/* Inspired by Beorn */
Hélios GILLES
Shared posts
Quand un collègue me répond que c’est pour des raisons historiques
‘Heart in a box’ keeps beating until transplanted
A device that reanimates organs taken from dead patients has shown promise in heart transplant surgeries, though it's raising some ethical concerns, as well. As MIT Technology Review reports, the so-called "heart in a box" uses tubing and oxygen to pump blood and electrolytes into hearts from recently deceased patients, allowing the organs to continue functioning within a chamber. The system, developed by Massachusetts-based Transmedics, has been successfully deployed in at least 15 heart transplants in the UK and Australia, and is awaiting regulatory approval in the US.
Until now, hearts used for transplants have usually been extracted from brain-dead patients; those from dead patients have been considered too damaged. Once removed,...
Quand je récupère discrètement le CSS d'un collègue pour mon projet
/* by As3uS */
Jonathan Zongo marque de 50 mètres contre le Betis Séville
Des Nokia sous un Android déguisé, mais pourquoi donc ?
La surprise du MWC, qui n’en était en réalité pas vraiment une, c’était bien sûr la présentation d’un trio de smartphones loin du secteur d’activités habituel de Nokia. Le Finlandais présentait en effet à Barcelone non pas un, mais trois terminaux basés sur une version certes modifiée d’Android, mais sous Android tout de même. De quoi laisser pantois quand on se rappelle que Nokia est en passe d’être racheté par Microsoft, la transaction étant à ce jour pratiquement finalisée. Nous avons rencontré Thierry Amarger, le Directeur de Nokia France, dans le cadre du salon catalan.
L’offre de Nokia, il y a encore un mois, était claire : d’un côté, les très entrée de gamme estampillés Asha et sous Série 40, et les smartphones sous Windows Phone, de l’entrée au très haut de gamme, les fameux Lumia. Entre deux plus rien, Symbian ayant tiré sa révérence. Les Asha visent désormais plutôt les pays émergents, les Windows Phone partent à la conquête du marché international – 3,6 % du marché lors des dernières estimations de 2013 – quand l’OS de Microsoft commence à se tailler la part du lion dans l’Hexagone, avec environ 11 % de part de marché.
Les Nokia X, après moult fuites qui en ont révélé bien des petits secrets, mais qui ne s’étaient pas laissé appréhender comme un trio de smartphones, ont fait sensation au MWC 2014. Et pour cause, la marque phare produisant des Windows Phone, pratiquement rachetée par Microsoft, à quelques détails administratifs, fraye avec l’ennemi. Comment comprendre la stratégie de la marque ?
Du Lumia mais low-cost
« Avec les Nokia X, nous voulons aller chercher des positionnements prix que nous ne pouvons pas adresser aujourd’hui avec Lumia« , explique Thierry Amarger. Comprenez qu’à leur sortie, les Windows Phone les plus low-cost ne descendent pas sous la barre des 139 euros, tandis que Nokia souhaite aller encore plus bas. « Là, nous allons pouvoir attaquer un segment 119 euros. Chaque dix euros fait la différence sur ce segment. » Si certains peuvent craindre un effet de cannibalisation sur ce secteur de prix, puisque le Lumia 520 est actuellement disponible à 120 euros, et que son successeur sera à coup sûr situé sous la barre des 150 euros, Nokia – du moins sa section française – se montre confiant. « Les études que nous avons menées montrent que cela nous permettra de gagner des parts de marché. Nous pensons avoir la légitimité, la proposition de valeur et la possibilité d’aller chercher de la croissance dans un segment d’entrée de gamme en forte augmentation. Les études de marché montrent que le profils de clients sont différents. »
Si Nokia lance du X à tout petit prix, vraisemblablement avec la bénédiction de Microsoft, cela témoigne finalement d’un état de fait : le Finlandais n’est pas serein pour l’avenir, face à la pression de plus en plus sensible des constructeurs chinois sur le marché international, lesquels multiplient les terminaux d’entrée de gamme sous Android, capables de concurrencer aisément des Lumia low-cost. Rappelons que les derniers partenaires de Microsoft, dans le monde de Windows Phone, sont eux aussi capables de viser le très entrée de gamme : on pense notamment à ZTE ou à Lenovo.
On assiste avec le lancement des Nokia X à une réorientation des gammes Nokia. Plus de segmentation Lumia / Asha, mais un découpage en Lumia milieu et haut de gamme, Nokia X en entrée de gamme et Asha en très très entrée de gamme. Seul un appareil, l’Asha 220, a d’ailleurs été officialisé au MWC, laissant entendre avec son tarif de 69 euros qu’il se chargera d’occuper une fourchette tarifaire que même les Nokia X ne peuvent prétendre atteindre.
Cheval de Troie
L’OS a beau croître dans le monde, le cas de la France n’est pas représentatif. En un peu plus de trois ans, Windows Phone a conquis 3,6 % des utilisateurs, souvent un public à la recherche de smartphones simples d’utilisation et qu’Android effraie : il suffit d’examiner le cas du Lumia 520, disponible autour des 120 euros, et qui reste le best-seller de Nokia, au côté du Lumia 625, lui aussi à moins de 200 euros.
L’interface des Nokia X ne ressemble en rien aux androphones d’aujourd’hui. Le launcher est paré de vignettes à la Windows Phone, qui peuvent être réorganisées ou réduites mais toujours en scrollant sur une même page. À gauche, les applications récemment lancées, à droite, la liste d’applications… Cela ne vous rappelle rien ? De l’Android à la sauce Microsoft, voilà l’étrange mixture que servira dès les prochaines semaines à ses clients. « Nous avons enlevé les services Google que nous avons remplacés par les services de Microsoft. Quand le client va vouloir enregistrer ses données, il le fera par exemple dans le cloud OneDrive. Cela renforcera l’écosystème Microsoft« , commente Thierry Amarger.
Microsoft compte donc habituer par le truchement d’Android une frange de la population débutante au style Microsoft, en espérant la voir rester en cas de montée en gamme ; l’idée serait donc qu’en deuxième smartphone, un mobinaute équipé en Nokia X passe à un Lumia, puisqu’il a été accoutumé aux services de Redmond (Outlook, mais aussi Here Maps). Du Windows Phone finalement déguisé en Android ? C’est presque l’idée, d’autant plus que l’on doute que les acheteurs de terminaux à 119 euros soient nombreux à tenter de les rooter pour en faire de véritables androphones.
Les ambitions de Microsoft rejoignent celles de Nokia. Quand Omer Waysman nous confiait lui aussi dans une interview chercher à atteindre les 15 % de parts de marché en France, Thierry Amarger ajoute que « en France, [sa] stratégie reste Lumia. Il faut que nous allions chercher les 15 %, et cela va passer par l’élargissement de la gamme« .
Stratégie du bouche à oreille
Pas facile de faire entendre au public, du moins aux technophiles, que Nokia propose de l’Android tout en restant Microsoft. « Notre focus marketing reste Lumia en France. Quand nous faisons des études de consommateurs, il apparaît que les clients entrée de gamme veulent une marque et une expérience. On expliquera que le Nokia X sera compatible avec les applications Android« . Autant dire que Nokia compte autant sur le bouche à oreille que sur le flou artistique qui entoure sa nouvelle gamme de produits pour le vendre au grand public, en espérant que « la qualité de Nokia » et la « proposition de valeur avec les services Microsoft » sache trouver son public. L’image de marque du Finlandais, son design coloré et son positionnement tarifaire devrait au demeurant l’y aider – et un peu moins la fiche technique maigrichonne de la gamme X.
- Prise en main du Nokia XL, le jumeau du Nokia X… en plus grand
- Prise en main du Nokia X, le premier smartphone Android du Finlandais
En bonus, les différences entre Nokia X PS et Android AOSP
Le prix des livres vendus en ligne va augmenter et c’est encore une idée à la con
Les Sénateurs, ces êtres étranges qui se "soutiennent" tous par les couilles en cas de coup dur ont parlé au nom du "peuple français" (c'est à dire les lobbys).
En vrais "foutres de guerre", ils ont adopté hier soir une nième idée à la con de l'UMP qui consiste à forcer les cybermarchands à vendre plus cher les livres sur Internet et à mettre obligatoirement des frais de port payants.
Par souci d'égalité avec nos amis libraires qui comme les guillotineurs, les cireurs de chaussures, et allumeurs de réverbères se battent chaque jour pour sauver leur industrie, les cybermarchands auront quand même le droit d'appliquer une réduc de 5% sur les frais de port, identique à la décote de 5% pratiquée actuellement par les libraires physiques.
Maintenant, c'est CERTAIN qu'avec une telle augmentation des prix, les péquenauds que nous sommes tous feront forcement le déplacement dans une librairie plutôt que de profiter du confort que représente la livraison à domicile, sans oublier qu'une telle augmentation de tarif incitera forcément les gens à acheter plus de bouquins. Car c'est bien connu, plus les prix montent plus le pouvoir d'achat augmente.
Mais quelle connerie !
Comme si pénaliser Amazon (car c'est de ça qu'il s'agit) allait rendre les librairies plus attractives et augmenter leur chiffre d'affaires. Comprenez-moi bien, les libraires sont des gens très sympas, j'en conviens. Ils sont surement très compétents pour conseiller à leurs clients tel ou tel bouquin et sont surement très efficaces pour les commander rapidement lorsqu'ils ne les ont pas en boutique... Et je comprends leurs difficultés à s'imposer face à la net économie et aux nouveaux usages en ligne... Mais je ne comprendrais jamais ce raisonnement qui consiste à dire "Je flingue ton concurrent pour que tu ailles mieux". C'est d’ailleurs exactement ce qui se passe du côté des VTC qui se battent avec les Taxis.
C'est du temps perdu. Les gens prennent des habitudes, consomment différemment, et Internet fait partie de ces habitudes. Ce n'est pas parce que c'est le même prix ou que c'est moins cher qu'ils iront dans les librairies. Les gens commandent sur le net parce que c'est comme ça qu'on fait maintenant, et que vous trouviez ça regrettable ou au contraire très bien ne changera rien à la situation. Cette loi, c'est comme pisser dans un livre de Zemmour violon, ça ne servira à rien à part soulager quelques lobbys et Aurélie Filippetti.
En continuant comme ça, bientôt on aura le droit à une augmentation des tarifs des opérateurs mobiles parce que ça concurrence les envois de lettres par La Poste. Ou non, mieux... On n'a qu'à augmenter le prix des bagnoles de location parce que ça concurrence les loueurs de vélo. Augmenter le prix de la bouffe dans les supermarchés parce que ça pose des soucis à l'épicier du coin. Ah et pourquoi pas augmenter aussi le prix de l'eau du robinet pour favoriser les vendeurs d'eau en bouteille ?
C'est totalement débile et ça ne fait que reporter le problème. Les entreprises qui survivent sont celles qui s'adaptent, pas celles qui sucent les gouvernements pour avoir leur petite loi personnelle au détriment des consommateurs.
Bref tout ça pour dire que si vous avez des bouquins à acheter en ligne, faites vite, car dans 3 mois, ce sera plein tarif !
On en reparle dans quelques années.
Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Le prix des livres vendus en ligne va augmenter et c’est encore une idée à la con ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.
Lamborghini dealership starts accepting Bitcoin
A Tesla Model S has been purchased with Bitcoin, the virtual currency that mimics cash on the internet, at a California dealership.
"That's right, an electronic currency was used to purchased a fully electric vehicle," Lamborghini Newport Beach announced on its blog. The dealership will also be accepting Bitcoin going forward.
A Model S has a base price of $62,400. The blog post is dated Wednesday, when a single Bitcoin was worth around $1,150, so the car would have cost around 55 bitcoins. The value of Bitcoin has dropped to about $930 since then, however, after the Chinese government banned it from banks, so the same car would be 67 bitcoins today.
HP Slate 7 Extreme : enfin disponible aux États-Unis, la France pour bientôt ?
Les tablettes HP Slate 7 Plus, 7 Extreme, 8 Pro et 10 HD, présentées en septembre dernier, sont désormais tout
Retrouvez l’intégralité de cet article sur FrAndroid du réseau Humanoid.
Cet article HP Slate 7 Extreme : enfin disponible aux États-Unis, la France pour bientôt ? est apparu en premier sur LesArdoises.
Un concept d’iWatch qui vend du rêve
L’iWatch fait rêver beaucoup de monde et l’on a vu fleurir plusieurs concepts pour cette toujours hypothétique montre connectée d’Apple. Certains sortent parfois du lot par leurs inventivités, ou simplement parce qu’ils vendent du rêve.
C’est le cas de celui du designer allemand Thomas Bogner qui a publié sur Dribble un concept bien pensé. Il avoue s’être inspiré du Nike Fuel Band, sur lequel il a posé un écran (tactile évidemment) et un OS rappelant les aplats d’iOS 7.
Le résultat laisse franchement rêveur et est visible dans le GIF juste en dessous.