and relaxing for your mind.
It gives you a deeper appreciation of the world.
Sometimes we don’t appreciate something because we don’t know how wonderful it actually is. Reading can give you a deeper understanding of the world around you which, in turn, will grow your appreciation of it.
It enriches your conversational repertoire.
Knowing more about the world around you means having more topics to converse with. That will help you connect with different kinds of people.
How to Become a Voracious Reader
Now that we have seen the benefits of becoming an avid reader, here are some ways to become one:
Build your curiosity.
If you are curious, you don’t need to push yourself to read. Instead, you will want to read because it will satisfy your curiosity. To build your curiosity, be aware that there are many interesting things in this world that you don’t know. Your life will be much more exciting if you find them. Even seemingly boring things have interesting sides if you dig deep enough.
Teach yourself to read in small sips as well as in long swallows.
This advice comes from Stephen King in On Writing. Whenever you have idle time, whether long or short, fill it with reading. Waiting in the doctor’s office could be a good time to read, so is waiting to board your plane. It means that you should always take a book with you. Fortunately, that’s easy to do these days: simply put e-books into your tablet or smartphone and you are set.
Read diversely.
Reading diversely prevents you from getting bored because you constantly enter new worlds. The sense of wonder will motivate you to read more.
Immerse yourself in your reading.
When you are reading, visualize what you read. Imagine being in the world. TR was so immersed in his reading that he couldn’t even hear his name being called. When you achieve this level, reading will become a flow. It will become a “pure imaginative therapy.” You will end up wanting more of it.
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Do you have tips on becoming a voracious reader? Please share your thoughts in the comments.
While he was at the White House, TR read at least one book a day, even when he was busy. If he had no event at night, he could read one or two more books. Not only that, he had a strong memory of what he had read. Often he could quote passages.