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29 Nov 15:03

Turn a regular paper plane into a smartphone-controlled drone

by Andrew Webster

Do you ever worry that your paper planes just aren't high-tech enough? PowerUp is here to help. The device — known in full as the PowerUp 3.0 Smart Module — is an insert that slips into a regular paper airplane, letting you control it remotely using your phone. The carbon-fiber device gives you 10 minutes of flight on a single charge, with a range of 180 feet, and it features a tiny motor to help propel your creation forward. The creators also claim that it has a "crash-proof" design, which should come in handy while you're learning the ins and outs of being a paper pilot.

The smartphone app, meanwhile, lets you control movement simply by tilting your device left and right. It was developed initially for iOS, but an Android version...

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29 Nov 08:55

Jalios (@Jalios)

Syntec Numérique anticipe un rebond en 2014 : #Jalios cité comme exemple @Collaboratif @OlivierRoberget http://bit.ly/1dD1GJh 
28 Nov 15:27

Jalios (@Jalios)

#Jalios participera avec @BD_eolas au Forum des Interconnectés les 2 et 3 déc #interco13 #ColTerr @INTERCOnnectes http://bit.ly/1dwVKh1 
28 Nov 08:24

La cage de verre : de quoi nos gestes seront-ils l’interface ?

by Hubert Guillaud

Le 15 octobre 2013, le gouvernement américain a accepté de breveter des gestes, rapporte Engadget. Oui, des gestes… Un geste de la main censé désigner quelque chose d’important ou quelque chose auquel on tient : le fait de faire un coeur avec ses doigts. Un brevet déposé par Google pour faciliter le fonctionnement de ses lunettes, les fameuses Google Glass (Wikipédia et son actualité sur Google+). Faire un tel geste devant ses lunettes sera reconnu par l’appareil et déclenchera une fonction, comme faire une photo et la mettre en favori par exemple… Un moyen d’indiquer simplement qu’on apprécie l’objet, le service ou la personne qu’on a devant soi. Un autre geste répertorié par le brevet consiste à dessiner un cercle du doigt pour sélectionner une partie du paysage que l’appareil prendra en photo et isolera. Un autre encore consiste à dessiner un cadre avec ses doigts pour prendre une photo…

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Image : dessiner un coeur avec ses doigts, image extraite du dépôt de brevet de Google.

Bien sûr, le brevet sur ces gestes ne signifie pas que vous devrez demander une permission chaque fois que vous le ferez… Mais il signifie que les autres dispositifs techniques du même type ne pourront pas utiliser ces gestes pour déclencher des fonctions similaires. Bel exemple de Copyright madness cher à Lionel Maurel et Thomas Fourmeux.

googleglassheadupLes instructions des Google Glass comportent d’ailleurs plusieurs types de gestes particuliers qui déclenchent des fonctions, à l’image du réveil avec la tête, consistant à lancer sa tête vers le haut pour rallumer le système. Mais nul ne précise si, quand vous vous endormez, le système s’endort également…

La cage de verre : vers le panoptique personnel

Pour Nicholas Carr, qui a annoncé travailler à un nouveau livre, The Glass Cage : automation and us (qu’on pourrait traduire, mot à mot par “les lunettes cages, l’automatisation et nous”, mais on lui préférera “la cage de verre”), l’un des défis des dispositifs comme les Google Glass est l’absence d’interface. Nos ordinateurs ont des claviers et des souris. Nos tablettes et smartphones sont tactiles… Mais comment envoyer des instructions à un ordinateur quand il prend la forme de simples lunettes ? Comment déclencher des fonctions ? Comment déplacer ses mains, sa tête, son regard, lui parler ? Les lunettes disposent d’un capteur de mouvement, mais à quoi réagit-il ? Il y a plein de manières de secouer la tête ou de faire des gestes des doigts… Lesquels saura-t-il reconnaître ?

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Robert Scoble et ses Google GlassL’arrivée des Google Glass a suscité de vives inquiétudes sur les risques que les possibilités documentaires de l’appareil pourraient faire peser au respect de la vie privée. Mais pour l’instant, plus que de nouvelles little sisters (cette sousveillance, ce pendant décentralisé au panoptique du Big Brother), on trouve surtout des gens qui font des gestes étranges avec leur tête, qui regardent ailleurs plutôt que leurs interlocuteurs… Comme si les lunettes nous plongeaient dans une vallée de l’étrange de l’interaction, où la superposition d’une double interaction (celle avec ses interlocuteurs et celle avec les lunettes) semblait rendre les premiers utilisateurs parfaitement schizophrènes. En effet, alors que nos smartphones, comparativement, semblent encore doués de capacité à nous socialiser, ce ne semble plus être le cas des lunettes. Si les téléphones nous amènent souvent à ignorer le monde alentour, ils savent aussi nous regrouper pour partager quelque chose que l’on peut montrer à l’écran par exemple. Une chose impossible avec les lunettes, expliquait Emily Nussbaum pour le New York Times, après en avoir fait l’expérience du port de lunette en couple. Les lunettes dressent autour de leur utilisateur un “panoptique privé”, une cage de verre.

Image : l’inénarrable Robert Scoble et ses Google Glass : mais qui regarde-t-il vraiment ? Image extraite du Tumblr critique, hommes blancs portant des Google Glass.

Nous sommes le dispositif d’entrée

Les Google Glass transforment le corps humain en dispositif d’entrée d’ordinateur, souligne Carr. La Kinect n’était qu’une caméra fixée vers l’utilisateur, alors que les lunettes de Google sont une caméra mobile pointée vers le monde, fixée vers l’extérieur, superposant son regard à celui de l’utilisateur. “Avec les Google Glass, notre regard devient le curseur”. Ce que l’on regarde, le monde, devient un ensemble de données qui peut être manipulé à la fois par le regard et par des gestes de la main. “Alors que la réalité virtuelle nous a fourni une simulation du réel qui est resté séparé de lui, les lunettes transforment le réel en une simulation de lui-même.” Comme si, en chaussant ces lunettes, nous portions la société de simulation toujours un cran plus loin.

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Image : photogramme du site de Google consacré aux Google Glass montrant comment les lunettes ajoutent des sens à ceux qui les portent.

“Sous le slogan trompeur de l’augmentation de la réalité, nous sommes prêts à subir une réduction de la réalité, transformant le monde en écran d’ordinateur et éloignant ses richesses sensorielles toujours plus loin”, conclut Carr. En minorant peut-être un peu trop rapidement le fait que la stimulation sensorielle est en fait bien réelle. Les lunettes de Google visent à augmenter notre regard, à lui donner des capacités qu’il n’avait pas jusqu’alors, à nous doter de sens dont nous étions dépourvus, à surstimuler notre attention… Les Google Glass nous transforment en super héros comme le montre très bien la vidéo promotionnelle de Google. Augmenter nos sens réduit certainement la réalité, mais vise surtout à augmenter notre perception, notre être au monde. Et plus encore notre être aux autres… Pas tant avec les gens avec lesquels nous interagissons directement qu’avec ceux qui nous suivent à distance, ceux auxquels le regard de nos yeux est destiné.

Documenter nos gestes…

Pas si simple de faire comprendre quelle fonction déclenche tel ou tel geste. On se souvient des travaux de Timo Arnall notamment visant à créer des icônes pour expliciter les fonctionnalités des puces sans contact. Il y a quelques années, le designer Dan Saffer et quelques autres avaient proposé un manifeste pour mieux comprendre la grammaire des mouvements, visant à identifier les fonctions de nos gestes, à les documenter pour créer des fonctions gestuelles communes aux outils qui les reconnaîtront… Le wiki créé à l’occasion a disparu. Chez Nokia Youghee Jung a longtemps travaillé à un esperanto des gestes pour trouver un geste internationalement acceptable pour rendre simplement silencieux sont mobile quand il sonne (cf.La généralisation du téléphone mobile transforme-t-elle les comportements ?”).

Aujourd’hui, de nouvelles initiatives succèdent aux premières. La dernière en date est peut-être celle de David Way, doctorant au laboratoire des environnements sensibles du Media Lab du MIT, qui a développé un système permettant aux Google Glass de reconnaître nos gestes, explique le New Scientist. Son système permet ainsi de faire semblant de tapoter sur un clavier afin que les lunettes reconnaissent les mots que l’on cherche à écrire, sur le principe du projet Digits de Microsoft Research (vidéo). Pour cela, David Way a installé un capteur capable d’interpréter la profondeur des gestes dans un dispositif qu’il attache à son poignet. Ce système permet de construire un modèle informatique personnalisé selon la manière dont il accomplit certains gestes et d’attribuer des fonctions spécifiques à chacun. Bien sûr, revenir à taper sur un clavier imaginaire n’est pas le but du système développé par David Way, et ce d’autant plus que la reconnaissance vocale intégrée aux Google Glass permet de se passer très bien du clavier. Mais les petits gestes de la frappe de clavier sont autant de petits mouvements qu’on peut retenir et exécuter facilement pour déclencher des interactions par exemple. Car le but de David Way est de proposer une interface personnalisable, ou chacun pourra programmer les fonctionnalités de ses gestes.


Vidéo : Digits de Microsoft Research, présenté par l’émission Gamespot.

Les développeurs traquent les moyens d’augmenter les relations aux lunettes de réalité augmentée de Google, comme l’entreprise 3DIM, qui a développé logiciel de reconnaissance de geste, qui intégré aux caméras, permet de reconnaître les mouvements faits devant elle et de déclencher des actions en réponse (vidéo). Ici, le système est plus modique et plus simple, mais moins précis. Il est capable de lire une lettre que vous dessineriez dans les airs pour rechercher dans un plan des éléments qui commencent par cette lettre par exemple, mais pas de suivre des gestes trop précis. Google lui-même s’intéresse à la reconnaissance des gestes, comme le montrent les brevets déposés. La firme a également racheté Flutter, un système qui fonctionne avec une simple caméra capable de contrôler des applications médias par gestes.


Vidéo : le fonctionnement de l’interface de 3Dim.

Mais l’avenir des lunettes sera-t-il de reconnaître nos gestes ? Ou seulement ce sur quoi porte notre regard, à l’image de l’outil de surveillance du regard que le développeur Brandyn White cherche à intégrer à ses lunettes (vidéo). Couplé à un outil capable de reconnaître non seulement les visages – même si Google a annoncé qu’il ne permettrait pas d’applications de reconnaissance faciale sur les Google Glass – mais surtout les objets que vous regardez, on referme alors le panoptique sur lui-même. A l’image du système développé par la société spécialisée dans l’apprentissage machine, AlchemyAPI qu’évoquait il y a peu Tom Simonite pour la Technology Review. Un système de reconnaissance d’image capable de reconnaître en quelques secondes un objet ou une plante par exemple tout en donnant un taux d’erreur de son appréciation (vidéo). Bref, un système de connaissance pour nous aider à mieux lire le monde extérieur.



Vidéos : le fonctionnement du l’interface de Brandyn White et celle d’AlchemyAPI.

Reste qu’il n’est pas certain que nous aider à comprendre le monde soit l’objectif premier des lunettes. Selon un brevet déposé par Google en 2011, les lunettes devraient surtout servir à observer si vous regardez bien la publicité qu’on vous propose… (même si, pour l’instant, les Google Glass proscrivent toute forme de publicité, ce qu’il faut plutôt lire comme “Google se la réserve pour lui-même”). En un mot, à mesurer votre attention ! A savoir ce que vous regardez. Les prothèses de l’informatique qui se porte – ou plutôt ces orthèses, ces appareillages qui compensent une fonction absente, pour reprendre une distinction du chercheur en science de l’information Olivier Ertscheid – n’ont pas seulement pour fonctionner d’augmenter nos capacités, mais bien de les mesurer, d’identifier les motifs qui sont les nôtres pour y afficher des informations contextuelles et mesurer leur apport, notre réaction, notre niveau de stimulation. Notre regard n’est pas seulement le curseur, il devient aussi “l’agent calculatoire” du monde, celui qui permet de mesurer notre rapport au monde, mais celui qui permet également au monde de se mesurer et s’adapter à nous.

A la recherche du bon geste

Contrairement à ce que semble penser Google en déposant un brevet sur un geste, c’est oublier un peu vite, qu’au contraire, comme l’a montré le succès du tactile, celui-ci repose sur des grammaires qui doivent être partagées massivement et rapidement pour être adoptées, tous les gestes cachés ne prennent pas nécessairement. Au contraire, seuls quelques-uns vont se répandre partout et devenir l’alphabet de nos interactions physiques… C’est la simplicité d’un geste qui répond à une fonction qui assure son succès. D’où l’échec de nombreux gestes quand ils ne sont pas ceux que nous avons déjà adoptés, à l’image de ceux proposés par le modèle tactile de Blackberry.

Rachel Metz pour la Technology Review ne disait pas autre chose quand elle revenait cet été sur la relative déception du lancement de Leap Motion, ce capteur de mouvement pour ordinateur. En effet, le succès de Leap Motion, ce petit capteur qui permet d’interagir avec les mains sur n’importe quel ordinateur, n’a pas été à la hauteur du battage médiatique dont il a fait l’objet. Depuis sa sortie, les critiques ont été nombreuses, pointant à la fois la difficulté à contrôler précisément les applications, leur faible nombre, et la fatigue musculaire à utiliser ce système pour des ordinateurs qui ne sont pas conçus pour ce type d’interaction. Pas si simple en effet d’inventer des commandes de mouvement que les utilisateurs doivent pouvoir comprendre très facilement et intuitivement quand les standards de gestes n’existent pas. D’une application l’autre, la simple sélection d’un objet qui s’affiche à l’écran n’est pas la même. Au final, la grammaire sans limites des gestes s’avère plus déroutante qu’autre chose. Et Leap Motion de réfléchir à standardiser certaines interactions en travaillant avec les développeurs qui imaginent des applications à son dispositif.


Vidéo : vidéo promotionnelle de LeapMotion.

Pour conclure, Rachel Metz rappelle que si la souris et l’écran tactile ont été inventés dans les années 60, la souris n’a pris son envol commercial que dans les années 80 et les interfaces tactiles une bonne dizaine d’années plus tard. Le dictionnaire de nos gestes devrait donc prendre plus de temps que prévu… En tout cas, leur privatisation n’aidera certainement pas au développement des pratiques.

Le corps démuni

Accepterons-nous que notre corps devienne l’interface de nos gadgets ? Cligner de l’oeil pour prendre une photo ne risque-t-il pas d’être vécu comme particulièrement aliénant, s’interroge l’écrivain et cinéaste John Pavlus pour la Technology Review. “Nos corps ne peuvent pas devenir la marionnette de nos technologies, il faudra bien que ce soit l’inverse.

Google a annoncé qu’il ne permettrait pas à d’applications de reconnaissance faciale dans ses lunettes, tant que les moyens de protection de la vie privée ne seront pas mieux adaptés… Mais quels types de moyens de protection pourraient être mis en place face à ce type de technologie ? Jusqu’à présent, estime Joseph Jerome pour le Forum sur l’avenir de la vie privée, la règle voulait que si l’on vous prend en photo, vous deviez être au courant… (même si c’est une règle qui est loin de marcher dans toutes les situations). Mais cette règle ne permet qu’aux surveillés d’être conscients de la surveillance, pas de réagir, estime le spécialiste. Dans un rapport sur la reconnaissance faciale (.pdf), la Commission fédérale du commerce américain suggère que seuls les gens qui ont choisi de pouvoir être réidentifié par un programme de reconnaissance faciale puissent l’être, proposant par là une sorte d’opt-out qui pose plus de questions qu’il n’en résoud. Car comment pourrons-nous la mettre en place ? Tracer la ligne de démarcation des bons et mauvais usages des Google Glass risque d’être difficile, souligne avec raison Joseph Jerome.

Pourtant, pour l’ethnologue Jan Chipchase, auteur de Caché en pleine vue, la peur qu’inspire les Google Glass n’est qu’une nouvelle matérialisation de craintes qui existent déjà. Les lunettes ne sont qu’un objet pour discuter de ce qui distingue un comportement acceptable dans l’espace public et dans l’espace privé. Pour Chipchase, les lunettes ne devront pas seulement “éviter l’inattendu” comme l’a indiqué Google dans les principes de conception à destination des développeurs, mais elles devront également trouver le moyen de favoriser la transparence de proximité (c’est-à-dire permettre aux gens d’accéder aux enregistrements faits à proximité d’eux par exemple) et le contrôle de proximité (permettre aux gens de contrôler l’enregistrement fait). Pas si simple… d’inventer le robot.txt du monde réel, comme nous y invitait récemment John Battelle, c’est-à-dire l’équivalent pour les lunettes et la réalité qu’elles observent du code qui indique aux robots comment ils doivent se comporter avec les données d’un site qu’ils visitent.

John Battelle a raison pourtant. L’enjeu est bien d’esquisser un nouveau contrat social pour la société que nos nouveaux outils technologiques ne cessent de modifier…

Bienvenue dans la police du regard

Depuis le lancement des premiers prototypes, les Google Glass ne cessent de poser des questions, de générer une vive opposition contre l’idéologie qu’elles impliquent, à l’image de la campagne Stoppons les cyborgs. Des lieux et de plus en plus de lieux s’apprêtent à les bannir : casinos, cinémas, clubs… Mais elles interrogent également les actions que nous pouvons faire ou ne pas faire avec. Pourrons-nous conduire avec des Google Glass ? Pourrons-nous aller au musée ou lire un livre ? Ne vont-elles pas changer le statut juridique de la vision elle-même, comme s’en inquiétait le juriste Lionel Maurel. A qui appartiendra le spectacle même de la réalité ?

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Image : le logo de la campagne “Stoppons les cyborgs”.

Après la police des schémas, celle qui surveille nos activités, nos comportements, nos gestes, nos déplacements… voici la police du regard, celle qui arrive jusque dans nos corporalités, qui nous dicte les mouvements que nous devrons faire, qui observe à notre place, qui traque jusqu’à notre attention… La cage de verre, oui. Celle qui nous transforme en super-héros sous-contrôle.

Hubert Guillaud

corps, cyborgs, design, futur, IHM, privacy, réalité augmentée, surveillance, vie privée, wearable
27 Nov 08:22

when the network is very slow

by kbironneau

/* by arv */

22 Nov 08:40

Microsoft Launches Node.js Tools For Visual Studio

by Frederic Lardinois
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Node.js has quickly become one of the most popular platforms for writing server-side code. Windows, however, was never quite the right operating system to develop node.js applications on. That may be changing now, however. Microsoft today launched its Node.js Tools for Visual Studio in alpha, which now allows developers to edit, and debug node.js code right in Microsoft's popular IDE. The tools also feature the ability to easily deploy applications to Windows Azure and remotely debug node.js instances running on other machines.

Node.js allows developers to write their server-side applications in JavaScript and it looks like Microsoft has kept all the essentials in place. As Microsoft Web Platform Team member Scott Hanselman notes, the team decided not to “re-do things that already worked well.” The tools use the standard node.exe and the V8 debugger (node.js was built on top of Google's V8 JavaScript engine), for example.

Thanks to the integration into Visual Studio, developers get access to all the IDE's tools, including Visual Studio's Intellisense intelligent code completion technology.

The Node.js Tools for Visual Studio are available under the Apache open source license. Microsoft continues it to be an early alpha release, so it still has some rough edges, but the early reviews are very positive. The tools were developed by the same team that also brought Python support to Visual Studio and will work in both the 2012 and 2013 editions of the IDE.

If you want to give them a try, Hanselman's blog post also features a brief walk-through of editing (and running) the Node.js-based Ghost blogging platform's source code in Visual Studio.

Image credit: Scott Hanselman


21 Nov 13:37

AuFeminin s’offre l’intégralité de My Little Paris pour 65 millions d’euros

by Olivier Harmant
AuFéminin.com a annoncé aujourd’hui l’acquisition My Little Paris avec une première prise de participation à hauteur de...
20 Nov 12:21

Quelles sociétés chiffrent les données de leurs utilisateurs ?

by Korben

L'EFF qui défend les droits des internautes aux États-Unis a interrogé des géants du web pour leur demander quelles sécurités étaient mises en place sur leurs services pour protéger les données personnelles de leurs utilisateurs.

Depuis les preuves apportées par Snowden sur la surveillance massive, le chiffrement est au coeur de toutes les discussions. À la fois entre les internautes et la société, mais aussi en interne avec des liaisons chiffrées entre les data centers, sans oublier la transmission sécurisée des cookies.

eff Quelles sociétés chiffrent les données de leurs utilisateurs ?

L'EFF incite aussi les sociétés qui font du webmail à adopter rapidement STARTTLS qui chiffre les communications entre les serveurs emails (par exemple entre un serveur Outlook.com et un serveur Gmail.com) afin de permettre des échanges de mails sécurisés et éviter que des gouvernements tombent sur des emails en clair lorsqu'ils espionnent les tuyaux.Même chose avec ce qu'ils appellent le forward secrecy qui permet de maintenir un chiffrement cohérent sur toutes les données y compris les plus anciennes, même si la clé utilisée pour chiffrer ces dernières a été compromise.Plus d'infos ici

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Quelles sociétés chiffrent les données de leurs utilisateurs ? ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

20 Nov 08:15

'League of Legends' eSports finals watched by 32 million people

by Rich McCormick

Riot Games has claimed that its largest eSports event yet, the League of Legends Season 3 World Championship broadcast over Twitch livestream on October 4th, was watched by 32 million people, 8.5 million of whom were watching at the same time. The numbers shatter previous records for eSports viewership, and show that video game streams can rival TV in terms of scale and reach.

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16 Nov 11:04

Microsoft Releases '3D Builder,' A 3D Printing App For Windows 8.1

by Alex Wilhelm
2013-11-15_11h51_08

Out today from Microsoft is a 3D-printing application called 3D Builder that will help the amateur set dig into 3D printing, provided that they 1) have a Windows 8.1 machine, and 2) have a Windows 8.1-ready 3D printer.

So, it's a small group. But that's just fine. Every technology has an incubation phase apart from the mainstream, and 3D printing is only now enjoying public awareness, let alone mass adoption.

Windows 8.1 was designed to support 3D printing in an almost gimmick that's cool instead of moonshotty, due to the falling price of consumer-grade 3D printers, such as what MakerBot produces. MakerBot will support Windows 8.1 this year, if you didn't know.

The application is designed to help you design. It has a catalog of built-in pieces, and you can add your own to zazz things a touch. From the looks of it, if you recall the creature stage of Spore, it should be somewhat similar. I didn't get to road test the app as I don't have a 3D printer (AOL? Hey?), but reviews will tell the tale over the next few days.

Microsoft was late to the Internet and missed the smartphone train, but it appears hell-bent on being early in 3D printing. If the technology advances far enough as the price falls quickly enough, this could be a winning move for Microsoft in the next five years. For now, you can probably only make little lumpen dinosaurs for your kid if you have all the hardware.

From humble beginnings.

Top Image Credit: Microsoft


15 Nov 16:35

Bouygues Telecom dévoile un troisième trimestre 2013 catastrophique

by nil@pcinpact.com

Après Orange le mois dernier, Bouygues Telecom a publié à son tour les résultats financiers de son troisième trimestre 2013. Et il ne restera pas dans l'histoire, avec une perte importante de clients, y compris parmi les abonnés (forfaits). Seules bonnes nouvelles, Bouygues redresse légèrement la tête dans le fixe, cumule déjà 500 000 clients 4G LTE et dégage des bénéfices.

15 Nov 15:37

Jalios (@Jalios)

#Jalios sponsor de la Rencontre Internationale des Responsables #intranet & #RSE #E20 Paris 26-27 nov #riri13 http://bit.ly/17veKbR 
15 Nov 01:48

“The Next Generation” of Hoodies! [Pics]

by Lauren Berkley

These Star Trek: The Next Generation hoodies are available at ThinkGeek for $59.99 and are available in Command, Sciences, and Operations!

Now, THAT’S…logical!

star_trek_tng_uniform_hoodies-1star_trek_tng_uniform_hoodies-2star_trek_tng_uniform_hoodies-3

[Source: ThinkGeek]

11 Nov 18:59

Sleep Like a Log Pillows

Sleeping like a Log may be difficult for every one, especially for those with sleep disorder, but..(Read...)

09 Nov 17:38

Gartner : en 2017, les lunettes connectées feront économiser 1 milliard de $ par an

Selon Angela McIntyre, Directeur de recherche au Gartner, "Les lunettes connectées avec Réalité Augmentée (AR) et caméra intégrée peuvent augmenter l'efficience des techniciens, ingénieurs et autres travailleurs sur le terrain (maintenance, santé, fabrication). Dans les trois à cinq prochaines années, l'industrie devrait obtenir les profits les plus intéressants dans ces domaines en augmentant sa marge d'un milliard de dollars par an. Les domaines d'application les plus intéressants devraient provenir de l'accélération du diagnostique et de la réparation de problèmes, sans nécessiter le déplacement d'experts supplémentaires sur les sites distants."

google_glass.jpg

Toujours selon Gartner, si moins 1% des entreprises américaines ont implémenté des lunettes connectées, ce taux de pénétration devrait monter à 10% dans les 5 années à venir, toujours concernant les collaborateurs qui oeuvrent sur le terrain. Le développement du marché grand public devrait accélérer cette tendance, au point que 50% des entreprises pourraient les utiliser dans les 10 années à venir.

L'adoption des lunettes connectées reste faible en raison du manque d'applications dédiées à ce stade, mais cette situation ne peut que changer.

Si l'industrie lourde devrait être la plus rapide à adopter cette technologie permettant la formation sur site des collaborateurs, la grande distribution et la santé devraient être un peu plus lentes, bien que les lunettes connectées puissent apporter une aide intéressante dans le domaine de la recherche d'information visuelle.

L'industrie des services (banque, média, assurance,...) devrait être encore moins rapidement concernée, même si l'on peut imaginer des applications intéressantes, liées soit à la recherche d'information pour les assureurs (la valeur d'un bien par exemple) ou l'information quasi temps réel pour les métiers de la finance.

L'assistance et la formation semblent être à ce stade les applications les plus évidentes. 

Alors que les collaborateurs utilisent déjà des montres connectées, il ne faudra pas attendre longtemps, désormais, pour que les lunettes connectées entrent dans le périmètre de réflexion des règles concernant le BYOD (Bring Your Own Divice). 

Lire aussi : 

Gartner says Smartglasses will bring innovation to Workspace Efficiency

08 Nov 21:23

How to Throw a Party for Geeks and Nerds [Pic]

by Geeks are Sexy

party

[Via NA | Cheezburger]

08 Nov 14:42

Evolution professionnelle

by Zythom
A l'approche des 50 ans, l'année dernière, j'ai décidé de vérifier mon employabilité. Selon l'Organisation internationale du travail (et Wikipédia), l'employabilité est "l'aptitude de chacun à trouver et conserver un emploi, à progresser au travail et à s'adapter au changement tout au long de la vie professionnelle". Pour moi, cela consistait à vérifier, bien qu'aimant mon entreprise, mon chef, mes collègues, mes étudiants et mon travail, si je pouvais trouver une entreprise qui voudrait m'aider à développer mes aptitudes dans l'univers de l'inforensique.

J'ai donc pris mon courage à deux mains, mis à jour mon CV et j'ai cherché sur le marché du travail l'entreprise idéale et le poste associé. J'ai cherché du côté clair de la Force (les petites annonces du marché ouvert de l'emploi, les candidatures spontanées) mais aussi de son côté obscur (le réseau, les amis, les relations, la NSA, tout pour accéder au marché caché de l'emploi).

Pour ne rien regretter, j'ai ciblé large: mobilité sur toute la France y compris Paris, aucune prétention salariale a priori, pas de préférence grosse entreprise ou PME ou TPE, privé, public, CDI ou CDD, prêt à démarrer comme un débutant, comme un senior, comme un expert. J'ai des compétences d'encadrement, je sais travailler en équipe, je respecte les règles établies. Bref, le salarié (presque) idéal.

J'ai donc appliqué les règles de recherche d'emploi que je préconise auprès de mes étudiants (lire ce billet où je les explique).

Le blog m'a bien aidé, Twitter également (un retweet de Maître Eolas, c'est 3000 personnes qui viennent sur le blog !) et j'ai pu ainsi décrocher plusieurs entretiens d'embauche. Certains se sont bien passés, d'autres moins bien.

Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs ,
Tout prince a des ambassadeurs,
Tout marquis veut avoir des pages.

Et il m'est arrivé ce que je pensais dès le départ: aucune proposition n'a abouti.

Il y a plusieurs explications à cela:
- je suis nul
- j'ai plus de 45 ans
- je ne sais pas me vendre
- mes compétences n'intéressent personne
- la crise
- je n'ai pas de réseau
- je suis nul
- c'est la faute à internet
- les entreprises n'ont pas su voir mon énorme potentiel
- mes enfants ont tout fait pour ne pas déménager
- je suis nul.

Ok, donc, comme Rocky Balboa, je vais devoir m’entraîner dans un coin tout seul pour affûter mes muscles et JE REVIENDRAI (heu, non, ça c'est Arnold). C'est d'ailleurs ce que m'a conseillé sérieusement le responsable de mon entretien à l'ANSSI: "vous devriez vous entraîner sur l'analyse de systèmes live et revenir dans deux ans".
Putain DEUX ans!
Je n’intégrerai donc pas les équipes de cette agence gouvernementale, et je le regrette. J'aurais aimé travailler avec des jeunes et brillants ingénieurs sur des sujets très techniques toujours en pointe. J'aurais aimé pouvoir relever ce challenge. Mais, comme pour mes tentatives de voyages dans l'espace (lire cette série de billets, surtout celui-ci), il faut savoir se faire une raison: j'ai une capacité à changer d'emploi nulle.

Maintenant, positivons:
- j'ai un boulot
- j'aime mon boulot
- mon entreprise est performante sur un marché porteur
- mon entreprise apprécie mon travail
- j'ai un travail dynamique, prenant et passionnant
- j'ai des perspectives de progrès et d'amélioration
- j'habite un coin de paradis
- j'ai une bonne santé
- j'ai une famille formidable
- le chiffrement RSA n'a pas encore été cracké.

Un lecteur avisé pourrait objecter: "mais pourquoi diable avez-vous eu envie de chercher un autre emploi?" Ma réponse est imparable: "parce que".

Parce que je voulais voir ce que je valais encore sur le marché du travail.
Parce que je suis effrayé à l'idée d'avoir passé 20 ans dans la même entreprise.
Parce que je suis effrayé à l'idée de passer les 15 prochaines années dans la même entreprise.

Un lecteur avisé pourrait objecter: "qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse". Certes. C'est d'ailleurs ce que je me dis aussi. Bien obligé.

Alors j'ai pris une décision:
Puisque j'aime mon entreprise, plutôt que de changer d'environnement, je vais essayer d'améliorer mes compétences dans toutes les activités que je mène actuellement, et sortir de ma zone de confort. Professionnellement, il faut que j'améliore mes compétences de manager et que je favorise la progression de mes collaborateurs. Côté expertises, il faut que je développe mon activité d'expertises privées et que j'apprenne à me vendre. Côté vie publique, il faut que j'essaye de m'impliquer plus encore dans la vie de la commune.

Selon le Ministère français chargé de l’emploi (et toujours Wikipédia), l’employabilité est "la capacité d'évoluer de façon autonome à l'intérieur du marché du travail, de façon à réaliser, de manière durable, par l'emploi, le potentiel qu'on a en soi".

Conclusions:
De ses échecs, il faut savoir apprendre. Et se relever.
Et ne pas attendre qu'on vienne vous offrir le poste idéal.
Il faut le créer soi-même.
Et savourer sa chance d'avoir un métier qu'on aime.
C’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe.
Putain 15 ans !

[MAJ du billet du 8 novembre 2013]
07 Nov 13:26

Aldebaran wants you !

by Humanoides.fr

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Aldebaran Robotics recrute en ce moment et ils n'y vont pas de main morte. De nombreux postes sont à pourvoir et il y'en a pour tous les goûts ! Pour ceux qui n'auraient pas encore entendu parler de la passionnante et formidable entreprise créée en 2005 par Bruno Maisonnier, c'est le moment de vous rattraper. Aldebaran Robotics est reconnu comme leader mondial sur le marché de la robotique humanoïde programmable. Basé en France, en Chine et aux Etats Unis, Aldebaran Robotics a lancé le robot NAO, qui est devenu une plateforme adoptée internationalement par le monde de l'éducation et de la recherche. Plus de 600 prestigieuses universités, laboratoires et lycées travaillent dans le monde quotidiennement avec NAO. Dans le futur, Aldebaran Robotics a pour ambition de développer des robots humanoïdes à l'usage du grand public. Plus de 300 personnes, dont 50% de R&D, sont impliquées dans le développement et la production de NAO et ses futurs successeurs.

Vous souhaitez rejoindre l'aventure Aldebaran ?

19 offres vous attendent sur le site de l'Apec, pour des postes en CDD et CDI. Les profils recherchés sont très variés, mais demandent minimum un Bac+2/3, surtout pour les postes techniques. Voici l'intitulé de quelques postes à pourvoir qui nous ont semblé potentiellement pouvoir intéresser nos lecteurs : Le reste des annonces est par ici. Bonnes recherches ! humanoides_fr_nao_aldebaran_i-want-you_2
05 Nov 15:13

Pebble a de ‘bonnes nouvelles’ à partager sur sa smartwatch le 6 novembre prochain

by Yohann Poiron

Il y a quelques choses que l’équipe derrière la smartwatch Pebble voudrait nous dire, et un événement en live streaming est prévu le 6 novembre prochain, c’est-à-dire demain, où apparemment certaines « Big News » seront partagées. Pour confirmer l’événement, Pebble est retourné sur ses racines, Kickstarter, où la firme a affiché une nouvelle publication pour ses backers, comme le souligne PhoneArena.

La publication de Pebble mentionne : « nous savons que le temps a été long avant de vous apporter une mise à jour de la Pebble, mais nous avons eu la tête dans le guidon en se concentrant sur certains développements passionnants et de grandes nouvelles qui se préparent ». Il est ensuite souligné que quiconque lié au développement d’applications pour la Pebble sera particulièrement intéressé par l’événement, puisque la firme devrait indiquer quelques nouvelles fonctionnalités qui peuvent être ajoutées dans une mise à jour logicielle à venir.

La Pebble est l’un des projets financés par la foule le plus réussi qu’il y ait eu jusqu’à présent, avec plus de 68 000 backers, et bien que n’étant pas la seule smartwatch sur le marché, le moment de son arrivée signifiait qu’elle a profité de l’intérêt général pour cette technologie portable . Depuis son départ de Kickstarter, la Pebble a évolué et est désormais vendue en ligne, ou encore sur des boutiques marchandes.

Si l’événement concernant la Pebble partage des nouvelles d’une mise à jour logicielle et une sélection de nouvelles fonctionnalités, celui-ci devrait être accueilli avec joie par les fans de la montre connectée, qui, si l’on en croit les commentaires sur le forum officiel, ces derniers étaient plutôt inquiets par le silence total de la société. Une « lettre ouverte à Pebble » publiée cette semaine indique que tandis que la montre est intéressante, « le logiciel laisse beaucoup à désirer », et celle-ci se plaint d’un « manque d’informations » quand il s’agit de nouvelles concernant de nouveaux développements.

Pebble a de 'bonnes nouvelles' à partager sur sa smartwatch le 6 novembre prochain

Est-ce que les nouvelles de demain vont calmer les propriétaires existants, et être assez spécial pour attirer des nouveaux ? Pebble pense clairement que celles-ci vont susciter la discussion, et que deux membres de l’équipe iront sur Reddit de suite après l’événement. Elle commencera à 10 heures, et sera diffusée sur le site de Pebble.

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05 Nov 13:54

Portail IE (@Portail_IE)

#searchday S. Toscane, V. Bouthors : la vision de @Jalios passe entre autres par la coopération, la participation et l'innovation.
05 Nov 13:53

Portail IE (@Portail_IE)

#Searchday Salle toscane, @Jalios couvre la France, la Belgique, le Luxembourg, la Suisse et l'Espagne. Il se développe hors Europe.
04 Nov 22:20

iPhone 5S Vs Nexus 5...

by L'Info Autrement

Une infographie nous présente les caractéristiques du nouveau smartphone de Google, le Nexus 5, face à l'iPhone 5S commercialisé depuis le 20 septembre dernier.


04 Nov 11:17

Travailler cher Google : c’est l’enfer

by Nicolas Catard
Travailler cher Google : c’est l’enfer
Des anciens employés dévoilent l'envers du décors. Travailler chez Google n'est pas aussi génial que l'on imagine.

Lire la suite


© Rédigé par, Nicolas Catard pour Be Geek le lun, 04 nov 2013 à 10h45
30 Oct 19:39

Criteo starts trading today – $2 Billion valuation ($31/share) hailed as ‘AdTech deal of the year’

by Liam Boogar

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The long-awaited French IPO has arrived – Criteo will start trading today, and the word around the IPO is positive. The company initially expected to raised under $200 Million in their Initial Public Offering at a $28/share price is now expected to clear $30 per share by the end of the day, according to a source close to the IPO.

AdTech IPO’s have been quite popular this year – more than half a dozen IPOs in the last 6 months, according to Business Insider – among the largest was Rocket Fuel, which had previously been called the most successful AdTech IPO of the year (AdAge); however, a source from the NASDAQ, here at the Dublin Web Summit to announce their new offering for private tech companies, says that the Criteo IPO has been more highly anticipated, and the closing trade price may very well be north of $30, valuing the company at around $2 Billion.

Criteo has done a phenomenal job at creating investor confidence, staving off worries about their performance on mobile with the acquisition of mobile retargeting company AD-X. The Paris-based company continues to see exponential YoY revenue growth, and, for now, it looks as though they will go down as one of the more successful AdTech IPOs, unlike Tremor Video & YuMe, which are currently trading below their IPO share price after going public earlier this year.

25 Oct 09:37

Encore une poignée de prédictions de Gartner…

by Patrice BERNARD
Gartner
Outre ses prédictions de portée générale, Gartner nous gratifie, toujours à l'occasion de ses Symposiums, d'une série complémentaire par secteur économique, dans laquelle je retiens 4 propositions concernant les services financiers. Et, à défaut d'un accès aux commentaires détaillés des analystes, je vous en offre ma propre vision.

En guise de préambule, le communiqué de presse nous éclaire sur l'évolution des tendances depuis 2012. Ainsi, ce que Gartner qualifie de "Nexus des Forces" (la convergence du cloud, du mobile, du "social" et de l'information), qui a, jusqu'à maintenant, été principalement exploité par les entreprises pour améliorer leurs opérations, va, à partir de 2014, induire d'inévitables changements radicaux de modèles d'affaires. Les prédictions qui suivent reflètent largement cette vision…

D'ici 2016, 60% des banques traiteront la majorité des transactions dans le nuage
La raison offerte pour cette transition serait purement économique, fondée sur la recherche de meilleurs ratios de rendement sur fonds propre (RoE, "return on equity"). Le resserrement des marges qui affecte les banques conduit celles-ci à rechercher tous les moyens de maîtriser leurs coûts. Après avoir commencé par mieux surveiller, puis réduire, leurs dépenses informatiques, elles vont désormais essayer de maximiser l'efficacité de leurs systèmes.

Le modèle prédominant – qui consiste à déployer les infrastructures capables de supporter les plus importantes pointes de charge (lorsque tous les clients se connectent simultanément sur les services en ligne, par exemple) mais restant inactives 90% du temps – va devoir disparaître. A sa place, les approches de "cloud computing" permettront de ne mettre en œuvre que la puissance nécessaire à l'instant "t", et de ne payer que ce qui est utilisé.

Pour les petits établissements, seul le recours aux infrastructures de "cloud" publiques (de type Amazon) sera viable. Pour les grandes banques, la tentation initiale sera de créer une infrastructure de nuage interne mais je soupçonne que le réalisme économique finira par en conduire certaines à se tourner vers les fournisseurs externes, dont la proposition de valeur n'ira qu'en s'améliorant.

D'ici fin 2015, les assureurs abandonneront 40% de leurs applications mobiles grand public
Là également, la prédiction est justifiée par une logique financière, le ROI (retour sur investissement) des solutions proposées s'avérant médiocre. Et ce constat n'étonnera probablement pas : les compagnies d'assurance cherchent presque désespérément à exploiter le potentiel des applications mobiles pour maintenir un contact étroit avec leurs clients mais bien peu réussissent à atteindre cet objectif.

Les réalisations qui ne sont utilisées qu'épisodiquement, ou, pire, celles qui sont téléchargées et installées mais jamais exécutées, ne peuvent justifier les coûts qu'elles engendrent (ne serait-ce que pour suivre les évolutions des matériels et des systèmes). Nécessairement, une grande partie des titres proposés par les compagnies d'assurance ne survivra pas aux demandes de budget de maintenance.

Mais, finalement, peut-être est-ce une bonne chose : en attendant de trouver la "bonne" idée d'application, il vaut mieux considérer que les autres ne sont que des expérimentations. La difficulté étant dans ce cas de savoir les arrêter à temps.

Cloud et mobile
Crédit photo : Coecys

D'ici 2017, 15% des consommateurs répondront aux offres contextuelles
En particulier, ils n'hésiteront pas à partager leurs informations personnelles – démographiques et profils d'achat – pour bénéficier de promotions pertinentes. Voilà enfin une opportunité ! Certes, un taux de 15% peut sembler faible (surtout à une échéance aussi lointaine) mais les banques sont dans une position tellement avantageuse pour s'emparer de ce marché – grâce aux données exclusives dont elles disposent sur leurs clients – qu'il vaut bien de s'y attarder.

Le temps nécessaire à la maturation de cette tendance pourra être mis à profit utilement pour, d'une part, préparer les systèmes intelligents capables de distribuer des offres personnalisées pertinentes (la collecte et l'exploitation des données, ainsi que les modèles d'analyse nécessaires, requièrent encore du travail) et, d'autre part, accoutumer progressivement les consommateurs à l'idée que les informations qui les concernent pourraient être utilisées à leur avantage.

D'ici fin 2017, au moins 7 des 10 premières entreprises de commerce de détail adopteront l'impression 3D
La technologie sera largement utilisée pour fabriquer à la demande les produits que demanderont les clients. Quel rapport avec les services financiers, vous-demandez vous ? C'est très simple : dans le monde que dessine cette prédiction, les consommateurs auront pris l'habitude de se voir offrir des produits et services hyper personnalisés, correspondant exactement à leurs attentes, différentes de celles de leur voisin.

Dans ce contexte, les banques et les assurances pourront-elles continuer à vendre leurs solutions standards ? Probablement pas. Il faudra bien dépasser les grandes segmentations de clientèle habituelles des départements marketing et savoir proposer des réponses individuelles, ajustées au mieux à la situation de chaque personne. Le défi est de taille !

Le client est roi !
En dehors de la première prédiction, qui dérive des évolutions technologiques en général et de l'industrialisation des ressources informatiques en particulier, les autres reposent sur le constat de la prise de pouvoir du client par rapport à l'entreprise. En conséquence, cette dernière sera contrainte, pour sa survie, de le placer au centre de sa stratégie, en commençant par acquérir une compréhension intime des profonds changements démographiques et de comportements, déjà perceptibles aujourd'hui.
25 Oct 09:30

Four lessons for startups that I learned at Oktoberfest

by Guest Post

Oktoberfest

This guest post is part 3 of “The Amusement Park” blog series written by Mark Fabian Henkel (@mrkhnkl) Co-founder and CEO of Paymill, a young startup that offers the fastest and easiest way to integrate credit and debit card payments in websites and mobile applications.

Oh man where am I? Where is my wallet? – Okay, I’m at home and my wallet is on the nightstand. But why do I suffer from headaches so badly ? Oh the memory comes back slowly: Yesterday was D-Day at the office. D-Day, for non-Bavarians is the day where you are forced to wear a Dirndl (that’s where the D comes from) as women and Lederhosen as men. This day usually comes with the company’s visit to the Wiesn. So, that’s what happened yesterday : I have been to the Oktoberfest and came home late after a couple of beers and schnapps.

But what does the Oktoberfest visit have in common with the “amusement park”-blog and more importantly with start-ups ? Let me tell you where the link is. Overall, the Oktoberfest is the largest amusement park you can imagine. Just to give you some numbers:

  • 6,9 million visitors
  • 7,5 million litres  of beer
  • 520.000 chicken
  • 118 oxen
  • and exactly 172 rides, exhibitors, carneys

So, I guess this is enough proof that the Oktoberfest is like an amusement park and everybody who ever visited the Theresienwiese in Munich at that time will testify that.

And how does it relate to start-ups? Well, I could state the low hanging fruit, if you do something do it right – if you go to the Oktoberfest, get drunk and don’t stop after the first Maß (1 liter of Munich beer). However, there are more similarities around Oktoberfest and start-ups.

Know your Target Market

If you go to celebrate with friends, you need to decide in which tent to go. There are 14 big tents just to drop some names: Hofbräu Festzelt (wanna see Australians), Schützen Festzelt (wanna see the Munich youth) or Käfer’s (see VIPs like in a zoo). You see, no tent is like the other. They are different in the music they play, they’re different in the type of beer they serve and they differ by the people inside. That reminds me pretty much of target groups.

Just like a visitor, an entrepreneur has to decide which target group he wants to approach and in the beginning, it’s one target group. Only later, once you have more resources, can you start to deal with more. So choosing you target group well is the same decision you face on a Saturday in Munich around October before you enter one of the famous beer tents.

Know your Barriers to Entry

But choose well where to go, cause entry barriers at the Oktoberfest are high, especially during peak times. Nobody wants to go to the tents on Wednesday at noon, just like nobody opens a start-up without a target group.

It’s hard to get in when the tents are crowded on the weekends and everybody wants to be one of the crazy guys standing on the wooden bench and singing with the marching band. You need to be the first on that day (same as with start-ups) or you need to know somebody to get in or your party starts in a place where there’s nobody and you need to get it started (see all these Oktoberfests around the world).

In the start-up world, that means either you know a huge supporter, investor or company, or you need to be the first who comes up with an idea or you look for a spot, area where your party doesn’t exist.

It’s all about Building Relationships

Once you’re in, you need to find a place to sit down. Usually you have a reservation but if you don’t, you need to talk to people and ask them to share some space on their bench.

In any case, after two or three beers you start chatting with people, whether you know them or not. Certainly after 3-4 Maß you start approaching people you don’t know. And that’s where it’s similar to start-ups: you tried hard to get in, you got your position and know after a certain time (2-3 beers) it’s time to step out of you comfort zone to start mingling with others.

Oktoberfest is just like any other networking event, although not as serious as some tech conferences, it’s the perfect place to build relationships. Networking plays an important part when trying to grow your startup, because it just makes doing business easier with people you already know. And you never know who you’re going to bump into!

Know your limits

Drink too much and you’re going to have a bad time! Just like in a startup, you need to know your limits, because if you push yourself too much you’re going to go crashing. At Oktoberfest, you’ll be thrown out of the beer tent, in the startup world you’ll run out of steam in the market you invested so much time and capital to penetrate.

Case in point, you need to pace yourself! You can’t drink all the beer in the world, just like you can’t ship dozens of new features every week. Do too much and you’ll literally lose focus!

Oktoberfest is always a crazy time, but it’s also loads of fun – just like life in a start-up. And in case you’re wondering, yes I visited the haunted house and a tiny rollercoaster as promised, although the rollercoaster of start-ups just might be even better than the real one.

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by L'Info Autrement

Alors que les Google Glass sont un objet déjà part entière, de nouvelles façons de communiquer avec les vêtements et accessoires connectés vont voir le jour.

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Sully & Mike de Paper Minions (x 2)

by Toy Boy

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Après Woody et Buzz de Toy Story, voici Sully et Mike de Monstres et Cie. Ces 2 petits papertoys sont l'oeuvre de Paper Minions, un site anglais qui se consacre uniquement à l'univers Pixar (pour le moment...). A télécharger gratuitement dans la suite de ce billet... On avait déjà partagé un papercraft à l'effigie du délirant Mike Wazowski. Mais Sully manquait encore à l'appel... Cette fois-ci, c'est donc le duo qui est à l'honneur, avec deux minis paper toys ultra-mignons et très faciles à assembler... Pour récupérer les 2 gabarits, il vous suffira de faire un détour par le site de Paper Minions à cette adresse ou de cliquer directement sur les aperçus ci-dessous. Si vous avez besoin d'aide, les instructions d'assemblage (en anglais) se trouvent ici. N'oubliez pas votre frousse à outils ;p Bouh ! Source
15 Oct 15:31

OMG IT EXISTS! Firefly: The Board Game

by Geeks are Sexy

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Yep, you read that headline right: a Firefly board game, and apparently, the game is really fun!

In Firefly: The Game – based on the popular Firefly television series created by Joss Whedon – players captain their own Firefly-class transport ship, traveling the ‘Verse with a handpicked crew of fighters, mechanics and other travelers. As a captain desperate for work, players are compelled to take on any job — so long as it pays. Double-dealing employers, heavy-handed Alliance patrols and marauding Reavers are all in a day’s work for a ship’s captain at the edge of the ‘Verse. Firefly: The Game is a high-end thematic tabletop board game from Gale Force Nine (GF9) and the first in a series of tabletop hobby board games and miniatures games from GF9 set in the Firefly Universe.

The game will be released in just 2 days, and if you pre-order, you’ll get 5 Big Damn Hero cards (Malcolm, Zoe, Wash, Jayne, Kaylee) that are not usually included in the base game.

[Firefly: The Board Game @ Amazon.com]

15 Oct 15:01

Blood-sucking mosquito's final meal preserved in 46-million-year-old fossil

by Jacob Kastrenakes

Blood-sucking insects may be the bane of your summer picnics, but they've been around for far, far longer: according to new research, mosquitoes that feed on blood have been around for at least 46 million years. Researchers led from the Smithsonian's National Museum of Natural History made the discovery by studying fossilized mosquitoes. Eventually, they came across one that appeared to still be filled with its final meal of blood — though that may not sound like a rare phenomenon, it is. The researchers write that such a finding has never been described before.

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