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02 Sep 23:56

The Asian Street Food Festival in Chinatown is awesome and goes until Sunday night

by /u/Photo514
04 Aug 13:26

Looking down Drummond from the Bell center. A picture of Montreal is not complete without some orange cones.

by /u/kcamcam
27 May 11:06

Media News Digest: The journalism panel, Journal de Mourréal loses in court, V kills MusiquePlus brand

by Fagstein
News about news The Canadian government has selected eight organizations to choose a panel that will decide the criteria for news organizations to meet to be eligible for part of its $595-million subsidy: News Media Canada (the newspaper association/lobbying group), the Association de la presse francophone (representing francophone media outside Quebec), the Quebec Community Newspaper […]
03 May 04:30

Guy Nantel exige des excuses de la part d'un spectateur

by HollywoodPQ
On va dire comme La clique du Plateau : Guy Nantel ne prend pas super bien la critique!

Source

27 Aug 02:22

À Montréal et Laval, les commissions scolaires combattent la pénurie d’enseignants

by Henri Ouellette-Vézina

À l’aube de la rentrée, la situation de pénurie d’enseignants tarde à s’améliorer dans la région métropolitaine. La Commission scolaire de Montréal (CSDM) et la Commission scolaire de Laval (CSDL) s’affairent à élaborer des stratégies qui leur permettront d’au moins «sortir la tête de l’eau».

Le manque de professeurs se fait encore sentir cette année, selon la présidente de la CSDM, Catherine Harel Bourdon. «On est toujours en situation de pénurie d’enseignants, explique-t-elle. Un baccalauréat, c’est quatre ans, donc les gens qui sont entrés l’an passé en ont encore pour quelques années à se former. On s’attend à avoir ce problème encore pour un certain temps.»

Il y a deux ans, la CSDM avait été forcée de recruter 750 enseignants et suppléants pour pallier les nombreux départs à la retraite et congés de maladie, mais aussi pour faire face à la quantité grandissante d’élèves entre ses murs. L’an passé, le manque à gagner se chiffrait à 1342 personnes.

«Une augmentation très importante», admet la directrice, qui n’a pu fournir les statistiques pour 2018-2019. Celles-ci pourraient toutefois être amenées à gonfler encore.

D’ici cinq ans, la CSDM prévoit accueillir 7000 nouveaux élèves. Une augmentation de 8 à 9% par rapport à son effectif actuel de 76 000. «Ça prend nécessairement beaucoup plus d’enseignants, tous niveaux confondus», analyse Mme Harel Bourdon.

Constat similaire à Laval, avec quelques nuances toutefois. «Il n’y a pas énormément de personnel en ce moment, parce que les facultés ne fournissent pas suffisamment d’enseignants pour le nombre d’élèves qu’on a», reconnaît pour sa part la présidente de la CSDL, Louise Lortie, à Métro.

Sur une note plus optimiste, elle indique que la situation est moins catastrophique actuellement pour son organisation. «On se trouve dans une meilleure situation que l’an dernier, au niveau des comblements de poste notamment, ajoute-t-elle. On travaille fort pour remplir tous les trous, mais disons que ça va mieux, sans être complètement réglé.»

Des séances d’affectation doivent d’ailleurs avoir lieu lundi et mardi à la CSDL et au Syndicat de l’enseignement de la région de Laval (SERL), afin de tenter de recruter le personnel requis pour débuter l’année scolaire.

«Il y aura surement une pénurie, car on ne règle pas ces problèmes-là en deux ou trois mois, affirme de son côté le président du SERL, Guy Bellemare. J’aurai un portrait plus clair de la situation après que les postes auront tous été octroyés, mais je pense qu’on se dirige encore une fois vers ça.»

Des défis supplémentaires
Au-delà du manque de professeurs, d’autres problèmes empêchent les commissions scolaires de fonctionner à plein régime. La présidente de la CSDM estime que l’un des plus grands défis, actuellement, est celui de l’accueil des familles immigrantes.

«Il y a en moyenne 250 inscriptions par semaine d’enfants de familles immigrantes. Si on considère qu’une classe d’accueil en francisation a une capacité de 15 élèves, ça fait une quinzaine d’enseignants supplémentaires à embaucher chaque semaine.» -Catherine Harel Bourdon

Au moment d’écrire ces lignes, la commission montréalaise prévoyait d’ailleurs recruter 50 professeurs de plus pour répondre à ces besoins. «On va avoir des enseignants dans chaque classe lundi pour la rentrée, assure Mme Harel Bourdon. Mais ce sont des postes ouverts, donc il se peut que ce ne soit pas les mêmes profs toute l’année.»

La situation est «d’autant plus précaire» dans le cas des familles immigrantes, «puisque ça prend des formations très spécifiques et des compétences très précises, ajoute-t-elle. La réalité, c’est qu’on n’a pas assez de gens formés en ce moment pour le nombre de classes d’accueil à ouvrir.»

Aux dires de la présidente de la CSDL, Louise Lortie, le manque d’effectifs se fait sentir bien au-delà du groupe professoral même, et touche plusieurs autres corps de métier.

«On sent une pénurie de personnel dans tous les domaines en fait, lance-t-elle. Et on sait que ça va continuer. Le nombre de baby-boomers qui quittent le travail a sur nous des répercussions énormes.»

Des stratégies pour s’en sortir
Dans les deux commissions scolaires, des stratégies sont en place pour renverser la tendance d’ici les prochaines années.

La CSDM et la CSDL ont prévu plusieurs rencontres avec l’Université de Montréal (UdeM) ou l’Université du Québec à Montréal (UQAM) pour «évaluer les moyens à mettre en place et ainsi assurer un meilleur placement des futurs enseignants», avance Catherine Harel Bourdon.

De son côté, Louise Lortie vise surtout à revaloriser la profession et à «bien traiter son personnel» pour assurer une continuité dans sa commission scolaire.

«On a un département à la CSDL qui travaille chaque mois pour que l’insertion professionnelle de nos membres se déroule bien, exprime-t-elle. On est reconnus à ce niveau-là et ce n’est pas pour rien. On garde nos nouveaux enseignants, et on les accompagne autant que possible. C’est ça la clé.»

03 Jul 02:34

Summer Cafe Crawl

by /u/jaded_in_green

Our city is fully of cafes in every major street or intimate nooks and crannies. I'd love to discover more! Would people like to share some of their favorite coffee shops? I prioritize delicious, high quality coffee and nice seating arrangement over other things.

Some of my favorites include:

Cafe Rico

Cafe Larue

OUI MAIS NON

Coop Cagibi

Please indicate why you enjoy going there

submitted by /u/jaded_in_green
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08 Mar 00:49

Negro Community Center: demande de mise en réserve du terrain

by André Desroches

La Coalition de la Petite-Bourgogne demande que le terrain de l’ancien Negro Community Center (NCC), démoli en 2014, soit mis en réserve pour un projet social et communautaire incluant du logement abordable. Mais l’arrondissement du Sud-Ouest explique ne pas avoir les moyens d’en faire l’acquisition.

Le maire Benoit Dorais parle d’un «coût prohibitif». La valeur du terrain de 727 mètres carrés appartenant à un propriétaire privé est de 324 000$ au rôle d’évaluation.

Lundi, des citoyens et des représentants d’organismes se sont réunis près du lot situé sur la rue Coursol, dans la Petite-Bourgogne, pour réclamer sa mise en réserve.

Pour Patricia Viannay, organisatrice au POPIR-Comité Logement et membre de la Coalition de la Petite-Bourgogne, une réelle «volonté politique et des budgets appropriés» à la ville-centre permettraient à l’arrondissement d’aller de l’avant.

La Ville a créé un fonds de 3 M$ pour 2015-2017 pour des réserves de terrains pour des logements sociaux. «À l’échelle de Montréal, c’est des peanuts», juge Mme Viannay.

Outre du logement, le site pourrait accueillir des services communautaires tels un centre de la petite enfance et une clinique médicale. «Dans le quartier, il n’y a pas beaucoup de services de proximité», note Vicente Perez, directeur de la Coalition de la Petite-Bourgogne. Directeur de l’Association des jeunes de la Petite-Bourgogne, Michael Farkas avance pour sa part l’idée d’intégrer «un centre de documentation sur l’histoire de la communauté noire». Il rappelle que le NCC ouvert de 1927 à 1993 a joué un rôle important pour cette communauté.

Le terrain est présentement zoné institutionnel. L’arrondissement a déjà indiqué qu’il ne souhaitait pas voir un projet de condos à cet endroit. Le maire Dorais précise qu’il n’y aura pas de changement de zonage tant qu’un projet soumis par le propriétaire «n’aura pas été accepté par la communauté».

Deux terrains dans la mire
Patricia Viannay reconnaît les efforts de l’arrondissement pour acquérir des terrains pour du logement social. «Localement, on ne peut pas dire qu’il n’y a pas une écoute. Mais les moyens financiers sont limités», fait-elle observer. Selon elle, la solution doit venir de la ville-centre.

L’arrondissement a fait l’acquisition l’an dernier d’un terrain sur la rue Saint-Ambroise et négocie l’achat d’un second lot situé à côté pour la construction de logements abordables. «On devrait s’entendre dans les prochains mois», avance le maire. L’arrondissement a aussi imposé une réserve sur un terrain appartenant à un propriétaire privé situé aux abords de l’avenue Greene. «C’est plus complexe. On ne s’entend pas sur le prix», indique M. Dorais, mentionnant que l’arrondissement pourrait procéder par voie d’expropriation.

«Réserver des terrains, on peut le faire localement à petite échelle. Mais plus on est près du centre-ville plus ça coûte cher», signale le maire, conscient que le fonds de 3 M$ est insuffisant. À son avis, une application par les arrondissements de la stratégie d’inclusion bonifiée par la Ville à la fin de 2015 permettrait de construire davantage de logements sociaux.

L’administration Coderre a fait passer de 200 à 100 unités le seuil après lequel un projet résidentiel doit inclure 15% de logements abordables et 15% de logements sociaux.


13 Nov 03:43

How to Make the Quickest, Easiest Vegetable Stock Ever

by Daniel Gritzer

Stock-making is often an involved process, requiring, at the very least, a special shopping trip and some simmering time. But when you can't put in that kind of effort, this basic vegetable stock will work wonders. It's quick and easy, and far better than store-bought vegetable stock or a flavorless alternative like water. Read More
31 Mar 03:02

En ces temps de débats et de division, rappelons-nous que, que l'on soit péquiste, libéral, caquiste ou solidaire, fédéraliste ou souverainiste, anglo ou franco, on peut être d'accord sur un point

Hostie de tabarnak de neige de marde câlisse que chus tanné.

Merci, ça m'a fait du bien.

submitted by Mean_Mister_Mustard
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05 Feb 12:34

New Allegations About Ultra Orthodox Jewish sect Lev Tahor

06 Dec 03:34

The 8 Best Music Venues In NYC

by Rebecca Fishbein
The 8 Best Music Venues In NYCThere's no shortage of places to rock out in this city, whether it be in an 18,000-capacity arena in Midtown or a semi-soundproofed apartment in Bed-Stuy. But some venues offer a little more bang for their buck than others, offering varying degrees of killer acoustics, vintage grandeur, sweet lineups and cheap beers. Here are a few of our favorites; we know you'll leave yours in the comments. [ more › ]
    






01 Dec 21:39

DU DÉCALOGUE AU DIALOGUE?

by lajoch


Mardi midi dernier, Max Lieberman m’a convié à aller luncher avec lui chez Chopps, un restaurant cacher sur Queen Mary. Pour tout vous dire, je refuse rarement une invitation. Surtout quand elle m’est proposée par quelqu’un qui, d’ordinaire, ne me porte pas dans son cœur.

Le porte-parole de la secte hassidique Satmar voulait qu’on discute. Mais, cette fois, de bonne foi. Bien installés devant un Pad Thaï au poulet et une salade, nous avons donc jasé.

Max n’était pas d’accord avec la façon dont Michael Rosenbergavait agi avec moi, mais il espérait que nous pourrions tourner la page sur ces années de mésentente et de discorde. Il prétend même qu'il est temps qu'une nouvelle génération de porte-parole hassidique prenne la relève.

Pendant une heure et demie, nous avons échangé sur un ton, ma foi, très civilisé, voire presque amical. Je n’étais plus, moi, l’antisémite de service, ni lui, le pit-bull religieux fanatique. S’il y en a d’autres qui veulent me proposer un lunch comme celui-là, ne vous gênez pas. Je n’ai jamais été scout, mais je suis toujours prêt! En passant, si ça peut vous rassurer, je paye toujours pour mes dépenses.

Après toutes ces années tumultueuses, se pourrait-il que les hautes sphères hassidiques soient vraiment tentées par une nouvelle approche? Le dialogue comme vertu cardinale, peut-être?  
  


Je ne suis pas le seul à me poser la question. Lundi soir dernier, dans son reportage intitulé Hassidiques : un vrai dialogue?, Émilie Dubreuil s’interroge. La journaliste de Radio-Canada avance que les ultraorthodoxes sont conscients d'être arrivés à un tournant et qu’il leur faut changer leur image. 

Confrontés à l’exaspération des citoyens qui perdure en raison de l’illégalité et du laisser-aller de nombreux lieux de cultes hassidiques, sans parler de tous les autres points de friction, les religieux sentent peut-être que le statu quo n’est pas tenable. 

À Outremont, la toute nouvelle conseillère ultraorthodoxe a déjà commencé à prêcher le dialogue, le dialogue et encore le dialogue pour résoudre les problèmes intercommunautaires. Même Hirsch Teitelbaum, un nouveau porte-parole hassidique, semble dire qu’une certaine ouverture pouvait ne pas s'avérer totalement néfaste. 


«Si on parle pas, y vont nous regarder comme des étrangers.» 
Hirsch Teitelbaum

Faut-il s’en réjouir? Certainement! Mais... pas trop vite.

Le passage concernant Sydney Pfeiffer
Les plus vieux se souviendront que la carte du «dialogue» nous a déjà été abondamment servie par les dirigeants hassidiques. 

En 1993, il y a exactement 20 ans, un premier Juif orthodoxe s'était fait élire conseiller municipal d'Outremont. Il s'appelait Sydney Pfeiffer. 

À l'époque, The American Jewish Year Book - 1993
révélait que M. Pfeiffer avait été «réquisitionné» pour représenter les intérêts des sectes hassidiques d'Outremont qui ont été confrontées à plusieurs conflits reliés —  je vous le donne en mille! —  à la
Sydney Pfeiffer
réglementation de zonage. Pfeiffer était alors confiant qu'un «increased dialogue between the Hassidim and non-Jews would help to improve the situation.» C'est pour dire que les problèmes datent de bien avant moi.

Hélas! Non seulement le temps n'a pas donné raison à Sydney, mais le pauvre homme a été condamné pour une fraude de 1,25 million de dollars.

Heureusement pour les sectes d'Outremont, Pfeiffer n'était pas le seul expert en relations intercommunautaires. D'autres comme Alex Werzberger n'ont pas donné leur place pour jeter de la poudre aux yeux et manier le déni avec grand art.

C'est Werzberger qui, le 6 décembre 2007 jurait au Canadian Jewish News : «We have permits for everything we build. All of the issues involving synagogues and schools were resolved years ago. No one is getting special privileges.» On connaît la suite.

 À l'inverse, le 12 février 2009, c'est ce même Alex qui racontait faire bien peu de cas de la réglementation municipale qui interdit les synagogues dans les zones résidentielles: «Les empêchements légaux ou l'activisme soi-disant laïciste... ne représentent que des problèmes contingents à renverser ou à contourner»

Qu'importe qu'il souffle le chaud ou le froid, il parvenait encore à embobiner la ministre de l'Éducation. En décembre 2008, Michelle Courchesne se pâmait de l'entente conclue avec les intégristes religieux: « C'est une ouverture de leur part qui n'avait jamais existé avant ».  

Pourtant, en juin 2012, quatre ans plus tard, nous apprenions non seulement que les écoles illégales avaient toujours pignon sur rue, mais qu'en plus, Michelle Courchesne avait bonifié leurs subventions. Quel beau bluff de la part des ultrareligieux!

À la suite du reportage de lundi soir dernier, Maxence Bilodeau a interviewé Pierre Anctil. 

L'air plutôt sceptique, le journaliste a demandé au professeur titulaire au département d’histoire de l’Université d’Ottawa si, avec l'élection d’une conseillère municipale hassidique, on pouvait (enfin?) parler d'un dialogue, d'une ouverture.

Fidèle à lui-même, Anctil a beurré épais. «Les communautés hassidiques ont compris que de faire le jeu de la démocratie, de la pleine participation, de l’ouverture, c’est gagnant.» 

Je suis resté les bras ballants. Ce n'est tout de même pas son frère jumeau qui, en 2009, estimait que la ministre Courchesne perdait son temps à négocier avec les rabbins un contrat qui les engagerait à respecter le cursus du ministère. Il n'y croyait pas une seconde.

En quittant Max Lieberman, je lui ai avoué que pour y croire, nous aurons besoin de preuves tangibles. Comme, par exemple, qu'ils remettent sur le marché locatif l'appartement au-dessus de la synagogue des Rosenberg qui a été transformé, sous de fausses représentations, en salle de prière pour un rabbin fantôme. Un coup parti, tiens! ses coreligionnaires pourraient en profiter pour renipper leurs synagogues-taudis. 

On verra bien si le message passe.
16 Jul 01:08

Deadspin A Redditor Has Been Leaking WWE Outcomes For Months | Jalopnik This is why you don't brake-

by Lauren Bertolini on lauren ☄, shared by Whitson Gordon to Lifehacker
18 May 15:58

BIXI: Nightmare on Every Street

by Georgia Peach
Tunnykim67

BIXI DRAMA

bixi-bike

Photo credit: montrealing.com

If you’ve never shelled out seven bucks to ride a BIXI and don’t want to be convinced against doing so, read no further.

In this article, I will expose all the components of the BIXI experience that you sign up for when you swipe your credit card. From here on in, we’ll affectionately refer to these nuisances as #BIXIdrama. 

The most basic #BIXIdrama offence is the catch-22 of needing a bike when there are none at the stand– so, you walk in the direction of your destination only to find the next stand empty… as is the next one… and the next one. And by then, you’ve reached your destination.

Then there’s the opposite– when you can’t find an empty dock and end up biking back to where you started. To be fair, BIXI forgivingly has a button you can press if a stand is chock-full and they give you 15 bonus minutes to find an empty dock.

We have survived both of these instances in the Plateau. And the people need to know.

Credit: Christinne Muschi, Reuters

Without a BIXI pass, it’s labor-intensive to rent a bike because you need to have the credit card you used on your person and swipe it for a temporary code. The machine doesn’t explain how to then redeem this code for a bike. Maybe many of us aren’t tech-savvy enough, but it’s so easy to run out of time. You have five whole minutes to fumble with the machine’s touch screen, exasperated, trying to taste the fruit of your virtual money’s labour. We’ll give you a hint: the three small numbers on the left side of the dock are touchable and that is where you type your code.

Not to mention the teasers galore– you return your bike in the last available slot, only to find it’s broken and won’t accept your bike, or conversely, when you’re ecstatic to see one final bike at a nearby empty stand (until you start riding away and realize the tires are flat, the chain dislodged, and your breaks don’t work, or your seat is precariously loose, or it makes a horrific squeaking noise that resembles a cat caught in your tire).

And forget ever using BIXI while in a less-than-meticulous mindset. You’ll encounter #BIXIdrama without a doubt, in the form of a $250 charge. Rules of thumb: don’t use BIXI while distracted, in a rush, or under any influence.

From what we can tell, the intentions of the system are positive and environmentally conscious, yet idealistic. BIXIs are hit-or-miss, and your best bet is to invest in your own bike, and pray to Beysus it doesn’t get its tires slashed or worse, stolen.

24580736

14 May 21:46

La Cardeline – Cookies inspired by France in Rosemont

by Michelle

La Cardeline La Cardeline La Cardeline La Cardeline La Cardeline La CardelineLa Cardeline La Cardeline La CardelineI had the pleasure of speaking with Virginie Cros, a French native from Marseille, who recently picked up, moved to Montreal and opened up a cookie shop based on the cookie shops found in Provence but with modernized ingredients and techniques.  She offers a selection of cookies based on butter, and another based on a special olive oil which she imports exclusively for her cookies.  They were rich, crumbly and extremely flavourful.  They will also be offering a frozen nougat dessert which is light, yet rich and thick (I know sounds counterintuitive but trust me!)  I loved the frozen dessert and found it very original.

Check out her cookie shop and her fab creations!

Decor: Simple yet functional.  It’s just a counter, and is strictly a to-go establishment.

Service: Cashier service only.

Price: $2.30 for a cookie which is fair.  They are pretty big too!

Good For: Cookies to go!  For a snack, or for an event.  Also, the nougat dessert is great for a hot day.

Baby Friendly:  It’s really just an order counter, so I’d say yes.

 

La Cardeline, 1123 rue Beaubien Est, Montreal

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