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Alonso déçu : « J’aurais préféré être devant »
On se doutait après les essais libres cette semaine que les concurrents motorisés par Chevrolet allaient souffrir en comparaison de leurs rivaux disposant du V6 Honda biturbo et cela s’est confirmé aux qualifications.
Alonso avait également vu sa progression heurtée par une sortie de piste jeudi en fin de séance et il n’a pu que constater vendredi qu’il ne disposait pas du matériel pour se battre à l’avant de la grille, où un seul pilote avec le moteur Chevy s’est glissé parmi les douze premiers hier soir : le rookie hollandais Rinus Veekay (Carpenter).
Si le Matador court avec un Chevrolet, évidemment, c’est en raison de ses relations détériorées avec Honda depuis leur tumultueuse expérience en F1, mais il doit se souvenir que lors de sa première participation à Indy 500 en 2017 il s’était qualifié cinquième avec Andretti Autosport et menait la course quand il fut lâché par son moteur…
« On n’avait pas la vitesse aujourd’hui, regrettait Alonso à la fin des qualifications. Heureusement, le team a bien travaillé en vue de la course et je pense que nous aurons une voiture compétitive pour les 500 Miles. Bien sûr, j’aurais préféré être devant, mais la position au départ n’est pas si importante ici. »
Le champion espagnol s’élancera donc en fond de grille, entre les Penske des anciens vainqueurs Simon Pagenaud et Helio Castroneves, mais derrière ses équipiers chez McLaren Pato O’Ward 15ème et Oliver Askew 21ème.
L’avant de la grille sera déterminé par la séance de Super Pole qui aura lieu ce soir pour les neuf pilotes les plus rapides hier, à suivre en direct sur Canal + Sport à partir de 19 heures.
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Ricciardo : « Obtenir un dernier podium avec Red Bull »
Le pilote australien quittera Red Bull Racing dans trois Grands Prix pour rejoindre Renault, avec qui il s’est engagé pour les deux prochaines années, avec une troisième saison en option.
Cependant, depuis sa victoire obtenue à Monaco en mai dernier, la malchance ne semble plus vouloir quitter Ricciardo puisqu’il a accusé cinq abandons sur problème mécanique, le dernier en date remontant à dimanche passé suite à une défaillance du groupe propulseur… Renault !
« Je ne pouvais même plus communiquer par radio avec l’équipe, le problème semble provenir de la batterie » explique Ricciardo, qui, selon son patron Christian Horner, aurait pu se battre pour la gagne sans ce problème moteur.
« Quand on voit comment la course s’est déroulée ensuite, c’est encore plus difficile à digérer sachant que j’aurais sans doute pu me mêler à la lutte pour la gagne. Mais il n’y a pas grand-chose de plus à dire… C’est juste très frustrant d’abandonner de la sorte, qui plus est si tôt dans un Grand Prix. La malchance ne semble pas vouloir me quitter pour le moment. »
« Ce qui est regrettable, c’est qu’il ne me reste plus que trois courses avec Red Bull et je tiens réellement à quitter cette équipe en beauté. Je veux pouvoir célébrer un dernier podium avec l’équipe avant de partir, mais il ne reste plus que trois opportunités à présent. »
Sur le papier, Red Bull devrait pouvoir se battre pour la victoire ce dimanche au Mexique. L’an dernier, Max Verstappen s’était facilement imposé sur le circuit Hermanos Rodriguez.
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Quarante ans déjà
Le salon Rétromobile, qui fermera ses portes ce soir au Parc des Expositions de la Porte de Versailles à Paris, célèbre le quarantième anniversaire de la victoire de Renault aux 24 Heures du Mans sur un superbe stand : c'est en 1978 que l'Alpine A442B confiée à Didier Pironi et Jean-Pierre Jaussaud s'imposa dans le double tour d'horloge, avant que la marque au Losange ne se consacre pleinement à la Formule 1.
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L'Apple Watch pourra bientôt prendre votre tension artérielle
Actuellement, pour prendre une tension artérielle il faut un brassard gonflable. Ce dernier va en se gonflant bloquer la pression sanguine. Lorsqu'il se dégonfle, le premier battement détecté donne (en comparaison avec la pression exercée par le brassard qui est mesurée) la pression systolique. Le dernier battement entendu donnera la pression diastolique.
Patently Apple rapporte qu'Apple a déposé un brevet décrivant une autre méthode non invasive pour prendre la tension artérielle.
Pour résumer les choses, Apple veut utiliser le temps de propagation de l'onde de pression générée par le cœur pour calculer la pression sanguine.
La chose n'est pas aisée. Il faut pouvoir détecter précisément le moment où le cœur se contracte, puis mesurer le moment où l'onde de pression arrive au bracelet de la montre.
Cela nécessitera en plus de ce que l'Apple Watch contient déjà un bracelet contenant des capteurs électriques capables de mesurer le moment exact de la contraction sanguine.
Tout cela est très prometteur et pourrait révolutionner le marché des tensiomètres.