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Tunnykim67
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The Asian Street Food Festival in Chinatown is awesome and goes until Sunday night
Looking down Drummond from the Bell center. A picture of Montreal is not complete without some orange cones.
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Media News Digest: The journalism panel, Journal de Mourréal loses in court, V kills MusiquePlus brand
Guy Nantel exige des excuses de la part d'un spectateur
À Montréal et Laval, les commissions scolaires combattent la pénurie d’enseignants
À l’aube de la rentrée, la situation de pénurie d’enseignants tarde à s’améliorer dans la région métropolitaine. La Commission scolaire de Montréal (CSDM) et la Commission scolaire de Laval (CSDL) s’affairent à élaborer des stratégies qui leur permettront d’au moins «sortir la tête de l’eau».
Le manque de professeurs se fait encore sentir cette année, selon la présidente de la CSDM, Catherine Harel Bourdon. «On est toujours en situation de pénurie d’enseignants, explique-t-elle. Un baccalauréat, c’est quatre ans, donc les gens qui sont entrés l’an passé en ont encore pour quelques années à se former. On s’attend à avoir ce problème encore pour un certain temps.»
Il y a deux ans, la CSDM avait été forcée de recruter 750 enseignants et suppléants pour pallier les nombreux départs à la retraite et congés de maladie, mais aussi pour faire face à la quantité grandissante d’élèves entre ses murs. L’an passé, le manque à gagner se chiffrait à 1342 personnes.
«Une augmentation très importante», admet la directrice, qui n’a pu fournir les statistiques pour 2018-2019. Celles-ci pourraient toutefois être amenées à gonfler encore.
D’ici cinq ans, la CSDM prévoit accueillir 7000 nouveaux élèves. Une augmentation de 8 à 9% par rapport à son effectif actuel de 76 000. «Ça prend nécessairement beaucoup plus d’enseignants, tous niveaux confondus», analyse Mme Harel Bourdon.
Constat similaire à Laval, avec quelques nuances toutefois. «Il n’y a pas énormément de personnel en ce moment, parce que les facultés ne fournissent pas suffisamment d’enseignants pour le nombre d’élèves qu’on a», reconnaît pour sa part la présidente de la CSDL, Louise Lortie, à Métro.
Sur une note plus optimiste, elle indique que la situation est moins catastrophique actuellement pour son organisation. «On se trouve dans une meilleure situation que l’an dernier, au niveau des comblements de poste notamment, ajoute-t-elle. On travaille fort pour remplir tous les trous, mais disons que ça va mieux, sans être complètement réglé.»
Des séances d’affectation doivent d’ailleurs avoir lieu lundi et mardi à la CSDL et au Syndicat de l’enseignement de la région de Laval (SERL), afin de tenter de recruter le personnel requis pour débuter l’année scolaire.
«Il y aura surement une pénurie, car on ne règle pas ces problèmes-là en deux ou trois mois, affirme de son côté le président du SERL, Guy Bellemare. J’aurai un portrait plus clair de la situation après que les postes auront tous été octroyés, mais je pense qu’on se dirige encore une fois vers ça.»
Des défis supplémentaires
Au-delà du manque de professeurs, d’autres problèmes empêchent les commissions scolaires de fonctionner à plein régime. La présidente de la CSDM estime que l’un des plus grands défis, actuellement, est celui de l’accueil des familles immigrantes.
«Il y a en moyenne 250 inscriptions par semaine d’enfants de familles immigrantes. Si on considère qu’une classe d’accueil en francisation a une capacité de 15 élèves, ça fait une quinzaine d’enseignants supplémentaires à embaucher chaque semaine.» -Catherine Harel Bourdon
Au moment d’écrire ces lignes, la commission montréalaise prévoyait d’ailleurs recruter 50 professeurs de plus pour répondre à ces besoins. «On va avoir des enseignants dans chaque classe lundi pour la rentrée, assure Mme Harel Bourdon. Mais ce sont des postes ouverts, donc il se peut que ce ne soit pas les mêmes profs toute l’année.»
La situation est «d’autant plus précaire» dans le cas des familles immigrantes, «puisque ça prend des formations très spécifiques et des compétences très précises, ajoute-t-elle. La réalité, c’est qu’on n’a pas assez de gens formés en ce moment pour le nombre de classes d’accueil à ouvrir.»
Aux dires de la présidente de la CSDL, Louise Lortie, le manque d’effectifs se fait sentir bien au-delà du groupe professoral même, et touche plusieurs autres corps de métier.
«On sent une pénurie de personnel dans tous les domaines en fait, lance-t-elle. Et on sait que ça va continuer. Le nombre de baby-boomers qui quittent le travail a sur nous des répercussions énormes.»
Des stratégies pour s’en sortir
Dans les deux commissions scolaires, des stratégies sont en place pour renverser la tendance d’ici les prochaines années.
La CSDM et la CSDL ont prévu plusieurs rencontres avec l’Université de Montréal (UdeM) ou l’Université du Québec à Montréal (UQAM) pour «évaluer les moyens à mettre en place et ainsi assurer un meilleur placement des futurs enseignants», avance Catherine Harel Bourdon.
De son côté, Louise Lortie vise surtout à revaloriser la profession et à «bien traiter son personnel» pour assurer une continuité dans sa commission scolaire.
«On a un département à la CSDL qui travaille chaque mois pour que l’insertion professionnelle de nos membres se déroule bien, exprime-t-elle. On est reconnus à ce niveau-là et ce n’est pas pour rien. On garde nos nouveaux enseignants, et on les accompagne autant que possible. C’est ça la clé.»
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Negro Community Center: demande de mise en réserve du terrain
La Coalition de la Petite-Bourgogne demande que le terrain de l’ancien Negro Community Center (NCC), démoli en 2014, soit mis en réserve pour un projet social et communautaire incluant du logement abordable. Mais l’arrondissement du Sud-Ouest explique ne pas avoir les moyens d’en faire l’acquisition.
Le maire Benoit Dorais parle d’un «coût prohibitif». La valeur du terrain de 727 mètres carrés appartenant à un propriétaire privé est de 324 000$ au rôle d’évaluation.
Lundi, des citoyens et des représentants d’organismes se sont réunis près du lot situé sur la rue Coursol, dans la Petite-Bourgogne, pour réclamer sa mise en réserve.
Pour Patricia Viannay, organisatrice au POPIR-Comité Logement et membre de la Coalition de la Petite-Bourgogne, une réelle «volonté politique et des budgets appropriés» à la ville-centre permettraient à l’arrondissement d’aller de l’avant.
La Ville a créé un fonds de 3 M$ pour 2015-2017 pour des réserves de terrains pour des logements sociaux. «À l’échelle de Montréal, c’est des peanuts», juge Mme Viannay.
Outre du logement, le site pourrait accueillir des services communautaires tels un centre de la petite enfance et une clinique médicale. «Dans le quartier, il n’y a pas beaucoup de services de proximité», note Vicente Perez, directeur de la Coalition de la Petite-Bourgogne. Directeur de l’Association des jeunes de la Petite-Bourgogne, Michael Farkas avance pour sa part l’idée d’intégrer «un centre de documentation sur l’histoire de la communauté noire». Il rappelle que le NCC ouvert de 1927 à 1993 a joué un rôle important pour cette communauté.
Le terrain est présentement zoné institutionnel. L’arrondissement a déjà indiqué qu’il ne souhaitait pas voir un projet de condos à cet endroit. Le maire Dorais précise qu’il n’y aura pas de changement de zonage tant qu’un projet soumis par le propriétaire «n’aura pas été accepté par la communauté».
Deux terrains dans la mire
Patricia Viannay reconnaît les efforts de l’arrondissement pour acquérir des terrains pour du logement social. «Localement, on ne peut pas dire qu’il n’y a pas une écoute. Mais les moyens financiers sont limités», fait-elle observer. Selon elle, la solution doit venir de la ville-centre.
L’arrondissement a fait l’acquisition l’an dernier d’un terrain sur la rue Saint-Ambroise et négocie l’achat d’un second lot situé à côté pour la construction de logements abordables. «On devrait s’entendre dans les prochains mois», avance le maire. L’arrondissement a aussi imposé une réserve sur un terrain appartenant à un propriétaire privé situé aux abords de l’avenue Greene. «C’est plus complexe. On ne s’entend pas sur le prix», indique M. Dorais, mentionnant que l’arrondissement pourrait procéder par voie d’expropriation.
«Réserver des terrains, on peut le faire localement à petite échelle. Mais plus on est près du centre-ville plus ça coûte cher», signale le maire, conscient que le fonds de 3 M$ est insuffisant. À son avis, une application par les arrondissements de la stratégie d’inclusion bonifiée par la Ville à la fin de 2015 permettrait de construire davantage de logements sociaux.
L’administration Coderre a fait passer de 200 à 100 unités le seuil après lequel un projet résidentiel doit inclure 15% de logements abordables et 15% de logements sociaux.
How to Make the Quickest, Easiest Vegetable Stock Ever
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En ces temps de débats et de division, rappelons-nous que, que l'on soit péquiste, libéral, caquiste ou solidaire, fédéraliste ou souverainiste, anglo ou franco, on peut être d'accord sur un point
Hostie de tabarnak de neige de marde câlisse que chus tanné.
Merci, ça m'a fait du bien.
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New Allegations About Ultra Orthodox Jewish sect Lev Tahor
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The 8 Best Music Venues In NYC
DU DÉCALOGUE AU DIALOGUE?
Le porte-parole de la secte hassidique Satmar voulait qu’on discute. Mais, cette fois, de bonne foi. Bien installés devant un Pad Thaï au poulet et une salade, nous avons donc jasé.
Max n’était pas d’accord avec la façon dont Michael Rosenbergavait agi avec moi, mais il espérait que nous pourrions tourner la page sur ces années de mésentente et de discorde. Il prétend même qu'il est temps qu'une nouvelle génération de porte-parole hassidique prenne la relève.
Après toutes ces années tumultueuses, se pourrait-il que les hautes sphères hassidiques soient vraiment tentées par une nouvelle approche? Le dialogue comme vertu cardinale, peut-être?
À Outremont, la toute nouvelle conseillère ultraorthodoxe a déjà commencé à prêcher le dialogue, le dialogue et encore le dialogue pour résoudre les problèmes intercommunautaires. Même Hirsch Teitelbaum, un nouveau porte-parole hassidique, semble dire qu’une certaine ouverture pouvait ne pas s'avérer totalement néfaste.
«Si on parle pas, y vont nous regarder comme des étrangers.» Hirsch Teitelbaum |
Le passage concernant Sydney Pfeiffer |
révélait que M. Pfeiffer avait été «réquisitionné» pour représenter les intérêts des sectes hassidiques d'Outremont qui ont été confrontées à plusieurs conflits reliés — je vous le donne en mille! — à la
Sydney Pfeiffer |
On verra bien si le message passe.
Deadspin A Redditor Has Been Leaking WWE Outcomes For Months | Jalopnik This is why you don't brake-
Deadspin A Redditor Has Been Leaking WWE Outcomes For Months | Jalopnik This is why you don't brake-check a car in your motorcycle | io9 Which formerly lovable hero became way too much of a jerk? | Gizmodo The iPhone Didn't Kill Cameras, It Made Us Want Better Ones | Valleywag Startup Queen Brit Morin Plagiarized Her Entire Today Show Appearance
BIXI: Nightmare on Every Street
Tunnykim67BIXI DRAMA
Photo credit: montrealing.com
If you’ve never shelled out seven bucks to ride a BIXI and don’t want to be convinced against doing so, read no further.
In this article, I will expose all the components of the BIXI experience that you sign up for when you swipe your credit card. From here on in, we’ll affectionately refer to these nuisances as #BIXIdrama.
The most basic #BIXIdrama offence is the catch-22 of needing a bike when there are none at the stand– so, you walk in the direction of your destination only to find the next stand empty… as is the next one… and the next one. And by then, you’ve reached your destination.
Then there’s the opposite– when you can’t find an empty dock and end up biking back to where you started. To be fair, BIXI forgivingly has a button you can press if a stand is chock-full and they give you 15 bonus minutes to find an empty dock.
We have survived both of these instances in the Plateau. And the people need to know.
Credit: Christinne Muschi, Reuters
Without a BIXI pass, it’s labor-intensive to rent a bike because you need to have the credit card you used on your person and swipe it for a temporary code. The machine doesn’t explain how to then redeem this code for a bike. Maybe many of us aren’t tech-savvy enough, but it’s so easy to run out of time. You have five whole minutes to fumble with the machine’s touch screen, exasperated, trying to taste the fruit of your virtual money’s labour. We’ll give you a hint: the three small numbers on the left side of the dock are touchable and that is where you type your code.
Not to mention the teasers galore– you return your bike in the last available slot, only to find it’s broken and won’t accept your bike, or conversely, when you’re ecstatic to see one final bike at a nearby empty stand (until you start riding away and realize the tires are flat, the chain dislodged, and your breaks don’t work, or your seat is precariously loose, or it makes a horrific squeaking noise that resembles a cat caught in your tire).
And forget ever using BIXI while in a less-than-meticulous mindset. You’ll encounter #BIXIdrama without a doubt, in the form of a $250 charge. Rules of thumb: don’t use BIXI while distracted, in a rush, or under any influence.
From what we can tell, the intentions of the system are positive and environmentally conscious, yet idealistic. BIXIs are hit-or-miss, and your best bet is to invest in your own bike, and pray to Beysus it doesn’t get its tires slashed or worse, stolen.
La Cardeline – Cookies inspired by France in Rosemont
I had the pleasure of speaking with Virginie Cros, a French native from Marseille, who recently picked up, moved to Montreal and opened up a cookie shop based on the cookie shops found in Provence but with modernized ingredients and techniques. She offers a selection of cookies based on butter, and another based on a special olive oil which she imports exclusively for her cookies. They were rich, crumbly and extremely flavourful. They will also be offering a frozen nougat dessert which is light, yet rich and thick (I know sounds counterintuitive but trust me!) I loved the frozen dessert and found it very original.
Check out her cookie shop and her fab creations!
Decor: Simple yet functional. It’s just a counter, and is strictly a to-go establishment.
Service: Cashier service only.
Price: $2.30 for a cookie which is fair. They are pretty big too!
Good For: Cookies to go! For a snack, or for an event. Also, the nougat dessert is great for a hot day.
Baby Friendly: It’s really just an order counter, so I’d say yes.
La Cardeline, 1123 rue Beaubien Est, Montreal