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03 Sep 05:35

Les États-Unis sanctionnent la procureure de la CPI Fatou Bensouda

by RFI
Mike Pompeo a qualifié l’institution de « corrompue ». Ils dénoncent les enquêtes de l’institution visant des militaires américains déployés en Afghanistan.
03 Sep 05:33

Foot: égalité de salaire au Brésil pour les joueurs et joueuses en sélection

by RFI
Didier “Ice” Iceman

comme quoi...

La fédération de football brésilienne (CBF) l'a annoncé le 2 septembre : les hommes et les femmes qui joueront pour l'équipe nationale de football seront désormais rémunérés de manière identique, avec des primes et indemnités journalières d'un même montant. Cette mesure était réclamée de longue date par les stars de la discipline à l'image de l'attaquante Marta.
30 Aug 09:51

Comment “Lovecraft Country” suscite une peur blanche

Didier “Ice” Iceman

Ça m'intéresse pour son paradoxe

En utilisant les codes de la littérature d’horreur et de la science-fiction pour dépeindre l’histoire de la ségrégation américaine, Lovecraft Country se réapproprie un genre qui, au départ, ne s’adressait pas aux minorités.
29 Aug 04:28

Coronavirus: pour relancer son économie, le Royaume-Uni ne veut plus du télétravail

by RFI
Didier “Ice” Iceman

Pour les centres financiers ok...

Le Royaume-Uni lance une nouvelle campagne pour encourager sa population à retourner au bureau. Le gouvernement s'inquiète de l'impact du télétravail sur l'économie des centres-villes, alors que la pandémie de coronavirus a plongé le pays dans une récession sans précédent et a coûté la vie à plus de 41 500 personnes.
28 Aug 17:20

Erdogan snubs UAE, backs Palestinian resistance

by M.K. Bhadrakumar
Didier “Ice” Iceman

Les amis de mes....suite

Turkey has made its first move on the regional chessboard after the recent peace deal between the United Arab Emirates and Israel. On August 22, President Recep Tayyip Erdogan received in Istanbul a high-level delegation from Hamas, including its leader Ismail Haniyeh and deputy leader Saleh al-Arouri.  Also present at the meeting held behind closed […]

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28 Aug 08:22

États-Unis: les émeutes de Kenosha confortent les électeurs de Trump

by RFI
Didier “Ice” Iceman

le paradoxe de la loi et l'ordre

Donald Trump a été officiellement investi ce jeudi 27 août par le parti républicain dans la course à la Maison Blanche. Le président américain a souligné que les villes qui ont connu des émeutes raciales étaient aux mains des démocrates, citant Minneapolis, Portland, New York et Kenosha dans le Wisconsin pour se poser en défenseur de « la loi et l’ordre ». Une rhétorique de la peur qui prend bien auprès de ses électeurs du Wisconsin, un état clé pour l'élection du 3 novembre.
28 Aug 07:00

China fires ‘carrier killer’ missiles into South China Sea

by Dave Makichuk
Didier “Ice” Iceman

inquiétant ? Guerre froide le retour

China has boldly launched its infamous “carrier killer” missiles into the South China Sea on Wednesday, an action likely construed as a veiled warning over recent US incursions into the region, as well as a disturbing new escalation in the growing strategic conflict between the two nations. According to an anonymous US defense official cited […]

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26 Aug 09:34

L’eau en bouteille, un scandale écologique et social

L’eau en bouteille est un marché juteux. Mais l’exploitation commerciale de cette précieuse ressource commence à susciter des protestations. Ainsi, aux États-Unis, les impacts environnementaux de la mise en bouteille d’eau par Nestlé font l’objet d’une enquête lancée par la Chambre des représentants, en mars dernier.
26 Aug 09:29

Pérou: désemparé, le personnel soignant entame une grève de 48 heures

by RFI
Didier “Ice” Iceman

On en parle si peu

Alors que le Pérou fait face à un nombre toujours croissant de cas de coronavirus qui menace de saturer le système de santé, le personnel soignant entame, mercredi 26 août, une grève nationale de 48 heures. Ils répondent à l’appel de la Fédération médicale péruvienne qui dénonce depuis des mois des conditions de travail déplorables et réclame au gouvernement des mesures concrètes.
25 Aug 02:53

Le « paradoxe de Pôle Emploi »

Didier “Ice” Iceman

Une réflexion interessante

Photo d’une devanture d’un Pôle Emploi.
Imaginez, vous bossez à Pôle Emploi. Vous savez que cette agence existe, car il y a d’un côté des gens qui proposent du travail et de l’autre des gens qui voudraient du travail, et que mettre en relation ces deux groupes de personnes est parfois compliqué. Votre travail consiste donc à apporter une solution à ce problème.

Maintenant, imaginez que vous êtes doué : vous arrivez à trouver un poste pour le monde et durablement. Grâce à vous, il n’y a plus aucun demandeur d’emploi. C’est super, n’est-ce pas ?

Sur le papier, effectivement c’est cool : c’est le plein emploi, tout le monde devient contribuable et rempli les caisses de l’État et plus personne pour les vider (hormis les hauts fonctionnaires, mais c’est un autre débat, merci).

Sauf que maintenant, le problème que vous deviez résoudre est résolu. Votre mission est remplie. Pôle Emploi n’a plus lieu d’être et est dissoute.
Résultat : vous vous retrouvez au chômage.

Question : étant au chômage et vu que Pôle Emploi n’existe plus, que faites-vous ?

C’est ça que j’appelle le « Paradoxe de Pôle Emploi ».

Pôle Emploi, en simplifiant bien sûr, existe pour soi-disant résoudre le problème du chômage. Sans chômage, pas de problème et pas besoin de Pôle Emploi, donc du chômage pour ceux qui y bossent.

Cette caricature peut être étendue à d’autres trucs : à quoi servirait la police si tout le monde apprenait et respectait scrupuleusement toutes les lois ? À quoi serviraient tous les écologistes si le monde devenait de nouveau 100 % propre ? à quoi serviraient les garagistes si les constructeurs fabriquaient des véhicules parfaitement fiables et inusables ?

Il faut faire attention à ce stade car ça permet de tomber rapidement dans le complotisme. Par exemple, une des raisons parfois avancée pour expliquer l’absence de traitement soignant le cancer est que « big pharma » n’a pas intérêt de soigner les gens une seule fois pour toutes alors qu’ils peuvent les maintenir en vie sous perfusion durant 20 ans et être rémunérés en continu.

Il y a certaines choses pour lesquelles nous n’avons pas de solutions (le cancer par exemple), d’autres qui ne peuvent pas être évitées (certaines maladies bénignes, qui seront toujours là pour rémunérer les pharmaciens, médecins, etc.).

Pourtant, cette notion n’est pas absente de la vie courante. À mi-chemin entre l’exemple des voitures fragiles et celui de big-pharma, se trouve tout ce qui comprend l’obsolescence programmée : c’est un fait que certains composants de certains appareils sont faits pour s’user plus rapidement que nécessaire, histoire de les rendre inopérants et forcer au client de dépenser son argent de nouveau.

L’exemple typique et l’un des plus connus est celui des lampes à incandescence : le "Cartel Phoebus" regroupait alors tous les plus grands fabricants mondiaux de lampes, et ils ont décidé de réduire la durée de vie de celles-ci à 1 000 heures maximum, histoire que le client rachète toujours de nouvelles lampes et continue de payer.
Aujourd’hui, le principe de l’obsolescence programmée refait régulièrement surface avec plus ou moins de justification, mais c’est un concept bien réel.

Il y a néanmoins certains cas où ce genre de chose est utile, contrôlé et voulu. Par exemple avec des pièces d’usures : il faut mieux changer ses plaquettes de frein (usables) que ses disques (durables), car c’est plus facile et moins cher, et toujours plus sûr que de mettre des freins inusables mais mauvais qui forcerait à changer de voiture à chaque fois que vous freinez, car vous vous retrouvez dans le fossé. Il s’agit d’un compromis.
Un autre exemple est celui des pièces « fusible » ou « martyr ». L’exemple avec lequel j’ai découvert ça il y a longtemps est celui des presses pour faire les bottes de foin : quand on allait trop vite, cela provoquait un bourrage et la presse risquait la panne. Pour éviter que ça n’arrive, il y avait alors un écrou fusible qui se cassait et arrêtait le ramassage de l’herbe et bloquait la presse. Il fallait alors retirer le trop plein de foin et mettre un autre écrou fusible. Ici, plutôt que de risquer d’exploser la presse, on cassait un écrou.
Aujourd’hui, ceci existe également à plein d’endroit, sous la forme de fusibles électriques dans tous les appareils électroménagers par exemple.

Pour en revenir à Pôle Emploi, la question se pose si l’on doit leur faire confiance : leur rôle est de résoudre le problème qui justifie leur existence. Le problème résolu, leur existence n’est plus nécessaire. Pourquoi chercheraient-ils à résoudre le problème, dans ce cas, si ça signifie à peu de choses près leur suicide ?

Plus généralement, est-ce que l’on doit faire confiance à quelqu’un dont le rôle est justifié par un problème qu’il est censé résoudre ?

Ce genre d’institutions, tout comme celui de l’exemple de la police, existent parce que le monde est imparfait. Dans une société parfaites, elles ne seraient pas nécessaires. Or elle ne l’est pas, donc elles sont là, ces institutions. La question est juste de savoir si leur existence sert effectivement à rendre le monde parfait, ou justement à la garder merdique pour continuer d’exister.

Pour une institution publique idéale payée par nos impôts, il y a peu de chances de les voir détruire le monde pour s’assurer une existence : personne ne les laisserait faire, surtout pas ceux qui contribuent à les financer (c’est-à-dire nous), n’est-ce pas ?
Pour une entreprise privée, donc le but est de perdurer dans l’avenir, de s’accroître et de payer des dividendes… c’est nettement plus compliqué. Ou pas justement : la réponse est bien plus simple, en fait : si Pôle Emploi était privée, il y a de fortes chances qu’il ferait tout pour qu’il subsiste un nombre critique minimal de chômeurs à tout moment, pour pouvoir exister et dire « on peut encore servir ».

Privatiser Pôle Emploi serait donc dangereux, je suppose.

En réalité, il en va de même pour tous les services publics : tous sont là (en théorie) pour trouver des solutions à des problèmes. Mais s’il n’y a plus de problèmes, leur disparition n’est pas un problème : c’est juste le signe d’un problème résolu, ce qui est un bon signe.

Pourtant, de plus en plus d’institutions publiques sont privatisées, avec les problèmes que ça comporte : en particulier la recherche du profit à court et long terme, plutôt que la résolution du problème qui les ont fait naître.

Je pense qu’il faudrait qu’on se remémore ça la prochaine fois qu’on dit « vivement que la SNCF soit privatisée ! », ou « vivement que les hôpitaux soient tous privatisés ! », ou la sécu, la poste, la banque centrale, les autoroutes et les nationales, les aéroports, les parkings, l’énergie, l’eau, la téléphonie…

Autant je n’ai rien contre que des boîtes privées construisent leur propre trucs de leur côté (ça s’appelle la liberté d’entreprendre et doit être encouragée) car le contribuable moyen n’y voit aucun intérêt (souvent à tort, là aussi c’est un autre débat), autant il y a certains trucs qui doivent tout simplement rester publiques.


Note 1 : ce titre est de moi. Je n’ai pas regardé s’il y avait autre chose correspondant à cette dénomination, ni s’il y avait déjà un autre nom pour ça.

Note 2 : je considère ici que Pôle Emploi est une agence d’emploi destinée à aider pour trouver du travail. Je mets de côté le fait que l’on sait tous qu’il s’agit avant tout d’une pompe à fric qui ne sert pas à mettre en relation des travailleurs et des patrons (pour lesquels il y a des boîtes d’intérim et les RH).

image de Gongashan

25 Aug 02:49

New drool-based tests are replacing the dreaded coronavirus nasal swab

Saliva could be the key to a faster, cheaper, safer test
23 Aug 17:50

DARPA’s AlphaDogfight sees AI defeat F-16 pilot

by Dave Makichuk
Didier “Ice” Iceman

La fin des jets

US Air Force officials are saying, it wasn’t even close. In a historic test of man vs. machine, the artificial intelligence algorithm, developed by Heron Systems, swept a human F-16 pilot in a simulated dogfight 5-0 in the Defense Advanced Research Projects Agency’s AlphaDogfight Trials on Aug. 20. The company beat out seven other companies before going […]

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23 Aug 11:36

RDC: inquiétude après l'augmentation du nombre de cas d'Ebola

by RFI
Didier “Ice” Iceman

Il manquait...

En RDC, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) tire la sonnette d'alarme. La barre des 100 cas détectés d'Ebola a été franchie dans la province de l'Equateur, dans l'ouest du pays, et ce moins de 100 jours après la déclaration de l'épidémie.
23 Aug 05:49

RDC: les menaces de mort à l'encontre du docteur Mukwege inquiètent le gouvernement

by RFI
En République démocratique du Congo, le président Félix Tshisekedi est préoccupé par la sécurité du prix Nobel de la Paix, Denis Mukwege. Au cours du Conseil des ministres, le chef de l'État a instruit le gouvernement d'assurer sa sécurité et d'ouvrir une enquête sur les menaces de mort à l'encontre du docteur qui « répare » les femmes.
21 Aug 17:18

En Libye, un cessez-le-feu signé et des élections promises

Didier “Ice” Iceman

Mieux? Pas sûr pour ce pays peu habitué à la démocratie

Vendredi 21 août, Fayez Al-Sarraj, chef du gouvernement d’union nationale basé à Tripoli, a annoncé avoir signé un cessez-le-feu avec Aguila Saleh, président du Parlement, basé à Tobrouk, dans l’est du pays. Des élections ont également été annoncées.
20 Aug 23:45

Les conducteurs d’électriques vont-ils payer plus cher leur consommation ?

by Moniteur Automobileinfo@moniteurautomobile.be
Didier “Ice” Iceman

Bientôt en France?

Le régulateur flamand de l’énergie, la Vreg, a décidé que la facture d’énergie dépendra des pics dès 2022. Mauvaise nouvelle pour les propriétaires de voitures électriques. Le calendrier de la Wallonie est différent.
20 Aug 02:25

Côte d'Ivoire: les manifestations sur la voie publique suspendues jusqu'à mi-septembre

by RFI
Les manifestations sur la voie publique sont suspendues jusqu’au 15 septembre. Annonce faite en conseil des ministres mercredi 19 août à deux mois de l’élection présidentielle. C’est la conséquence des violences meurtrières qui ont émaillés certaines manifestations la semaine dernière. Une disposition prise en vertu de l’état d’urgence en vigueur en Côte d’Ivoire depuis le début de la pandémie.
20 Aug 02:21

La consommation de viande recule dans le monde

L’humanité aura un régime moins carné en 2020, pour la deuxième année consécutive, estime l’ONU. Une baisse inédite, conséquence, entre autres, de la crise du Covid-19.
18 Aug 16:00

Minsk n’échappera pas à l’intégration économique avec la Russie

Didier “Ice” Iceman

Tout a fait ça

Loukachenko ou son éventuel successeur doit bien comprendre que toute tentative de virage radical vers l’Occident aura des conséquences catastrophiques pour le pays, estime le géoplitologue russe Fiodor Loukianov.
18 Aug 04:40

L’intérêt de chaque État arabe est plus important que la cause palestinienne

L’accord de normalisation des relations entre Israël et les Émirats arabes unis, annoncé le 13 août, sonne le glas de la solidarité arabe. Dorénavant, chaque État doit obéir à ses intérêts, et ceux qui disent le contraire se moquent bien des Palestiniens, avertit le quotidien saoudien Asharq Al-Awsat.
15 Aug 04:42

Why Japan went to war

by Jason Morgan
Didier “Ice” Iceman

Un peu d'histoire

In Western eyes, World War II in Asia is often viewed as contest between the Empire of Japan and the “ABCD” forces of America, Britain, China, and the Dutch. More often still, the war is simplified further into a clash between Japan and the United States. The way the Pacific phase of the war began […]

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14 Aug 17:14

L’envoi de renforts militaires français, une nouvelle étape du face-à-face avec la Turquie

Réagissant à la violation des eaux territoriales grecques par des navires turcs, Emmanuel Macron a envoyé ses propres bâtiments de combat sur place. Le Wall Street Journal analyse les dessous de l’opposition régionale entre la France et la Turquie en mer Méditerranée.
14 Aug 17:05

The Israel-UAE deal won’t bring stability or peace while further sidelining the Palestinians

by Mitchell Plitnick
Didier “Ice” Iceman

Les amis de mes amis...

U.S. President Donald Trump and Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu were both in desperate need of a foreign policy win. Now they have one.

On Thursday, the United States, Israel, and the United Arab Emirates issued a joint statement announcing that they had reached an agreement to normalize UAE-Israeli relations and that Israel, as a result, had agreed to suspend its process of “extending sovereignty” over large parts of the West Bank that the Trump administration had assigned to Israel under it’s so-called “Vision for Peace.”

While this is an important development, it is less than it might seem on the surface. The UAE and Israel have had a clandestine relationship for many years. Establishing diplomatic ties is a big step forward, but it’s not a “peace agreement” as some have called it since the two countries have never been at war.

Israel’s agreement to suspend annexation is also overstated. No formal annexation process had ever actually started, but de facto annexation through settlement expansion, Israeli-only roads in the West Bank, the security barrier and other measures has been ongoing for more than half a century. Netanyahu, ever the master manipulator, can now continue that process with the UAE’s imprimatur in exchange for stopping a more formal process he never did more than talk about and which the Trump administration never endorsed.

The UAE, which has been trying in recent years to assert itself as a regional power, took a huge step forward in that regard. They will now work more closely with the U.S. and Israel on regional issues, such as opposition to Iran. With Saudi Arabia bogged down in Yemen, and increasingly unpopular in the United States, the UAE hopes to enhance its position as a military asset in the region.

The Emiratis, however, are also assuming the most risk by far of the three parties. There is little downside to any of this for the United States and Israel, but the UAE could face severe backlash in the Arab world. This move effectively abandons the 2002 Arab Peace Initiative, which held out the offer of full normalization with the entire Arab League if Israel would end its occupation of the Palestinians.

That risk is why Crown Prince Mohamed Bin Zayed, often referred to as MBZ, was much more muted in his tweet announcing the deal than Netanyahu and Trump were. While Netanyahu called the day “historic” and Trump heralded a “HUGE breakthrough,” MBZ tweeted, much more modestly, that “an agreement was reached to stop further Israeli annexation of Palestinian territories. The UAE and Israel also agreed to cooperation and setting a roadmap towards establishing a bilateral relationship.”

The crown prince was clearly leaving himself a back door should the heat get too intense. As the joint statement pointed out, nothing is finalized yet. “Delegations from Israel and the United Arab Emirates will meet in the coming weeks to sign bilateral agreements regarding investment, tourism, direct flights, security, telecommunications, technology, energy, healthcare, culture, the environment, the establishment of reciprocal embassies, and other areas of mutual benefit,” it read.

So the agreement could be derailed as those details are hammered out, but the joint statement commits all the parties to the goal of full diplomatic relations between Israel and the UAE, and MBZ surely knows there will be a major political cost if he backs out, especially with the U.S. election looming.

The effects on Israel and the Palestinians

This is a key move for Netanyahu. It explains why he was not pushing the Trump administration harder on annexation, a key demand of his right flank. While the U.S. dragged its feet on the subject, Netanyahu faced growing pressure to defy Washington and move ahead. Yet he stayed largely silent, only occasionally complaining about U.S. inaction, and doing nothing to mobilize his supporters in the United States to help or to counter the anti-annexation narrative that swept over most of the country. Now we know why.

While the agreement with the UAE is unlikely to stop protests in Israel demanding his resignation, Netanyahu has given the Israeli center something it very much wants: increased normalization with the Arab world without connecting that process to an agreement with the Palestinians. That will be important for his chances if elections are called, which is a distinct possibility.

While the settler movement will not be pleased at abandoning the push for formally annexing parts of the West Bank, that anger will be blunted a bit by strengthening the anti-Iran coalition and opening more space for Israel to be active in it. And, even if they remain angry, the centrist support Netanyahu can expect will outweigh right wing anger.

One of the leading Palestinian figures, Hanan Ashrawi, tweeted “Israel got rewarded for not declaring openly what it’s been doing to Palestine illegally & persistently since the beginning of the occupation. The UAE has come out in the open on its secret dealings/normalization with Israel. Please don’t do us a favor. We are nobody’s fig leaf!”

The Palestinian position is seriously undermined by this development. Israel, with strong U.S. support, is proving that they can have normal relations with the oil-rich Gulf states without ending or even easing their occupation in any way. While the Arab populace continues to support the Palestinian cause, Gulf Arab leadership recognizes that they can get away with warming relations. Moreover, Israel’s efforts to annex parts of the West Bank had threatened to de-stabilize Jordan, a concern raised in many corners. Now that is off the table and, while there may be anger at the price. It will not be a threat to the Jordanian kingdom’s continued existence.

All of that diminishes the miniscule leverage the Palestinians already have, and it makes diplomatic options less viable.

Increased militarism

Opening diplomatic relations, as a rule, helps support regional peace and diplomacy. But the circumstances and motivations matter, and in this case, it may well have the opposite effect.

The Trump administration is trumpeting a variety of benefits, but for their strategic purposes, opening opportunities for Israel to work more directly with the UAE against Iran is a key feature. That doesn’t help promote diplomacy in the Gulf region while Trump is in control. Should a future administration decide to shift toward a full commitment to diplomacy with Iran, however, it could provide greater contrast with the current militaristic approach, perhaps making diplomacy more attractive to Iran.

But increasing Israel’s sense that its occupation of the Palestinians bears little cost makes diplomacy less viable for Palestinians and their supporters. Some countries, such as Turkey and Qatar, will likely move to identify themselves as the leaders in supporting the Palestinian cause, but that will do little to improve Palestinians’ ability to assert their claims diplomatically. The more certain Israel is that it can get the ties with the Arab world it covets without ending its occupation, the less incentive it has to do so.

In the long run, Israel’s ongoing occupation and resistance to reaching a settlement that grants Palestinians their full and equal rights reinforces regional instability. This latest development puts more obstacles in the path of diplomacy, and eventually, that cannot lead to anything but violence.

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14 Aug 17:04

Where does Iran stand in the India-China regional rivalry?

by Saeid Jafari
Didier “Ice” Iceman

La clé serait elle la?

The possible strategic agreement between Iran and China presents concerns not only for the United States, but also for one of the premier powers of the Asian continent: India.

On a visit to Tehran in May 2016, Indian Prime Minister Narendra Modi signed a memorandum of understanding with Tehran in a meeting with Iranian President Hassan Rouhani to develop the strategic Iranian seaport of Chabahar.

Chabahar, located in southeastern Iranian province of Sistan and Baluchestan on the Sea of Oman serves as Iran’s only oceanic port and its closest to international waters in the Indian Ocean. The port consists of two nodes (terminals), each of which has five berths built in an area of 485 hectares.

The $1.6 billion memorandum of understanding between Iran and India was also signed to build the Chabahar-Zahedan railway, which was slated to link India to Afghanistan, as well as Central Asia, through Iran. Needless to say, Pakistan has for a long time denied India to use its soil as a transit route.

India saw signing the Chabahar agreement with Iran as a counterbalance to China’s action in signing an agreement with Pakistan to develop Gwadar port in 2015. The Gwadar port is situated only 350 km by land and 140 km by sea from the port of Chabahar.

But more than four years after signing the Tehran-New Delhi memorandum, the Chabahar development project has seen no progress even as the news of a 25-year Iran-China strategic partnership arrived recently.

Much to New Delhi’s dismay, on July 16, Kheirollah Khademi, Iran’s Deputy Minister of Roads and Urban Development, confirmed the earlier reports that India had been dropped from the Chabahar-Zahedan railway project, citing funding delays.

Although Iranian officials have not cited the strategic agreement with China as a reason for excluding India from the Chabahar project, political commentators are well aware of the increasing tensions and rivalry between India and China.

It seems that the main reason why Iran dropped India from the Chabahar-Zahedan project was exactly what has been officially stated by the Iranian officials — that India’s delay in fulfilling its obligations to finance the project, as well as the country’s behavior in the aftermath of Trump’s 2018 pullout from the Iran nuclear deal and re-imposition of unprecedented sanctions. New Delhi, which has built warmer relations with Washington, especially during Modi era, seems to have favored to be part of Donald Trump’s maximum pressure campaign against Tehran.

Even so, in November 2018, U.S. Secretary of State Mike Pompeo officially announced that the Chabahar port project would be exempted from the U.S. sanctions.

Furthermore, India halted its oil purchases from Iran in April 2019 and preferred to abide by the U.S. anti-Iran campaign. By contrast, China has remained the biggest buyer of Iran’s crude oil, and has been regularly praised for its support by the Iranian officials.

What is Iran’s position?

Why did Iran react this way to India’s behavior? Commentators have provided two major answers: some argue that Iran, after waiting patiently for too long, came to the conclusion to decisively call off the joint project with New Delhi and announce that it will carry it out itself. Those who favor this argument also claim that Iran has been in talks with China over the Chabahar-Zahedan railway project, and that the Chinese have expressed interest in developing the important Iranian port as well as the railway.

At the same time, the China-India rivalry, as well as Beijing’s attempts to limit India’s geopolitical ambitions could be driving China’s interest in joining the Chabahar port project. China’s presence in Chabahar not only eliminates the risk of Iran’s port rivaling the Pakistani port, and gives control of both ports to China, but also, it denies India access to this oceanic port, and more importantly, to Afghanistan and Central Asia.

But the second analysis focuses on Iran’s double game: Iran is aware of the differences and rivalries between New Delhi and Beijing. Accordingly, Iran will not put all its eggs in the Chinese basket and will not fully give the Chabahar port development project to China. At least, it hasn’t so far.

In line with this explanation, Saeed Rasouli, the head of Iranian railways, said on July 10, 2020 about excluding India from the railway project that “based on the decision of the authorities, it is planned to allocate 300 million euros from the government budget to implement this project.” This means that Iran had not still said it would take the project from India to China.

However, one has to bear it in mind that Iran’s anger with India over its adherence to U.S. anti-Iranian policies is still a factor.

“I never thought that an independent country like India would be willing to follow the United States‘ footsteps and refuse to buy oil from us,” said Ishaq Jahangiri, Iran’s first vice president, on December 17, 2019.

In conclusion, Iran may have wanted to warn India that if its reluctance continued, it would no longer retain its role in Chabahar project, and instead Tehran would invite greater Chinese involvement. India certainly would not welcome this, as it could add to its geopolitical constraints in the region at a time when tensions with China and Pakistan have increased significantly.

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14 Aug 06:05

Philippines a desperate guinea pig for Russian vaccine

by Jason Castaneda
Didier “Ice” Iceman

un bien ou un mal ?

MANILA – The Philippines is suffering among the worst Covid-19 outbreaks and economic crises in East Asia, with cases and deaths surging again after a long and crippling lockdown. That desperation likely explains why President Rodrigo Duterte was so quick to accept Russia’s invitation to serve as a trial ground for its controversial, unproven Covid-19 […]

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12 Aug 04:48

La Libye, nouvelle pomme de discorde entre l’Algérie et le Maroc

Didier “Ice” Iceman

si ce n'était que ces deux pays?

Alors que l’Algérie joue un rôle de premier plan parmi les médiateurs dans la crise libyenne, le Maroc, lui, tente de rattraper son retard.
06 Aug 04:35

« Jouer la guerre – Histoire du wargame » 3 questions à Antoine Bourguilleau

by Pascal Boniface
Didier “Ice” Iceman

intéressant comme vision

Historien, journaliste et traducteur, Antoine Bourguilleau est spécialiste d’histoire militaire et enseigne l’histoire et la pratique des wargames à IEGP de Paris-1. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de son ouvrage Jouer la guerre – Histoire du wargame, aux éditions Passés composés.  

Comment a été inventé le Kriegsspiel et que signifie-t-il ? 

Le Kriegsspiel est un mot allemand qui signifie littéralement le « jeu de la guerre ». Il nait et se développe à la fin du XVIIIe siècle, en Allemagne, à partir du jeu d’échecs, qui est « modernisé » : l’échiquier ne compte plus 64 cases mais des centaines voire des milliers ; au lieu de représenter un terrain plat, certaines cases peuvent représenter des forêts, des collines, des villages, des routes ou des rivières, et les pièces sont plus nombreuses et représentent les troupes de l’époque : artillerie, fusiliers, grenadiers, dragons ou hussards, avec leurs caractéristiques propres. On introduit également une part de hasard : la prise d’une pièce ennemie n’est plus automatique, mais conditionnée au jet d’un dé, modifié par le type des troupes qui combattent et le terrain. Ce qui est au départ un délassement devient un jeu perfectionné, qui abandonne les cases pour les cartes d’état-major, avec des arbitres et des paravents en travers de la table, pour simuler le brouillard de la guerre : on ne voit que les troupes que l’on peut réellement voir. Cette version du Kriegsspiel, qui apparaît au premier tiers du XIXe siècle, répond à un besoin : à une période où les armées se professionnalisent, les seuls qui n’ont pas vraiment l’occasion de s’entraîner à faire la guerre, ce sont précisément ceux qui doivent la diriger ! En 1824, le Kriegsspiel de Reisswitz est présenté à l’état-major prussien. Son chef, le général von Müffling, au départ sceptique, est enthousiasmé par la partie qui se déroule sous ses yeux. « Ce n’est pas un jeu ! C’est un entraînement à la guerre ! » s’exclame-t-il. Le jeu est aussitôt adopté par l’armée prussienne. Faut-il y voir le secret des victoires éclatante de la guerre austro-prussienne de 1866 et franco-allemande de 1870 ? Certains le pensent – de manière à mon sens exagérée. Mais il est un fait que cette curiosité prussienne est bientôt adoptée par d’autres armées et marines dans le dernier tiers du XIXe siècle. 

Quelle différence avec le wargame ? 

Le terme de wargame n’est que la traduction du terme allemand Kriegsspiel, mais il n’est pas que cela. Pour le grand public, c’est la dénomination générale des jeux de guerre commerciaux. Ces jeux se développent à partir du début du XXe siècle, notamment sous l’impulsion de l’écrivain H.G. Wells, auteur de La Guerre des Mondes et qui rédige, en 1913, une des premières règles grand public, qui propose de jouer à la guerre avec des figurines métalliques, et un canon à ressort pour les tirs. La règle est plus subtile que cette description peut le laisser paraître et donne naissance à une ribambelles d’autres jeux du même genre, avec des pions ou des figurines. Si le wargame commercial, en boite, a connu son heure de gloire des années 1960 aux années 1980, subissant ensuite de plein fouet la montée en puissance des jeux vidéo, il continue pourtant de séduire. 

Mais le wargame, en s’anglicisant, se teinte des apports de la culture anglo-saxonne. Aux États-Unis comme en Grande-Bretagne, la frontière entre les créateurs de jeux grand public et les jeux pour les militaires est moins hermétique qu’ailleurs : des auteurs de jeux comme Mark Herman ou Jim Dunnigan ont travaillé ou travaillent encore à produire à la fois des jeux pour le grand public et pour les militaires – et parfois, ce sont les mêmes, comme Firefight (1976), un jeu traitant du combat tactique entre l’OTAN et le Pacte de Varsovie. De l’aveu même de l’auteur, la version commerciale était supérieure à la version de l’armée, qui avait par exemple rejeté une règle sur le commandement qui simulait les possibles incompréhensions dans la transmission des ordres au motif que « l’armée américaine n’a pas de problèmes de commandement » ! 

Le wargame enfin, et ce dès la fin du XIXe siècle, est également naval et simule au plan opérationnel ou tactique les batailles navales de demain. Il est depuis près de 150 ans un outil majeur de la formation délivrée aux officiers de marine américaine qui fréquentent le Naval War College. L’amiral Nimitz a affirmé que la pratique régulière du wargame a été un des atouts majeurs de l’US Navy durant la guerre du Pacifique, qui leur a permis de tout anticiper ou presque – « à l’exception des kamikazes » dit-il (et de Pearl Harbor, serait-on tenté d’ajouter). 

En quoi le wargame est-il utile pour les décideurs militaires ? 

Si le wargame est utilisé depuis près de deux siècles par de nombreuses armées, c’est qu’il a fait ses preuves comme outil de planification, de formation et de prospection. S’il ne remplace pas le travail théorique, la réflexion stratégique ou géopolitique, il est un outil supplémentaire à destination du militaire. Il permet pour commencer de familiariser ceux qui jouent avec une des données essentielles de la guerre, ce que Clausewitz appelle la « friction » : tout ce qui est susceptible de gripper le meilleur des plans, comme la météo, un terrain mal reconnu, un équipement inadapté, un piètre moral des troupes – ou une combinaison détonante de tous ces facteurs ! Il permet également de s’habituer aux problématiques de la prise de décision dans l’incertitude, à prendre en compte l’autre ou les autres – ces exercices n’ayant évidemment aucun caractère prédictif, mais permettant à de s’accoutumer à l’incertitude et aux coups du sort. Le wargame offre également l’avantage d’être beaucoup moins coûteux que des manœuvres – et de ne pas faire de morts !  

Mais le wargame et les jeux de simulation en général ne s’adressent pas qu’aux militaires. De nombreux jeux prennent en compte des données économiques, diplomatiques, écologiques, politiques, voire les impacts médiatiques des décisions. De nombreuses ONG les utilisent pour former leur personnel et des universités pour former leurs étudiants en les faisant parfois travailler sur des sujets très contemporains comme la crise du nucléaire iranien ou la guerre en Syrie. En plaçant des étudiants ou des analystes non dans la posture confortable de celui qui commente, mais dans celle plus périlleuse de celui qui décide, les wargames permettent de se poser des questions que l’on ne se poserait pas forcément, ou pas en ces termes et de tenter d’y répondre – ou tout au moins d’être moins pris au dépourvu si la question se pose pour de bon. 

Cet article est également disponible sur Mediapart Le Club.

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