Jean-Philippe Encausse

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En ce moment, s’il y a bien un produit Microsoft qui est sur toutes les lèvres c’est l’HoloLens. Nombre de personnes rêve ne serait-ce que de pouvoir l’apercevoir. J’ai eu la chance de pouvoir le tester en avant-première au siège de Microsoft à Redmond au cours du MSP Summit. Voici mon ressenti sur le produit que tout le monde attend.

Casque HoloLens de Microsoft.

Avant de commencer…

L’HoloLens que nous avons testé est un prototype. Un certain temps nous sépare d’une version finale commercialisée. Tout peut encore changer d’ici la sortie du produit. Merci de faire attention à ceci pendant la lecture et vos questions dans les commentaires.

Nous sommes le mardi 28 juillet, il est 9h30, il fait beau sur le campus de Redmond. Une poignée de personnes dont je fais partie va avoir la chance de toucher le fameux et le mystérieux HoloLens. Il faut dire que la communication qu’il y a eu autour de l’objet, de la première présentation au cours de la conférence Build à la merveilleuse démo Minecraft de la conférence Xbox de l’E3, a de quoi faire baver tous les fans de nouvelles technologies que nous sommes.

Avant de pouvoir arriver dans la salle où nous allons enfin pouvoir tester l’objet tant convoité, un sas où l’on nous demande de laisser toutes nos affaires personnelles. Pas de téléphone, pas de PC, pas de tablette, pas d’appareil photo, bref, rien ne pouvant nous permettre de prendre un selfie avec l’HoloLens n’est autorisé à entrer. Vous comprendrez donc que nous ne pouvons malheureusement pas vous proposer de photo du casque autre que les photos officielles. Pendant le passage dans le sas deux personnes s’occupent de prendre la distance entre nos yeux (comme chez l’opticien) et nous donnent les chiffres.

Welcome at the HoloLens Academy

Ça y est nous sommes entrés. Dans la salle, des PCs portables avec Unity et Visual Studio d’installés. Dans le fond, une table avec des dizaines d’HoloLens en train de charger. Ça y est, c’est sûr, nous sommes au bon endroit. L’animateur nous annonce que nous allons apprendre à développer pour l’Hololens avec le moteur de jeu Unity. Nous allons tout réaliser par binôme et un mentor supervise ce que nous faisons et répond à nos questions.

Pendant une heure nous avons donc vu en détail toutes les APIs liées au casque, le développement avec Unity et tout ce qu’il est possible de faire avec. Je ne vais pas parler de la partie développement, mais appuyer sur les possibilités du casque pour cet article sur Windows Génération. Un article sur la partie technique et sur les problématiques de design sera écrit sur mon blog personnel, nous mettrons un lien lorsqu’il sera disponible

Premier contact avec le casque

Le casque n’est pas encore configuré ni sur notre tête, mais on l’a dans les mains. La première impression est assez sympathique. Le produit semble bien fini et pas trop lourd. À l’arrière des LEDs affichent l’état de charge. Deux boutons sont visibles au-dessus de chaque oreille, mais notre mentor n’avait pas l’air de savoir à quoi ils servaient ^^. À l’arrière, deux ports, un pour la charge l’autre pour l’USB.

Présentation des spécificités d’HoloLens.

Avant de mettre le casque sur la tête nous devons connecter le casque à l’ordinateur via le port USB pour y entrer l’écartement entre nos yeux ainsi que l’expérience que nous voulons démarrer dans une interface web qui rappelle vraiment celle de Windows 10 for IoT. Sur cette interface, en plus de ces configurations on peut connecter le casque à une borne WiFi et nous pouvons voir la batterie restante ainsi que la température interne du casque.

Lorsque nous avons l’objet sur la tête, un arceau au centre du casque sert à tenir le casque sur notre tête, le tout est serré avec une molette qui serre l’arceau. Ici premier problème, lorsque l’on a une touffe de cheveux un peu dense comme c’était le cas pour moi, le système de fixation a une tendance à ne pas super bien tenir. Bon après je passais mon temps à le retirer et le remettre pour échanger avec mon binôme et peut-être que je ne m’y prenais pas particulièrement bien.

Lorsque l’on fixe le casque, un carré représentant le champ de vision apparait avec le logo de Windows Holographique au centre. Cela permet de bien mettre le casque pour avoir les yeux bien en face et pouvoir profiter de l’expérience. Si le casque est mal mis, on ne voit tout simplement pas l’intégralité de cette zone. D’ailleurs en parlant du champ de vision (la zone dans laquelle on voit les hologrammes) il n’est pas sur la totalité de votre vision. Pour vous l’imaginer facilement, prenez un téléphone de 5 pouces (comme le Lumia 930) et mettez-le à une distance d’une main de vos yeux, votre téléphone représentera la zone dans laquelle vous verrez les hologrammes au-dessus de la réalité, dans le reste, il n’y aura rien d’autre que la réalité. Cela est un peu dommage, car casse un peu l’immersion, mais, aujourd’hui, représente la plus grande surface affichable par un casque de réalité augmentée autonome que j’ai pu voir.

Première démo et premières interactions

HoloLens et le jeu Minecraft.

Avant de nous lancer dans le développement avec Unity, une démo nommée « Terrains » nous est fournie. Dans cette démo, une voiture se déplace sur le sol aux endroits sur lesquels vous cliquez avec vos doigts. La démo est assez impressionnante, mais j’ai vraiment été surpris quand j’ai vu ma petite voiture passer au-dessus d’un pied qui venait tout juste de rentrer sur sa trajectoire. Ça y est, je suis amoureux, même si le champ de vision réduit est un peu déboussolant aux premiers abords ont fini par s’y habituer. Niveau sonore, la réalité et l’hologramme se mélangent bien. On regrettera peut-être juste que nos voisins aussi entendent ce que vous entendez s’ils sont un peu proches.

On démarre Unity, on commence à coder et on découvre toutes les possibilités de l’outil

Bon c’est marrant 10 minutes les voitures, mais on veut en voir plus. Les animateurs nous proposent donc d’ouvrir Unity. Pour ceux qui ne connaissent pas, Unity est un moteur de jeu très populaire ces dernières années dans le développement de jeu (Heartstone de Blizzard est fait avec par exemple). Je vous épargne la partie code, mais nous avons pu voir que nous pouvions utiliser différentes sources de données pour interagir avec notre hologramme en origami :

• La vue : Vous pouvez regarder à un endroit et faire apparaitre un curseur à l’endroit où vous regardez.
• Les doigts : Vous pouvez cliquer avec vos doigts pour activer une action, déplacer des éléments, etc…
• La voix : La reconnaissance vocale de Cortana est de la partie, vous pouvez donc contrôler ce que vous voulez aussi par la voix.
• L’environnement : Les murs, chaises, tables, PC, bref, tout est un élément pouvant interagir avec votre hologramme.

Finalement avec ces quatre façons d’interagir nous pouvons imaginer tout un tas de choses nouvelles et des interfaces novatrices. L’intégration dans le code est extrêmement simple et rappelle un peu le SDK de l’oculus rift dans Unity pour les connaisseurs.

Dans la démo que nous avons créée en suivant minutieusement les instructions de notre animateur de session, nous avons pu voir donc une feuille de papier sur laquelle un avion en papier était poser, au-dessus deux boules de papier que l’on pouvait faire tomber soit en cliquant alors que l’on regardait la boule ou en regardant une boule et en lui demandant de tomber à la voix. Nous avons aussi fait apparaitre en fils de fer l’environnement et accrocher notre scène a ce dernier. Nous avons fait tomber les boules dessus. À la toute fin, nous avons développé le fait que lorsque la boule tombe cela créer un trou au travers duquel nous pouvions voir un autre monde ! Et là c’était juste l’effet Whaou ! Franchement, c’était impressionnant et on était tous comme des gosses en train d’admirer ce que nous venions de réaliser.

Bon, OK, il y avait quand même un petit bémol. Pour ceux qui me connaissent, vous savez que j’aime chercher la petite bête et essayer de faire planter les systèmes, l’Hololens n’y a pas manqué. Si vous vous amusez à courir tout en secouant la tête (oui, oui, je l’ai fait) l’Hololens finira par perdre le fil et arrêtera d’afficher quoi que ce soit jusqu’au moment où il retrouvera le fil et recommencera l’affichage. Bon, je vous l’avoue, j’y suis allé un peu fort, mais c’était un bon test.

Personnellement, j’attends peut-être plus de voir comment vont être intégrées les Universals Apps dans le casque, car je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de tester cette partie.

Déductions au débriefing avec les autres testeurs

Notre avis sur HoloLens de Microsoft.

Après l’expérience nous avons comparé avec d’autres des MSPs présents l’autonomie affichée sur l’interface au bout d’une heure d’utilisation en alternant les phases d’utilisation réelles et les phases sur le pc à développer. Le casque semble donc afficher une autonomie entre 80 et 90% de batterie restante après une heure d’utilisation. Nous en avons donc déduit que cela donnait une petite dizaine d’heures d’autonomie. Cela est vraiment un bon score, mais attention, il s’agit uniquement d’une estimation et non d’une réalité que nous avons pu mesurer, de plus c’est un prototype.

Tout le monde voulait repartir avec son casque. Moi le premier. J’ai des idées plein la tête de choses que je pourrai créer avec. Et je pense vraiment que si ma tirelire me le permet je serais un des premiers acheteurs, même en l’état actuel. Car certes le casque a encore des défauts et peut être amélioré, mais c’est vraiment la meilleure expérience de réalité augmentée que j’ai vécue jusqu’à maintenant avec un casque autonome. Quand je vois ce que j’ai vu, je me dis que l’informatique va encore évoluer et que tout ce que nous connaissons aujourd’hui paraitra vraiment préhistorique d’ici quelques années.

Et vous, que pensez-vous de ce casque, ferez-vous partie des premiers acquéreurs d’HoloLens ?

Performing Rights Society for Music (PRS), a group that represents musicians and publishers in the UK, is suing SoundCloud for failing to obtain the proper license to host PRS members' music on its platform. PRS announced this morning that the decision to take legal action came after "five years of unsuccessful negotiations."

License to stream

The group, which licenses music to organizations and distributes the resulting royalties to artists, insists that SoundCloud needs a "PRS for Music license" to legally stream the music of members in the UK. Without the license, SoundCloud is not properly compensating PRS members for their work, PRS claims. PRS said in a statement that it sent SoundCloud a list of 4,500 songs that infringe on the...

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Last week, in Amazonian fashion, a new Google product suddenly appeared on the internet: a wireless router, the bastion of (and scapegoat for) all at-home internet experiences.

Its unveiling may have been sudden, but the $200 router, called the OnHub, has actually been in the works for a couple years now. We've already laid out some of the features of the OnHub: it's configurable through an app; promises better signal throughout your house than your current router; and looks nice enough that you'll actually place it where you're supposed to place a router, prominently in the center of your house. All of which may or may not answer the question: why should I spend $200 on a Google router?

Regardless of whether or not Google's feature list...

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Grâce à cette calculatrice en temps réel on peut mesurer le temps qu'il faut travailler pour s'acheter des trucs. Vous entrez votre salaire à l'année en dollars, et paf, vous saurez combien de minutes vous devez suer pour vous payer un burger ou une paire de pompes.

Et comme si ça ne suffisait pas, vous pouvez comparer votre situation à celle d'Oprah, d'un chirurgien orthopédique ou d'un prof..

Bon, c'est calqué sur le niveau de vie des américains mais y'a de quoi y réfléchir à 2 fois avant d'acheter des trucs qui ne servent à rien sur Amazon :)

Source

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Combien de temps devez-vous travailler pour vous payer un truc ? ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

Save important documents just like they did in the olden days using this steampunk USB drive. Apart from its eye-catching retro sci-fi design, the thumb drive is USB 3.0 interface compatible and works with all major platforms including Linux.

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Discover the tools used in the Mr Robot television show to break into target computers. Then download, play and build your security knowledge.

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : « Exploring the Hacker Tools of Mr Robot | ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

Posted by Hoi Lam, Developer Advocate

If your users’ devices know where they are in the world – the place that they’re at, or the objects they’re near – then your app can adapt or deliver helpful information when it matters most. Beacons are a great way to explicitly label the real-world locations and contexts, but how does your app get the message that it’s at platform 9, instead of the shopping mall or that the user is standing in front of a food truck, rather than just hanging out in the parking lot?

With the Google beacon platform, you can associate information with registered beacons by using attachments in Proximity Beacon API, and serve those attachments back to users’ devices as messages via the Nearby Messages API. In this blog post, we will focus on how we can use attachments and messages most effectively, making our apps more context-aware.

Think per message, not per beacon

Suppose you are creating an app for a large train station. You’ll want to provide different information to the user who just arrived and is looking for the ticket machine, as opposed to the user who just wants to know where to stand to be the closest to her reserved seat. In this instance, you’ll want more than one beacon to label important places, such as the platform, entrance hall and waiting area. Some of the attachments for each beacon will be the same (e.g. the station name), others will be different (e.g. platform number). This is where the design of Proximity Beacon API, and the Nearby Messages API in Android and iOS helps you out.

When your app retrieves the beacon attachments via the Nearby Messages API, each attachment will appear as an individual message, not grouped by beacon. In addition, Nearby Messages will automatically de-duplicate any attachments (even if they come from different beacons). So the situation looks like this:

This design has several advantages:

• It abstracts the API away from implementation (beacon in this case), so if in the future we have other kinds of devices which send out messages, we can adopt them easily.
• Built in deduplication means that you do not need to build your own to react to the same message, such as the station name in the above example.
• You can add finer grained context messages later on, without re-deploying.

In designing your beacon user experience, think about the context of your user, the places and objects that are important for your app, and then label those places. The Proximity Beacon API makes beacon management easy, and Nearby Messages API abstract the hardware away, allowing you to focus on creating relevant and timely experiences. The beacons themselves should be transparent to the user.

Using beacon attachments with external resources

In most cases, the data you store in attachments will be self-contained and will not need to refer to an external database. However, there are several exceptions where you might want to keep some data separately:

• Large data items such as pictures and videos.
• Where the data resides on a third party database system that you do not control.
• Confidential or sensitive data that should not be stored in beacon attachments.
• If you run a proprietary authentication system that relies on your own database.

In these cases, you might need to use a more generic identifier in the beacon attachment to lookup the relevant data from your infrastructure.

Combining the virtual and the real worlds

With beacons, we have an opportunity to delight users by connecting the virtual world of personalization and contextual awareness with real world places and things that matter most. Through attachments, the Google beacon platform delivers a much richer context for your app that goes beyond the beacon identifier and enables your apps to better serve your users. Let’s build the apps that connect the two worlds!

Ashley Madison's hackers have already claimed that the site's "delete everything" service, which charged its affair-seeking users $19 to remove any trace of their presence on the site, wasn't entirely effective. And now internal documents leaked as part of the massive breach have shown that the company profited heavily thanks to the disingenuous promise of "full delete." According to BuzzFeed News, one memo points to Ashley Madison having made $1.7M in incremental revenue in 2014. Ignoring taxes and other potential costs, the numbers indicate nearly 90,000 users turned to the feature in hopes of erasing their entire history and activity on the site.

Data from the hack is now easily searchable, so those people don't need go far to...

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Croisera-t-on bientôt des voitures ou des bus sans conducteur sur les routes françaises ? Ce qui ressemblait à de la science fiction il y a encore quelques années pourrait bientôt devenir réalité, le gouvernement s’apprêtant à prendre d’ici la mi-octobre une ordonnance autorisant des expérimentations de véhicules autonomes.

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Turner Broadcasting is working its next great reality series. According to The Wall Street Journal, the network is in the process of creating America's Greatest Makers, a new series backed by Survivor creator Mark Burnett and sponsored by Intel that will pit competitors against each other to create the next big wearable device.

America's Greatest Makers, which is currently slated to debut in 2016, will air on TBS, with clips appearing on other networks like TNT and CNN. The show is actually an extended for of Intel branded content. The show centers on the Intel Curie wearable module, which debuted at CES earlier this year. The aim of the show will thus be to show off the potential for the Curie, which is meant to allow anyone turn...

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Last month, a group of American inventors challenged a team of Japanese engineers to a giant robot duel. Japan accepted the challenge, and with the date of the duel now slated for summer 2016, Team USA (aka MegaBots Inc.) wants the public's money to make it sure it doesn't get tossed on the scrapheap in the first round. The company has set up a Kickstarter to raise funds for an upgrade to its robot, setting $500,000 as its minimum target and adding stretch goals of up to $1.5 million for extra melee weapons, balancing algorithms, and even new life support systems, to be designed in collaboration with NASA.

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Video game customization reaches new heights in 'The Elder Scrolls Online' thanks to a feature that allows players to customize their character's bones, flesh, and nervous system. (Brought to you by Bethesda)(Read...)

Cet entrepreneur français de 39 ans a posé ses valises dans Big Apple en 2013 et travaille aujourd'hui sur le projet Secret Media.

The post Frédéric Montagnon: «A New York, il faut au moins 18 mois pour acquérir la confiance du réseau entrepreneurial» appeared first on FrenchWeb.fr.

From FreezerBoy:

Make your refrigerator look like your favorite 80’s video game console with the FreezerBoy magnet set! Available for fridges of all sizes, this magnet set transforms your kitchen into a vintage geek shrine.

[FreezerBoy Refrigerator Magnet]

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Last year, Pixar made its in-house animation software RenderMan free for non-commercial use, giving would-be filmmakers a powerful tool to get started with animated shorts and films. Now, it's following this up by making another piece of in-house software not only free, but also open source. Pixar's Universal Scene Description tool (USD) acts as an assembly station for input from various animation apps, making it easier to combine characters and objects into a single "scene graph" — a basic layer of the animation — for smoother workflow. Unlike with Renderman, though, Pixar doesn't want to empower just amateur filmmakers, but also create an industry standard that it hopes will drive innovation. The company is preparing the open-source...

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Bitcoin’s blockchain has already provided the model for a cryptographic digital artwork registry, and now Everledger is using the system to certify and track luxury items — starting with diamonds — and protect owners against fraud.

Everledger is a London-based startup that will create immutable, digital records for individual diamonds, as well as their unique attributes and related transaction history. The diamond certification will then be stored in a permanent public ledger, which takes the form of a blockchain, and will be significantly more reliable and secure than the paper certificates and receipts currently used for identification.

Everledger will digitize each diamond by recording 40 metadata points about the stone, including the serial number, its 4Cs (color, clarity, cut and carat), the angles, and pavilions — essentially its entire physical makeup. The startup is currently in Beta, but is already working with London’s major insurance companies and certificate houses, and has digitized over 280,000 diamonds. It expects to expand into other luxury goods such as watches, fine art and designer handbags in the future.

What other information could be protected by blockchain?

Website: www.everledger.io
Contact: gaurav@everledger.io

Dans une tribune publiée par le «New York Times», trois magistrats et un responsable policier estiment que les pratiques des deux géants du Net entravent la justice.

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Les cons, ça ose tout, même publier des tribunes dans le New York Times ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

Experience one of your favorite board games in a whole new dimension by playing on these 3D Settlers Of Catan resource tiles. Every inch of these handmade tiles are masterfully decorated, allowing you to see the topography like never before.

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Jean-Baptiste Rudelle a cofondé ce spécialiste français du reciblage publicitaire à Paris avec Franck Le Ouay et Romain Niccoli.

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What follows is an actual headline from a "Big Three" automative company:

LOOK OUT! HERE COME THE SPIDERMEN: FORD ENGINEERS USE ARACHNID LEARNINGS TO DEVELOP INNOVATIVE SCREEN TO KEEP CREEPY CRAWLERS OUT

And here's the accompanying graphic:

That’s right ladies, Ford’s heroic spidermen have arrived just in the nick of time to save Jane and other hapless damsels from the thing they fear the most while grocery shopping: icky spiders. More specifically, the Cheiracanthium mildei and Cheiracanthium inclusum – AKA yellow sac spiders – notorious for building dense cocoons inside their cars and nightmares.

Fitting cars with spider screens to prevent them from laying eggs and blocking sensitive components like fuel vapor lines...

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Depuis 2011, l’artiste Tatsuya Tanaka travaille sur son « Miniature Calendar » un calendrier annuel qui propose chaque jour une mise en scène aussi ludique qu’ingénieuse où de minuscules personnages entrent en interaction avec des objets du quotidien. Plus de miniatures ici.