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26 Jul 22:01

Zoom - Kévin Veyssière : Paris 2024 : l'histoire méconnue des JO

Kévin Veyssière nous présente son dernier ouvrage "GeopOlympics - Les grandes histoires géopolitiques des JO". A l’occasion des Jeux olympiques de Paris 2024, il propose un livre revenant sur les grandes étapes de la création des Olympiades modernes. Des jeux d’Athènes de 1896 à Paris 2024, le développement du sport comme outil politique par les nations a donné lieu à des affrontements mythiques mais aussi des boycotts et des mises à l’écart de pays par le Comité international olympique. Des sujets traités dans un ouvrage qui traverse un siècle et permettra aussi bien de mieux comprendre l’histoire des Jeux que de briller en société grâce à des anecdotes croustillantes !

26 Jul 22:01

KO olympique : que la fête commence ! - JT du vendredi 26 juillet 2024

A la une de ce journal la sécurité des Jeux Olympiques déjà mise à rude épreuve avec des actes de sabotages sur des lignes de train !

Six mois après le vote de la loi immigration, où en est ce texte ? Est-il appliqué ? Que change-t-il ? Nos explications dans cette édition.

Une page immobilière également avec les prix qui baissent désormais partout et l’inquiétude d’une crise de la pierre !

Et enfin l’Europe centrale à l’heure de l’Empire du milieu, nos correspondants reviennent sur le rapprochement sino-hongrois.

26 Jul 21:59

JO de Paris : agacés par la mauvaise qualité des transports, six nageurs sud-coréens quittent le village olympique pour un hôtel #Paris2024

by Remi

Encore des grincements de dents au village olympique. Alors que les Britanniques ont exprimé leur colère concernant la nourriture de la cantine (ils ont même fait venir leur propre chef), c’est au tour des nageurs sud-coréens d’afficher leur mécontentement. Pour eux, ce n’est pas la cantine qui est en cause mais les transports. Six nageurs ont carrément quitté le village olympique ce vendredi pour rejoindre un hôtel situé à cinq minutes à pieds de la piscine olympique à La Paris Défense Arena, à Nanterre, a annoncé Chong Chang-hoon, le président de la Fédération sud-coréenne de natation. “On veut simplement être sûr qu’ils sont à l’aise”, a déclaré le patron coréen.

BFMTV

(…) Jeudi, Kim Woo-min s’était plein du temps de trajet et des conditions de celui-ci : « Il fait plus frais dehors qu’à l’intérieur du bus. Il faut habituellement environ 40 à 45 minutes du village à l’arène, mais cela nous a pris plus d’une heure et demie aujourd’hui. Les fenêtres ont été enregistrées probablement parce qu’elles craignaient des attaques terroristes. Mais il faut faire quelque chose. » (…)

Une déclaration prise au pied de la lettre par sa fédération, qui n’a pas tardé à délocaliser certains de ses nageurs. (…)

Ouest France


26 Jul 21:58

Cène du Christ version drag queens, message de la délégation algérienne, Philippe Katherine en slip, prémices d’un plan à trois, Aya Nakamura… les scènes polémiques de la Cérémonie des JO (MàJ : Musk indigné par la parodie de la Cène, France TV supprime leur tweet qui s’en réjouissait)

by Remi

Lien tweet FDS / Lien preuve tweet supprimé

Lien tweet FDS / Lien tweet Musk



“Performance” de Philippe Katherine :




26 Jul 21:57

Déficit public : la France visée par une procédure disciplinaire européenne

by Boulevard Voltaire
Malgré les rodomontades de Bruno Le Maire, l'état des finances publiques de la France est désastreux.
26 Jul 21:57

Sabotage SNCF : ils avaient anticipé, disent-ils…

by Gabrielle Cluzel
Ce gouvernement démissionnaire, dans tous les sens du mot, met la France en danger.
26 Jul 21:57

Quand on est dans le camp du Bien, l’État de droit c’est cool !

by Michel Geoffroy
La gauche Macron : vous avez dit « thèse complotiste » ?En France l’oligarchie n’arrête pas de nous vanter les vertus de l’État de droit. Pourquoi ? La réponse de Michel Geoffroy.
26 Jul 21:56

Elon Musk : mon fils transgenre “tué par le virus mental de l’idéologie woke”

by Audrey
Quiconque affiche ses positions contre les dérives du transgenrisme est immédiatement taxé de bigot réactionnaire. Mais ce n’est pas vraiment le sobriquet que l’on peut réserver au trublion transhumaniste fondateur de SpaceX qui a juré que sa prochaine femme serait un robot et a fait appel à une mère porteuse pour concevoir un de ses […]
26 Jul 21:56

Espagne. Les clandestins africains continuent d’affluer dans les îles Canaries [Vidéo]

by Arthur Keraudren
CanariesBien que l’afflux exponentiel de migrants en Espagne cette année ait fait déborder les centres d’accueil du système, le gouvernement espagnol semble toujours autant démuni face aux arrivées de clandestins dans l’archipel des Canaries. Récemment, un nouvel afflux de migrants a eu lieu, avec plus de 300 individus ayant débarqué sur l’île de Grande Canarie […]
26 Jul 21:56

Médias, liberté d’expression, dissidence… les gauchistes veulent tout interdire… et ils ont leurs lois et leurs amis pour eux [L’Agora]

by Rédaction
La récente décision de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) de supprimer l’autorisation de diffusion de la chaîne C8 sur la TNT a ravivé les débats sur la liberté d’expression en France. Ce n’est pas seulement un coup porté à un média, mais une attaque directe, de longue date, et beaucoup […]
26 Jul 21:55

JO 2024 dans le tiers-monde. Le match Maroc – Argentine dégénère, un joueur argentin volé de 50 000 € [Vidéo]

by Arthur Keraudren
Il n’aura donc pas fallu longtemps pour que les Jeux Olympiques 2024 connaissent leurs premiers incidents. Avant même la cérémonie d’ouverture des JO qui a lieu à Paris vendredi 26 juillet au soir, le premier match du tournoi olympique de football masculin entre l’Argentine et le Maroc a été le théâtre d’incidents. Tandis que le […]
26 Jul 21:54

Vincent Lapierre (Le Média pour tous) inspecte Paris avant les JO….

by Rédaction
Les Jeux Olympiques 2024 ont lieu aujourd’hui à Paris. Vincent Lapierre s’est rendu à Paris avec Le Média pour tous il y a quelques jours pour voir ce qu’il s’y passe. Crédit photo : DR [cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source […]
26 Jul 16:55

Sainte-Croix, ville frontière attaquée à l’explosif

by opoliver

Depuis l’abandon des contrôles systématiques aux frontières nationales en 2007, Sainte-Croix a dû s’habituer à vivre avec la criminalité transfrontalière. En effet, la frontière avec la France se trouve à quelques kilomètres du centre-ville. Commerces et habitants ont été contraints de s’habituer au tourisme criminel qui profite d’une frontière devenue passoire.

On nous avait promis plus de sécurité grâce à l’ouverture des frontières et à l’intégration de la Suisse dans l’espace Schengen. Vaines promesses que seule l’UDC avait combattues en votation populaire en 2005. 20 ans plus tard, Sainte-Croix est de nombreuses communes proches de la frontière nationale paie un lourd tribut à la naïveté politique.

Les criminels transfrontaliers profitent de la faiblesse des autorités
Mais, cette fois-ci, c’est à l’explosif que l’attaque a eu lieu dans une petite ville de près de 5’000  habitants ! Le choc et le sentiment d’insécurité n’en sont que plus grands au sein de la population locale. Les criminels étrangers prennent notre tolérance pour de la faiblesse et profitent impunément des frontières ouvertes, il faut que cette naïveté cesse !

C’est pourquoi, lors de la session d’été des Chambres fédérales, j’ai déposé une motion intitulée « Garantir une protection permanente des frontières » et qui demande précisément que nos frontières ne soient plus des passoires qui offrent l’opportunité aux criminels étrangers de commettre des délits et des crimes violents en Suisse.

Cette « nouvelle normalité », l’UDC a décidé depuis plus d’un an de la mesurer et de la monitorer. L’inaction et la faiblesse politique conduisent notre pays à tolérer de plus en plus de crimes commis par des étrangers.

Afin de mettre désormais un terme à l’inaction politique et pour obliger le Conseil fédéral et le Parlement à agir pour protéger notre population et nos entreprises, l’UDC a lancé une nouvelle initiative populaire intitulée « Pour la protection des frontières ». Signez et faites signer notre initiative pour mettre un terme à la faiblesse des autorités politiques face à la criminalité transfrontalière.

26 Jul 16:54

Dis maman, c’est quoi le wokisme ?

by Christine Tasin

Notre commentateur Dainville me demandait hier de préciser ce qu’est le wokisme, mot relativement nouveau mis un peu à toutes les sauces, et en tout cas pour nous, les patriotes, mot péjoratif quand il est au contraire laudatif pour nos ennemis immigrationnistes, égalitaristes fous, anti-républicains, anti-citoyenneté car pro-citoyenneté du monde, un monde où tout se vaut et où tout le monde a les mêmes droits – tous les droits – que tout le monde, et même celui de changer de sexe à 10 ans…

Bref, c’est une logique de destruction de ce que nos ancêtres ont mis des siècles et même pour certains des millénaires à construire, une société avec des cadres, des droits… et des devoirs !

Je pourrais baptiser le wokisme “retour à la loi de la jungle” mais ce ne serait pas juste faux car dans la jungle n’importe quel lion ne peut pas arriver et s’imposer chez les tigres alors que les wokistes considèrent que le premier migrant venu avec des croyances et modes de vie au antipodes des nôtres pourrait (devrait ?) être notre dirigeant. Le wokisme pervertit et renverse tout, même la loi dite naturelle à la Rousseau (je déteste Rousseau, ancêtres des écolos dingos et des wokistes par certains côtés, mais ce n’est pas le sujet). C’est juste une entreprise de destruction massive de tout ce que l’homme a construit laborieusement depuis la préhistoire, avec la volonté de détruire l’héritage et l’histoire qui sont nôtres s’ils ont le mauvais goût de ne pas correspondre aux pensées, choix, modes de vie actuels.

Si je voulais caricaturer, on en est au point où vont forcément arriver des autodafés de livres comme Les 4 filles du docteur March, tellement peu “féministes” avec le rôle dévolu aux femmes  au XIXe siècle, et que dire de Autant en Emporte le Vent ! Combien de livres, de tableaux, de musiques risquent de disparaître des bibliothèques et des encyclopédies car ne correspondant pas à l’idéologie dominante qui se veut implacable et dictatoriale ?

Je viens d’écrire en vrac, sans réfléchir, sans relire, ce qui me passe par la tête, le sujet est vaste et ses sous-sujets innombrables… Et il faut avouer que le sujet est passionnant car, en creux, ce que n’est pas le wokisme, c’est justement ce que nous, les patriotes, défendons…

L’ANTISÈCHE. Jugée trop militante et trop « woke » dans ses créations cinématographiques, l’entreprise Disney est en perte de vitesse et essuie plusieurs échecs commerciaux. Mais qu’est-ce que le « wokisme » ? Chaque jour, le JDD répond à une question pas si bête que ça, pour mieux comprendre l’actualité.

Wish, The Marvels, Indiana Jones et le Cadran de la destinée, les dernières créations Disney sont des échecs commerciaux. La raison ? le militantisme « woke » ne fait plus vendre. Disney ou encore la plateforme de streaming Netflix plaçaient la diversité, le féminisme, le multiculturalisme et la cause LGBT au cœur de leurs créations. En 2025, le film Blanche-Neige sortira dans les salles. L’actrice principale Rachel Zegler, d’origine colombienne, a assuré que nous ne « sommes plus en 1937 » et que Blanche-Neige ne « sera plus sauvée par le prince et ne rêvera plus du grand amour. Elle sera la dirigeante qu’elle sait qu’elle peut être ».

Le « wokisme » est le nom donné au mouvement « woke » qui signifie « éveillé » en français. Le principe est de « rester éveillé ». Autrement dit, il faut avoir conscience des inégalités sociales et de racisme. Le « woke » est donc celui qui est éveillé à cette réalité néfaste et qui se donne pour mission de conscientiser les autres. Le terme est né en dès les années 1960 aux États-Unis dans les communautés afro-américaines, mais l’idéologie s’impose véritablement en 2013 avec le mouvement américain Black Lives Matter et son slogan « Stay Woke ». Il se développe alors à grande vitesse dans les universités américaines avant de toucher d’autres pays.

À l’origine, si le « wokisme » dénonce le racisme systémique et les violences policières, il finit par englober toujours davantage de problématiques. Il faudrait « rester éveillé » sur les discriminations subies par toutes les minorités de manière générale : les personnes non-blanches, les personnes LGBTQIA+, les femmes, les immigrés… Pour les plus extrêmes du mouvement, l’ennemi numéro un est le « mâle blanc hétérosexuel » responsable du patriarcat et globalement de tous les maux de la société. Les Blancs doivent avoir conscience de leurs privilèges et s’en excuser. Du « wokisme » découle l’intersectionnalité qui est le principe selon lequel les discriminations peuvent s’additionner, les réunions en non-mixité et la dénonciation du patriarcat et de tous les systèmes d’oppression.

Le « wokisme » vise à mettre en œuvre des changements progressistes dans la société. Le mouvement est par exemple responsable de la création de l’écriture inclusive. La langue française serait inégalitaire et sexiste. Selon les « wokes », le fait que le masculin l’emporte sur le féminin est une discrimination. Par exemple, il faudrait écrire les discriminé.e.s et non les discriminés.

Mathieu Bock-Côté, sociologue, chroniqueur et essayiste, définit le wokisme comme « une gauche haineuse, sectaire, intolérante et fanatique ».

https://www.lejdd.fr/Societe/cest-quoi-le-wokisme-4066399

Christine Tasin

https://resistancerepublicaine.com/

26 Jul 16:50

Ils ont changé de sexe et le regrettent : le grand tabou de la « détransition » de genre

by Unknown

ENQUÊTE DU FIGARO — Les transitions de genre augmentent, les détransitions aussi. Derrière ce phénomène se cache un immense mal-être d’une partie de la jeunesse.

Quand elle rencontre un pédopsychiatre pour la première fois il y a une dizaine d’années, Sophie, 14 ans, est pleine de certitudes. Quelques jours plus tôt, elle décrétait auprès de ses parents qu’il fallait l’appeler Soan, et qu’elle était un garçon. « C’était une enfant timide, mal dans son corps », se remémore le professionnel de santé, interrogé par Le Figaro. Avec son père, elle réclame un certificat médical pour entreprendre un traitement hormonal, ainsi qu’une mastectomie, l’ablation des seins. Le point de départ d’une transition de genre. Notre praticien dit l’avoir « écoutée », tout en lui conseillant de « prendre le temps » avant de débuter le processus. L’adolescente s’est alors mise en colère, accusant le médecin de vouloir lui faire une « thérapie de conversion ». Face à une telle situation, le spécialiste a refusé de fournir au père de Sophie le document demandé. « Ils sont revenus à la charge quelques mois plus tard, décrit le psychiatre. J’ai encore refusé. La jeune fille a menacé de se suicider ».


Mais la famille a persévéré, trouvé un endocrinologue complaisant pour obtenir le précieux sésame. Dans la communauté trans, des cartes de France des praticiens « safe », qui ne discuteront pas leurs choix, ont été créées. Six mois plus tard, le pédopsychiatre reçoit pourtant un appel du père de famille. « Sa fille avait pris des hormones, puis avait été opérée en Thaïlande dans la foulée. Elle n’allait pas bien du tout : elle était dépressive et devenue anorexique ». Hospitalisée, l’adolescente s’est « enfoncée dans son mal-être », relate cet interlocuteur. Avant qu’il ne perde contact avec elle, le médecin se souvient qu’elle « commençait à formuler des regrets et une grande détresse, d’avoir atteint son corps de cette manière, sans retour possible ». Lui qui a pourtant accompagné plusieurs adolescents dans leur transition de genre « lorsqu’ils étaient prêts », regrette ces quelques cas de « retour dans la détresse ». « Ce sont des situations dramatiques pour les concernés et leur famille ».


De 0,3 % à un tiers des cas, selon les études

Sophie, a-t-elle fait partie de ces jeunes gens qui « détransitionnent » en revenant en arrière dans ce lourd processus ? A-t-elle accepté son nouveau corps ou poursuivi sa transition ? « La dernière fois que je l’ai vue, il y a quelques années, elle avait toujours son apparence androgyne et était empêtrée dans une profonde anorexie ». Des histoires comme celles-là, il en existe quelques-unes dans le monde. En France, elles sont extrêmement rares. Car si les transitions de genre ont été multipliées par dix en dix ans et concernaient 9000 personnes en 2020, selon les chiffres de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam), les données concernant le retour en arrière, la détransition, sont floues. Les diverses études parlent de taux allant de 0,3 %… à un tiers des cas. Toutes ne définissent pas le terme de la même manière, les cohortes sont souvent réduites, la méthodologie diffère et le suivi des personnes ayant changé de sexe ne se fait pas forcément dans la durée.

En définitive, personne ne sait vraiment l’ampleur du phénomène. Mais il est pris au sérieux en France : dans leur rapport sur la transidentité, auquel a collaboré l’Observatoire de la Petite Sirène, une association d’experts dirigée par la pédopsychiatre Caroline Eliacheff et la psychanalyste Céline Masson, les sénateurs LR consacrent un chapitre entier à la détransition. « Il y a des cas », se contente de dire le sociologue Arnaud Alessandrin, joint par Le Figaro. Pour ce proche de la communauté LGBT, auteur d’une publication de 16 pages sur la thématique du regret dans le changement de genre, « ce qui est sûr, c’est que les chiffres augmentent, car le nombre de transitions augmente, mais ils restent très faibles ». Anaïs Perrin-Prevelle, directrice de l’association Outrans — la seule structure de support aux personnes trans qui a accepté de répondre à nos questions —, affirme même que le sujet « relève avant tout du fantasme », cette dernière n’ayant rencontré qu’un seul « détrans » en « cinq ans de groupes de parole réunissant chacun plus de 50 personnes ». Mais le phénomène est-il faible, ou bien invisible ? Une militante, proche de ce milieu, est catégorique : « Ce sont des personnes très fragiles qui souffrent beaucoup du mépris de leur ex-communauté. Elles se cachent et évitent de s’exprimer en public ». « Il est trop tôt pour dire ce qui nous attend, car les détransitions se font dans le temps. On risque d’avoir une forte hémorragie de cas dans les prochaines années », craint la maman d’une adolescente qui a, un temps, voulu transitionner, avant de se « désister ».

Une « vie de paria »

Bien que rares, les cas sont édifiants. Il y a 15 ans, Jade décide d’effectuer une transition de genre. Elle entreprend tout le processus pour devenir un homme : hormones, mastectomie puis phalloplastie (pose d’un phallus, NDLR). « Au bout de cinq ans, ce patient se sentait de moins en moins bien », se remémore le chirurgien Nicolas Morel-Journel, chef de service adjoint du Service d’urologie de l’hôpital Lyon Sud. Des démarches de détransition sont ainsi lancées. « On a enlevé sa phalloplastie, et cette personne a repris son identité féminine. Il y avait derrière une souffrance réelle et elle m’a dit : “Je regrette et je regretterai toujours, mais avec cette nouvelle intervention, je peux repartir et recommencer une vie” », raconte celui qui est l’un des plus grands experts français en chirurgie de réassignation de genre. Mais parfois, ce lourd processus n’a pas l’impact escompté. Comme cet homme, opéré « trop vite » en Thaïlande pour devenir une femme. « Elle a eu un coup de foudre pour une personne et m’a dit : “Je suis un homme et je regrette cette vaginoplastie” » L’équipe médicale lyonnaise accepte de l’opérer malgré plusieurs tentatives de suicide par le passé. « Ça n’a pas suffi, la personne a fini par se suicider. Dans certains cas, on a affaire à des fragilités internes, des histoires personnelles qui ne sont pas forcément solutionnables, déplore le chirurgien. Que se serait-il passé si on avait refusé ? Il n’y a pas toujours de bonne solution », veut-il croire.

Le spécialiste en urologie dit avoir compté, dans son service, une douzaine de cas « et peut-être un peu plus lorsqu’on parle de regret », sur 1500 personnes opérées dans sa carrière. La moitié des concernés ont regretté pour des raisons d’opérations ratées. L’autre moitié a eu des regrets « de fond » par rapport à la transition : « Pour eux, la chirurgie s’est bien passée, l’hormonothérapie aussi, mais le genre qu’ils ont ne leur convient plus », décrit-il. C’est le cas de Julie, devenue Joseph. Un jour de 2021, il partage sa détresse sur un forum de la communauté LGBT. « Je regrette depuis des années d’avoir fait la transition ftm (femme en homme, NDLR), j’en suis malheureux de ne plus vivre en femme », déclare cette personne. Et puisqu’il ne souhaite pas se lancer dans une détransition, car « le rendu ne me conviendra pas », il se retrouve « bloqué dans la vie en homme », dit-il. Avant de fustiger une « erreur de jeunesse », il pointe du doigt le « psy » qui lui a « donné l’accord pour les hormones au premier rendez-vous ». Dans cette « euphorie d’être androgyne » liée à son homosexualité, il dit être allé « trop loin », ne pas avoir imaginé les « conséquences » de la vie une fois le changement de sexe effectué. Après une mastectomie et une hystérectomie (ablation de l’utérus), il a constaté une « discrimination au quotidien en amour » en tant que trans. Une « vie de paria ». « J’ai l’impression d’avoir gâché ma vie », conclut-il.

Ce témoignage ressemble à celui de Lyo Kessler, cette jeune suisse « traumatisée » par sa transition. Née Hélène, Lyo était une petite fille plutôt garçonne. À l’adolescence, la puberté l’effraie. Pour elle, il s’agit de « gonflements ». Au départ, elle ne souhaite pas forcément être un homme, et s’identifier plutôt comme « autre chose », confiait-elle au controversé média France-Soir. Elle dit avoir été encouragée à subir une ablation des seins par les psychologues et psychiatres qu’elle a rencontrés. Son endocrinologue l’aurait également poussée à entreprendre la « chirurgie du bas », en se faisant enlever l’utérus et les ovaires, tout en couplant ceci à un traitement hormonal. Mais malgré ce désir d’effacer ses attributs féminins, elle regrette de ne pas avoir été considérée comme un homme par la société. « L’être trans n’existe que dans une construction psychologique et culturelle, une représentation psychologique », relate-t-elle, estimant qu’il faut « soigner ces personnes sur la base de la souffrance qui s’appelle dysphorie ».

Un système « pas assez contraignant » ?

Dans l’hôpital parisien d’excellence où il travaille, un psychiatre — qui a requis l’anonymat — dit avoir vu « deux ou trois cas très clairement exprimés » de regrets de transition depuis 1995. Comme ce jeune homme, convaincu de la nécessité de devenir une femme. « Après une opération à l’étranger, il a dit : “Je regrette, j’ai l’impression d’avoir été pris dans un système pas assez contraignant, sans garde-fous” », raconte-t-il. Ou encore ce cas d’une personne qui a « décompensé psychologiquement » à la suite de sa transition effectuée, là encore, en Thaïlande. « Elle a été opérée avec des certificats légers sur le plan psychiatrique », estime-t-il. Ou bien ce patient qui, 10 ans après, a écrit à la clinique du genre pour dire qu’il regrettait son choix. « Ce sont trois cas sur des centaines », tempère-t-il. Chez ceux qui transitionnent, mais aussi chez ceux qui reviennent en arrière, « il y avait une idéalisation du processus et sur ce que ça allait apporter au niveau de l’insertion, des performances scolaires, des effets sur la dépression, la dysphorie ». « Il y avait un impératif de survie chez les plus typiques, l’idée qu’ils ne pouvaient pas faire autrement. Le problème, c’est qu’il n’est pas si simple d’épouser cette nouvelle identité, notamment sur le plan physique, mais aussi de la sexualité », relève le professionnel de santé.

Le psychiatre en est conscient, son expérience ne reflète pourtant pas forcément la réalité. Car désormais, les « évolutions de la société, poussées par les associations et relayées par le milieu politique » ont permis la « dépsychiatrisation » de la transidentité, rappelle-t-il. Le modèle « très médical et structuré » a laissé place à un processus « plus souple à base de psychologues ». Dans son établissement, l’aide d’un psychomotricien et d’un ergothérapeute permet aux patients d’améliorer leur rapport au corps souvent « très difficile ». Car aujourd’hui, les patients en quête de changement de genre ne vont pas tous voir un psychiatre avant de prendre des hormones, voire de faire des opérations. Ces adolescents ou jeunes adultes peuvent donc passer parfois de l’endocrinologue au chirurgien. « Une soupape a été levée sur la question de l’hormonothérapie », admet le psychiatre. Les chirurgiens français sont « un peu plus réticents » à opérer quelqu’un sans consultation psychiatrique préalable, nous indique une source bien informée. « En France, heureusement, on prend le temps par rapport à d’autres pays comme la Suède, la Finlande, et la Grande-Bretagne », commente le pédopsychiatre Thierry Delcourt. « Ces pays ont simplement encadré leurs pratiques. Et c’est oublier ceux qui vont plus loin comme l’Espagne ou l’Allemagne », nuance Anaïs Perrin-Prevelle, la directrice d’Outrans. Le tourisme médical demeure quoi qu’il en soit un business florissant. « Il y a des structures privées à l’étranger qui permettent de se faire opérer sans se faire poser trop de questions », constate ce psychiatre parisien.

Détransition sociale

Comme la transition, la détransition de genre peut aussi être uniquement sociale. Dès sa plus tendre enfance, Lola a « eu du mal avec le fait d’être une fille ». Elle ne s’identifiait pas aux « stéréotypes de genre » et a « fait une crise d’angoisse » lorsqu’on lui a parlé de la puberté à l’école primaire. À la fin du collège, en 3e, elle rencontre des amies lors de cours d’art. « On a répondu à mes questions. Si je n’étais pas bien dans mon corps, c’est que mon genre n’était pas le bon ». Elle s’est d’abord identifiée comme « genderfluid » puis « non-binaire », et enfin en homme. Elle a choisi un nouveau prénom, s’habillait en garçon. « Je voulais commencer les hormones, mais ma mère s’y est opposée », relate-t-elle. « C’est dans ce genre de cas que commencent les thérapies de conversion », regrette Anaïs Perrin-Prevelle. Pour Lola et ses parents, la « guerre » commence à la maison, elle étant « sûre à 100 % » d’être trans. Grâce à des amis, elle fréquente la communauté LGBT : « On y cache plein de choses, c’est très malsain. Tous les gens dans ces groupes sont dépressifs, mal dans leur peau ». La dysphorie de genre est en effet souvent associée à des pathologies annexes comme l’anorexie, la dépression, la mutilation. Mais « on ne nous parle pas assez des risques liés aux opérations, ni du fait que le corps obtenu après la transition sera entre les deux », déplore Lola. Au fil du temps, l’adolescente, maintenant âgée de 17 ans, a su accepter son corps de femme. Anaïs Perrin-Prevelle le reconnaît, il faudrait « multiplier par 10 le niveau d’accompagnement » pour qu’il soit à la hauteur de la demande des jeunes.

Le parcours de Marie, 23 ans, ressemble à celui de Lola. Garçon manqué, elle s’est retrouvée, durant le lycée, engluée dans un groupe d’« amis bizarres ». « On aimait les mangas, on se ressemblait toutes, ça collait », expose-t-elle. Alors qu’elle se sentait parfaitement femme, ses amies ont commencé à critiquer sa tenue vestimentaire : « On me demandait pourquoi je mettais des robes on me disait que ça n’allait pas avec ma personnalité », se rappelle-t-elle. « Mes copines ramenaient tout à la cause LGBT : je mangeais LGBT, je respirais LGBT », poursuit-elle. À la fin de sa classe de 1re, elle se rase la tête, se fait appeler Gaël. Mais ses parents font un « blocage ». « Mes copines me disaient qu’ils étaient transphobes ». Marie commence à sortir avec une des filles de ce groupe « toxique ». Puis, comme souvent à cet âge, l’amourette s’arrête. « Elle m’a largué du jour au lendemain. Au bout de quelque temps, je me suis rendu compte qu’être un garçon ne me plaisait pas du tout », souligne la jeune femme. Pendant sa « transition sociale », Chloé dit avoir été « sous emprise » de ses amis. Dans le collectif de parents Ypomoni, qui s’opposent à la transition de leurs enfants, plusieurs mères de famille ont observé chez eux cette sujétion psychologique, via les réseaux sociaux ou la communauté LGBT. « On est quasiment dans une secte, avec un discours et un vocabulaire spécifique, sauf qu’il n’y a pas de gourou. Et tous ceux qui ne sont pas d’accord sont qualifiés de transphobes et sont exclus », pointe l’une d’elles. « Il n’y a aucune étude là-dessus, seulement un ressenti » rejette pour sa part le sociologue Arnaud Alessandrin.

Anaïs Perrin-Prevelle, elle, tient à différencier les « adolescents qui explorent » de ceux qui « ont vraiment une dysphorie de genre ». Mais n’est-il pas plus difficile de les distinguer, alors que la communauté médicale adopte une attitude « transaffirmative » visant à ne pas remettre en cause la parole des concernés ? « Ce positionnement n’empêche pas l’accompagnement, la discussion et l’écoute, qui parfois peut amener à une confirmation de l’envie de changer de genre, ou bien à une prise de conscience de l’inverse », assure le chirurgien Nicolas Morel-Journel. Là-dessus, l’Académie de médecine avait appelé à la vigilance, en 2022, jugeant qu’il est « essentiel d’assurer, dans un premier temps, un accompagnement médical et psychologique de ces enfants ou adolescents, mais aussi de leurs parents, d’autant qu’il n’existe aucun test permettant de distinguer une dysphorie de genre “structurelle” d’une dysphorie “transitoire de l’adolescence” ».

Avec le recul, Marie, elle, analyse cette période de sa vie comme un « effet générationnel » : « C’était les prémices de la popularité de cette communauté. Des gens qui ne rentrent pas dans les cases. On ferait mieux de combattre les normes plutôt que d’entreprendre un changement de genre ». Un constat partagé par Anaïs Perrin-Prevelle : « N’oublions pas que la majorité des transitions de genre en France ne sont pas médicales ». Et de pointer la « responsabilité » de l’État français, « pire qu’un état trumpiste américain », qui a « longtemps obligé à faire une opération chirurgicale complète pour changer d’état civil ». Pour le psychiatre parisien, si les personnes souhaitant se faire opérer sont « de plus en plus jeunes », celles-ci, « voient le genre comme quelque chose de bien plus large qu’auparavant. Il n’y a plus vraiment la problématique d’être une femme ou d’être un homme ». Un constat partagé par le sociologue Arnaud Alessandrin, dans sa publication sur le regret dans les transitions, qui ne serait « que l’expression d’un devenir de genre en débordement ». « Dans une vision expérientielle du sexe, ce dernier est un devenir qui n’a ni forme pure ni destination unique », écrit-il.

Ainsi, on pourrait naître femme, vouloir devenir homme pendant une période puis redevenir femme, car le genre est un « continuum », et non pas en raison d’une erreur. La romancière Torrey Peters, dans Detransition, Baby (2022) (cité dans le palmarès des 100 meilleurs livres du 21e siècle du très progressiste New York Times), a d’ailleurs exploré l’idée d’une détransition heureuse, en racontant l’histoire d’un homme devenu père après avoir détransitionné, au cœur d’un détonant triangle amoureux. Une fiction qui semble encore loin de la réalité : en Grande-Bretagne, le rapport Cass, commandé par le National Health Service (NHS) a conclu que « l’incongruité de genre ne persiste [généralement] pas à l’adolescence », qu’un « soutien psychologique » et une « approche vigilante » sont généralement recommandés au lieu d’une « transition sociale » en raison des « risques » qu’elle comporte. Même chose pour la détransition : si les chiffres manquent, le document indépendant appelle à la prudence et au « soutien » des personnes qui entreprennent une telle démarche, bien loin d’être anodine au niveau de leur corps.

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25 Jul 22:07

Le Nouvel I-Média - Arcom : coup d’Etat du parti des médias !

Cette semaine dans I-Média, Jean-Yves le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent dans l’image de la semaine sur la décision de l’ARCOM de retirer le canal TNT de C8, la chaîne de Vincent Bolloré avec Cyril Hanouna comme animateur vedette.

Le dossier du jour sera consacré au traitement médiatique du remplacement de Joe Biden par Kamala Harris en tant que candidate démocrate à la présidentielle américaine.

Les pastilles de l’info aborderont :

1- Occultation médiatique du viol d’une touriste à Pigalle
2- Les JO à Paris : la honte internationale
3- Le succès populaire du film le Comte de Monte Cristo

Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM sera consacré à Marc-Olivier Fogiel, qui vient d’être limogé de la direction de BFM TV.

25 Jul 22:07

JO : que le chaos commence ! - JT du jeudi 25 juillet 2024

A la une de cette édition, les JO pas encore commencés mais déjà mal embarqués. Insécurité, violences, manque de nourriture. Bienvenue en France.

 

Et l’actualité en France ce n’est pas que les Jeux, c’est aussi une rentrée politique explosive et un budget à l’automne qui pourrait renouer après les hausses d’impôts.

 

Direction l’Europe centrale ensuite avec l’Ukraine qui prive la Hongrie et la Slovaquie de pétrole russe.                   

 

Et enfin nous reviendrons sur les explications de Joe Biden concernant son abandon de la course à la présidentielle.

25 Jul 22:06

Chantage aux photos intimes : 63.000 comptes Instagram supprimés par Meta au Nigeria

by Jeanne

Le géant américain a décidé d’effacer des dizaines de milliers de comptes coupables de sextorsion, une escroquerie monétaire consistant à menacer de divulguer des photos intimes.

De l’argent contre des photos intimes, parfois de mineurs. Voilà l’escroquerie qui a conduit Meta à supprimer environ 63 000 comptes Instagram au Nigeria, selon un communiqué du géant américain publié ce jeudi. Ceux-ci « se sont livrés directement à des tentatives de sextorsion », a déclaré la maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp.

Parmi les comptes supprimés, 2 500 étaient rattachés à un groupe de seulement 20 personnes. Surnommés les « Yahoo Boys », à distance, ils poussent des internautes à leur fournir des photos et vidéos d’eux-mêmes dénudés, avant de les rançonner en menaçant de les rendre publiques s’ils n’envoient pas d’argent.

[…]

Le Parisien

25 Jul 22:06

Un énorme attentat visant les JO de Paris déjoué ? En Belgique, une vaste opération a permis l’arrestation d’un « groupe terroriste » de 7 individus. Le média belge DH affirme que la cible était bien les Jeux #Paris2024

by Remi

Sept personnes ont été interpellées ce jeudi matin en Belgique après une vague de perquisitions à travers tout le pays, ciblant les activités d’un groupe terroriste et la possible préparation d’un attentat, a annoncé le parquet fédéral belge.

“A ce stade on n’a aucune précision sur les lieux ou la cible visés, mais ce qui a été trouvé laisse envisager qu’un attentat était en préparation”, a expliqué Arnaud d’Oultremont, porte-parole du parquet.

Les perquisitions ont eu lieu à Anvers, Seraing, Saint-Josse-ten-Noode, Menin, Bourg-Léopold, Liège, Courtrai, Gand et Zonhoven, indique la RTBF. Les personnes interpellées sont soupçonnées de participation aux activités d’un groupe terroriste, de financement de terrorisme et de préparation d’attentat terroriste, soulignent les médias belges. La date de ce coup de filet est “au moins en partie liée” avec l’ouverture des Jeux olympiques, d’après la RTBFqui précise que d’autres interpellations se sont déroulées au même moment dans d’autres pays européens. (…)

Actu17

(…) La DH apprend à bonne source que les perquisitions menées ce jeudi matin en Belgique étaient liées à la préparation d’un attentat lors des JO de Paris qui débutent ce vendredi. (…)

DH Net

(Merci à Xavier et à François.)

25 Jul 22:06

Agression d’Angèle, 89 ans, à Cannes. Avril 2024 : un des agresseurs interpellé pour du deal (MàJ juillet 2024 : les agresseurs interpellés dans une voiture volée après un refus d’obtempérer et armés)

by turlututu2

25/07/2024. Les deux auteurs à nouveau interpellés au volant d’une voiture volée et incarcérés

Il faut croire qu’ils n’ont retenu aucune leçon de leur précédente condamnation. Et que le repentir, voire la rédemption, sont des notions qui leur échappent. Plus prosaïquement, ces deux mineurs cannois semblent n’avoir pas saisi la seconde chance que leur avait accordé la justice.

La précédente affaire avait ému toute la France et déclenché les passions. Les faits qui leur sont à nouveau reprochés se sont déroulés dans la nuit de samedi 20 juillet à dimanche 21 juillet.

Il était environ 4h30 du matin, lorsqu’une Toyota Yaris Cross avec cinq individus à bord s’est crashée. Le conducteur avec cinq jeunes à bord avait refusé d’obtempérer à un contrôle et avait pris la fuite jusqu’à l’autoroute au Muy, où il avait forcé une barrière de péage . Une course-poursuite s’était alors engagée avec une patrouille de gendarmerie.

La Toyota était déclarée volée. Les gendarmes découvraient aussi deux armes de poing factices, une bombe lacrymogène et des bouteilles contenant de l’essence. Les premières auditions faisaient apparaître que ce groupe était impliqué dans un projet de vol à main armée dans une villa de luxe, pour lequel il s’était procuré le véhicule volé.

Tous présentent donc des antécédents judiciaires, dont les deux agresseurs d’Angèle H., qui étaient sous le coup d’un sursis probatoire.

Rappelons que lors de la première audience devant le tribunal pour enfants de Grasse concernant l’agression d’Angèle H., alors que les jeunes agresseurs se montraient un peu goguenards dans la salle des pas perdus, l’avocat de la mamie, Me Jawed Dani, avait regretté “une ambiance très lourde” où il semblait que les accusés “ne faisaient pas véritablement profil bas, et n’avaient pas réellement pris conscience de la gravité des faits. C’est désolant.”

Nice Matin

07/04/2024


05/04/2024


28/06/2023


13/12/22

David Lisnard, maire de Cannes :


03/12/22



02/12/22

Les deux adolescents de 14 et 15 ans seront fixés sur leur sanction pénale lors d’une nouvelle audience, programmée en juin 2023. Le parquet annonce ce jeudi avoir fait appel de la relaxe du troisième mineur, qui filmait la scène

Le tribunal pour enfants a tranché. Les images de vidéosurveillance n’ont laissé aucune place au doute. Le mineur de 14 ans qui avait porté le violent coup au visage d’Angèle Houin, la faisant tomber au sol, inanimée, et celui de 15 ans, qui lui volait son sac à main, ont bien été reconnus coupable de l’agression de l’octogénaire, le 29 août dernier devant sa résidence de l’ouest de Cannes. 

Le troisième protagoniste, également âgé de 14 ans et qui filmait la scène, a été relaxé mercredi après-midi au cours d’une audience qui s’est déroulée à huis clos, a confirmé à 20 Minutes le parquet de Grasse, qui annonce ce jeudi avoir fait appel de cette décision.

(…) 20minutes.fr


01/12/22

“L’audience était longue et lourde, et l’ambiance était tendue. La défense était agressive, qui s’opposait à ce qu’on revoit les images de l’agression. Durant l’instruction, l’attitude des mineurs est encore inappropriée, déplore l’avocat d’Angèle. Certes, on nous a formellement présenté des excuses, mais cela manquait de sincérité. Et il n’y a pas eu véritablement de profil bas, on n’a pas ressenti de véritable prise de conscience de la gravité des faits, c’est ce qui est le plus désolant.”

Nice Matin

Mais en face de l’octogénaire, les deux jeunes mineurs n’ont apparemment manifesté aucun remord. “Ils ont eu une attitude totalement inappropriée”, juge l’avocat de la victime.

“Alors oui, on nous a présenté peut-être des excuses. On nous a présenté une lettre toute faite avec un argumentaire, un vocabulaire qui n’était pas propre à un enfant de quatorze ans. Mais on n’a pas ressenti de véritable sincérité, ou même une prise de conscience”, conclut-il. Les deux adolescents reconnus coupables connaîtront leur peine au printemps, lors d’une seconde audience à huis clos.

Europe 1


30/11/22

Agressée en août par trois mineurs convoqués aujourd’hui devant le tribunal pour enfants de Grasse, Angèle Houin, 89 ans, témoigne.

Trois mois après son agression par trois mineurs à Cannes, Angèle Houin, 89 ans, a toujours «un peu peur» quand elle rentre chez elle. Car, le 29 août dernier, ses agresseurs l’ont violemment frappée à la tête, juste devant sa résidence, pour lui voler son sac à main. Elle témoigne ce mercredi, alors que les trois adolescents sont convoqués devant la justice.

Ce jour-là, la vieille dame revenait tout juste de ses courses et n’a même pas vu ces adolescents, qui l’ont attaquée par derrière. Hospitalisée pendant 8 jours, Angèle Houin a subi une hémorragie cérébrale, plusieurs fractures du visage et de multiples contusions.

«ILS AURAIENT PU ME TUER»

Aujourd’hui, elle souffre toujours de séquelles et peine encore à réaliser. «Moi je suis une grand-mère, s’attaquer à moi c’est quand même méchant. Des fois ça m’angoisse, ça me donne envie de pleurer. Me faire ça à moi, qu’est-ce que je leur ai fait ? Rien. Ils auraient pu me tuer, je n’aurais plus vu mes enfants et mes petits-enfants».

Cnews



15/09/2022


07/09/2022


06/09/2022

05/09/2022


02/09/2022

Les mis en cause ont été, dans le cadre de leur contrôle judiciaire, placés dans des centres éducatifs fermés, à Marseille, Saint-Etienne et Bordeaux. 

CNews


01/09/2022

Dans une lettre à Gérald Darmanin, le maire (LR) de Cannes réclame la suspension des aides sociales aux familles des agresseurs de la dame de 89 ans :

“Si c’était ma mère…c’est peut-être moi qui serais en prison”, les propos du maire (LR) de Cannes, David Lisnard sont forts. L’édile sous-entend sur Twitter qu’il aurait pu se faire justice lui-même, s’il avait été touché personnellement par cette terrible agression :


Les trois auteurs de vol avec violence commis sur une dame âgée de 89 ans lundi midi à Cannes-La-Bocca ont été déférés au parquet de Grasse ce jeudi après-midi. Ils seront convoqués au tribunal pour enfants le 30 novembre prochain, avec déclaration de culpabilité.

En attendant leur comparution, un juge doit décider jeudi de leur placement préventif dans un centre éducatif fermé, sous contrôle judiciaire, comme requis par le Parquet. La décision devrait être rendue en fin de soirée.

[…]

Déjà une tentative de vol en juillet

Confondu par les images de vidéosurveillance du gardien de la résidence, l’auteur des coups, âgé de 14 ans, a été conduit au commissariat par sa famille dès le 30 août.

Le voleur de sac, 15 ans, et l’auteur de la vidéo téléphonique, 14 ans, ont été à leur tour interpellés le 31 août. Les deux premiers sont poursuivis pour vol aggravé en réunion et avec violence sur une personne vulnérable. Le troisième pour complicité.

[…]

Nice-Matin

Devant les enquêteurs, ces derniers ont d’abord cherché à nier, mais face aux images, ils ont fini par reconnaître leur participation, du bout des lèvres. Sans exprimer de réel regret, ni prise de conscience de la gravité des faits, selon nos informations.

Nice-Matin



31/08/2022

Ce lundi, aux alentours de midi à Cannes, une dame de 89 ans a été agressée par trois jeunes de 14 ans alors qu’elle rentrait chez elle. Frappée à la tête, l’octogénaire a perdu connaissance. Les trois agresseurs sont en garde à vue.

Une scène aussi affligeante que terrifiante. Ce lundi, un peu après midi, une dame de 89 ans rentre des courses dans sa résidence de Cannes-la-Bocca. Son gardien la retrouve dans l’entrée, gisante sur le sol. Il pense d’abord a une chute, mais constate des hématomes sur son corps.

Sur les vidéos enregistrées par les caméras de surveillance, on voit trois jeunes suivre cette femme. Le premier arrive en courant, par derrière, et la frappe violemment à la tête. Elle tombe et perd connaissance. Le deuxième lui dérobe son sac, contenant une dizaine d’euros, et le troisième filme toute la scène avec son téléphone. Trois jeunes de 14 ans, bien connus des services de police et interpellés un à un par les policiers

En garde à vue prolongée ce mercredi soir, ils devraient être rapidement présentés à la justice. La dame de 89 ans, transportée à l’hôpital, souffre de multiples fractures aux visages, mais ses jours ne sont pas en danger. À son réveil, elle pensait qu’elle était tombée et ne se souvenait pas avoir été agressée.

France Bleu

(Merci à turlututu2)

25 Jul 22:06

Paris : une touriste colombienne, venue en France pour les JO, agressée sexuellement dans le métro en pleine après-midi #Paris2024

by Remi

INFO LE JDD (…) Il est 16 h, mardi, quand cette femme née en Colombie et venue assister à plusieurs épreuves olympiques à Paris attend un métro au sein de la station « Chevilly-Larue », sur la ligne 14, en direction de Saint-Denis. Soudain, un homme vient l’aborder et lui demande de le suivre.

Méfiante, la touriste refuse les avances de l’individu. Celui-ci quitte alors la station en empruntant l’escalier de sortie, qui passe juste au-dessus du quai et de l’emplacement où se trouvait la victime.

Quelques instants après, cette dernière « recevait sur son sac un liquide blanc s’apparentant à du sperme », explique une source policière au JDD. Choquée, la victime a décidé de porter plainte dès le lendemain au commissariat local.

Le JDD


Récemment :

25 Jul 22:05

Chambray-lès-Tours (37) : arrêté avec son complice en plein cambriolage, un faux migrant mineur isolé algérien espère la “clémence” du tribunal. 6 mois avec sursis. Amed évite l’ITF car… il doit répondre d’autres faits

by Remi

(…) Quand les gendarmes arrivent devant cette maison située en lisière de forêt, ils constatent que la porte est ouverte et distinguent du mouvement et les voix de deux hommes à l’intérieur. Sur l’injonction des forces de l’ordre, les deux individus se mettent au sol.

Dans les poches de l’un d’eux, un tournevis et un pied de biche, qui correspondent aux marques de pesées constatées sur la porte d’entrée. Le premier, qui a prétendu « avoir trouvé la porte ouverte » et « être entrée pour voir » – le pied biche aurait « sauté dans sa poche » lors de l’interpellation – a été condamné, lors d’une procédure de comparution immédiate dès le 19 juillet, à six mois de prison avec sursis et deux ans d’interdiction de présence sur le territoire français.

Placé en détention provisoire, son comparse, Amed F., a dans un premier temps été présenté à un juge des enfants : sans document officiel, il s’est présenté sous l’identité d’un mineur. Une ligne de défense qui s’est écroulée devant la sanction prononcée, qu’il refuse, assurant finalement être majeur.

La véritable identité de ce jeune Algérien de 19 ans, sans domicile fixe depuis son arrivée en France, apparaîtra grâce aux investigations menées en collaboration avec les autorités espagnoles : ses empreintes avaient été relevées lors de son entrée dans l’espace Schengen, en décembre 2023.

« Vous êtes bien Amed F. et non Mohamed W. ? », l’interroge le président du tribunal Damien Reymond (…) « Je vais dire la vérité », concède le jeune homme, par le truchement de son interprète.

Il reconnaît avoir été déposé en voiture par un troisième homme – qui s’était évaporé à l’arrivée des gendarmes –, être entré par effraction dans la maison et l’avoir fouillée à la recherche « d’argent ou quelque chose ». Espérant « la clémence » du tribunal, le jeune homme au casier vierge dit avoir pris conscience « d’avoir suivi de mauvais conseils » depuis son arrivée en France et vouloir « repartir sur le bon chemin ».

Il est condamné à une peine équivalente à celle de son complice – en deçà des réquisitions du parquet – à six mois entièrement assortis d’un sursis et de paraître à Chambray-lès-Tours pendant deux ans. Il échappe en revanche à l’interdiction de présence sur le territoire français, afin « d’être en mesure de répondre aux deux convocations » qui l’attendent pour d’autres faits devant une autre juridiction, précise le président.

La Nouvelle République

25 Jul 22:03

Besançon. Pronostic vital engagé pour un homme de 74 ans blessé après une agression dont le mobile serait crapuleux

by lionel

Les policiers et pompiers ont été appelés en début d’après-midi après le signalement d’une rixe. Sur place, les secouristes ont retrouvé la victime inconsciente sur le palier de sa porte. Pour la police, la piste d’une agression pour des motifs crapuleux est privilégiée.

Est Républicain

25 Jul 22:01

Ce que vous verrez sur Réels TV, la chaîne qui remplacera C8 en mars

by Marc Baudriller
Vous connaissez CNews ? Eh bien, Réels TV, ce sera l’inverse. Une télé chic, intelligente, pas prétentieuse du tout...
25 Jul 22:01

La MansA, nouveau temple de l’histoire décoloniale anti-française ?

by Julien Tellier
Cette volonté très politique de voir naître la MansA par crainte d’une arrivée du RN au pouvoir questionne.
25 Jul 22:01

JO de Paris : première journée et, déjà, des heurts et des couacs

by Louis de Torcy
« Au-delà des drames humains, c’est la réputation de la France et de Paris qui est en jeu. »
25 Jul 21:58

Contrôle du « pluralisme » : l’ARCOM met en application la décision du Conseil d’État

by Observatoire du journalisme
CSA + HADOPI = ARCOMLe 18 juillet 2024, l’ARCOM rendrait publique sa délibération relative au respect du principe de pluralisme des courants de pensée et d’opinion.
25 Jul 21:58

Macron sera-t-il le seul politicien désemparé à tenter son va-tout ?

by Bernard Plouvier

On ne cesse de nous parler, non sans raison, de la démence du Président des USA – tellement déchu qu’il n’ose se représenter aux Présidentielles de novembre –, des morts innombrables de la Guerre d’Ukraine et des ravages dans l’ex-État indépendant de Gaza, des émeutes raciales un peu partout en Europe envahie d’Extra-Européens, du risque de faillite d’États, en Europe et ailleurs.

Mais il y a d’autres sujets à envisager, car un peu partout sur Terre, les « princes » aux abois sont plus fous que jamais. La cocaïne y serait-elle pour quelque chose ? Les survivants du chaos actuel le sauront plus tard… s’il y a un « après ».

En France, on assiste cet été à un déni de Démocratie. En juin-juillet 2024, à trois reprises, des élections générales ont démontré qu’entre 35 et 40 % de l’électorat ne voulait plus des « Trois I » : Immigration-Invasion d’Extra-Européens, Insécurité, Islam djihadiste – et l’on rappelle que l’islam est par définition djihadiste, si l’on suit l’esprit et la lettre du Coran !

À trois reprises, ces élections n’ont servi à RIEN ! Le chef de l’État, désavoué trois fois en deux mois, s’accroche au Pouvoir ; les grenouillages entre groupes minoritaires de députés se poursuivent à la Chambre ; le pitre Mélenchon et ses pom-pom girls s’agitent comme s’ils avaient été plébiscités par la Nation, ce qui n’est nullement le cas. À l’évidence, l’expression du suffrage universel est bafouée par les plus écœurantes manœuvres politiciennes qu’on ait vues depuis longtemps.

Là-dessus, Macron le Superbe engage le Peuple Souverain qui le vomit dans une escalade d’injures avec le gouvernement russe. Et en un moment où l’État est en quasi-faillite, où la Dette paraît non-remboursable, l’irresponsable multiplie les envois coûteux d’armes au pays d’Europe le plus corrompu et le plus mal administré : l’Ukraine… où Zelensky et ses comparses pourraient bien mal finir eux aussi, ce qui permettrait aux pleurnichards patentés de sortir une fois encore le thème archi-usé du « pogrom ».

Dans ce contexte, un bookmaker ingénieux serait tenté de commencer à prendre les paris. La bonne question paraît effectivement être celle-ci : qui débutera la première insurrection en Europe ? La Nation écœurée par des magouilles politicardes d’un autre âge, la Française, ou la Nation meurtrie par une guerre absurde et avilie par une corruption hors-normes, l’Ukrainienne ? Pourtant, parieurs et « Books » pourraient être floués !

Car, si une guerre OTAN versus Russie et Chine paraît assez improbable, même avec la bande de guignols fous furieux qui dirige l’Occident, les gouvernants US associés à ceux d’Israël modifieront peut-être la donne, en déclenchant une nouvelle guerre franche et joyeuse au Liban et en Syrie, voire contre l’Iran.

À défaut de pouvoir se débarrasser des hyper-milliardaires cinglés qui dirigent l’Occident, le monde civilisé pourrait une bonne fois :

1 – se mettre en guerre contre les trafiquants de cocaïne – la drogue de l’illusion de puissance, si utilisée par les politiciens et les manipulateurs d’opinion publique.

2 – se coaliser pour faire rentrer à la niche les chiens fous du sémitisme religieux. L’évolution générale du monde, des années 1970 à nos jours, ne fait que démontrer d’année en année cette évidence : les héritiers de Moïse et ceux de Mahomet nous… ennuient… pour rester poli.

Bernard Plouvier a récemment publié Des Drogues et des Hommes aux éditions Dualpha ; pour en savoir plus sur ce livre, cliquez ici.

Des Drogues et des Hommes (Cocaïne, la drogue de l’illusion de puissance et de la supercherie psychanalytique), Dr Bernard Plouvier, éditions L’Æncre, 286 pages, 31 euros.

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25 Jul 21:56

Ensauvagement en Bretagne. Plus de 50 voitures vandalisées près de Rennes, des arnaques à la carte bancaire toujours aussi nombreuses

by Arthur Keraudren
voiturePas de vacances pour la délinquance cet été en Bretagne. En Ille-et-Vilaine, un département déjà « champion » de Bretagne administrative pour les vols et les cambriolages, certains habitants de la commune d’Acigné, près de Rennes, ont connu un réveil difficile au matin du samedi 20 juillet. Au cours de la nuit précédente, une cinquantaine […]
25 Jul 09:43

Black Lives Matter dénonce l’« onction » antidémocratique de Kamala Harris

by Jean-Patrick Grumberg

Black Lives Matter (BLM) a vivement critiqué le Comité national démocrate (DNC) pour ce qu’il considère comme une « onction » de Kamala Harris en tant que candidate démocrate à la présidence, sans avoir organisé d’élections primaires. Dans une déclaration, le groupe a avoué que le Président Joe Biden n’est pas leur candidat préféré, mais qu’ils sont […]

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