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25 Feb 14:27

Salon E-marketing : vers le marketing technologique ?

Les 14, 15 et 16 avril, le salon E-marketing Paris rassemblera les professionnels du marketing digital Porte de Versailles. A vos agendas !
24 Feb 16:37

Microsoft’s Band update puts an itty bitty keyboard on your wrist

by Tom Warren

Microsoft has been experimenting with smartwatch keyboards for Android Wear, and now the company is bringing a similar to concept to its own Band hardware. In its first major update, Microsoft’s Band has become a lot more useful for Windows Phone users, thanks to a new Cortana-powered dictation mode for replying to texts and the addition of a virtual keyboard. It works like a standard QWERTY keyboard, but Microsoft is using its Word Flow software from Windows Phone to detect letters and words correctly.

Voice dictation or a QWERTY keyboard for quick texts

I’ve been using the Band’s virtual keyboard for a few hours and found it was a little tricky to use at first, but once you trust it and get used to not worrying about tapping on the...

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24 Feb 10:50

Aldebaran Robotics : Softbank prend 95 % du capital, le PDG se retire

by Johann Breton
Jean-Philippe Encausse

Pfff ... il y a 6 mois il disait que l'investissement de Softbank ne changerait rien à la société.

:-((( une si belle société de robotique française

Aldebaran a annoncé ce lundi que le Japonais SoftBank augmentait sa participation au capital à hauteur de 95 %. Bruno Maisonnier, actuel PDG, quitte son poste. Il n'est pas correct de parler de "prise de contrôle", puisque SoftBank détenait déjà 80 % du capital d'Aldebaran. Cette annonce, toutefois, est bien synonyme d'un véritable rapprochement. Alors que Bruno Maisonnier, PDG et fondateur du...
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23 Feb 19:11

Giroptic bénéficie du Pass French Tech

by communication@bpifrance.fr (Thierry Buffo)

Giroptic est une entreprise lilloise fondée en avril 2008 et spécialisée dans l’imagerie à 360°. L’entreprise propose un produit, baptisé « 360Cam », à la fois polyvalent et robuste, qui permet aux utilisateurs de capturer eux-mêmes des séquences vidéo immersives.

23 Feb 15:27

KickStarter : succès explosif pour le financement de Exploding Kittens

by Antoine Roche
KickStarter : succès explosif pour le financement de Exploding Kittens
Avec 219 382 backers et presque 9 millions de dollars amassés, le jeu de cartes Exploding Kittens a fait exploser KickStarter.

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© Rédigé par, Antoine Roche pour Begeek.fr le lun, 23 fév 2015 à 14h43
23 Feb 15:25

David Catuhe nous parle du navigateur Project Spartan de Microsoft

by Benjamin
Windows 8

Lors des Microsoft Techdays  2015, l’équipe de Windows Génération a eu l’opportunité de rencontrer des personnalités Microsoft. Mais également d’assister à des sessions réservées à la Presse qui n’étaient pas indiquées sur le planning « tout public ». Au cours d’une session intitulée « Dev’talk », David Catuhe nous parle de Project Spartan et de l’avenir d’Internet Explorer.

David Catuhe nous parle du projet Spartan de Microsoft

Au cours de cette session, David Catuhe a insisté sur le fait que « Spartan » est un nom de code et qu’il ne s’agit aucunement d’un nom définitif. Il est vrai que la presse et nous inclus avons eu l’abus de l’appeler Spartan à tout bout de champ. Seulement, il n’a pour l’instant pas de nom officiel et porte simplement le nom de code : « Project Spartan ». On apprendra par ailleurs le lendemain lors de la Keynote Windows 10 par la voix de Craig Dewar (Microsoft US) que le nom serait en cours de discussion et qu’une annonce sera faite dans les prochaines semaines.

D.Catuhe évoque l’importance des Uservoice et leur impact sur Windows 10 :

« Le projet Spartan on l’a vu tourner sur quelques écrans sous Windows Phone et la communauté Windows Phone a réagi en disant « on n’aime pas que la barre de navigation soit en haut, nous on a envie que la barre d’adresse soit en bas ». Il y a eu des échanges, il y a eu un Uservoice comme on vous l’a présenté ce matin, il y a eu énormément de voix là-dessus et donc résultat des comptes : la semaine prochaine nous avons un meeting avec les designers pour réfléchir si on ne va pas la mettre en bas. Donc, rien n’est figé dans le marbre les Windows Insiders c’est vraiment pas de la poudre aux yeux c’est vraiment quelque chose pour partager des expériences avec vous et c’est pour ça que Windows 10 est en constante évolution. » – D.Catuhe  10/02/2015

Il explique également que s’il n’y a pas eu de démonstration c’est parce que le navigateur n’est pas encore prêt pour ça, ils ont encore aujourd’hui des retours utilisateurs en interne pour définir l’interface.

On savait qu’Internet Explorer serait présent aux côtés de Spartan dans Windows 10, en revanche on ne savait pas (officiellement) que « IE11 sera la dernière version d’Internet Explorer. IE11 sera présent sur Windows10 pour des raisons de compatibilité en entreprise ». Cela fait sens quand on sait à quel point il est ancré dans certaines entreprises, il ne pouvait en être autrement. Il nous en a donné un très bon exemple :

« De très nombreux systèmes d’entreprises aujourd’hui ont besoin d’ActiveX. On a par exemple un cas particulier en Corée où tous les systèmes bancaires fonctionnent avec des ActiveX. » – D.Catuhe  10/02/2015

Internet Explorer sera conservé dans les versions à venir de Windows, il sera maintenu sur tout ce qui est sécurité, mais « Project Spartan » sera le nouveau navigateur officiel de Microsoft.

Il est donc important de retenir à l’issue de cette news que le nom officiel du nouveau navigateur de Microsoft sera annoncé prochainement. On peut supposer une annonce à la Build en avril, c’est fort probable le calendrier serait cohérent. À côté de ça, Windows Insider c’est un programme qui rencontre un franc succès puisque c’est pas moins de 20 000 feedbacks quotidiens qui sont traités par un algorithme de Machine Learning. On va s’armer de patience pour pouvoir profiter pleinement du nouveau navigateur de Microsoft.

Et vous, participez-vous au programme Insider ? Avez-vous déjà fait des retours à Microsoft ? Quels sont les éléments que vous voudriez voir changés dans la version finale de Windows 10 ?

Cet article David Catuhe nous parle du navigateur Project Spartan de Microsoft est apparu en premier sur WindowsGeneration.fr, vous pouvez également nous suivre sur Twitter et Facebook.

23 Feb 15:25

French hardware campaigns aren’t waiting for Kickstarter to launch in France

by Liam Boogar

1420863678_IMG_9123-600x335Rumors circled this week that Kickstarter would be launching in France, meaning that crowdfunding projects based in France can now… well, come from France. Kickstarter has since denied these rumors.

Previously, European companies were encouraged to use the British website, requiring the currency to be in pound sterlin(£) – alternatively, many French companies opted to open up a Delware corp in order to appear on the US site, which came with the advantage of the $USD, as well as a perceived sense of increased visibility.

Among the larger campaigns on Kickstarter so far have been Lima, Hexo+, Giroptic & currently Prynt; however, campaigns like iSKN have also had success fundraising following their successful campaign, providing investors in France a benchmark for easily evaluating hardware investments.

While the stigma remains as to whether France-based campaigns (in French or in English, as seen in the current active campaigns) receive as much visibility & “PR” from Kickstarter (promotion in Kickstarter’s email newsletter, as well as visibility on the Kickstarter.com homepage), Kickstarter’s rumored advancement into France marks an increased interest in the market.

Here are some other great campaigns:

Update: a previous version of the article stated that Kickstarter had arrived in France. These rumors have been confirmed to be false, according to Kickstarter’s Justin Kazmark.

"French hardware campaigns aren’t waiting for Kickstarter to launch in France" by Liam Boogar originally appeared on Rude Baguette

23 Feb 15:25

Détecteur de fumée Nest : un employé de Google déconseille le produit en vidéo

Quand un employé de Google, qui a racheté Nest en 2014, décide de donner son avis sur le détecteur de fumée de la marque, ça donne une vidéo qui risque de ne pas vraiment plaire à l'entreprise [...]






23 Feb 15:25

The Compendium of Alcohol Ingredients and Processes

This is a cool infographic shows most popular alcoholic ingredients and processes. The image of..(Read...)

23 Feb 15:25

Softbank to ship first Pepper robots to developers this Friday at $1,660

by Liam Boogar

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The humanoid robot Pepper will start shipping this Friday, the CEO of product-owner Softbank announced this week, according to the Wall Street Journal. The news confirms what CEO Masayoshi Son told reporters earlier this month, namely that Pepper won’t be hitting shelves until this Summer. The company said it will ship 300 units to developers, having received much more than the originally planned 200 pre-orders it expected, in order to allow developers to build more apps into the product.

“[Softbank] envisions Pepper as a companion for the elderly, a teacher of schoolchildren and an assistant in retail shops, among other uses. It is one of a number of robotics projects that are aimed at dealing with labor shortages as Japan’s population ages.” – Wall Street Journal

The product will be sold at with a $1,660 upfront price – much less than the production cost of the device – however, it will also carry a mandatory $206/month service charge for the cloud-based artificial intelligence, repairs & more, with a commitment of three years. This totals the cost of Pepper at more than $9,000 over three years – not exactly the everyman’s price range. The company will also provide optional insurance for preferred repair rates.

This month, Softbank also announced a partnership with IBM’s Watson, which will bring Japanese language processing to IBM’s famed Jeopardy-winning supercomputer, while bringing a supercomputer to Pepper.

I wrote last December about the fate of Aldebaran, the French company that Softbank bought three years ago for a robot technology that would become Pepper. The brand ‘Aldebaran’ has already faded into the background, and, with the first units shipping to developers (likely under NDA), we may just see how ready Softbank is to show Pepper to the world.

Want to learn more about Robots & the intersection of Internet & Hardware? Join us May 28th-30th for the Connected Conference!

 

 

 

 

Photo courtesy of Japan Times

"Softbank to ship first Pepper robots to developers this Friday at $1,660" by Liam Boogar originally appeared on Rude Baguette

19 Feb 14:50

IFTTT introduces three new apps to automate the world around you

by Casey Newton

IFTTT, the internet automation service, is growing from a single app to a family of them. Today the company is launching three new apps for Android and iOS, as well as rebranding its flagship app. It’s part of an effort to make the sometimes-confusing service more accessible to normal people — though the profusion of apps may ultimately have the opposite effect.

IFTTT — short for "if this, then that" — was founded as a way to stitch various internet services and devices together. Its web service and companion smartphone apps let you do things like automatically back up your Instagram photos to your Dropbox account, or record all your Foursquare check-ins in Evernote. Starting today, IFTTT is now a suite of apps, each one designed to...

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18 Feb 21:16

Futur de la TV : 3 pistes

by Eric Scherer

Par Robert Amlung, Directeur de la stratégie numérique de la ZDF *. Billet invité

Pour les broadcasters TV, le numérique n’a rien de nouveau. Avant d’être aujourd’hui une offre à part entière de notre distribution, nos premières offres internet datent de la 2ème moitié des années 90. Et pourtant, 20 ans après, nous luttons toujours pour comprendre cet étrange monde en ligne où beaucoup d’entre nous voient toujours le numérique comme un complément sans rapport avec notre cœur de métier qu’est la diffusion linéaire.

Dans cet article, basé sur une présentation faite lors d’un séminaire de l'UER ** en janvier, j’aimerai développer trois idées simples sur l’influence du monde en ligne sur notre activité traditionnelle.

1L’édition en ligne n’est pas juste un changement technologique. C’est un changement dans la manière de nous percevoir, nous les diffuseurs.

Commençons par une évidence : pour un diffuseur, la possibilité d’offrir du contenu vidéo à la demande est le plus gros changement auquel il a dû faire face jusqu'ici. De manière inédite, les gens ont maintenant un choix énorme de contenus à portée de main. La fragmentation de l’audience, déjà forte avec la TNT linéaire, va continuer de s’accroître. Ajoutez à cela l’essor des débits sur l’internet ouvert, et vous avez l’origine du profond changement qui affecte aujourd’hui la distribution de la télévision.

Historiquement, le monde du broadcast a toujours rimé avec ressources rares, établissant une forte barrière à l'entrée du marché de la télévision. Aujourd’hui, les barrières tombent rapidement. Et de nouveaux acteurs, tentant leur chance, arrivent sur « notre » marché.

Des sociétés comme Netflix, Amazon ou Google viennent défier l’industrie traditionnelle de la télévision. Avec leur argent, leur vitesse et leurs prouesses techniques, ils forcent les anciens champions à changer.

Il nous faut donc redéfinir nos contenus, parce que ceux que nous produisons, notamment pour les jeunes, vont changer. D’ailleurs, au lieu de créer des « méga-hits qui attirent de très grosses audiences », les nouveaux entrants montrent l’exemple pour monter des « projets qui résonnent puissamment pour des communautés », a récemment fait remarqué Roy Price, des Studios Amazon.

Encore une fois, ceci n’est pas fondamentalement nouveau. Les chaînes thématiques ou de niche sont aussi vieilles que la télévision du câble. Mais dans le monde en ligne et une distribution illimitée de chaînes, cette tendance est en train de devenir bien plus puissante et pertinente. Produire « House of Cards », avec son scénario horizontal adapté aux besoins d’une d’audience à la demande, a désormais un sens économique.

Mais ce n’est pas seulement la distribution qui change, ce sont également les écrans. Là encore, et plus spécifiquement pour les plus jeunes, la domination du grand écran TV faiblit. La vidéo est consommée sur le premier écran à portée de main. Et aujourd’hui, il y en a beaucoup ! Dans la plupart des cas, ces écrans sont des ordinateurs, utilisant Android, iOS, MacOS ou Windows. Autrement dit, ils n’utilisent aucun des systèmes du monde du broadcast.

Pour les directions techniques de diffusion, c’est un sacré défi. Et de nombreux fabricants de téléviseurs comme des techniciens issus du broadcast n’arrivent pas à accepter l’implosion de leur monde dominé par la TV traditionnelle.

Ce ne sont pas les seuls à être contrariés. Du côté éditorial, les défis ne sont pas moindres. Le traditionnel « one to many » de la diffusion linéaire est toujours présent, et toujours puissant. Mais il a perdu son monopole. Aujourd’hui, tout le monde peut être producteur de TV. Le coût d’équipement est faible, et pour la distribution, il y a … YouTube. Pour les plus jeunes, rien de surprenant donc à voir des vedettes de YouTube être plus populaires que celles de la TV. Et à condition qu’ils connaissent même encore des personnalités TV ! Évidemment, rares sont les gens de télé qui apprécient cette intrusion sur leur terrain.

geek

Mais ces développements numériques étant connus depuis plusieurs années, pourquoi donc les entreprises de médias traditionnelles luttent-elles toujours pour s’adapter ?

J’émet une hypothèse : en tant que broadcasters, nous sommes sur le point de passer d'un statut de média « énorme et de première importance » à « énorme et seulement à égalité » avec d’autres. Et cela semble être, pour beaucoup, un recul à éviter à tout prix.

Pour résumer ce premier chapitre : renonçons à notre vieille image de leader média incontesté. C’est seulement à condition d’accepter sans fard notre nouvelle position dans un marché numérique très diversifié et très compétitif, que -- peut-être—nous serons capables de réussir.

2Le public, recourant aux médias de manières très variées, nous oblige à établir de nouvelles méthodes de travail de production.

Quand on s’intéresse aux méthodes de travail, il vaut mieux commencer par regarder les besoins et les usages de vos consommateurs. Ça semble banal, et vous trouverez cela dans n’importe quel manuel de conduite du changement. Mais il faut toujours le répéter, car nous nous continuons à les évaluer à partir de nos propres besoins et de nos traditions TV.

Alors commençons par une question de base : pourquoi les gens utilisent les médias ? Quand on leur donne le choix, les gens ne vont pas nécessairement préférer quelque chose de préconfiguré pour eux par une autorité supérieure. Oui, les gens sont paresseux, mais ils préfèrent toujours décider par eux-mêmes. Et par dessus tout, ils veulent être partie prenante de ce vaste monde. C’est même pour cela qu’ils utilisent les médias. Et alors que disparaissent les contraintes techniques liées aux médias broadcast, des perspectives plus vastes s’ouvrent aux citoyens : ils n’ont plus à se laisser seulement raconter ce nouveau et vaste monde par les médias, il peuvent désormais y prendre part. C’est bien « ce public qu’on appelait autrefois l’audience », a résumé il y a quelques années déjà, Jay Rosen, professeur de journalisme à New York.

Mais demeure un fossé générationnel. Aujourd’hui, les moins de 40 ans ont tendance à utiliser les médias de manière bien plus variée que leurs aînés. Certes, ils utilisent toujours les médias de manière traditionnelle, mais moins. Ils veulent le faire de manière plus participative ; produire et consommer le média en même temps. Bien sûr, tout le monde ne sera pas un « pro-sumer » (NB : producteur – consommateur) tout le temps, mais beaucoup le seront de temps en temps, et de plus en plus.

Cette nouvelle diversité de manière de consommer les médias a des conséquences sur nos manières de travailler. La production de contenu dans ces environnements signifie que nous avons besoin de redéfinir, reformater et itérer ce que nous produisons bien plus intensément et en grandes variétés. Et nous avons besoin d’écouter attentivement les retours que le public nous fait. Le plus souvent possible.

En d’autres termes, cela requiert de savoir manier beaucoup de data. Et nous avons besoin de beaucoup de technologie pour nous aider à gérer cette énorme tâche.

Ma conclusion de ce deuxième chapitre : la flexibilité croissante dans la production et la distribution – combinée avec les aller-retours incessants avec le public – requiert des méthodes de travail adaptées bien plus itératives qu’avant.

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3L’intelligence des méthodes de travail s’exprime dans le software, pas le hardware. La techno broadcast doit devenir « software centric ».

Mon troisième chapitre traite d’un sujet dont les industries du broadcast débattent depuis plusieurs années : hardware vs. software. Et comme nous le savons tous, le chemin est long pour aller d’une logique spécifiquement centrée TV, basée sur le hardware, à une logique « TV et au delà », basée sur le software.

En tant qu’industrie, nous avons déjà bien avancé, mais nous devons aller plus loin. Voici un exemple de l’état de l’art du développement software aujourd’hui : « Merci d’utiliser Facebook ! Pour rendre notre application encore meilleure, nous apportons des mises à jour sur l’App Store toutes les deux semaines ». Voila comment Facebook dit à ses usagers qu’il est passé à un mode de développement continu et agile de son application, désormais réactualisée à la fin de chaque sprint.

On est bien loin de cela dans le broadcast !

Et ce n’est pas suffisant de quitter le hardware pour passer au software. Ce dont nous parlons aujourd’hui c’est de devenir agile. La flexibilité et la vitesse de changement requises dans le numérique impliquent d’utiliser des méthodes agiles. Avoir les bons logiciels devient primordial pour qu’un média réussisse. Cela veut dire aussi avoir toujours disponibles les bons logiciels, et pas seulement au moment où on fait les investissements.

Traditionnellement, investir dans des technologies TV signifie mettre de grosses sommes d’argent dans de gros projets tous les deux ou trois ans. Cela implique un approvisionnement long, des développements lents et des tests intensifs avant qu’un nouveau système ne soit mis en service. Ce qui implique aussi qu’au moment de sa publication, il est déjà … dépassé.

Le développement continu est l’alternative vers laquelle s’engager. Les règles de management de projet, d’acquisition et de dépréciation ont besoin d’évoluer pour suivre le rythme.

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Un autre aspect important du développement agile est d’intégrer les éventuels utilisateurs finaux à l’équipe de développement de manière continue. Compte tenu de notre culture traditionnelle de diffuseur, c’est un vaste chantier ! Car vous le savez, journalistes et techniciens habitent des mondes très différents ! Nous aurons donc besoin de changements culturels et de beaucoup d’empathie mutuelle pour que cela se produise. Quoi qu’il en soit, technologie et contenus vont grandir en se rapprochant, ce qui signifie que les professionnels de ces deux secteurs auront à collaborer bien davantage. Que ça leur plaise ou non.

Au niveau projet, le développement agile de logiciels est bien défini, et généralement établi dans le monde informatique. De mon point de vue, la pensée agile ne devrait pas s’arrêter là. Penser de manière itérative, avec des boucles de rétroactions, aide aussi les entreprises de médias à définir des objectifs corrects.

Dans un monde numérique, les médias ont besoin de redéfinir continuellement la direction qu’ils prennent, et les ressources à mettre en face. Le marché, les usagers, la technologie – tous évoluent bien plus vite que par le passé. Dans ces conditions, l’agilité est une condition nécessaire à tous les niveaux de l’entreprise.

Ma conclusion, ou synthèse, est, je l’admet bien volontiers, une sorte de graal dont je rêve : celui d’un diffuseur centré sur le logiciel qui fonctionne en mode agile où éditorial et technique travaillent de manière continue, ensemble, pour améliorer leur contenu.

@robertamlung

* ZDF : deuxième télévision allemande généraliste publique et fédérale.

** UER : Union Européenne de Radio-Télévision, qui rassemble essentiellement des médias de service public.

 

(Traduction de Méta-Media)

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18 Feb 17:29

Trello, The Digital Whiteboard, Tops 7M Users

by Jordan Crook
trello2 Trello, the collaborative task management software, has topped 7 million users, with 120,000 new users joining the platform every week. Trello co-founder Michael Pryor confirmed to TechCrunch that the service has 1.7 million monthly active users, with Trello users in every country in the world (save for Myanmar, Nauru, and Tuvalu). “Eighty percent of sign-ups come from word of… Read More
17 Feb 22:20

L'Inde prépare les paiements du 21ème siècle

by Patrice BERNARD
NPCI
Si les futurologues sont nombreux à imaginer un avenir sans « cash », dans lequel les instruments de paiement électroniques sont devenus la norme, la réalité est moins glorieuse : aucune solution n'offre la même universalité et n'est donc susceptible de se substituer aux pièces de monnaie et aux billets de banque. Sauf en Inde…

Que la révolution – car c'en est bien une – arrive par les pays émergents ne doit pas surprendre. Ils sont en effet les premiers concernés par l'urgence de changer la tradition des transactions en espèces et de développer l'accès de leurs populations aux services bancaires, afin de favoriser leur développement économique. En parallèle, l'explosion de la téléphonie mobile et, plus récemment, l'adoption massive de smartphones représentent pour eux des opportunités incomparables de franchir un nouveau cap.

Parmi d'autres régions, l'Inde est particulièrement bien placée pour prendre la tête du mouvement, grâce à sa gouvernance forte dans le secteur financier. Ainsi, la nouvelle initiative [PDF] – qui la fera entrer de plain pied dans le 21ème siècle – est à porter à l'actif de la NPCI (« National Payment Coporation of India »), une association mixte publique-privée, créée à l'initiative de la banque centrale et de l'association des banques indiennes et dont la mission est de faire progresser les systèmes de paiement dans le pays.

En l'occurrence, la méthode employée afin de piloter la transition vers des échanges électroniques (et surtout mobiles) est absolument brillante. Alors qu'on aurait pu s'attendre à l'élaboration d'une usine à gaz tentant de résoudre tous les problèmes du secteur (et n'aboutissant jamais), la NCPI propose simplement de définir [PDF] un jeu d'APIs standards, qui doivent permettre à tous les acteurs de l'écosystème (institutions financières, fournisseurs de porte-monnaie virtuels, commerçants, entreprises…) d''intégrer facilement leurs solutions avec toutes les autres.

Interface de paiement universelle

Les spécifications qui viennent d'être publiées – initialement en version préliminaire, pour commentaires des parties prenantes – reposent sur quelques fondations solides. Tout d'abord, chaque utilisateur dispose d'au moins une « adresse » unique, qui suffit à l'identifier pour réaliser toutes ses opérations de paiement, sans qu'il lui soit jamais nécessaire de transmettre une autre information. Il peut s'agir, par exemple, d'un numéro de mobile, d'un numéro de carte, d'une référence de compte bancaire ou de l'identifiant national « Aadhaar », offrant un service d'authentification biométrique.

Tous les types de transactions sont pris en charge, du règlement unitaire aux demandes de prélèvement, en passant par les paiements récurrents, que le bénéficiaire et le payeur soient des particuliers, des entreprises ou des organismes publics. La vision portée est celle d'un système global dans lequel il suffit à un acteur de se connecter aux APIs de la NPCI pour pouvoir gérer les transferts d'argent de manière transparente, à travers tout média existant (carte, virement interbancaire, porte-monnaie mobile, GAB…), quels que soient son fournisseur et son mode d'identification des comptes.

Dans ce modèle, le rôle opérationnel de la NCPI se réduit à celui d'une plaque tournante (« hub »), gérant les « connexions » entre les interfaces des différents participants (en ce qui concerne les identifiants et les transactions). La relative simplicité de ce dispositif est justement ce qui le rend viable et réaliste. De surcroît, cette approche par l'« interopérabilité » a l'immense avantage de rester ouverte à toutes les innovations – d'aujourd'hui et de demain – en matière de paiements…

Autrefois, les banques centrales créaient et géraient la monnaie nationale et en garantissaient la liquidité. Dans le monde numérique moderne, ce sont désormais, d'une certaine manière, des APIs qui vont devoir remplir cette mission…
17 Feb 18:46

Evoz Debuts A “Connected” Monitor Offering Baby Data Tracking, Cry Alerts And More

by Sarah Perez
20150204130550-evoz_camera2 Evoz, the company behind some of the earliest smartphone-connected baby monitoring systems, is out now with a new product, the Evoz Parenting Monitor, that goes beyond simply capturing video and sharing it to your phone or tablet. Instead, this new monitor is more of a toolbox for parents, the company says, offering the ability to play music, function as a nightlight, record audio, photos,… Read More
17 Feb 14:49

Niptech 265 – French House

by ben


Une émission sur le futur puisqu’on parle d’énergie, de self-driving cars (notre obsession du moment) et de la French Tech ;) Bonne émission!

Podcast: Téléchargement

Liens

Apple & Tesla

Plus proche de la terre:

FrenchTech

  • Marseille (Big Data, NFC…) : ex. Subsea, Neotys … monshowroom.com et voyageprivée.com 2stars: http://www.pearltrees.com/s/pic/or/-95890788
  • Bordeaux (e-comerce, Vins, Tourisme…) : ex. Implanet, Exosun … Cdiscount .. la pepite rachetée par le Groupe Casino: http://www.pearltrees.com/s/pic/or/-95890792
  • Lille, Click and Walk propose aux marques de suivre leurs opérations commerciales en magasins via l’envoi de photos par les consommateurs.
  • Montpellier (eSanté, Smart Cities), ex. 1001pharma, Teads: http://www.pearltrees.com/s/pic/or/-95890825
  • Toulouse (internet des objets, aéronautique…) , ex. MyFeelBack, Adar … la pepite : SigFox vient de lever pas loin de 100M€ devenant la plus grosse somme jamais investit dans une startup française (blabla car ct en $, donc avait levé pas loin de 80K€)  LUDOVIC LE MOAN, en créant une sorte de réseau mondial des objets connectés permettant aux objets de transmettre des signaux élémentaires comme le signal d’une panne d’un compteur électrique par ex.

Inspiration :

17 Feb 08:08

Étude : Lecko dresse le panorama des réseaux sociaux d'entreprise - Blog du Modérateur

by Patrick Bouillaud

Les réseaux sociaux d'entreprise sont utilisés par de nombreuses entreprises. Il existe des solutions généralistes comme Yammer ou SalesForce mais certaine


14 Feb 12:06

'Star Wars' toy line lets you build dream lightsabers



Hasbro will be releasing a new Star Wars role play toy line. the new line will allow fans and kids..(Read...)

13 Feb 22:12

Hasbro to Release Chewbacca Furby [Pics + Video]

by Geeks are Sexy

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Who would have thought that Hasbro would one day bestow the ultimate dishonor on Han Solo’s trusty sidekick, transform him into a Furby? Chewby will start being available next fall for $79.99 and as with other furbies, will require interaction to keep him happy.

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[Via NA]

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13 Feb 18:50

Tiny Kittens vs. Hexapod Fighting Robot [Video]

by Geeks are Sexy
Jean-Philippe Encausse

Le vendredi c'est video de chat ;-)

This will likely be the most adorable thing you’ll watch today. Because Kittens.

[StudioSinga]

Click This Link for the Full Post > Tiny Kittens vs. Hexapod Fighting Robot [Video]

13 Feb 16:27

This is Adorable: Flipbook with Hidden Engagement Ring Compartment [Video]

by Geeks are Sexy

The Flippist” makes custom drawn flipbooks for any occasion, including marriage proposals (as seen in the video above.) I hope the person who received this said yes!

Here’s a custom flipbook that was used for a proposal. I cut out some sections of the flipbook to create a secret compartment for the engagement ring to hide in.

[The Flippist | The Flippist on Youtube]

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13 Feb 15:35

Selon Gartner, les fabricants d'objets connectés sous-évaluent la sécurité

by Jean Elyan avec IDG NS
Selon un expert de Gartner, l'Internet des Objets (IoT ou Internet of Things) se développe, mais la plupart des fabricants qui commercialisent des objets (...)
12 Feb 16:55

Dropbox crée un plugin Chrome pour gérer les pièces jointes Gmail

by Yohann Poiron

Les utilisateurs de Gmail peuvent désormais joindre des fichiers Dropbox directement depuis le célèbre service de messagerie de Google. En effet, le service de stockage sur le cloud, en perpétuelle croissance, vient d’étendre ses capacités dans le but de rivaliser avec la plateforme d’hébergement sur le cloud de Google, Google Drive.

Cette fois, l’équipe derrière Dropbox vient de développer un plug-in destiné à être intégré au sein du navigateur web Chrome, permettant aux utilisateurs de Gmail de joindre plus facilement des fichiers Dropbox.

Le processus est simple : une fois le plug-in installé, en appuyant sur le bouton « Nouveau message » de Gmail, vous verrez apparaître la fenêtre de composition du message, dans laquelle une petite icône Dropbox a fait son apparition à côté du bouton « Envoyer ».

Barre d'outils Dropbox dans Gmail

En appuyant sur cette icône, vous allez ouvrir une interface similaire à l’explorateur de fichiers web Dropbox, permettant à l’expéditeur de joindre des fichiers qu’ils souhaitent à l’e-mail. Cependant, ce n’est pas un attachement standard d’une pièce jointe, puisqu’en réception du mail, le destinataire ne verra pas le petit trombone indiquant la présence d’un fichier.

Interface Dropbox dans Gmail

Cela s’explique par le fait que le plug-in ne joint pas les fichiers nativement à l’e-mail. En effet, ce dernier comporte simplement un lien web pour le fichier de Dropbox.

Une concurrence accrue de nouvelles stratégies

Si le plug-in est encore en version bêta, il pourrait le rester pour un certain temps. Quoi qu’il en soit, il peut être téléchargé et utilisé par quiconque depuis ce lien.

Le marché du cloud est devenu de plus en plus concurrentiel, avec des sociétés comme Apple, Google, Amazon, Microsoft, Dropbox et divers autres qui se bousculent pour s’imposer. Une des meilleures offres disponibles est celle de Microsoft pour ses abonnées Office 365. En effet, ces derniers obtiennent un stockage OneDrive illimité dans le cadre d’un abonnement à l’offre bureautique.

Dropbox a été assez actif ces derniers temps, avec de nombreuses actions pour rester au top dans le stockage sur le cloud. En novembre 2011, Microsoft et Dropbox ont annoncé un nouveau partenariat, qui permet aux utilisateurs d’accéder directement via Dropbox aux applications Office, et vice-versa. En outre, le mois dernier, Dropbox a acquis CloudOn, une start-up qui permet aux utilisateurs de créer, modifier et partager des fichiers en ligne en utilisant Microsoft Office, Google Docs et d’autres formats de fichiers.

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11 Feb 16:41

Sigfox lève 100 M€ : record de France !

by Jacques Le Bris

Sigfox va annoncer une levée de fonds record de 100 M€, soit près de 113 M$. Selon l’agence Reuters, on trouve notamment parmi les investisseurs GDF Suez, l’Espagnol Telefonica ou l’opérateur japonais NTT Docomo.

L’opération a été bouclée à quelques heures de la venue de la Secrétaire d’Etat en charge du numérique, Axelle Lemaire, à Toulouse (voir MID e-news du lundi 9 février). Avec cette levée de fonds record de 100 M€, l’entreprise toulousaine conforte sa place parmi les leaders mondiaux du marché de l’Internet of Things (IoT) et fait entrer au capital de très grandes entreprises comme GDF Suez et Air Liquide (France), Telefonica (Espagne), NTT Docomo (Japon), SK Telecom (Corée du Sud) ou le fonds Elliot Management (Etats-Unis), selon les informations recueillies par l’agence Reuters (voir ici).  Parmi les investisseurs de cette méga levée de fonds, on peut également citer Bpifrance, Eutelsat ou le renforcement de la participation d'Intel, déjà actionnaire.
Avec cette levée de fonds d’environ 113 M$, Sigfox « bat » par ailleurs symboliquement le précédent record, détenu depuis l’été dernier par un autre champion français du numérique, BlaBlaCar, avec 100 M$.

MID e-news



10 Feb 15:22

Jahia lève 20 millions d'euros pour développer ses activités à l'international

by Dominique Filippone
Jahia, éditeur de solutions de gestion de contenus Open Source, a annoncé une levée de fonds de 20 millions d'euros effectuée auprès d'Invus, un fonds (...)
09 Feb 20:00

Get Lucky joué comme 10 guitaristes célèbres

by Christian

09 Feb 15:36

Lyon 3 : les données de milliers d'étudiants piratées et diffusées

by Johann Breton
Il n'y a pas que les entreprises qui sont parfois confrontées à de larges trous d'air dans leur sécurité informatique. À l'université Jean Moulin Lyon III, la prudence a tellement été oubliée que les données de milliers d'étudiants ont tout simplement été diffusées... par l'université. Le terme "boulette" ne semble pas être exagéré. Comme le rapporte Le Point, une secrétaire remplaçante...
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09 Feb 10:25

Le Raspberry Pi 2 photosensible

by Korben

Il n'y a pas encore grand monde qui est équipé du nouveau Raspberry Pi 2 mais voici déjà un bug rigolo qui fait son apparition sur la toile. L'internaute PeterO a découvert en prenant des photos de son RPi2 alors qu'il était allumé, que ce dernier s'éteignait ou redémarrait à cause du flash de son appareil photo.

Vraiment étrange... En creusant un peu plus, il s'avère qu'en fait, la petite puce U16 située dans la section concernant l'alimentation du mini ordinateur, est sensible à la lumière

Un petit coup de laser, même peu puissant dessus, et paf, le Rpi2 reboot ou s'arrête. Ça la fout mal, mais c'est plutôt amusant comme découverte.

Le Raspberry Pi 2 épileptique témoigne :

Je ne me sentais pas dans mon assiette ce matin-là. A un moment, ma tête a commencé à tourner, j'ai vu une lumière vive, comme un flash et j'ai perdu immédiatement connaissance. Quand je me suis réveillé quelques minutes plus tard, j'ai su que c'était Dieu qui m'avait rendu visite.

J'imagine que les prochains batchs de la framboise corrigeront le problème, mais en attendant, si vous êtes confrontés au souci, vous pouvez mettre un bout de scotch isolant électrique sur la puce ou placer votre Rpi2 dans un boitier pour le protéger de toute interférence lumineuse.

Source

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Le Raspberry Pi 2 photosensible ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

06 Feb 21:14

Two years in the making, Node.js upgrade arrives

by Paul Krill

In development for nearly two years, the 0.12 release of Node.js is about to become available. Whether the release can mend the now-fractured community that has been built around the popular server-side JavaScript platform remains to be seen.

Officials at Node.js steward Joyent and at Strongloop, which is involved in Node.js development, provided InfoWorld details about the upcoming release, for which the download should become available today.

Version 0.12 will feature round-robin clustering, providing for better distribution of Node.js across processor cores. It also will have performance optimizations including reduced garbage-collector strain. Profiling APIs in 0.12 improve memory management. Users also can run multiple instances in a single process via a multicontext capability. Clustered apps can be debugged with the Node-Inspector capability. Also supported is execSync, a synchronous API for child processes. There are also improvements in the TLS (Transport Layer Security) function.

To read this article in full or to leave a comment, please click here

06 Feb 16:38

Google est prêt à pousser le Project Tango en un produit commercial ?

by Yohann Poiron

La caméra qui modélise l’environnement de l’utilisateur en 3D à la manière du Kinect, alias Project Tango, ne fait plus partie de la technologie expérimentale, et des projets de la division ATAP de Google – l’entité Google qui développe de nombreux projets d’innovation.

Comme la société l’a annoncé sur son compte Google+, le projet Tango est prêt à passer à une nouvelle maison au sein de Google. « Après deux années a rapidement progresser au sein de la division ATAP, et de nombreux succès techniques, l’équipe Tango passe d’ATAP à une nouvelle maison au sein de Google », a déclaré la compagnie.

The Independent pense que cela signifie que Google est prêt à vendre sa technologie du projet Tango, et que ce sera LG qui fera un produit destiné à la consommation et au grand public.

Toujours selon The Independent, ce choix est susceptible d’indiquer que la technologie pourrait être sur le point de faire son apparition au sein de dispositifs grand public. Google est dit travailler avec LG pour produire une version que les gens peuvent acheter, et ce dès cette année.

Project Tango : rendu

De nombreux usages

Pour ceux qui l’ignorent, le projet Tango est un scanner/caméra 3D. Il a commencé comme un concept de smartphone, dans lequel les gens pourraient utiliser l’appareil photo de leur smartphone pour cartographier le monde qui les entoure, en deux en trois dimensions selon leur désir. Ces cartes pourraient ensuite être utilisées soit pour la réalité augmentée, ou pour modéliser un espace 3D.
Le système est capable de faire plus d’un quart de millions de mesures 3D à chaque seconde, et met à jour en permanence l’emplacement et la position d’un dispositif, car il associe un modèle 3D de l’environnement.

La technologie a de nombreux usages potentiels : aider les personnes malvoyantes à trouver leur chemin à travers un bâtiment, être en capacité de cartographier la maison avant d’acheter de nouveaux meubles, ou encore avoir la possibilité de créer un intérieur pour Google Maps.

Project Tango Tablet

Le projet Tango a également un kit de développement, qui permet aux développeurs de créer des applications utilisant cette technologie. Une puissante tablette montrée par Google en juin dernier a permis à un groupe restreint de développeurs de tester leurs applications liées au projet Tango sur un dispositif intégrant cette technologie. Les caractéristiques importantes de la tablette Tango de 7 pouces comprennent deux caméras insérées à un angle de 13 degrés pour la cartographie 3D, ainsi qu’un capteur de profondeur sur la coque arrière. Le dispositif est prévu d’être lancé pour les consommateurs dans l’année.

La positivité de Google vers le projet Tango suggère que la société s’apprête certainement à investir plus de temps et d’argent dans le projet. Bien sûr, nous n’avons toujours pas de certitude de la viabilité de la technologie sur le long terme, comme en témoignent les Google Glass aujourd’hui, un autre ambitieux projet né de l’un de ses laboratoires d’innovation secrets.

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