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21 Nov 21:42

"BtoB Ensemble" - Nouveau Think Tank Français

by Hubert Faucher

B... To Be or Not To Be ?


Lors du BtoB Summit, événement de premier plan organisé le 12 juin 2014 par ORACLE, ARESSY et GETPLUS, un des messages centraux couronnait « Smart Data », « Contenu » et « Process » comme « les trois piliers du nouveau Marketing BtoB ».

C’est que le marketing, et plus généralement le « Management de la Relation BtoB » (B2B Relationship Management), ont bien changé au cours des dernières années ! Mieux, ils sont totalement bouleversés par plusieurs influences en tête desquelles la digitalisation de l’économie, servie par une innovation technologique galopante, ainsi que la globalisation des échanges, toujours en marche quoi qu’on en dise.

"Ensemble"... pour apprivoiser la complexité


Force est de constater que les bouleversements évoqués plus haut conduisent à des degrés de complexité que l’individu, seul, ne peut résoudre, car les défis qui se présentent aux professionnels des domaines concernés (Marketing, Achat, Supply Chain, Vente, Management des Comptes Stratégiques…) sont immenses. Voici donc une nouvelle rassurante : aussi expert que je puisse l’être dans une ou plusieurs des disciplines concernées, il est normal que j’aie parfois ce sentiment désagréable de « boire la tasse », de ne pas maîtriser les choses sur un champ assez vaste pour être « au top »… !  Expérience pleinement humaine, somme toute, non ? Mais quelle réponse y apporter ?

Face à cette complexité, il n’est pas dit que, bon gaulois comme je suis, j’adopte en premier la démarche qui libère : faire le pari d’avancer ensemble, en confiance et en complémentarité, en réseau d’experts constitué, pourvu que celui-ci soit efficacement coordonné. Il faut dire que la tentation de l'individualisme est grande, mais il s’agit bien ici d’une question de survie (« B… To Be Or Not To Be ? ».. Z'aviez tilté ?), car sans ce sursaut collectif, les individus ont toutes chances de perdre leur « share of voice » dans le brouhaha mondial, en particulier sur la toile… 

Le défi français relevé ?


Gaulois… Face au dynamisme bien connu des Etats-Unis dans l’innovation et les pratiques BtoB, un pays comme la France, qui n’a pourtant pas à rougir de son histoire économique, industrie et services compris, pourrait ainsi céder au pessimisme ambiant, faute justement de savoir s’organiser collectivement pour unir ses compétences et ses voix en un message fort, clair et cohérent. Des situations de ce type ont pu être relevées, confinant à un syndrome bien français qui s'est peut-être déjà exprimé dans le domaine de la production viti-vinicole face au marché mondial…

Eh bien non !... Une initiative qu’il faut saluer vient de voir le jour sous la bannière « BtoB Ensemble, le Think Tank des décideurs français voulant valoriser et promouvoir le BtoB ».Les initiateurs en sont Hervé GONAY, CEO de GETPLUS, et Stéphane MUNIER, CEO de STEIN IAS. Premier think-tank français du BtoB avec plus de 20 membres fondateurs incluant Annonceurs, Agences, Offreurs de solutions et Influenceurs, "Ensemble BtoB" est un mouvement fédérateur qui s’appuie sur les réseaux professionnels existants (ADETEM, ACSEL, TOP COM…) avec l’intention affichée de démontrer la valeur du marketing BtoB en France.


BtoB Ensemble - Objectifs et Valeurs


Exprimé sur le site internet du think tank, le credo des initiateurs et des membres fondateurs de "BtoB Ensemble" se résume bien dans la formule qui suit :


« Nous vivons l’âge d’or du marketing BtoB : faisons-le savoir ! »



Le think-tank poursuit trois objectifs majeurs

  • Organiser des partages d’expertise entre les acteurs sur les problématiques caractéristiques du Marketing BtoB ;
  • Promouvoir le Marketing BtoB ;
  • Mener des projets concrets et actions percutantes.

Ses valeurs sont au service de ses objectifs et de ses membres

  • Equilibredans la répartition des membres entre Annonceurs, Offreurs de solutions technologiques et Agences marketing ;
  • Echangefondé sur le respect et le partage entre les membres ;
  • Action Tank, avec un  numerus clausus fixé à 50 dans un premier temps afin de conserver le niveau de qualité de la production et des actions militantes.

BtoB Ensemble – Fonctionnement



Les membres sont : 


L’adhésion

Plutôt sélective afin de conserver un haut niveau de contribution des membres, elle résulte d’un processus volontaire basé sur la cooptation avec un parrainage d’au moins deux membres.

Le bureau 

Il est en cours de constitution. Y siègent les deux membres fondateurs.


* * *

BtoB Ensemble commencera ses travaux dès la rentrée 2014. Nombre d’entre eux donneront lieu à publications. Wanna keep posted? Stay tuned… Et, d'ici-là, bel été à vous !

26 Jul 23:09

Premiers pas en bourse de Krealinks, la jeune start'up pionnière des ... - News banques

by KREALINKS

Premiers pas en bourse de Krealinks, la jeune start'up pionnière des ...


18 Apr 10:39

Nip$ales 013 – La Vérité du terrain ne ment jamais

by nipsales@nipcast.com (@syde et @marco_nip)

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Nip$ales est un podcast de la famille NipCast sur la vente , le retail et la communication, animé par @syde et @marco_nip.
Plus d’info sur nipsales.com et  @nipsales.


Podcast: Téléchargement

Cliquez ici pour avoir toutes nos notes d’émission… ainsi que les liens dont nous avons parlé!

17 Feb 22:58

Etes vous plutôt FOCUS GROUPE ou ENTRETIEN A DOMICILE ?

by noreply@blogger.com (Laure Boisier)
L'entretien est une approche Phare des études qualitatives!
Un entretien à domicile n'a rien à voir avec un focus groupe!

Un entretien à domicile s'apparente plutôt à un accueil de la part des participants dans leur foyer: comme une vraie rencontre, un bon moment passé, entre le consultant et le participant.

Les avantages des entretiens par rapport aux focus groupes sont nombreux.

On s'attend souvent à une réunion formelle alors que c'est tout à fait l’inverse. Le consommateur est chez lui. Il se sent à l’aise et décontracté.

De plus le participant n'est pas obligé d'interagir avec d'autres participants il est entièrement lui même sans concessions ! L'entretien à domicile permet aussi d’éviter les désavantages d'un groupe : comme quand les répondants s'influencent les uns les autres ou comme lorsqu'un participant mène seul la conversation.

Pour résumer : le participant n'est pas distrait par la présence des autres répondants ou par l’endroit dans lequel il se trouve et qui serait nouveau pour lui : il peut donc focaliser toute son attention sur le sujet d'étude.

Ensuite, au lieu de demander au consommateur de simplement verbaliser son comportement, celui-ci peut être observé directement naturellement. On obtiendra ainsi une compréhension complète de son environnement de vie.

Enfin, l'entretien individuel étant souvent plus décontracté, et il est donc moins fatigant pour le consommateur, soit plus efficace.

L’entretien à domicile peut apporter des bénéfices considérables dans des cas appropriés. Cette approche est pertinente pour les études plutôt exploratoires qui nécessitent de l'observation in situ, et une compréhension en profondeur du consommateur.

Bien entendu, l’entretien à domicile présente aussi des inconvénients.

Tout d'abord, il n'y a pas de confrontation de points de vue entre les répondants. Et, réaliser des entretiens peut imposer un temps d'analyse plus long : plus de temps est accordé au terrain d'étude plus le temps d'analyse est allongé.

Les entretiens sont aussi moins appropriés pour utiliser des méthodes projectives.

Ainsi les entretiens individuels nécessitant plus de temps et d’efforts que d’autres techniques ils pourraient paraître une méthode désuète. Néanmoins, rien ne peut remplacer l’échange directe et individuel entre le consultant et le participant, pour répondre à des objectifs d'étude exigeants.

Lb Qualitative Research réalise de manière récurrente des entretiens à domicile, et récemment a lancé une étude quali sur des boissons, avec des observations à domicile. Pendant ces entretiens, les consommateurs se sont sentis détendus. Ils ont pu partager leurs points de vue très ouvertement et montrer leurs usages réels.

Alors êtes vous plutôt FOCUS GROUPE ou ENTRETIEN A DOMICILE ?

17 Feb 22:57

Travailler avec une salle avec miroir sans tain influence-t-il les reponses lors une etude qualitative ?

by noreply@blogger.com (Tina Coulibaly)

Si l’importance de la neutralité de l’enquêteur n’est plus à démontrer dans les démarches d’études qualitatives, quand est-il des facteurs environnementaux ? Le choix du lieu dans une étude qualitative influence-t-il les réponses ?

Le comportement de quelqu’un dépend en grande partie des facteurs environnementaux. Nous pensons qu’un lieu qui inspire confiance va inciter à la confidence, alors qu’au contraire, un endroit peu intimiste va freiner les confidences des personnes interrogées. Le lieu a une influence s’il fait partie de la problématique, ou s’il a une répercussion sur la manière dont les gens se sentent.


Il y a quelques temps, nous avons animé, un groupe pour une marque de produits (très) intimes et nous avons constaté que le lieu avait vraiment une influence.


Pour inciter les participants à exprimer des états et des comportements intimes, l’organisation du groupe a nécessité une salle bien close, cosy, avec une atmosphère intime et rassurante, plus proche de la soirée entres amis que du groupe de consommateurs. Cet environnement a été très propice aux échanges croustillants et sincères des femmes réunies.

Nous pensons que nous n’aurions jamais eu les réponses franches et dénuées de gêne si nous avions réalisé le groupe dans les mêmes conditions qu’un groupe classique avec de la vidéo, des miroirs sans teint etc.


Nous pensons que si nous devons interroger une personne sur un sujet personnel, ses confidences sont assurées seulement si elle se sent en confiance et en sécurité comme chez elle ou dans un endroit où une atmosphère intimiste a été recréé.


Nous pouvons également prendre l’exemple d’une étude que nous avions réalisée in situ sur un point de vente où les entretiens abordés l’expérience en boutique. Le fait que les participants se trouvent à l’endroit même du débat même a permis d’obtenir des réponses très riches et très spontanées car les participants pouvaient s’appuyer sur leur environnement pour expliciter leur point de vue. Nous n’aurions sûrement pas eu des réponses d’aussi bonne qualité si nous avions réalisé les entretiens dans une autre salle, où le participant aurait du s’imaginer la boutique.


Néanmoins dans certains cas, le lieu n’a pas d’influence notamment lorsqu’il s’agit d’une étude qui porte sur des problématiques plus globales ou qui ne consistent qu’à évaluer des documents de communication.


En effet, hormis le fait de donner son avis, la personne interrogée ne communique rien de personnel, ou n’a pas besoin de l’environnement pour étayer son discours.


17 Feb 22:25

23 Buzzwords coined and used at the 2014 ESOMAR Digital Dimensions Conference

by noreply@blogger.com (Jonpuleston)
This years Digital Dimensions conference produced a particularly good harvest of buzzwords, some of which you may have heard before but some I can guarantee are 100% new!

The conference buzzword award has to go to John Humphrey Kimberly Clark & Joost Poolman Simons from IPSOS who in one presentation delivered more new additions to the market research vocabulary pool than I think I have heard in one hit. 

1. Glassnography: The new term for ethnography using google glasses Coined in presentation by: John Humphrey Kimberly Clark & Joost Poolman Simons Ipsos

2. Privacy:  The word probably mentioned more often at this conference than any other (source: various)

3. Fanqual:  Doing qualitative research amongst your Facebook fans by posting ideas and getting their feedback  Coined in presentation by: John Humphrey Kimberly Clark & Joost Poolman Simons Ipsos

4. Spammyness index = How Impersonal x how intentionally manipulative a piece of marketing communication is. Coined by Jacob White VisualDNA

5. Cupcake research: A derogatory term for the type of research that looks great, but is too sweet to eat and has little or no healthy substance.  Coined in presentation by: John Humphrey Kimberly Clark & Joost Poolman Simons Ipsos

6. Phylogenetics: A new very nerdy means of analysing social networks devised and discussed in a paper by OMD (don’t ask me to explain it!)

7. Amazonification: The observation of how some people are using Amazon as first point of call for researching and  purchasing so many different things (Note Ebay is used in a similar way by another sub strand of the population but ebayification doesn’t sound quite right!) Coined in presentation by: John Humphrey Kimberly Clark & Joost Poolman Simons Ipsos

8.Data exhaust: The data pollution that pours out systems that we cannot effectively use (source: various)

9. Shapely value:  The game theory technique devised buy Lloyd Shapely he won a Nobel Prize is emerging as a great way of segmenting activity usage in market research which was ably demonstrated by the team from AOL

10. The Big 5: The five key personality traits to understanding human behaviour: openness, conscientiousness, extraversion, agreeableness, and neuroticism. These are becoming the cornerstone of many standard research measurement techniques so they get a collective noun the big 5  Coined by Jacob White VisualDNA

11. The physiological data era:  Wearable technology is going to be the dominant new source of market research data over the next decade and a prediction that physiological data is going to become one of the key metric of market research coined by Gawain Morrison from SENSUM

12. Why analytics: Analysing big data to gain deeper insights into customers wants and needs (source various)

13. The army of influencers:  An observation of what it feels like to be an expectant mum for the first time and the bewildering array of advice you are offered  in the digital age.  Coined in presentation by: John Humphrey Kimberly Clark & Joost Poolman Simons Ipsos

14. Corporate purpose: In the social media age, companies are realising the collective power of consumers – business that simply pursue the need to make money and don’t  address  the actual needs of their consumers in the decisions can easily become a cropper.  To address this there is a growing trend amongst business to try and define their “Corporate purpose”  Coined by Jacob White VisualDNA

15. Share of experience:  Share of voice is a fairly meaningless idea in a wold where we are bombarded by messages in multi-dimensions.   We should focus on share of experience which is more about measuring what is cutting through.  Coined by Chris Wallbridge Mesh Planning

16.Renegade professionals:  “The future is in the hands of the “renegade professionals” So much innovation is happening outside conventional businesses and it’s the outsiders, the renegades that are inventing the future – very much on their terms!

17. Microboredom:  Those moments waiting in the queue when we noodle on our mobile phones. Mentioned by Alex Drozdovsky BBDO Worldwide

18. Technotots & digikids:  Terms to describe the proliferation and impact of technology on young children Mentioned by Alex Drozdovsky BBDO Worldwide

19.The google shop assistant: The phenomenon that many people out shopping would prefer to look up their query on their smart phone than ask the shop assistant. Google is becoming the shop assistant!

20. Selection over sample: New research techniques are going to be more reliant on having the right type of active participants than larger numbers of balanced sample.  Coined by Grant Bird Hall & Partners

21. The Zero moment of memory: We are using our smartphones more and more to replace our own memory. Coined by Nick Drew from Yahoo! and Olga Churkina from Fresh Intelligence Research

22. Digital Detox: The idea of decoupling ourselves from our digitial devices to allow us to unwind coined by Alex Drozdovsky BBDO Worldwide

23. Turning off is the new emotion: Another idea coined by Alex Drozdovsky BBDO Worldwide we are being so bombarded by data and information in  the new digital age that turning off is the new emotion

14 Feb 20:52

20 questions à se poser pour choisir un outil de sondage en ligne

by Pierre

sondage en ligne

 

C’est décidé !  Vous allez mener votre étude de marché, votre étude marketing ou plus simplement vous allez réaliser un sondage en ligne.

Comment choisir le bon outil, la bonne plateforme, l’approche la plus adaptée à votre besoin ?
Nous avons recensé ici 20 questions à se poser pour faire votre choix !

Tout d’abord, il faut comprendre que vous trouverez deux grandes familles d’outils.
  • Les plateformes d’études marketing en ligne
  • Les plateformes de questionnaires

Ces derniers se concentrent uniquement sur la technologie de questionnaires et considèrent que c’est à vous de trouver les répondants. On pourra citer dans cette catégorie les Survey Monkey, Google Form, TypeForm, j’en passe et des meilleurs. Quant aux premiers, ils vous apportent « aussi » les répondants à votre étude (les « panélistes »)… Vous le voyez, la différence n’est pas mince, et c’est un vrai premier choix structurant à effectuer.

Tableau comparatif: outil de sondage en ligne

Pour qualifier au mieux les outils de sondages en ligne que vous allez investiguer, voici donc les bonnes questions à se poser.

  • Une base de panélistes est-elle disponible ?

Interroger ma belle-mère, mes amis ou mon réseau c’est bien, mais interroger des personnes dans ma cible qui n’ont aucun affect avec moi, c’est mieux.

  • De combien de panélistes le site dispose-t-il ?

Et bien, ça, c’est pas la bonne question ;-)
Ok, ok… là, je vous titille un peu : c’est effectivement une interrogation naturelle dès que l’on parle de base de panélistes… On a tous le sentiment que « plus y’en a, mieux c’est »… Le problème, c’est que entre les sites qui multiplient leurs compteurs par 10, ceux qui vous affichent des chiffres « mondiaux » (et pourquoi pas galactiques, hein ?), et ceux qui ne disent rien, tout cela n’est pas très clair.
En réalité, la « bonne » question est seulement de savoir si le site a « vos » panélistes, c’est-à dire ceux que vous allez rechercher pour répondre à votre étude. On le sait peu, mais 100 réponses à une étude est très largement suffisant pour obtenir des résultats valides, dès lors que la cible est précise et homogène, alors, ce qui est important, ce n’est pas de savoir si le site dispose de 100 milliards d’inscrits, mais de savoir s’il a suffisamment de panélistes de qualité, qui répondent vite et bien, et surtout correspondants à VOTRE cible.

  • Puis-je interroger mes propres contacts ?

Pourquoi se priver d’une information gratuite …

  • Est-ce que je peux bénéficier d’une étude gratuite sur la base de panélistes que propose éventuellement le site ?

Une fois votre choix limité à 1 ou 2 outils possibles, rien de mieux que de tester…et de tester gratuitement tant qu’à faire ;-)

  • Est-ce que je peux bénéficier d’une étude gratuite sur mes contacts ?

Si c’est vous qui fournissez les répondants, pourquoi payer ?

  • Existe-t-il des modèles d’études ?

Histoire de gagner du temps, de s’inspirer de meilleurs pratiques et de ne pas ré-inventer la roue

  • Suis-je autonome pour créer puis gérer mon étude ?

En cas de réponse négative, et bien vous allez devoir demander des devis, recevoir des appels téléphoniques de commerciaux ou de consultants voire les deux, négocier… bref, c’est le marketing version 20ème siècle ;-)

  • Le site vérifie-t-il mon étude avant que je paye… ?

Certains outils vous laisse seul maître de votre destin…C’est bien a priori, sauf que, si vous avez fait une bourde… c’est tant pis pour vous. Le fait qu’un site et/ou les équipes du site vérifie la bonne tenue de votre étude est une garantie de ne pas payer pour rien…

La sélection des répondants

  • Combien de critères pré-packagés sont disponibles pour la sélection des panélistes répondants ? Puis-je utiliser mes propres critères (questions) ?

Evidemment, vous n’allez pas laisser n’importe qui répondre à votre étude… au risque de voir ses résultats invalidés. Par exemple, si vous lancez une nouvelle collection de lunettes, il est peu probable que vous souhaitiez voir répondre des panélistes qui n’en portent pas ;-)… et donc vous allez devoir « filtrer » les répondants. Pour ce faire, plusieurs techniques sont possibles : la sélection par critères pré-établis par la site (en général, critères socio-démographiques et socio-économiques) ou la sélection par questionnaire personnalisable (vous posez les questions et vous précisez les réponses « ok » et les réponses « pas ok »). La question que vous devez vous poser ici est donc « est-ce que les critères proposés par le site me suffisent pour déterminer ma « cible » ou bien au contraire dois-je choisir un site qui me permet de personnaliser entièrement ma sélection ?.

  • Est-ce que je paye aussi pour les répondants qui ne passent pas la sélection ?

Petit warning en effet. Certains outils vous feront payer tous les répondants…y compris ceux qui ne passent pas votre filtre de sélection. Ils estiment en effet qu’ils ont « fait le boulot » puisqu’ils vous ont amené des panélistes. Nous, chez AdoctA, nous estimons que seuls les panélistes ayant effectivement répondus entièrement et avec qualité à votre questionnaire sont à considérer.

  • Puis-je sélectionner les répondants avec une méthode des quotas ?

C’est souvent la tarte à la crème lorsque l’on parle de sondage. On veut une méthode des quotas sur échantillon représentatif de la population. Au-delà du fait que « ça fait sérieux », cette méthode permet de s’assurer de l’hétérogénéité représentative d’un panel. Par exemple 54% de femmes 46% d’hommes. Cette méthode peut rapidement devenir complexe à mettre en œuvre et beaucoup de plateformes ont préférée faire l’impasse…

  • Existe-t-il des « panels » prêts à l’emploi ?

Ce sont des groupes de répondants pré-sélectionnés selon une liste de critères et de réponses à questions. Des panels prêts à l’emploi vous évitent d’avoir à ré-inventer la roue. Par exemple, chez AdoctA, nous proposons des panels pré-packagés comme les Happy Boomers, la génération Y, les wonder Mum…

  • Puis-je disposer d’un échantillon représentatif de la population ?

Quand vous avez du mal à définir votre cible, une première étude « large » peut vous aider à trouver LA cible qui répond le mieux à votre proposition de valeur… et, en ce cas, il faut prendre un échantillon représentatif de la population : les résultats de l’étude vous permettront alors d’identifier votre cible à l’intérieur de cet échantillon

  • Si je veux une étude sur mes contacts, dois-je charger tous mes contacts sur le site ?

Ca n’a l’air de rien, mais charger ses contacts sur un outil tiers, c’est prendre le risque de les voir exploiter…Préférez donc les solutions ou aucun chargement n’est nécessaire. Gardez pour vous ce bien précieux qu’est votre base de contacts… le point sera particulièrement important si vous menez des études de satisfaction clients…voire un process de satisfaction client au fil de l’eau des commandes ou des inter-actions (help-desk, support….). Privilégiez dans ce cas les solutions qui vous fournissent une URL vers laquelle amener vos clients.

Les réponses

  • Combien puis-je poser de questions aux panélistes pour mon étude ?

Certaines outils limitent le nombre de questions… Préférez les solutions illimitées… même si au-delà de 10 questions vous allez perdre des panélistes, sachez le…

  • Le dédommagement des panélistes est-il géré par le site ?

Dédommager les panélistes est un passage quasi obligatoire pour obtenir qualité et quantité dans les réponses. Mais attention, dédommager 100 ou 1000 personnes est un processus fastidieux (vous vous imaginez faire 1000 chèques de 2 euros ? ;-) ). Préférez donc les plateformes proposant de gérer intégralement le dédommagement des panélistes.

  • Puis-je gérer moi-même le dédommagement des répondants ?

Il faut en effet pouvoir débrayer le système si besoin. Par exemple, si vous souhaitez en dédommagement proposer des codes de réduction, ou organisez vous-même une réunion… (voir ci-après)

  • Puis-je seulement « recruter » des panélistes pour mener une étude hors-ligne (interview téléphonique, réunion…) ?

Et oui, il n’y a pas que le on-line dans la vie. Un bon entretien bien mené dans la vraie vie peut vous en apprendre beaucoup. Pourquoi donc ne pas utiliser votre plateforme pour trouver les bons candidats !

Les Tarifications des outils de sondages en ligne

  • Quels sont les critères qui déterminent la tarification ?

C’est LA question. En vrac, vous pourrez trouver : le nombre de questions, le nombre de répondants, le nombre de critères de sélection des panélistes, le dédommagement des panélistes, les services de consulting associés, la difficulté à trouver les répondants… Attention donc aux mauvaises surprises.
Chez AdoctA, nous avons fait simple… Considérant que notre valeur tenait à vous trouver les bons répondants à vos études, nous vous facturons les panélistes que VOUS avez sélectionnés ayant répondu à l’intégralité de VOTRE étude…selon une formule simple. Pour  X € de dédommagement donné au panéliste (calculé par le site), nous vous facturons 2 * X €. Et si jamais votre étude ne porte que sur VOS contacts et bien elle est entièrement gratuite si vous décidez de ne pas les dédommager… A tout moment lors de la création de l’étude, vous voyez ce prix être calculé à la volée, il y a même un outil de calcul hors de toute saisie d’étude. Pas de mauvaise surprise :-)

  • Quelles garanties ?

Et si finalement tout se passait mal ou pas si bien que ça. Quelles garanties offre votre plateforme ? Chez AdoctA, c’est « satisfait ou remboursé »…  On pouvait pas faire mieux ;-)

Vous voilà fin prêt à faire votre choix ! Moi j’ai bien une petite idée sur la meilleure solution… Mais rien de tel qu’une petite tournée des outils pour s’en convaincre ;-)

Tableau comparatif: outil de sondage en ligne

A très bientôt sur AdoctA.

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04 Feb 06:08

L homme augmenté : l opinion oscille entre désir et peur

  in Autres études et rapports à télécharger ou à consulter N° S4163
03 Feb 17:43

[article] Instituts d’études et sondage, l’effet big data

by communication

Boosté par l’innovation technologique, encouragé – mais aussi déboussolé – par le développement du big data, qui ouvre grand la boîte de Pandore des données numériques personnelles de chacun, le secteur des études de marché et des sondages est en pleine recomposition. Market researchers, instituts d’étude traditionnels, start-up ambitieuses : tous se lancent dans la course aux mégadonnées. Mais le recueil massif de données sur le Web n’est rien sans l’intelligence de leur analyse. Deux compétences pour l’instant dissociées… mais pas pour longtemps.

Le Nouvel Economiste, par Anne-Laurence Gollion

Intervention d’Etienne Bressoud, Directeur Conseil Innovation et Marketing Sciences chez BVA

Lire l’intégralité de l’article

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