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Saturday Morning Breakfast Cereal - DIE OPPRESSORS!

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 OH MY GOD IT'S HAPPENING

13 Aug 13:18

Montréal occupe la première place pour l’éducation internationale

Selon une étude menée pour The Economist, la ville de Montéal se retrouve en première position pour l’éducation internationale.
02 Jul 14:33

1er juillet: Pourquoi la fête est-elle si triste ?

by Jean-François Lisée

Pour tout étranger établi au Québec, l’étonnement est annuel. La Fête nationale du Québec, le 24 juin, est un événement majeur.

La Fête du Canada, le premier juillet, est largement ignorée. Comment a-t-on pu en arriver à cette situation, impensable dans toute nation normalement constituée (je pèse mes mots) ?

C’est qu’il y a un vice de conception. Le premier juillet 1867, date de fondation du pays, fut un jour chômé et les autorités organisèrent plusieurs manifestations. Le haut clergé était très favorable à la confédération, se sachant maître des compétences léguées à la nouvelle province, notamment l’éducation, outil de son autoperpétuation.

Les Québécois, alors appelés Canayens – les autres étaient Les Anglais — se sentaient évidemment concernés. Dans l’intense débat du moment, les leaders du projet, dont le conservateur George-Étienne Cartier, avaient même promis de tenir un référendum sur le sujet. Mais ayant testé la méthode au Nouveau-Brunswick, et s’étant fait dire non, ils ont renoncé à tenir parole.

Des élections ont eu lieu d’août à septembre 1867, faisant office d’élection référendaire. Le Parti rouge — dont le PLQ est le lointain héritier — s’opposait à la confédération, préférant que le Québec reste une province autonome dans l’empire britannique — une souveraineté-partenariat avant la lettre.

Cette élection fut une des plus divertissantes de l’histoire politique. D’abord, ce qui était normal à l’époque, le vote n’était pas secret: les électeurs signaient leur nom dans un grand livre ouvert. Seuls les hommes de plus de 21 ans détenant une richesse minimale avaient le droit de vote, ce qui réduisait l’électorat à une fraction du nombre d’adultes.

Ensuite, le clergé a annoncé que voter pour le Parti rouge serait un « péché mortel », qui conduirait, pour l’éternité, aux flammes de l’enfer. Les prédécesseurs de Mgr Ouellet ont averti que les prêtres refuseraient même de donner l’absolution aux fautifs, assurant ainsi leur damnation. (L’historien Marcel Bellavance a montré qu’effectivement, moitié moins d’absolutions furent consenties aux Pâques suivantes qu’aux précédentes.) Par mesure préventive, des curés refusaient aussi l’absolution, en confession, aux ouailles qui avouaient lire les journaux de l’opposition.

Résultat : 40% des électeurs ne se sont pas présentés, refusant de commettre ce péché, réduisant d’autant le bassin électoral. D’autres techniques furent mises en œuvre :

L’escamotage : Pour être candidat, il fallait être présent, au jour et à l’heure dits, pour un « appel nominal » des candidatures. Pourquoi ne pas kidnapper le candidat adverse –on disait escamoter — le temps de la procédure ? Cela est arrivé dans trois comtés, au profit des conservateurs.

L’achat : Ailleurs, le candidat conservateur, parfois avec l’assistance du curé, proposait au candidat libéral une somme d’argent ou une nomination (les nominations devaient être approuvées par le clergé). En échange, le libéral retirait sa candidature au moment de l’appel nominal, ce qui avait pour effet de faire élire sur-le-champ le conservateur. Ce fut le cas dans deux comtés.

Le défranchisage : Les officiers chargés de l’appel nominal, souvent conservateurs, avaient le pouvoir de «défranchiser» une paroisse, c’est-à-dire d’y annuler l’élection, sous divers prétextes. Les quartiers libéraux du comté de L’Islet -la moitié des électeurs- furent ainsi «défranchisés», comme trois paroisses libérales de Kamouraska, donnant dans les deux cas une courte victoire aux conservateurs.

Dans cette élection, la plus frauduleuse de l’histoire du Québec, même au regard des standards de l’époque, 45 % des électeurs (donc une majorité de francophones, car les anglos votaient conservateur) ont quand même bravé les interdits pour voter contre la fédération. L’adhésion du Québec au Canada a donc été décidée par moins de 10 % des adultes, moins de 20 % des hommes adultes. Les Canayens de l’époque savaient et les historiens d’aujourd’hui savent, que s’il s’était agi d’un vote libre, l’électorat aurait très majoritairement refusé l’entrée au Canada.

Ces faits sont évidemment perdus dans la mémoire collective. Mais ils aident à comprendre pourquoi la date du premier juillet 1867 n’a jamais constitué, pour les francophones du Québec, un moment fort. Voilà pourquoi on ne s’est pas transmis, de génération en génération, le goût de célébrer… une fraude.

Et encore…

Certains accusent les « séparatistes » d’avoir voulu nuire au Canada en faisant du premier juillet, la date légale de la fin des baux, plutôt que le premier mai comme c’était le cas auparavant. En fait, le changement fut décidé par le ministre libéral de la justice, Jérôme Choquette, grand pourfendeur de séparatiste en 1971. La raison : ne pas perturber l’année scolaire des enfants affectés dans les déménagements.

***

* Ce billet a d’abord été publié le 30 juin 2010

28 Jun 13:03

Google Reader Is Shutting Down; Here Are the Best Alternatives

by Whitson Gordon

Google Reader Is Shutting Down; Here Are the Best Alternatives

Google is closing Google Reader's doors on July 1st, meaning you'll need to find a new way to get your news fix. Here's how to export all your feeds and put them into a new reader (and which ones you should check out).

Read more...

    


21 Jun 14:27

Crowdfunding: Which Site To Choose?

by gmeinna

I was reading this month’s Inc magazine, and I stumbled upon this very useful decision chart  to help entrepreneurs choose the crowdfunding site that best fits their project and objective. If you are searching for ways to finance your startup, you have probably looked into crowdfunding. Crowdfunding is a collective effort from several individuals who donate funds to support a project, generally through the internet.So whether you are running a media, technology or non-profit company, the chart below proves there is a a crowdfunding site suited for your needs. So go back to your board, fine tune your project and finish that business plan, because there might already be several investors waiting for you!

Credits: Eric Markowitz, Inc Magazine

 

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Meinna Gwet


Filed under: Be your own boss
16 Jun 13:49

June 16, 2013


Thanks to your contributions I will be doing a drawathon Wednesday. My first with a tablet.
13 Jun 16:06

June 13, 2013


24 more days to get in on the new gamebook!
08 Jun 15:36

June 08, 2013




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02 Jun 23:00

June 02, 2013


Have I mentioned recently that we have a facebook group? Only badasses are allowed in. Good luck.