Tsaquet

L’équipe expérimentée que nous sommes devenus a tenté une nouvelle escape room. Cette fois-ci le thème était « mission impossible ». Malheureusement, nous avons explosé avec la bombe que nous devions désamorcer. Mais cette salle « Mission impossible » est très convaincante et regorge de bonnes idées, voici notre test !

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Aujourd’hui, un nouvel article sur le framework C++ Wt que j’avais déjà abordé au tout début de l’aventure : Installation de Wt. Depuis, Wt a beaucoup évolué et nous l’utilisons toujours. Je reviens donc sur le sujet avec plus de recul.

Alors Wt, qu’est-ce que c’est ?

C’est une bibliothèque Open Source C++ (ou license commerciale selon l’usage) pour développer des applications Web. Pour les connaisseurs, c’est l’équivalent de Qt pour les applications lourdes.

C’est tout simplement une boite à outil qui permet de construire un site (une application, un service) web en s’appuyant sur la puissance du C++.

Cela peut être utilisé de manière autonome (il y a un serveur web intégré) ou avec votre technologie web favorite (Apache via FCGI par exemple).

L’installation, qui était relativement complexe à l’époque du premier article, a été simplifiée. Le processus est toujours identique (voir en fin d’article) mais les comportements aléatoires observés il y a deux ans semblent s’être rangés au rang de mauvais souvenirs.

Par ailleurs, nous utilisons maintenant l’IDE NetBeans avec lequel Wt s’intègre parfaitement.

Concrètement, que peut-on faire avec Wt ?

Beaucoup de choses. Un site web, un blog, une API, une application simple, quelque chose de complexe, il n’y a pas beaucoup de limites.

Faîtes un tour du côté des exemples fournis par Wt si vous en doutez ! Ah oui, ECHOES Alert, c’est fait avec Wt.

Est-ce qu’on peut faire quelque chose de joli avec Wt ?

Oui ! Wt intègre un moteur de thèmes qui gère BootStrap et permet donc d’intégrer relativement facilement les thèmes prévus pour BootStrap. Un petit bémol sur le javascript potentiellement fourni avec les thèmes qui doit parfois être adapté pour fonctionner avec Wt.

Quid de la communauté ?

Pas très visible sur le net, la communauté est pourtant active. On trouve toujours de l’aide dans le forum et les développeurs peuvent participer au projet via Github, via le repo du développeur principal, Koen Deforche. Les gens sont très accessibles et très pros, je suis à cet instant précis, en parallèle de la rédaction de cet article, en train de discuter avec Koen à propos d’une demande que j’ai soumise.

Bon OK, j’ai envie de l’installer, je fais comment ?

Ce paragraphe s’adresse avant tout aux utilisateurs Ubuntu mais peut être extrapolé à la plupart des environnements Linux. Pour les gens souhaitant utiliser Windows, allez faire un tour directement sur le site de Wt

Prérequis :
– g++
– cmake
– libboost-all-dev
– libgd2-xpm libgd2-xpm-dev
– libssl-dev

Optionnels :
Pour fastCGI :
– libfcgi-dev
Pour PostgreSQL
– libpq-dev

Installation de Wt :

Téléchargement de la dernière version ici.

Ensuite, vous n’avez plus qu’à le compiler et l’installer :

cd path/to/wt
mkdir build; cd build
/usr/bin/cmake ..
make
sudo make install
sudo ldconfig

Vous pouvez personnaliser l’installation en passant des options à cmake, ça permet d’optimiser les composants embarqués et la taille de la bibliothèque compilée :

cmake 
-DCONNECTOR_FCGI=ON // on active le connecteur fcgi pour utiliser Wt avec Apache
-DCONNECTOR_HTTP=OFF // on désactive le serveur embarqué
-DENABLE_MYSQL=OFF // on désactive MySql
-DENABLE_SQLITE=OFF // on désactive sqlite
-DBUILD_EXAMPLES=OFF // on ne construit pas les exemples
-DBUILD_TESTS=OFF // on ne construit pas les tests
-DCMAKE_CXX_FLAGS='-O2 -s' // on définit le niveau d'optimisation du code et on strip la bibliothèque
-DCMAKE_INSTALL_PREFIX:PATH=/install_path  // on choisi le chemin d'installation
..

Voilà, vous savez presque tout, plus qu’à tester les projets exemples et vous aurez un excellent point de départ !

Pour toute question allez faire un tour sur le site ou sur les forums, vous y serez bien reçu !

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Dans le monde du logiciel, GIMP n'est pas n'importe quel nom. Grand concurrent de Photoshop, il est aussi et surtout un dinosaure du logiciel libre et open-source. Pourtant, il quitte aujourd'hui SourceForge, son hébergeur de longue date et un site de référence pour le développement des logiciels libres. Si l'outil d'édition et de retouche d'image quitte SourceForge, c'est avant tout...

Après quatre années de dur labeur, l’Institut de Réadaptation de Chicago (RIC) vient une nouvelle fois de confirmer l’efficacité de leur prothèse de jambe bionique entièrement contrôlée par l’esprit de son porteur.

L’année dernière, un Américain âgé de 32 ans nommé Zac Vawter réalisait l’exploit de gravir 103 des 108 étages de la Willis Tower (un gratte-ciel de Chicago) avec sa jambe robotique. Amputé suite à un accident de moto, celui-ci se trouvait déjà être le premier homme à pouvoir contrôler par la pensée, une prothèse de membre inférieur comme le souligne le RIC dans son dernier rapport. Les ingénieurs se sont alors donné 3 années supplémentaires pour peaufiner leur nouvelle prothèse et reviennent aujourd’hui avec une nouvelle démonstration vidéo tout aussi impressionnante.

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Le recrutement dans une start-up est un point délicat. Que ce soit pour un stage de quelques mois ou pour un poste en CDI, chaque nouvelle recrue peut faire changer l’avenir de la société.

En se basant sur nos expériences passées et sur une recherche approfondie, nous avons combiné différentes méthodes et voici ce qui en résulte.

L’offre

Je m’attarde quelques instants sur l’offre émise pour préciser deux petits points à ce sujet.

Premier point, on appelle cela une offre, donc c’est pour répondre à une demande. Dans les secteurs où il y a plus d’offres que de demandes (en informatique par exemple), il est nécessaire de rendre l’offre attractive. Et il n’y a pas que le salaire qui joue. Le sujet doit être clair, la mission compréhensible, l’équipe dynamique, etc.

Second point, il ne faut pas hésiter à multiplier les publications :

• Dans les écoles. Les sites web des écoles, dans la section stages, expliquent généralement la procédure à suivre.
• Sur des sites dédiés aux étudiants. L’étudiant.fr a une partie réservée à la recherche de stage et le dépôt des offres est gratuite pour les entreprises.
• Sur votre site web, votre blog, vos réseaux sociaux, etc.

1^er entretien – Général

Entrons dans le vif du sujet en commençant par un premier entretien qui nous sert à découvrir notre potentielle recrue. La plupart du temps, nous ne demandons pas aux candidats de se déplacer pour cet entretien, le téléphone fait amplement l’affaire.

En général, c’est Romain, président et responsable commercial, qui s’en occupe. L’objectif de cet entretien est de savoir si ce candidat est une personne qui s’intégrera bien dans l’équipe. Pour s’assurer de cela, il faut le faire parler. Pour cela voici notre méthode :

Les présentations

Je ne vous ferai pas l’affront de vous dire qu’il faut vous présenter au candidat avant de le laisser vous parler. Mais il y a d’autres présentations à faire :

• l’entreprise ;
• le produit/service réalisé ;
• le mode start-up ;
• l’offre.

Pour chacun de ces points, laissons le candidat vous raconter ce qu’il a pu glaner comme informations. Les présentations ne seront que compléments ou corrections des éléments compris par le candidat. C’est une bonne technique pour savoir s’il s’est renseigné un minimum avant de postuler donc s’il a préparé son entretien. Et puis c’est également intéressant de connaitre l’image que notre société véhicule auprès des étudiants.

Le CV

Nous arrivons à un passage assez classique des entretiens RH : le candidat doit raconter son CV. Posons des questions au fur et à mesure sur les points à éclaircir. Ainsi, nous pouvons assez facilement découvrir s’il a bluffé sur son CV. Mais ce qui est plus intéressant encore, c’est de trouver ce qu’il a omis. Certains candidats n’osent pas mettre leurs expériences associatives ou humanitaires par peur de se dévaloriser. C’est pourtant capital selon nous de mentionner ces aspects, car tous les candidats ont en commun leur diplôme. Ce seront leurs expériences extra-scolaires qui les différencieront !

1ères questions techniques

Maintenant que les présentations sont faites et que nous avons bien ciblé le parcours de votre candidat, nous pouvons passer à une petite liste de questions techniques. L’intérêt de cette étape est de nous assurer que le candidat a le bagage minium dans notre domaine pour être capable de réaliser directement sa mission ou s’il devra suivre une formation accélérée.

2ème entretien – Technique

Cette fois, le but va être de savoir si le candidat va faire l’affaire techniquement. Chez nous, c’est donc Thomas, le responsable produit, qui s’y colle. En plus du point de vue technique, cela permet d’avoir une deuxième opinion sur la potentielle recrue.

Le candidat va être poussé dans ses retranchements en étant mis en difficulté assez vite, l’objectif étant d’observer ses réactions face à la complexité et à l’imprévu.

Afin qu’il soit à l’aise pour cela, commençons par lui demander de nous parler de ses activités extrascolaires (sport, culture, etc.).

Questions théoriques

Une fois que le candidat est prêt, on démarre par un exercice assez simple : nous donnons des noms de langages, concepts, procédés, etc. et en demandons la définition, les cas d’utilisations, les avantages et les inconvénients.

Avec toutes ces questions, nous découvrons non seulement le bagage technique du candidat mais également s’il est capable d’exprimer un avis, de faire la part des choses et d’être synthétique. Ici il faut faire attention à ne pas troller ! L’idée n’est pas d’avoir raison ou tort mais de vérifier que le candidat se positionne.

Pour finir, nous demandons généralement de vulgariser un des concepts précédemment définis : « Comment vous vous y prendriez pour expliquer ceci à un enfant ? ».

Exercice

Après la théorie, la pratique.

Ici, il faut un minimum de préparation : l’idéal étant d’avoir conçu à l’avance un exercice interactif, qui démarre simplement et qu’il est possible de complexifier au fur et à mesure afin d’atteindre la limite technique du candidat.

Chez ECHOES, nous ne testons pas forcément les compétences du candidat à programmer dans un langage donné mais ces capacités à concevoir,  à s’adapter, à mener à bien une réflexion, etc.

En gros, ça va donner « Comment feriez-vous ceci ? », s’il répond correctement nous modifions l’énoncé en ajoutant des contraintes (des conditions en plus, le refaire dans un autre contexte, un autre langage, etc.) pour rendre l’exercice de plus en plus dur.

Plus que la limite technique, il faut observer si le candidat interagit avec vous ou s’il se braque, s’il est rebuté par la difficulté croissante ou s’il apprécie le challenge, s’il y met toute son énergie, etc. Bref, tous les comportements que nous souhaitons retrouver une fois le candidat dans vos locaux et devant un gros problème à résoudre.

Jeu de rôle ou question bonus

Pour ne pas gâcher la surprise à nos candidats potentiels qui liraient ces lignes, je ne vais pas expliciter cette partie.

Sachez juste que nous demandons à chaque candidat qui arrive à cette étape de jouer un rôle ou de répondre à une question un peu farfelue.

Encore une fois, l’idée est d’étudier le raisonnement du candidat et les interactions qu’il peut créer avec le recruteur.

Ce n’est toujours pas assez clair ? Chercher des exemples sur Internet des questions posées par Google, Apple ou Microsoft, ça devrait vous donner une idée

Questions du candidat

Nous terminons en lui demandant s’il a des questions afin de nous assurer de n’avoir laissé aucune zone d’ombre.

Prise de décision

Une fois ces deux entretiens passés, les deux recruteurs (pour nous, Romain et Thomas) sont amenés à donner leur réponse en même temps, pour ne pas s’influencer. Le candidat recevra une réponse positive uniquement si les deux recruteurs n’ont aucun doute sur le fait qu’il faille le recruter. Au moindre doute, nous privilégions la négative.

 

Au candidat qui aurait tout lu : bravo, c’est un bel exercice de préparation, il ne vous reste plus qu’à postuler chez nous

Vous pouvez retrouver nos offres sur : http://blog.echoes-tech.com/nous-recrutons

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Cette semaine, je vous présente un zoom sur notre stratégie de développement commercial.

ECHOES Alert, notre plateforme d’alertes métier est très générique. En effet, nous sommes capables grâce à notre sonde ultra légère d’aller récupérer tout type d’information sur un système client. Notre moteur de traitement dans le Cloud (en SaaS) est capable, à partir de ces informations, d’alerter la ou les bonnes personnes avec tout type de message, sur n’importe quel média. Nous alertons la bonne personne, au bon moment, avec le bon message.

Cette généricité nous a conduit à organiser notre stratégie commerciale autour de la construction d’un réseau d’apporteurs d’affaires.

Deux constats :

• La société compte actuellement 3 personnes à temps plein, la force de vente de notre équipe est donc assez réduite. (environ 1 personne)
• Nos domaines d’expertises sont limités au milieu informatique.

La réponse :

Nous avons décidé de nous entourer d’experts dans différents domaines afin d’étendre les possibilités d’intégration de notre produit ECHOES Alert. Ils auront le statut d’apporteur d’affaires : des personnes qui apportent des clients à une entreprise notamment grâce à leur réseau professionnel.

Pour structurer cette activité commerciale, nous construisons des « cas business » pour spécialiser l’apporteur d’affaire dans un domaine d’activité. Cela se formalise sous la forme d’un pack dédié qui comprend tous les documents nécessaires à son travail (plaquettes, contrats, grilles tarifaires) ainsi qu’un accès au CRM de l’entreprise pour un bon partage de l’information. Nous avons déjà quatre apporteurs d’affaires et allons développer fortement ce réseau dans les prochains mois : notre objectif est d’atteindre  dix apporteurs opérationnels avant la fin de l’année.

L’apporteur d’affaire est rémunéré à un pourcentage donné du chiffre d’affaire qu’il génère pour la société.

ECHOES Alert peut s’intégrer dans différentes stratégies :

• optimisation des processus
• réduction des coûts
• réduction des pertes financières
• diminution du nombre de courriels échangés
• et bien d’autres !

Si vous êtes également intéressé pour nous rejoindre, monétiser votre réseau professionnel et vendre un produit qui fait gagner du temps et de l’argent, contactez nous au plus vite !

This guest post comes from Chris Wetherell, CEO of Avocado Software, and Mike Maelzer, Avocado’s lead engineer. You can follow them on Twitter @cw & @maelzer.

Every day, tens of thousands of API calls result in a virtual hug or kiss sent through Avocado, the multi-platform couples app. For messages and other media, it’s dozens of times more, resulting in millions of calls a day to the Avocado API… and growing. So far: No major service disruptions, no server explosions, and hardly any pulling of hair out from our heads.

We think we’re building a new layer of the internet, one just for couples, and we intend to set a standard for the kind of service we provide: fast, reliable, and easy to scale both within and across platforms. We believe the only way this can be done is via open development, a robust public API, and a supportive third party developer network. But mostly, we’re bullish on APIs.

Eating Our Own API

The quality of our API is directly related to the fact that we use it ourselves, and we treat ourselves just like a third party developer. (We’re better if we walk a mile in the shoes of our developer community.) We even use developer tokens for our separate clients (web portal, iOS, and Android). Sure, we could have used one token for the whole system, but we wanted to break it out to track usage numbers and have the option of temporarily shutting down a client in the unlikely event that something goes horribly awry (knock on wood). As a result of our standards, third party developers can easily recreate anything Avocado itself does.

The API was the absolute first thing we built. It was around before we even named the product. An API means quick iteration during a product’s earliest stages, and it’s an aid to creativity. It allowed us to think about what we call “practical innovation.” We can innovate in the client, but the path of least resistance is to work with the existing API we’ve built rather than refactor the whole system. This leads to us using our creativity to build stuff that’s more likely to ship to users. That plus building the web app allowed us to arrive much more quickly at what our entire company was going to be – the long term vision. We’re an API first company.

If you’re going to build something that you think will eventually grow a large feature set and will outpace the growth of your company, but you don’t yet know what all those features are, the API-first mindset is the way to go.

Scaling Business & Servers Faster

Courting engineers by making something fun and easy to develop on is just smart, basic business for startups. We personally know a number of developers that use Avocado due to the fact that we have API. It allows passionate users more control.

With Avocado’s public API, we can emerge on less popular platforms faster. One example is “Lovocado,” created by a third party developer for the Windows Phone.

Since our API is built on the well-established REST design model, it’s easy to hook up almost any type of client – be it browser, mobile, or desktop – and begin creating and consuming content on Avocado. Our REST API consumes and sends data in the ubiquitous JSON format making data exchange simple in today’s software development world. Most mobile (and desktop) frameworks provide built-in libraries for interacting with JSON data, allowing developers to focus their efforts more on the creative side of displaying and manipulating the data they receive from Avocado. In the browser, it’s even easier as JSON is actually derived from JavaScript.

On a horn-tooting note, we scaled this system quickly and fairly easily a few months back.

But Then, the Downsides of Scaling

Being popular comes with a unique set of problems. It’s not as easy to change direction once you have people dependent on your API (see: Twitter developer community). Changing our routes, the name of a method, a url or what the url accepts would break a third party app until the developer could ship a new version. Avocado’s developer community is still fairly small, so we’re lucky that we can make such changes without millions of people being affected.

Another downside: Conflicts between mobile vendors can potentially slow or complicate your API development. A mobile vendor could change how a device or OS works and make it difficult to support a broad feature in your API (iOS 7 issues, anyone?). Maybe this encourages you to delay a feature until the most popular vendors can have the same experience. As we’ve seen, some media uploading calls can run into problems if trying to support the many flavors of Android, iOS, and web browsers all at the same time.

Although we won’t go into it in depth here, we should note two other common problems cited when discussing API scaling with third party developers. First, questions of security: If you don’t set limits, a malicious third party developer on your platform could take down your servers with a sudden, massive influx of API calls.

Second, having third party developers adds a new level of customer service. They’ll come to you with issues they find, and your engineers need to have the bandwidth to respond to them quickly.

APIs Guide Innovation Closer to the User

If we have satisfactory API development, we can focus on solving other problems. We push innovation further along the stack, not in the API but in user experience. For example, Avocado established generic “activities,” which are basically chat messages, but ones that allow for flexible types and a different kind of rendering. As a result, it was easier for us to consider an “anniversary card” when a couple joins Avocado. Or send a message when the phone was “hugged.” We simply reused the existing API which led us to focus on making individual experiences look and feel better.

Creating an API also gets you further along the path of allowing users to do such things as exporting their own data, which is exactly what we’ll be doing with our paid service. Having the API makes exporting data a lot easier to keep in mind while building. If we build a feature that a third party app can use, then we basically made the ability to extract that content.

There should be a rule that if you increase the amount of innovation thinking around your product, you increase the amount of inspiration that your team finds in what they want to build. Similarly, if we can inspire innovation in third party developers who go on to create product improvements and unique mashups, we’re guaranteed to inspire our own team. Innovation is infectious.

ECHOES Alert 1.0 est sorti et je profite de cet article pour vous faire part des changements depuis la Bêta. En effet, la Bêta est ouverte depuis le mois d’octobre 2012 et nous n’avons depuis fait que des corrections mineures (bugfix) sur le système en production.

Au cours des 8 derniers mois, le développement du produit a été accéléré puisque nous avons accueilli un stagiaire bac+4 en développement C++. Celui-ci est donc venu renforcer les rangs de notre équipe produit.

Passons maintenant aux nouveautés !

1. Le design

Ci-dessous vous avez la fenêtre de login du produit dans sa version Bêta et dans la version 1.0, l’actuelle.

L’accent a été mis sur le design produit. Nous sommes convaincus qu’un produit simple, joli, agréable et efficace donne bien plus envie d’être utilisé. Au delà de l’aspect esthétique, c’est la simplicité et l’efficacité qui a été recherchée dans l’intégration de ce nouveau design.

Pour les technophiles, nous utilisons un thème bootstrap qui est doté de fonctionnalités responsives.

Si vous désirez en savoir plus et voir la suite, demandez une démonstration du produit ici.

2. Le moteur de traitement des événements

Nous avons terminé l’intégration d’un moteur de corrélation dans ECHOES Alert. L’intégration de ce type de produit au sein de notre plateforme d’alerte nous a permis d’éviter de ré-écrire ou de ré-inventer des fonctions déjà existantes dans le milieu informatique.

Grâce à ce moteur, de nombreuses fonctionnalités nous sont désormais accessibles.
Nous pouvons citer entre autres :

• Le calcul d’alertes sur des plages de temps (l’information est vraie pendant x minutes)
• Le calcul d’alertes couplé à des plages horaires (l’information est vraie de telle heure à telle heure)
• L’enchaînement de plusieurs événements suivant des conditions logiques ( ET / OU )

Tous ces mécanismes sont donc prêts dans le moteur et n’ont plus qu’à être mis à disposition dans l’interface web de gestion d’ECHOES Alert.

3. Les messages d’alertes métier

Nous sommes aujourd’hui capables d’insérer des métiers (corps de métier, domaines…) dans ECHOES Alert. Nous les avons appelés rôles. L’objectif est de pouvoir établir un champs lexical correspondant à chaque rôle. Ce champs lexical permet d’établir la correspondance entre les termes employés dans les informations collectées (serveurs, applications, indicateurs) et les expressions du langage courant du rôle sélectionné.

Exemple :

connection timed out error could not connect to SER-247 server

Qui du directeur financier, du responsable logistique, ou responsable informatique comprend ce message et peut agir ?

Voilà les principales nouveautés d’ECHOES Alert, j’espère que ça vous plait autant qu’à nous ! Nous ne nous arrêterons pas en si bon chemin, d’autres nouveautés arriveront prochainement.

A bientôt !

Une nouvelle fonctionnalité vient d’être ajoutée sur la Freebox V6 Révolution. L’interface a en effet été relookée pour une meilleure utilisation.

Vous pourrez automatiquement en profiter en vous dirigeant sur http://mafreebox.freebox.fr depuis le navigateur Internet de votre ordinateur, et après un redémarrage de votre Freebox Server afin d’activer la mise à jour 2.0.0

L’application pour Android vous permettra ensuite, via votre Smartphone / Tablette et un accès WiFi ou une connexion 3G, d’accéder à votre Freebox Révolution à distance.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il vous sera ainsi possible, en situation nomade, de :
- consulter le journal des appels reçus et passés sur votre ligne téléphonique Freebox
- suivre et gérer les téléchargements lancés
- copier les photos de votre mobile sur le disque dur de votre Freebox Révolution
- lire sur votre appareil mobile et partager avec vos proches les contenus (vidéos, photos,…) de votre disque dur
- gérer le contrôle parental des différents périphériques utilisant votre connexion internet Freebox

 

 

Une fois l’application installée sur votre terminal Android, une association avec votre Freebox Révolution sera nécessaire :
1°) Vérifiez que votre Freebox est à jour (firmware 2.0.0 minimum)
2°) Connectez votre Smartphone / Tablette à votre réseau WiFi personnel Freebox
3°) Lancez l’application Freebox Compagnon – Ma Freebox
4°) Sélectionnez “+ ” et nommez l’accès à votre Freebox Révolution
5°) Validez l’association en suivant les indications affichées sur le Server de votre Freebox Révolution

 

 

 

Aperçu de votre interface depuis http://mafreebox.freebox.fr

 

 

 

13.08.13 : Version 1.4
- Possibilité de désactiver/activer le Wifi du Freebox Server
- Possibilité de redémarrer le Freebox Server

12.09.13 : Version 1.5
- Recherche des noms de contacts sur l’appareil mobile (nécessité une nouvelle permission). Ainsi, si un contact connu tente de vous joindre, son nom s’affichera en lieu et place de son numéro de téléphone.
- Correction de bugs du lecteur vidéo interne pour certaines versions d’Android.

 

29.10.13 : Version 1.7
Nouveautés :
- Possibilité d’ajouter un fichier Torrent ou NZB depuis un gestionnaire de fichiers
- Amélioration de la gestion de flux RSS provenant du navigateur
- Ajout d’un dialogue de confirmation de suppression des flux RSS
Corrections :
- Correction du comportement du lecteur de musique
- Corrections pour les versions d’Android inférieures à 4.x
- Correction d’affichage des flux RSS après rotation de l’écran
- Correction du comportement du lecteur vidéo
- Amélioration du comportement audio
 

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Auteur : Freebox SAS
Site Internet : http://dev.freebox.fr
Prix : Gratuit
Aide

 

QR Code cliquable pour un accès à Google Play Store version mobile.