Slashdot reader BrianFagioli shares his report from BetaNews:
The PC community is abuzz with Qualcomm's recent announcement of its Snapdragon X Elite SoC, a powerhouse chipset that promises to revolutionize the performance and energy efficiency of laptops and tablets. While Windows 11 Copilot+ PCs are set to feature this advanced processor, Linux enthusiasts have reasons to celebrate as well. You see, TUXEDO Computers is bringing this cutting-edge technology to the Linux world with its upcoming ARM notebook, positioning it as a strong competitor to Windows 11 Copilot+ devices.
In a recent update, TUXEDO Computers revealed its ambitious project of developing an ARM notebook powered by the Snapdragon X Elite SoC from Qualcomm. This announcement has generated significant excitement, as it presents a viable alternative to traditional x86 notebooks, offering comparable performance with lower energy consumption, directly challenging the dominance of Windows 11 Copilot+... Benchmarks suggest that the Snapdragon X Elite can not only rival but potentially surpass Apple's M2 SoCs, boasting higher energy efficiency. TUXEDO's preliminary tests confirm these impressive claims, setting the stage for a fierce competition with Windows 11 Copilot+ PCs.
"We recently presented a prototype of the ARM notebook we are working on at the Computex computer trade fair in Taiwan," according to TUXEDO's announcement.
"On the software side, a port of TUXEDO OS with KDE Plasma to the ARM platform is our goal for this project running internally under the working title Drako...
"It is quite conceivable that an ARM notebook from TUXEDO will be under your Christmas tree in 2024... If you have subscribed to our newsletter, you will be the first to know."
Photos of Brazilian kids—sometimes spanning their entire childhood—have been used without their consent to power AI tools, including popular image generators like Stable Diffusion, Human Rights Watch (HRW) warned on Monday.
This act poses urgent privacy risks to kids and seems to increase risks of non-consensual AI-generated images bearing their likenesses, HRW's report said.
An HRW researcher, Hye Jung Han, helped expose the problem. She analyzed "less than 0.0001 percent" of LAION-5B, a dataset built from Common Crawl snapshots of the public web. The dataset does not contain the actual photos but includes image-text pairs derived from 5.85 billion images and captions posted online since 2008.
Airbnb has acquired a secretive new AI startup, GamePlanner.AI, for around $200 million. TechCrunch reports: GamePlanner was co-founded by Adam Cheyer and Siamak Hodjat. Cheyer famously helped co-launch the startup Siri, which Apple acquired and whose technology became the basis for Apple's AI-powered Siri assistant. Hodjat previously worked with Cheyer at Viv Labs, a firm that Samsung bought and leveraged to launch its own AI assistant, Bixby, in 2017. It's not immediately clear what GamePlanner does. A LinkedIn search only turns up two associates: Gabe Greenbaum, a general partner at B Capital who sits on GamePlanner's board of directors, and Joseph Huang, head of design at GamePlanner. GamePlanner hasn't had a web presence for some time; the Internet Archive's earliest cache of the website (from December 2021) yields a blank page.
But in a canned statement, Airbnb CEO and co-founder Brian Chesky hinted that the 12-person startup combines expertise in AI and design toward crafting AI-driven experiences, sort of like an AI-focused consultancy. "AI will rapidly alter our world more than any other technology in our lifetime, but we need to ensure that it augments humanity in a positive way," Chesky said, adding that the GamePlanner team will focus on "accelerating" select AI projects and integrating their tooling into Airbnb's platform. "Airbnb is one of the more humanistic companies in technology, and I believe that, together with Adam and his team, we can develop some of the best interfaces and practical applications for AI."
Le célèbre guide gastronomique décerne ce lundi ses récompenses à l’école hôtelière de Lausanne. 19 nouveaux restaurants reçoivent leur première étoile, dont six romands, et cinq leur deuxième. Aucun restaurant ne passe à trois cette année.
L’année 2022 avait été synonyme de record: 36 restaurants nouvellement étoilés, 11 étoiles vertes (qui récompensent l’engagement en faveur d’une gastronomie durable) etun triple étoilé supplémentaire – l’établissement «Memories» situé au sein de l’hôtel «Grand Resort Bad Ragaz» à Saint-Gall. Au total, la Suisse comptait alors 138 restaurants avec au moins une étoile, un «record absolu», précisait Gwendal Poullennec, directeur international des Guides Michelin. La pluie d’étoile de 2023 est un peu moins fournie que l’année passée, avec 19 restaurants nouvellement étoilés, dont six en Suisse romande (Gerber Wyss à Yverdon-les-Bains, Au 1465 à Champex-Lac, La Dispensa à Neuchâtel, Gille Varone à Chandolin-Près-Savièse, l’Hôtel de Ville à Ollon et La Pinte des Mossettes à Cerniat).
Aujourd’hui, mon beau-père m’a dit qu’il regrettait de m’avoir dit au début de ma relation avec son fils il y a 10 ans que je pouvais "faire comme chez moi" chez lui. VDM
Par Sarah
L’ancien président et une dizaine de ses collaborateurs sont attendus ce jeudi à Atlanta afin d’être formellement inculpés pour leurs tentatives de falsifier les résultats de la Géorgie, Etat qui avait basculé en faveur de Joe Biden en 2020
Aux côtés des policiers qui ont résisté à l’assaut du Capitole, protégeant les élus de Washington le 6 janvier 2021, Ruby Freeman et sa fille Shaye ont été décorées en début d’année par Joe Biden. Elles ont «défendu l’intégrité de nos élections», proclamait le président. Ces habitantes d’Atlanta sont abondamment mentionnées dans l’acte d’accusation contre Donald Trump et 18 autres collaborateurs accusés d’avoir «comploté» pour renverser les résultats du vote en Géorgie. L’Etat avait basculé en faveur de Joe Biden pour un peu plus de 11 000 voix sur près de 5 millions de votes. Plusieurs accusés sont déjà passés devant la procureure Fani Willis. Donald Trump est attendu à Atlanta jeudi en fin de journée.
Le Néerlandais Frans Timmermans a été nominé en tête de liste pour les élections anticipées aux Pays-Bas à l’automne, pour succéder au premier ministre sortant. Il démissionne de la Commission européenne, à dix mois de son renouvellement
La Commission européenne a annoncé mardi la démission de son vice-président en charge du Pacte vert, le Néerlandais Frans Timmermans, après sa nomination à la tête d’une liste sociale-démocrate-verte pour les élections anticipées aux Pays-Bas à l’automne. A l’issue d’une consultation des membres du parti social-démocrate (PvdA) et des Verts (GroenLinks), Frans Timmermans, 62 ans, a été confirmé à la tête d’une liste commune avec l’espoir de succéder au premier ministre sortant, le libéral Mark Rutte.
L’ex-diplomate à la barbe blanche, polyglotte et architecte emblématique des politiques environnementales de l’UE, quitte son mandat moins d’un an avant les élections de juin 2024 qui renouvelleront le Parlement européen et entraîneront une recomposition de la Commission.
Lire aussi (2020): Mark Rutte, l’obstacle à la relance européenne
Il s’agit du second départ en quelques mois au sein de l’exécutif européen: la commissaire européenne à l’Innovation et à la culture, Mariya Gabriel, a quitté ses fonctions en mai pour former le nouveau gouvernement de son pays, la Bulgarie. Et une autre figure-clef, l’influente commissaire à la Concurrence, la Danoise Margrethe Vestager, s’est déclarée candidate pour prendre l’année prochaine la présidence de la Banque européenne d’investissements (BEI).
### Maître d’oeuvre du «Green Deal»
Dans la Commission dirigée depuis 2019 par la conservatrice Ursula von der Leyen, Frans Timmermans était maître d’oeuvre de l’ambitieux «Green Deal» un vaste arsenal de législations visant à sabrer les émissions carbone et à enrayer la crise de la biodiversité.
Les politiques environnementales et climatiques de l’UE seront confiées «temporairement» à un autre vice-président de la Commission, le Slovaque Maros Sefcovic, jusqu’à la nomination d’un nouveau commissaire néerlandais. Mme von der Leyen a demandé à Mark Rutte «de proposer un nouveau candidat» indique le communiqué de la Commission.
Lire aussi (2019): Bruxelles lance son Green Deal européen
Le départ de Frans Timmermans intervient à quelques mois de la COP28, rendez-vous international majeur pour le climat, et alors que le Pacte vert européen reste inachevé. Si l’essentiel du plan climat a été adopté (réforme du marché carbone, fin de la vente des voitures à moteur thermique en 2035…), des textes-clefs demeurent en discussion - notamment sur la réduction des pesticides et la restauration des écosystèmes - face aux farouches résistances d’eurodéputés de droite et de certains Etats-membres.
«Je remercie Frans Timmermans pour son travail passionné et inlassable pour faire du 'Green Deal' une réalité. Grâce à son fort engagement personnel, nous avons grandement progressé» vers l’objectif européen de neutralité carbone d’ici 2050, a salué Ursula von der Leyen mardi. Ex-diplomate et ancien ministre des Affaires étrangères, Frans Timmermans était membre de la Commission européenne depuis 2014. Il avait effectué un premier mandat comme vice-président du conservateur Jean-Claude Juncker, en charge de «l’amélioration de la réglementation, des relations inter-institutionnelles, de l’Etat de droit».
Au printemps 2024, les Suisses devront se prononcer sur l’avenir de leurs retraites. Pour ou contre la réforme LPP21? «Ne sait pas», répond la majorité, qui aimerait surtout conserver son pouvoir d’achat, révèle un sondage
Quatre Suisses sur dix ne savent pas ce qu’ils voteront lors du référendum lancé par la gauche et les syndicats contre la réforme de la loi sur la prévoyance professionnelle (LPP21, lire ci-dessous). C’est ce qui ressort d’un sondage représentatif réalisé par M.I.S Trend pour Le Temps. Les voix de ces indécis seront capitales pour l’issue du vote, qui est prévu au printemps 2024: elles départageront les pour et les contre au coude-à-coude (respectivement 30% et 29%). L’horizon de la réforme de la LPP21, adoptée le 17 mars dernier, est loin d’être dégagé. Le spectre de la baisse du pouvoir d’achat sous la double pression de la diminution des rentes et de l’inflation pourrait influencer les électeurs.
Tout comme les Suisses se sont résignés à accepter qu’une réforme de la prévoyance professionnelle soit inévitable, vieillissement de la population oblige, les acteurs du secteur se sont résolus aux maigres avancées de la LPP21. «Près de cinq ans de négociations entre les partis et d’allers-retours entre les Chambres du parlement ont considérablement réduit l’impact qu’aurait pu et dû avoir cette réforme. Le pays avait besoin d’un changement drastique des paramètres techniques, in fine le consensus accouche d’une modification mineure. Nul doute qu’il faudra revoir ce compromis dans cinq ou dix ans», déplore Franca Renzi Ferraro, directrice de l’Ecole supérieure en prévoyance professionnelle.
Lire aussi: Comment les Suisses gèrent-ils l’avenir de leur retraite?
### Un manque d’enthousiasme général
Des regrets encore plus fondamentaux tiennent à la polarisation des débats sur la baisse du taux de conversion et des mesures transitoires qui l’accompagnent (voir encadré). Celui-ci, qui représente le pourcentage de la partie obligatoire du salaire annuel (jusqu’à 84 600 francs) auquel l’avoir de vieillesse des assurés est transformé en rente, passera de 6,8 à 6%. «Cela ne concerne que 15% des assurés, c’est l’arbre qui cache la forêt», souligne James Mazeau, économiste chez UBS. Environ 90% des caisses de pension vont au-delà du montant couvert par la prévoyance minimale obligatoire.
Le vrai problème concerne la redistribution qu’introduit la LPP21 dans le 2e pilier afin de compenser la baisse des rentes: «Non seulement intergénérationnelle, des actifs vers les retraités, comme dans l’AVS, relève James Mazeau, mais aussi des actifs vers les futurs retraités assurés auprès de caisses de pension qui ne couvrent pas beaucoup plus que le régime obligatoire.» Un écosystème où les fourmis viennent indéfiniment à la rescousse des cigales n’est pas jugé pérenne.
Du côté des politiques, l’apparente opposition entre la gauche et la droite ne saurait cacher une inconnue: le vote du patronat. Le Parti socialiste et les syndicats ont déposé le référendum contre la réforme, qu’ils jugent coûteuse et inefficace – ce que résume le slogan de l’Union syndicale suisse «Payer plus pour toucher moins de rente». Le Parti libéral-radical (PLR) la soutient, tout comme l’Union patronale suisse. Mais, note l’économiste, certains employeurs pourraient voter contre «la baisse du seuil d’accès qui implique une hausse des charges, donc une potentielle perte de compétitivité selon la branche économique».
### Mieux que rien
Tous veulent sauver les trois piliers auxquels le peuple helvétique fait profondément confiance. Cette année encore, révèlent les résultats du sondage, ils sont plus de 60% à le plébisciter. Deux tiers d’entre eux croient en la solidité financière du 2e pilier. Sans réforme, même mineure, sa survie est menacée, prédit James Mazeau. «Si le non l’emporte, les grands perdants seront les actifs assurés auprès des caisses à caractère obligatoire uniquement. Il s’agit d’une minorité d’assurés, mais aussi les moins bien lotis.»
Si imparfaite soit-elle, la réforme a le mérite «d’améliorer la situation des bas salaires et des personnes qui travaillent à temps partiel, souvent des femmes», renchérit Franca Renzi pour qui le risque majeur serait d’attendre.
La Suisse ne peut se permettre de reporter à un nouveau texte les mesures, même insuffisantes, de la LPP21, corrobore Olivier Scaillet **.** «Le système de prévoyance évolue sur un train de vie généreux, alimenté par le troisième cotisant, c’est-à-dire la bourse, indique le professeur de finance et de statistique à l’Université de Genève. Continuer à compter sur la performance des marchés financiers n’est plus possible. Celle-ci doit être une cerise sur le gâteau, pas une partie du gâteau.» Selon lui, les perspectives de croissance assombries par la hausse des taux d’intérêt et les incertitudes géopolitiques ne laissent guère de choix: «Les cotisations doivent augmenter, rapidement.»
### Temporiser pour le meilleur ou pour le pire?
L’indécision des Suisses face au référendum sur la LPP21 tranche avec la réponse que leur inspirent deux autres initiatives relatives à la prévoyance vieillesse qui ont été lancées en 2021, l’une par les Jeunes PLR, l’autre par l’Union syndicale suisse (USS). La première préconise de relever l’âge de la retraite par tranches de deux mois jusqu’à 66 ans pour les femmes comme pour les hommes et de lier ensuite l’âge de la retraite à l’évolution de l’espérance de vie. La seconde, appelée «Mieux vivre à la retraite», propose le versement d’une 13e rente AVS par année. Elle recueillerait une majorité confortable (62%) alors que celle des Jeunes PLR serait nettement rejetée (56%).
Les électeurs auront-ils en tête, lorsqu’ils iront voter l’année prochaine (la date du 3 mars pourrait être reportée à juin), que les éléments clés d’AVS 21 et de la LPP21 reprennent ceux de la réforme de la prévoyance vieillesse 2020 qu’ils avaient rejetée en 2017? Souvent de manière moins favorable, selon les experts déjà cités: comme si, quelles que soient les voies empruntées, le point final restait le même.
Lire aussi: LPP: un dimanche à fort enjeu social se profile pour la personne qui succédera à Berset
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### La réforme en cinq points
La prévoyance professionnelle fait appel à un jargon technique souvent difficile à appréhender pour les citoyens et les salariés. Sur la base des informations de l’[Office fédéral des assurances sociales](https://www.bsv.admin.ch/bsv/fr/home/assurances-sociales/bv/reformen-und-revisionen.html), voici les principaux points prévus par la révision sur laquelle la population sera appelée à voter le 3 mars 2024.
**Baisse du taux de conversion:** le taux qui détermine la conversion de l’avoir de vieillesse épargné en une rente annuelle passerait de 6,8 aujourd’hui à 6%. Ainsi, un avoir de vieillesse de 100 000 francs donnerait une rente de vieillesse annuelle de 6000 francs au lieu de 6800 francs.
**Réduction de la déduction de coordination:** le montant déduit du salaire, parce que déjà assuré par la caisse de compensation AVS, passerait de 25 095 francs (forfaitaires) à 20% du salaire AVS (jusqu’à un montant de 88 200 francs).
**Abaissement du seuil d’accès à la LPP:** il passerait de 22 050 francs à 19 845 francs.
**Simplification des bonifications de vieillesse**. Il n’y aurait plus que deux taux de cotisation (9% du salaire soumis à la LPP pour les personnes assurées de 25 à 44 ans et à 14% pour celles de 45 à 65 ans) au lieu de quatre.
**Mesures de compensation pour la génération transitoire:** des rentes supplémentaires seraient accordées pour compenser la baisse du taux de conversion à partir de l’entrée en vigueur de la réforme et pour les quinze prochaines années (de manière dégressive). Le montant du supplément de rente dépendrait de l’année de naissance, ainsi que de l’avoir de prévoyance.
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### Fiche technique du sondage
- **Dates** : du 2 au 9 juin 2023
- **Echantillon** : 1407 personnes âgées de 18 à 65 ans (604 Romands, 591 Alémaniques et 212 Tessinois).
- **Méthodologie:** prise d’informations par internet
- **Marge d’erreur** : Totale: ± 2,7%; Suisse romande et Suisse alémanique: ± 4,1%; Tessin: ± 6,8%.
- Tous les résultats sont donnés en pour-cent.
An anonymous reader writes: The US biofuel program is probably killing endangered species and harming the environment in a way that negates its benefits, but the US Environmental Protection Agency (EPA) is largely ignoring those problems, a new federal lawsuit charges. The suit alleges the EPA failed to consider impacts on endangered species, as is required by law, when it set new rules that will expand biofuel use nationwide during the next three years, said Brett Hartl, government affairs director with the Center for Biological Diversity (CBD), which brought the litigation.
The agency has twice ignored court orders to study the impacts and is probably dodging the requirements because ethanol production "props up" the corn industry, which has a politically powerful lobby, Hartl added. "The Biden administration failed to even modestly reform this boondoggle and crumbled again in the face of political pressure from powerful special interests," Hartl said. "Our streams and rivers will choke with more pollution and coastal dead zones will continue to expand." The EPA said in a statement that it does not comment on ongoing litigation. About 40% of all corn grown in the US is used for ethanol production, and nearly half is used as animal feed.
Police in China have arrested a man accused of using ChatGPT, an artificial intelligence-driven text generator, to write a story about a fake train crash, which he then published online. The authorities claimed this is the first arrest related to the use of ChatGPT in China, where the technology is illegal.
An anonymous reader quotes a report from KrebsOnSecurity: Countless smartphones seized in arrests and searches by police forces across the United States are being auctioned online without first having the data on them erased, a practice that can lead to crime victims being re-victimized, a new study found (PDF). In response, the largest online marketplace for items seized in U.S. law enforcement investigations says it now ensures that all phones sold through its platform will be data-wiped prior to auction.
Researchers at the University of Maryland last year purchased 228 smartphones sold "as-is" from PropertyRoom.com, which bills itself as the largest auction house for police departments in the United States. Of phones they won at auction (at an average of $18 per phone), the researchers found 49 had no PIN or passcode; they were able to guess an additional 11 of the PINs by using the top-40 most popular PIN or swipe patterns. Phones may end up in police custody for any number of reasons -- such as its owner was involved in identity theft -- and in these cases the phone itself was used as a tool to commit the crime. "We initially expected that police would never auction these phones, as they would enable the buyer to recommit the same crimes as the previous owner," the researchers explained in a paper released this month. "Unfortunately, that expectation has proven false in practice."
Beyond what you would expect from unwiped second hand phones -- every text message, picture, email, browser history, location history, etc. -- the 61 phones they were able to access also contained significant amounts of data pertaining to crime -- including victims' data -- the researchers found. [...] Also, the researchers found that many of the phones clearly had personal information on them regarding previous or intended targets of crime: A dozen of the phones had photographs of government-issued IDs. Three of those were on phones that apparently belonged to sex workers; their phones contained communications with clients. "We informed [PropertyRoom] of our research in October 2022, and they responded that they would review our findings internally," said Dave Levin, an assistant professor of computer science at University of Maryland. "They stopped selling them for a while, but then it slowly came back, and then we made sure we won every auction. And all of the ones we got from that were indeed wiped, except there were four devices that had external SD [storage] cards in them that weren't wiped."
CadoMaestro ? Brand identity
Cadeau,Maestro!, the French leader in original gifts online, is changing its naming and visual identity to reflect the quality of its products.
Graphéine modernised Cadeau,Maestro!'s brand image by assisting its teams with na…
Kenny Hearn, Fund Manager and Head of Research at SwissOne Capital, tells Ben about his path from traditional asset management to Web3 specialist and why he remains optimistic about the future of the market.
"After decades in the shadow of the reigning model for Alzheimer's disease, alternative explanations are finally getting the attention they deserve," writes Quanta magazine — in a 10,000-word update on where we are now:
Three decades ago, scientists thought they had cracked the medical mystery of what causes Alzheimer's disease with an idea known as the amyloid cascade hypothesis. It accused a protein called amyloid-beta of forming sticky, toxic plaques between neurons, killing them and triggering a series of events that made the brain waste away.... Decades of work and billions of dollars went into funding clinical trials of dozens of drug compounds that targeted amyloid plaques. Yet almost none of the trials showed meaningful benefits to patients with the disease....
A stream of recent findings has made it clear that other mechanisms may be at least as important as the amyloid cascade as causes of Alzheimer's disease.... The emerging new models of the disease are more complex than the amyloid explanation, and because they are still taking shape, it's not clear yet how some of them may eventually translate into therapies. But because they focus on fundamental mechanisms affecting the health of cells, what's being learned about them might someday pay off in new treatments for a wide variety of medical problems, possibly including some key effects of aging.... While these alternate ideas were once hushed and thrown under the rug, now the field has broadened its attention.
The article explores the theory — derived from research on genetically-engineered mice — that neurons bulging with toxic accumulations of proteins and molecules could be mistaken for classic amyloid plaques outside cells. (But in fact "the extracellular amyloid plaques weren't killing the cells — because the cells were already dead.") Scientists are now also investigating lysosomes, cholesterol metabolism, and even the immune system.
To say that the amyloid hypothesis is dead would be overstating it, said Donald Weaver, a co-director of the Krembil Brain Institute in Toronto, but "I would say that the amyloid hypothesis is insufficient...."
By 2017, 146 drug candidates for treating Alzheimer's disease had been deemed unsuccessful. Only four drugs had been approved, and they treated the symptoms of the disease, not its underlying pathology. The results were so disappointing that in 2018, Pfizer pulled out of Alzheimer's research. A 2021 review that compared the results of 14 of the major trials confirmed that reducing extracellular amyloid did not greatly improve cognition....
The hypothesis took another hit last July when a bombshell article in Science revealed that data in the influential 2006 Nature paper linking amyloid plaques to cognitive symptoms of Alzheimer's disease may have been fabricated. The connection claimed by the paper had convinced many researchers to keep pursuing amyloid theories at the time.
Enlarge / In a subtle troll at its rival, Audi says this will be the first F1 engine built in Germany for more than a decade. (credit: Audi)
Audi will race in Formula 1 in 2026 with engines built at its Audi Sport factory in Neustadt, Germany. After years of rumors, Friday's announcement was not entirely unexpected; in May then-Volkswagen Group CEO Herbert Diess confirmed it would enter the sport in four years when the next set of engine regulations come into effect.
VW Group will actually fund two F1 programs, one with Audi and a second with Porsche, which is in the process of acquiring a 50 percent stake in Red Bull Technologies. The Porsche announcement was supposed to take place at Red Bull's home race in Austria in July, but the sport only ratified the 2026 engine rules in mid-August.
That deal may still need some i's dotted and t's crossed, but with the new rules now confirmed, Audi has taken the opportunity of this week's Belgian Grand Prix to reveal its show car and to formally launch its F1 effort.
China’s financial hub Shanghai has abandoned its strategy of spot neighborhood lockdowns and embarked on a citywide lockdown instead. Authorities found 3,450 asymptomatic infections yesterday, which makes the city China’s largest covid hot spot at the moment.
The two-part lockdown for the city of 25 million, which comes after a shutdown of tech hub Shenzhen, shows that Beijing doesn’t yet have a roadmap away from covid zero, despite murmurs from Chinese government health advisers that the country must find a path to “coexisting” with covid. The country’s latest outbreak involves a relatively low number of cases compared to many countries following a far more relaxed approach.
The eastern side of the city will be under lockdown from today (March 28) until April 1, while the areas to the west of the Huangpu River that runs through the city will shut down between April 1 to 5. Taken together, this is China’s largest citywide lockdown yet.
India’s top diplomats have strongly condemned Myanmar’s military junta for a deadly crackdown on protesters since a February 2021 coup but experts say that longstanding oil-and-gas deals between the neighbouring countries may now be helping to support the brutal new regime.
As of 2019, the state-owned Indian Oil and Natural Gas Corporation (ONGC) had invested $722 million in four ventures with the state-owned Myanmar Oil and Gas Enterprise or MOGE, public records show. Since the coup, the Myanmarese military has gained (pdf) exclusive control of MOGE and the nation’s lucrative oil and gas industry.
“India’s investments in Myanmar are untenable under the current circumstances—both morally and politically,” said Angshuman Choudhury, who studies conflict in Myanmar at the Institute of Peace and Conflict Studies, a New Delhi think tank. “This regime won’t last long and civilian accountability will come soon. When that happens, India will have a lot to answer for.”
Enlarge / A worker checks a mainboard at a Vingroup production facility in Hanoi, Vietnam. (credit: NHAC NGUYEN/AFP)
US chip supplies are close to the breaking point as a new survey reveals diminished inventories and overstretched fabs.
The numbers put the chip shortage in stark relief. In 2021, companies that purchase semiconductors had less than five days of inventory on hand as opposed to the 40 days of inventory they had in 2019, according to a survey of more than 150 companies conducted by the US Department of Commerce. At the same time, demand was up 17 percent. Many of the companies surveyed said that demand exceeded their internal forecasts.
“We aren’t even close to being out of the woods as it relates to the supply problems with semiconductors,” Commerce Secretary Gina Raimondo said on a press call Tuesday. “The semiconductor supply chain is very fragile, and it’s going to remain that way until we can increase chip production in the United States.”
The US Department of Justice has created a team to investigate cryptocurrency-related crime. The Verge reports: The National Cryptocurrency Enforcement Team (NCET) will handle investigations of "crimes committed by virtual currency exchanges, mixing and tumbling services, and money laundering infrastructure actors," the agency said in a news release. Mixing and tumbling services can obscure the source of a cryptocurrency transaction, by mixing it with other funds. Cryptocurrency is "used in a wide variety of criminal activity," including ransomware demand payments, money laundering, and for the illegal sales of drugs, weapons, and malware, the agency noted. Several high-profile ransomware cases have involved demands in cryptocurrency, including the Colonial Pipeline attack in May, where the company reportedly paid a $5 million ransom to DarkSide.
The DOJ says the NCET, which will provide expertise in blockchain and cryptocurrency transactions for the Justice Department and other US government agencies, will draw team members from the DOJ's money laundering, intellectual property, and computer crimes divisions, as well as from US attorneys' offices across the country. The team will be under the supervision of Assistant Attorney General Kenneth Polite Jr. to start, but the Justice Department is seeking to hire someone who has "experience with complex criminal investigations and prosecutions, as well as the technology underpinning cryptocurrencies and the blockchain," on a more permanent basis.
