Sébastien

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Microsoft travaille actuellement sur un nouveau produit mobile qui doit, d’après Satya Nadella, être l’appareil mobile ultime. Est-il question d’un casque de réalité mixte ou d’un smartphone qui se transforme en PC ?

La presse high-tech évoque beaucoup de l’avenir de Microsoft dans la téléphonie mobile. Bien sûr, avec une part de marché de moins de 5 %, les résultats de Microsoft sont ridicules par rapport à ceux d’Apple, de Google ou de Samsung. Pourtant, après plusieurs années d’errements, la firme de Redmond semble maintenant avoir une stratégie et des ambitions bien définies.

 

Ne m’appelez pas smartphone

En quelques mois, les langues se sont incroyablement libérées chez Microsoft. Si pendant longtemps le sujet du marché mobile semblait être un sujet tabou pour Satya Nadella, le CEO de la marque, et ses hommes, cela ne semble plus être le cas. Une chose est cependant sûre, Microsoft n’est plus vraiment intéressé pour vendre des smartphones sous Windows 10 Mobile.

Nous pouvons évoquer l’interview de Terry Myerson, en charge du développement de Windows et du hardware chez Microsoft, qui revenait sur le non-abandon de Windows 10 Mobile, malgré les résultats catastrophiques du système. Cela semblait déjà fou, aucune mention des smartphones pendant cet interview. Il y expliquait que, chez Microsoft, Windows 10 Mobile est unique pour sa compatibilité avec les processeurs ARM et la connectivité 4G et qu’il s’attendait à voir le système adopté sur plus d’appareils, sans dire sur quels types d’appareils.

C’est exactement le discours que l’on pouvait lire dans la récente interview de Satya Nadella, Microsoft n’est plus intéressé par le développement de smartphones reprenant les codes de l’iPhone, mais veut se différencier par la création de l’appareil mobile ultime qui sera unique en son genre. HP a également adopté la même communication cette année après l’annonce de son Elite X3 qui n’est présenté à aucun moment comme un smartphone, mais comme un 3-en-1.

 

Windows 10 Mobile est mort, vive Windows 10 !

La semaine dernière, Microsoft créait la surprise en annonçant un partenariat avec Qualcomm. L’idée est simple : faire tourner Windows 10 sur de l’ARM, avec en prime une démo vidéo avec Adobe Photoshop sur un Snapdragon 835. Plutôt convaincante.

Dans cette annonce, Microsoft évoque des ordinateurs connectés (au réseau 4G), mais ne parle jamais de smartphones. Et cela à plusieurs reprises, dans plusieurs entrevues par plusieurs représentants, cette version de Windows 10 conçue pour l’ARM a été pensée pour le PC et non pour les smartphones.

Avec une prise en charge des architectures ARM et d’une connexion cellulaire (de type 4G LTE), qu’est-ce qui différencie Windows 10 de Windows 10 Mobile ? Dans cette configuration, Windows 10 Mobile ne serait plus qu’une version allégée de Windows 10 capable de gérer la téléphonie et les SMS, avec des applications légères. 

Avec cette version ARM de Windows 10, Microsoft a enlevé tout intérêt à Windows 10 Mobile si ce n’est son intégration sur des smartphones légers, qui n’ont pas la puissance nécessaire pour faire tourner une version classique de Windows. Un marché qui, selon ce que l’on peut comprendre de la communication actuelle, n’intéresse plus Microsoft dans l’immédiat. Android est bien trop fort sur ce segment de produits.

 

Le Surface Phone ne sera pas un Phone

Mais, le smartphone et Microsoft, ce n’est pas non plus terminé. Nous savons aujourd’hui que l’équipe de Panos Panay travaille sur un smartphone. C’est l’équipe qui a conçu les Surface Pro, le Surface Book et plus récemment l’impressionnant Surface Studio. Pour la petite histoire, Panos Panay souhaitait développer un smartphone depuis longtemps, mais le rachat de Nokia Mobile par Microsoft a dirigé la firme vers une autre stratégie, qui a donné naissance à toute une gamme de Surface.

Ce nouveau produit doit répondre aux codes de la famille Surface : se démarquer de la compétition avec des caractéristiques uniques. C’est pour cette raison que la Surface Pro n’est pas vraiment une tablette ou le Surface Book, pas vraiment un PC portable. Le Surface Phone, s’il voit le jour, devra donc rompre avec ce que l’on connaît d’un smartphone aujourd’hui. Il devra rompre avec les codes établis du smartphone de 2016.

Les indices laissés par Panos Panay, Satya Nadella et Terry Myerson, nous font raisonnablement penser que l’appareil mobile en question ne s’appellera pas le Surface Phone. Un nom pratique, mais créé par la presse et les fans pour désigner le nouveau projet de la firme. Nous avons plutôt décidé de le nommer Surface Mobile, en attendant une annonce officielle.

 

Portrait robot du Microsoft Surface Mobile

Grâce à l’orientation du développement de Windows 10 et l’évolution du marché du smartphone, il est possible d’imaginer ce que pourrait être le Surface Mobile.

Un mode Continuum enfin pratique

Première nouveauté, grâce à la version complète de Windows 10, le Surface Mobile proposera enfin un mode Continuum complet. Il sera donc possible de relier l’appareil à un écran, un clavier et une souris et d’avoir en face de soi un vrai PC de bureau complet avec tous les usages que l’on a avec un PC actuel. La prochaine génération d’architectures ARM pourrait enfin proposer des performances décentes pour un usage poussée de bureautique.

Cet usage pourrait séduire les professionnels. Le B2B, actuellement moteur du marché du PC, pourrait favoriser un produit tout-en-un – plus économe et plus pratique à gérer.

Des caractéristiques très haut de gamme

Pour être capable de faire tourner Windows 10, le Surface Mobile proposera sans doute des caractéristiques techniques de premier ordre. C’est d’ailleurs le cas avec la plupart des produits Surface, même si cela se traduit souvent par un prix élevé.

En 2017, un Surface Mobile pourrait utilisé le dernier Qualcomm Snapdragon 835 épaulé par 8 Go de RAM. D’ici à la sortie de l’appareil, Qualcomm aura probablement lancé une ou deux nouvelles générations de puces.

C’est l’espace de stockage qui pourrait être un point important de l’appareil, pour être un produit complet Microsoft devra au moins proposer 128 Go de stockage voir 256 Go. En effet, Windows 10 nécessite bien plus de ressources qu’Android, surtout pour faire tourner des logiciels comme Microsoft Office ou la suite Adobe.

 

Un écran et un design exceptionnel ?

C’est peut-être le point où le travail de l’équipe Surface sera le plus intéressant et différenciant. D’abord, c’est probablement l’un des points forts de l’équipe, elle nous a prouvé sa capacité à développer des solutions innovantes. Nous pouvons citer la charnière du Surface Book avec l’intégration d’une puce graphique dédiée, directement intégré sous le clavier, ou encore le Type Cover des Surface, qui permet d’obtenir un vrai clavier dans une très fine couverture pour tablette. Cette dernière technologie a d’ailleurs été reprise par l’ensemble du marché, et même Apple pour son iPad Pro.

Il suffit de chercher le terme Surface Phone sur Google, pour se rendre compte de l’intérêt que portent les artistes et designers. On y voit des concepts reprenant le design des produits Surface.

Alors à quoi ressemblera-le Surface Mobile ? Difficile de se lancer dans des prédictions, mais il est fort à parier que Microsoft se détachera de tous les impératifs de design d’un smartphone actuel. Cet appareil ne sera pas conçu pour être un téléphone que l’on porte à l’oreille, mais plutôt un PC que l’on transporte dans sa poche.

L’entreprise pourrait aussi emprunter se tourner vers les écrans sans bordures, comme le Xiaomi Mi Mix, qui permettent d’apporter une taille d’écran conséquente sans avoir un gros châssis. Les smartphones pliables sont également envisageables, Samsung a développé une technologie OLED impressionnante. Après tout, c’était l’un des projets de recherche de Nokia avant son rachat par Microsoft. Cela permettrait d’imaginer un appareil doté d’un écran d’au moins 7 pouces, qui deviendrait aussi compact qu’un smartphone classique une fois plié dans la poche.

 

La 3D et le stylet toujours au cœur de l’expérience

En attendant le Surface Mobile, Microsoft a montré des avancées technologiques sur la 3D, la réalité mixte et l’utilisation du stylet. L’Anniversary Update de Windows 10 a fait la part belle au stylet en juillet dernier en apportant l’Ink Workspace. Aujourd’hui, tous les produits Surface sont vendus avec un stylet, ou sont compatibles avec. Avec le succès de la gamme Samsung Galaxy Note (à modérer après l’échec du Galaxy Note 7), Microsoft pourrait proposer un mini-stylet ou proposer une rétro-comptabilité avec les stylets des Surface.

L’autre segment sur lequel Microsoft insiste beaucoup depuis deux 2 ans, c’est son produit Hololens. De la 3D, de la réalité augmentée, ou encore de la réalité mixte, voilà des domaines où Microsoft veut avancer. Pour la prochaine mise à jour de Windows 10, Creators Update, Microsoft va mettre à jour l’un de ses logiciels historiques, Paint, pour le rendre compatible avec la création en trois dimensions. Lors de la conférence du 26 octobre dernier, la firme a fait la démonstration du scan d’un objet 3D à l’aide d’un smartphone sous Windows 10 Mobile, il s’agissait encore une fois du HP Elite X3.

À lire sur FrAndroid : HoloLens : retour sur notre première expérience en réalité mixte

Nous pourrions donc imaginer que Microsoft intégrera plusieurs capteurs à l’arrière de son appareil mobile, pour pouvoir saisir son environnement en 3D.

 

Et les apps dans tout ça ?

Proposer un appareil mobile aux caractéristiques très haut de gamme et avec des nouvelles fonctionnalités, c’est bien, mais quid du manque d’applications mobiles sur Windows ? Que cela soit Windows 10 mobile ou Windows 10, impossible de trouver les apps les plus recherchées, comme Snapchat, Pokemon Go, YouTube ou encore Google Chrome sur le Windows Store. Le Windows Store est délaissé, et les apps manquent même de fonctionnalités par rapport à leur homologues sur les autres plateformes.

Il s’agit vraiment d’une faiblesse pour Microsoft. Jamais la firme de Redmond n’a réussi à créer une plateforme d’apps commune pour ses écosystèmes. Sur mobile, les développeurs ont définitivement adopté Android et iOS, qui réunissent 99 % du marché mobile. Les éditeurs et développeurs n’ont aucun intérêt à investir du temps et de l’argent dans le développement dédié au Windows Store.

Microsoft doit trouver une solution, qui se trouve peut-être dans les applications universelles qui seront compatibles Android, iOS et Windows. Pour cela, la firme de Redmond va devoir convaincre les développeurs d’adopter de nouveaux outils de développement, meilleur qu’Android Studio et Xcode d’Apple. À l’inverse, Microsoft devrait sérieusement réfléchir à faire tourner des apps Android sur un moteur d’exécution, comme sur Chrome OS aujourd’hui.

Imaginer pouvoir accéder à l’énorme quantité d’apps Android, tout en ayant accès aux logiciels Windows.

 

Microsoft réussira-t-il son pari ?

Impossible de savoir si le Surface Mobile sera une réalité, un jour. Personne n’attendait Microsoft sur le terrain de l’ordinateur portable ou de la vente de tablettes, et pourtant la gamme Surface est rapidement devenue incontournable sur le marché. Microsoft reste un mastodonte qui a déjà su relever des défis, avec une énorme trésorerie. Près de 100 milliards de dollars.

Il faut aussi garder à l’esprit que le projet pourrait passer à la trappe comme cela fut le cas pour de nombreux projets ces derniers temps. Microsoft a récemment montré qu’il est prêt à investir dans des secteurs de niche (comme le Surface Studio) et faire appel à des communautés de créateurs pour assurer sa domination dans le secteur du PC. Transformer un téléphone en PC est juste une autre partie de cela, même si Microsoft ne fait appel qu’aux fans de Windows et à ses clients professionnels.

Ce public assez important pourrait être suffisant pour maintenir les efforts mobiles en vie jusqu’au prochain grand changement dans l’informatique. La réalité mixte semble être le domaine de prédilection de Microsoft, et l’entreprise souhaite permettre à ses partenaires traditionnels de concevoir des casques VR et réalité mixte. En attendant, Microsoft continuera à essayer de transformer le smartphone en PC.

À lire sur FrAndroid : Windows 10 Mobile : Microsoft coupable de déni de réalité

Avec la disparition du port jack qui se profile à l’horizon sur nos smartphones, il est de bon ton pour ceux qui achètent un nouveau casque de se tourner vers un casque Bluetooth. Si vous ne savez pas lequel choisir, voici une sélection des meilleurs casques sans fil pour écouter de la musique sur votre smartphone ou pour trouver une bonne idée de cadeau.

S’y retrouver dans la jungle des casques audio n’est pas toujours chose aisée. Si vous comptiez acheter un nouveau casque sans fil, que ce soit pour vous ou pour un proche, voici une sélection de bons casques Bluetooth qui remplaceront facilement vos vieux modèles filaires qui ne sont plus compatibles avec votre nouveau smartphone sans prise jack même s’il existe quelques alternatives.

Bien choisir son casque

Il existe beaucoup de critères déterminants lors de l’achat d’un casque et encore plus lorsqu’il s’agit d’un casque sans fil. En dehors du design et de la qualité du son, il faut également prendre en compte son autonomie et sa forme — circum aural, englobant l’oreille pour un meilleur confort et une meilleure isolation, ou supra aural, reposant sur l’oreille, généralement plus léger, mais aussi moins isolant. On peut également distinguer les casques à réduction de bruit active qui annihilent les bruits environnants.

Enfin, il existe deux types de casques, ceux qui sont ouverts, laissant passer l’air et le bruit extérieur pour un son moins comprimé et un confort accru (transpiration moindre), et ceux qui sont fermés, avec une meilleure isolation.

Maintenant que l’on sait de quoi on parle, lequel choisir ?

Moins de 100 euros

Il est rare de trouver de très bons casques sans fil dans cette gamme de prix, mais pour satisfaire les budgets les plus serrés, on peut trouver quelques compromis qui pourraient satisfaire les oreilles les moins critiques.

Philips SHB7150FB

Entre 60 et 90 euros (en fonction des revendeurs et des promotions), Philips propose le SHB7150FB, un casque fermé avec des coussinets circum aural en cuir pour une isolation correcte.

Le Philips SHB7150 est compatible NFC pour un appairage facile, possède des haut-parleurs de 40 mm en néodyme, affiche une impédance de 32 ohms, une réponse en fréquences de 10 Hz à 22 kHz et le constructeur annonce une autonomie de 9 heures en lecture. Il possède en outre les contrôles habituels sur l’une de ses oreillettes, à savoir le contrôle du volume et un bouton pour décrocher/raccrocher ou mettre une musique en pause.

Notons qu’il pèse 170 grammes et qu’il dispose est vendu avec son câble USB de recharge ainsi qu’un câble jack pour une écoute filaire en cas de panne de batterie.

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Sony MDR-ZX330BT

Pour ceux qui préfèrent le supra aural, Sony propose également un bon rapport qualité/prix avec son MDR-ZX330BT, lui aussi fermé.

Ses oreilles pliables facilitent le transport et il propose également un appairage en NFC. Ses haut-parleurs sont légèrement plus petits (30 mm) et promettent une réponse en fréquence de 20 Hz à 20 kHz. On peut également contrôler ses appels et sa musique directement depuis les boutons situés sur l’un des écouteurs.

Cette fois-ci, aucun port jack n’est présent, mais son autonomie de 30 heures devrait permettre de ne pas en avoir besoin. Du haut de ses 150 grammes sur la balance, il est également très léger.

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Entre 100 et 200 euros

En dépassant la barre symbolique des 100 euros, la qualité générale du casque, qu’il s’agisse du son ou de la conception (étroitement liée au confort) commence à se ressentir. On trouve ainsi des appareils plus agréables pour nos oreilles et nos tympans.

Plantronics BackBeat Pro

Pendant longtemps, Plantronics a équipé les centres d’appels et autres tours de contrôle d’aéroports. Depuis quelques années, la marque californienne s’est lancée sur le marché du grand public et s’en sort plutôt bien et affiche de très bons prix, comme avec le BackBeat Pro.

Plus lourd que ses congénères avec 340 grammes sur la balance, le BackBeat Pro est un bon circum aural fermé. On y trouve des écouteurs de 40 mm avec une réponse de fréquence allant de 20 Hz à 20 kHz et il se démarque par sa réduction de bruit active. Comme ses homologues, il peut être appairé en NFC et dispose de tous les contrôles nécessaires sur l’oreillette.

Plantronics annonce une autonomie de 24 heures, mais il est possible de l’utiliser en filaire en cas de panne de batterie.

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Plantronics BackBeat Pro 2

Le BackBeat Pro 2 est équipé d’un arceau ajustable et d’oreillettes qui pivotent. Ses principales commandes sont situées sur l’oreillette gauche à savoir : l’activation de la réduction de bruit, l’activation de l’open-mic pour pouvoir entendre les bruits extérieurs et les commandes pour gérer son écoute.

Il procure un son est de très bonne qualité avec des basses particulièrement marquées et une réduction de bruit assez légère, mais appréciable. Il dispose d’une autonomie de 24 heures.

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Entre 200 et 400 euros

Au-dessus de 200 euros, on commence à taper dans le très bon casque du quotidien. À ce niveau, la différence de prix va jouer sur la finition du casque, légèrement sur le son, et sur les différentes options disponibles.

Parrot Zik 3

Le design du Parrot Zik 3 à un design plutôt original. Ce casque circum-aural st équipé d’un arceau réglable et d’oreillettes qui peuvent pivoter. Il dispose de commandes tactiles qui permettent de contrôler l’écoute et de prendre des appels. En revanche, pour utiliser la réduction de bruit, il faudra par contre passer par son application mobile la Parrot Zik, qui permet également d’accéder à des réglages avancés.

Il est équipé d’un capteur de mouvements qui permet de mettre la musique en pause dès que le casque est retiré. Malheureusement sa batterie ne permet que 8 heures d’autonomie en Bluetooth, mais, baume au cœur, elle est amovible. Il produit un son dynamique et profond avec une réduction de bruit efficace.

• Acheter le Parrot Zik 3 est disponible à 249 euros sur Darty.

Sony MDR-XB950BT

Dans la même gamme de produits, mais un peu moins cher — et plus léger –, Sony propose le MDR-XB950BT. Il s’agit d’un supra aural fermé de qualité.

Sur le MDR-XB950BT, Sony met l’accent sur le son. Avec une réponse en fréquence allant de 3 Hz à 28 kHz, une technologie « Extra Bass » de renforcement des basses et ses diaphragmes de 40 mm, ce casque affiche de très bonnes performances. Il peut en outre s’appairer en NFC et propose jusqu’à 20 heures d’autonomie ainsi qu’une connexion filaire en jack.

Notons qu’il pèse 280 grammes, ce qui reste assez lourd pour un supra aural, tout en restant tout à fait supportable.

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Sennheiser Momentum 2.0 Wireless

Au-delà de 400 euros, on risque bien souvent de payer une image de marque plutôt qu’une qualité, ou alors de tomber dans le casque pour professionnel de l’audio. On ne saurait que vous conseiller d’éviter de dépasser ce tarif si vous cherchez un bon rapport qualité/prix, et pourtant il existe un très bon casque qui fait figure d’exception, le Sennheiser Momentum 2.0.

Léger pour un circum aural (240 grammes), il ressemble à s’y méprendre à son homologue filaire, mais propose en outre un système d’appairage NFC et une réduction de bruit active — qui laisse cependant assez perplexe. On retrouve également tous les contrôles habituels directement sur l’écouteur et une autonomie de 22 heures en laissant la réduction de bruit active. Enfin, il est lui aussi livré avec son câble jack pour ceux qui tomberaient en panne de batterie.

Côté qualité, on trouve une réponse en fréquence de 16 Hz à 22 kHz ainsi qu’une impédance de 28 ohms.

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Sony WF-1000XM2

Le Sony WF-1000XM2 est un bon concurrent au Bose QC35. Ce casque circum-auriculaire a des finitions plutôt haut de gamme. Il dispose d’un arceau qu’on peut régler et d’oreillettes qui peuvent pivoter à plat et vers l’extérieur du casque.

L’écoute, la prise d’appels, la réduction de bruits, et les autres fonctionnalités se gèrent grâce aux commandes tactiles. Il procure un son riche et détaillé avec une réduction de bruit qui se révèle très impressionnante. Il dispose également d’un mode pour pouvoir percevoir les bruits extérieurs distinctement. Le tout avec une autonomie d’environ 30 heures. Il dispose également d’une application mobile « Headphones Connect » compatible iOS et Android, qui permet de gérer un panel d’options.

• Acheter le Sony WF-1000XM2 à 379 euros sur Amazon

Bose QuietComfort 35

Dans cette gamme de prix, on retrouve Bose, un constructeur réputé pour ses produits visant essentiellement le segment premium. L’une des références en la matière n’est autre que le QuietComfort 35, un circum aural à réduction de bruit active.

Le QC35 est particulièrement célèbre pour sa réduction de bruit très efficace. Si vous travaillez dans des endroits vraiment bruyants, il pourrait être un précieux allié. Nos collègues de Numerama l’avaient d’ailleurs très bien noté.

Du haut de ses 240 grammes, il possède un système d’appairage NFC, des commandes de contrôle sur le casque et un câble jack pour l’utiliser même au-delà de ses 20 heures d’autonomie (avec réduction de bruit active).

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Sony MDR-1000XB

Très polyvalent, Sony arrive à se positionner dans cette catégorie de produits également avec le très bon MDR-1000XB, un casque circum aural fermé avec réduction de bruit active.

Sony se vante de proposer ici un son Hi-Res avec des diaphragmes de 40 mm capable de reproduire une bande passante allant jusqu’à 40 kHz et ayant un taux de transfert de 990 kbit/s grâce à la technologie Bluetooth LDAC.

Il pèse 275 grammes et est fourni avec son câble jack 3,5 mm.

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Aller plus loin

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