Jean-Philippe Cunniet

Le géant du meuble en kit, IKEA, a annoncé, via un communiqué de presse en marge du MWC, la sortie en avril d’une gamme de produits qui permettent de recharger les appareils sans-fil. IKEA s’est basé sur des recherches en interne qui faisait ressortir le constat suivant : les gens détestent avoir des câbles partout. Nous

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“ Just tested this yesterday. It's well-done and does exactly what it says it does: easily add an event to a calendar. ”
– Eric Willis

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Ipsos annonce la naissance d'Ipsos Connect, spécialisée dans la communication des marques.

Utiliser les drones comme espions à visée marketing, c’est la nouvelle idée douteuse d’Adnera, une société de marketing venant de Singapour, et qui teste ce système de drones publicitaires sur les plages Californiennes.

Publicité aérienne

Alors que la France entre dans une paranoïa vis à vis des drones survolants nos verts pâturages et nos moins vertes villes, Adnera a décidé d’utiliser ces appareils dans le cadre d’une campagne marketing. Lancée depuis le début du mois de Février 2015, l’opération est très simple. Adnera utilise une méthode appelée le « mobile to store ». Cette méthode consiste à localiser la position des smartphone  par triangulation, ce qui permet de leur envoyer des publicités ciblées en fonction de l’endroit ou ils se trouvent. Mais pour se faire, il faut que l’utilisateur se soit connecté avec son smartphone via une borne wifi dans les environs.

Ce qui distingue Adnera de la concurrence est donc l’utilisation des drones publicitaires. La société utilise sa propre technologie de cartographie et peut établir les habitudes du consommateur en fonction de ses déplacements (un joggeur faisant sans cesse le même parcours, un salaryman qui passe par la même ligne de métro pour aller au travail…). Concrètement, les drones fendant l’air permettent d’étendre de manière très large le cercle de localisation, et même d’aller dans des endroits avec peu ou pas de réseaux wifi disponibles. Ou que vous alliez en Californie, vous pouvez donc être repéré par un drone d’Adnera qui vous bombardera de publicités ciblées.

Protestations au sol

Comme vous pouviez vous en douter, cette nouvelle a soulevé une vague de protestations, surtout en des temps où les vols d’information sont nombreux. Adnera à naturellement promis de respecter la vie privée des possesseurs des smartphones « pistés », affirmant qu’ils n’étaient pas filmés, écoutés ou photographiés. De plus, ils seraient identifiés via l’ID de leur appareil et non leur nom/prénom. Leur véritable identité serait donc inconnue d’Adnera.

De belles paroles qui n’ont pas rassurées grand monde, le respect de la vie privée de l’utilisateur par les entreprises restant souvent un vœu pieux. la multiplication des vols de drones appellera fatalement une législation dans les années future. En attendant, des sociétés comme Adnera ont tout le loisir pour continuer leurs petites expériences avec leurs drones.

Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs. Bien qu’ils ne soient pas présents dans notre vie quotidienne, les drones sont les sujets de maintes expériences de la part des entreprises. De nombreuses vidéos de drone-vertising pullulent. Que ce soit Wooker qui imagine des drones volant près des grattes-ciel portant des panneaux publicitaires afin de faire de la pub pour des pâtes juste devant les clients potentiels à l’heure du déjeuner, ou DroneCast et ses drones publicitaires, ces petites machines volantes n’ont pas fini de faire parler d’elles…

source: 01net.com

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Mardi 10 mars, 16h30 : Assemblée Générale Constitutive

Mardi 10 Mars, 18h30 : Table ronde sur les enjeux clés de l’Internet des Objets
avec des personnalités référentes de l’inter-profession

19h30 : Cocktail

Dans cette période de mise en place de l’association, et dans l’attente de sa première Assemblée Générale, prévue le mardi 10 mars 2015, le Carrefour de l’Internet des Objets vous propose de faire partie des membres fondateurs appelés à constituer le Conseil d’administration, pour assurer la gouvernance du Carrefour.

Seuls les membres fondateurs – les membres qui auront adhérés avant l’AG du 10 mars -pourront faire partie du conseil d’administration, pour en assurer la gouvernance.

En étant membre fondateur, vous serez associés à l’ensemble des actions (groupes de travail thématiques, rendez-vous du Carrefour, calendrier, …) et à la communication du Carrefour, notamment par des prises de parole lors d’instances officielles et par la représentation de l’association aux rendez-vous de la profession.

Le Carrefour de l’Internet des Objets est une association loi 1901, conçue pour être une plate-forme d’échange d’informations, de débats et de mises en relation permettant de tirer pleinement parti du potentiel de ce nouveau marché.

Le Carrefour de l’Internet des Objets a pour vocation de devenir la plate-forme référente pour les membres de l’interprofession : groupes et start-up, laboratoires, structures de financement, écoles…

Inscriptions (obligatoires) et demande d’information :
Coralie Magnin – 01 41 31 99 20
contact@carrefourdelinternetdesobjets.com

 

“ Very, very interesting to see the interconnectedness in the bay area. Added this tool to my growing PH collection based on relationships and networks: http://www.producthunt.com/writerpollock/collections/relationships ”
– Tristan Pollock

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Coriolis Service, prestataire en relation client, lance Coriolis Campus, une nouvelle école de formation dédiée à l'encadrement. Rencontre avec le directeur général de Coriolis Service, Olivier Hérault.

Depuis quelque temps, je suis chroniqueur d’une émission de la chaine NoLife avec Libération appelée 56Kast, aussi disponible au format Podcast (vidéo ou juste audio - flux RSS).

J’interviens dans le cadre de la chronique Quartier Libre en alternance avec d’autres libristes.

Cette semaine, je parle du contrôle de nos données, couvrant ici une partie des chapitres 12, 13 et 14 de mon ébauche de livre flicage-brouillon.

Voilà ce que ça donne (cliquer sur l’image pour voir la vidéo) :

• L’émission en vidéo chez Dailymotion.com ;
• L’article de Libération sur l’émission #48 : Sous nos lunettes connectées, on a perdu le contrôle de nos données ;
• Toutes les émissions 56Kast ;
• Le flux RSS 56Kast pour s’abonner au Podcast.

La marque de jeux de construction Meccano se décline désormais en mobilier. Les produits, dessinés, fabriqués et commercialisés par une équipe française, sont modulables et évolutifs. Découverte de ce concept 100% "Made in France".

 Lire l'article

Au delà des PC et des smartphones, qui sont déjà très répandus, une nouvelle vague d’appareils connectés à Internet est sur le point de déferler sur le monde, celle de l’Internet des objets.

Les objets du quotidien : voiture, télévision, réfrigérateur

Une nouvelle génération d’objets du quotidien est en train d’apparaître. On les affuble du préfixe « smart » pour les rendre plus attirants, mais la valeur ajoutée de leurs nouveaux services comporte de grands risques en termes de fuites de données, sans compter le fait que les logiciels qui les font fonctionner sont souvent propriétaires : on ne peut presque jamais les voir, les comprendre, les modifier pour les adapter à nos besoins.

La voiture

C’est déjà presque un classique dans certains pays comme les États-Unis, où les assureurs comme la société Progressive proposent de mettre un GPS connecté à Internet, promettant une économie jusqu’à 30% dans certains cas. Un client, Joe Manna, a essayé pendant 6 mois durant, pour finalement économiser 1$ en tout. Les données (horaires, freinages) sont transmises à l’assurance en temps réel par le réseau mobile. Joe Manna conclut son expérience par ces mots : « Débrancher le GPS de Progressive est comparable à la sensation que doit éprouver un chien quand on lui retire son collier ».

Mais une nouvelle génération comme la Tesla Model S, magnifique voiture électrique de luxe disposant d’une immense tablette tactile en guise de tableau de bord et de moteurs fournissant entre 376 et 691 chevaux, va beaucoup plus loin. La publicité fait étalage de la technologie embarquée, mais passe soigneusement sous silence quelles données sont collectées par cette voiture connectée à Internet, qui envoie des données au constructeur. Il aura fallu attendre un incident avec un journaliste pour découvrir que Tesla accumule les données avec voracité : vitesse instantanée, niveau de charge de la batterie, évolution de l’autonomie restante, température intérieure du véhicule, et probablement beaucoup d’autres paramètres qui ne sont pas indiqués, sachant que la voiture est fièrement équipée de Google Maps, application qui permet à Google de pister chaque utilisateur. Ceci est confirmé par la privacy Policy de Tesla dont la lecture donne un peu le tournis tellement la collecte de données est importante.

Pour conclure sur ce sujet, voici la conclusion d’un journaliste de la revue Forbes à propos de Tesla :

Nous devons réfléchir dès maintenant sur qui peut accéder à ces données et comment ils le font. En effet, dans un jour prochain, nos voitures seront un problème pour notre vie privée comme nos smartphones le sont déjà.

La télévision intelligente

Les grands constructeurs d’appareils ménagers se sont jetés sur ce marché, cherchant à pousser les consommateurs à renouveler leur télévision à nouveau. Grâce à Samsung, le cauchemar a déjà commencé : début 2015, la presse a réalisé que leurs Smart-TV, équipées de commande vocale, impliquait l’acceptation d’une « privacy policy » qui rappelait nettement le roman 1984 de George Orwell :

Samsung peut écouter des commandes vocales et des textes associés via votre télévision de façon à vous fournir des fonctionnalité de reconnaissance vocale, mais aussi pour évaluer et améliorer des fonctionnalités. Nous vous prions de prendre conscience que si les mots prononcés contiennent des informations sensibles ou personnelles, ces informations seront aussi capturées et transmises à une tierce partie via la reconnaissance vocale.

Il est apparu après quelques recherches que non seulement ces données sont transmises à un sous-traitant, mais qu’en plus elles transitent sur Internet sans être chiffrées, contrairement à ce qu’indiquait Samsung.

Avec la smart-TV, on va finir par regretter que ça ne soit pas les programmes télés qui deviennent intelligents et les télévisions qui restent stupides !

La console de jeux

Avec la console de jeux XBox, Microsoft a frappé un grand coup en proposant un accessoire, Kinect, qui permet de se passer d’une manette pour jouer dans certains cas. Mais Kinect, c’est surtout deux caméras qui filment ce qui se passe dans la pièce. On imagine les dérapages possibles, surtout quand on voit que Microsoft a déposé un brevet qui permet de compter les gens présents devant la télé via afin d’empêcher la lecture du DVD s’ils sont trop nombreux.

Le « Quantified Self »

Depuis quelques années, une nouvelle catégorie de produits est en train de devenir populaire : les capteurs électroniques mesurant notre santé. Portés en permanence sur soi, ils mesurent le nombre de pas, les calories dépensées, les heures de sommeil, éventuellement le pouls et bien d’autres choses. Certaines marques proposent aussi des balances connectées qui mesurent notre poids et le pourcentage de graisse dans le corps. Toutes ces données sont envoyées aux serveurs des fabricants. À qui appartiennent ces données ? Comment sont-elles utilisées, les clients y ont-ils accès ? La réponse semble changer au cours du temps. Prenons le cas de la société Fitbit, leader du marché.

En 2011, il est apparu que trop de données personnelles sur les utilisateurs étaient disponibles via une simple rechercher Google, y compris l’activité sexuelle des clients. Très rapidement, Fitbit a modifié son logiciel pour éviter de publier de telles données personnelles.

Dorénavant, ces données ne sont accessibles que par les utilisateurs, après qu’ils ont fourni un mot de passe. Mais on ne peut y voir que les données jour par jour : impossible d’avoir accès aux données brutes pour faire des analyses personnelles, par exemple pour savoir le moment de la journée où l’on fait le plus d’exercices etc. En fait, c’est possible, mais il faut pour ça payer un abonnement supplémentaire à 44,99 € par an, soit à peu près le prix du capteur (le modèle Fitbit Zip vaut environ 60 €). Avoir à payer un supplément pour avoir accès à mes données ? Voilà qui ne manque pas d’air !

La lecture de la « privacy Policy » de Fitbit montre que :

1. nos données ne peuvent être vendues qu’après qu’elles aient été anonymisées (pour que l’acheteur ne sache pas à qui elles correspondent).
2. nos données personnelles, qui sont reliée à chaque utilisateur, peuvent aussi être vendues si la société est revendue ou réorganisée. Autrement dit, quand ils veulent (les réorganisations peuvent être décidées facilement par la direction).

Si on déchiffre le message, c’est « ne vous en faites pas, vos données sont en sécurité chez nous, sauf si on décide du contraire. Mais vous pouvez en avoir une copie en payant tous les ans ».

Les nouveaux objets dans la maison

La société française Sense propose un produit très novateur appelé « Mother », qui fonctionne avec des capteurs connectés .Dans la vidéo présentée, on voit les capteurs compter combien de cafés sont bus, qui dort combien de temps, à quelle heure est rentré le gamin, combien de temps il se brosse les dents, quand la porte est-elle ouverte et fermée, et des dizaines de choses dans le même genre. Les capteurs permette de capter les données sur tous les objets du quotidien et toutes les personnes vivant à la maison. Mais où vont ces données ?

J’ai cherché la « privacy policy » de la société Sense et j’ai eu beaucoup de plaisir à la lire. Parce qu’elle était courte et compréhensible : 19 mots seulement ! Du coup, je la recopie en entier :

Toutes les données captées par des appareils que vous achetez sont à vous. Rien qu’à vous. Point final.

C’est de toute évidence une exception dans le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, et aussi un soulagement : cela montre que c’est possible !

Malheureusement, c’est une exception, mais il nous appartient de nous assurer que cela devient la règle, par exemple en choisissant les produits et services qui sont respectueux de nos données.

Dans les magasins, dans la rue et les centres commerciaux : les beacons

Pour finir, il y a un nouveau type de capteurs sur lesquels nous n’avons aucun contrôle : ceux qui sont dans notre environnement. On appelle ceux-ci les « beacons » (en français : « balise »). Ce sont des capteurs souvent destinés à faire du marketing. Ils peuvent être placés dans les magasins, les centres commerciaux, ou dans la rue. Ils peuvent envoyer des messages sur les smartphones équipés de l’application spécifique, mais ils sont aussi utilisés pour suivre les mouvements des consommateurs. Il y a eu en octobre 2014 un scandale à New York, où l’on a découvert un réseau de beacons installés dans les cabines téléphoniques de la ville par une société de marketing. Suite à des révélations dans la presse, les beacons ont été retirés.

Il semble que des beacons soient aussi présents en France : le centre commercial La Vallée Village, situé près de DisneyLand Paris a des affiches à l’entrée prévenant les visiteurs que leurs mouvements sont susceptibles d’être tracés lors de leurs visites. J’ai voulu prendre une photo du panneau, mais un vigile m’en a empêché.

Le Figaro semble enthousiaste :

Aide à la navigation et à l’information, les beacons sont aussi des vecteurs de promotions, bien plus attractifs qu’un panneau publicitaire. Yeux rivés sur leurs écrans, les consommateurs sont de plus en plus imperméables aux colonnes Morris et autres enseignes murales. Avec les beacons, en une fraction de seconde, une marque peut venir agiter sa dernière réduction sous le nez de ses clients potentiels.

La CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés), pour sa part, est plus circonspecte quant aux données collectées par les beacons :

Les données doivent être anonymisées immédiatement

En effet, combinés à des caméras, les beacons peuvent servir à mesurer l’audience des panneaux publicitaires, comme on en trouve dans le métro parisien. À leur sujet, voici l’avis de la CNIL :

ces dispositifs reposent sur des caméras placées sur des panneaux publicitaires. Ils permettent de compter le nombre de personnes qui regardent la publicité et le temps passé devant celle-ci, d’estimer leur âge et leur sexe, voire d’analyser certains comportements (en suivant par exemple les déplacements du regard de la personne sur les différentes parties de la publicité).

Comment se protéger de ceci ? En faisant confiance aux publicitaires quant à leur respect des exigences de la CNIL. Ou alors en éteignant nos téléphones portables.

En cours de financement sur Kickstarter, la serrure Sesame met l’accent sur la simplicité d’utilisation. En plus de pouvoir ouvrir la porte grâce au smartphone, les créateurs ont imaginé d’autres méthodes plus ludiques. Sesame, ouvre-toi ! Sesame débarquera sur le marché à partir de mai 2015, l’objectif de 100 000$ sur Kickstarter ayant été rempli en

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Avec le surligneur C-PEN, vous pourrez mémoriser des passages de livres directement sur votre ordinateur ou smartphone.

Jetez vos stabilos !

Les étudiants connaissent bien ce phénomène notamment en période de recherches ou de révisions : un bouquin sur la table et un surligneur dégainé comme un pistolet prêt à surligner les passages importants. Et après avoir sélectionné les informations essentielles, il faut les recopier. Mais aujourd’hui avec C-PEN, cette tâche fastidieuse est terminée. Contentez-vous de surligner et c’est directement recopié sur votre ordinateur.

Un surligneur intelligent

Le surligneur connecté est en réalité un scanner qui vous permettra de numériser des textes de tailles différentes via Bluetooth pour les enregistrer directement sur votre ordinateur Mac ou Windows et vos appareils Android. Vous pouvez numériser n’importe quel texte : livres, magazines, factures … Pressez juste le C-PEN au début de la phrase que vous souhaitez enregistrer et relâchez la pression quand vous avez fini. Attention, il ne reconnaît que des écritures imprimées, vous ne pourrez pas numériser des notes écrites à la main.

Si jamais vous voulez numériser un texte dans une langue étrangère, l’application pour Android vous traduira le contenu en direct quand vous passerez le scanner sur le texte. Utile pour apprendre une langue étrangère ? Vous pourrez aussi partager le texte numérisé.

Un peu cher mais très pratique

Le C-PEN a donc toute sa place dans votre bureau connecté. Pour le recharger c’est très simple grâce à son câble USB à brancher sur votre ordinateur. Il est aussi ergonomique pour les droitiers et les gauchers.  Si notre équipe n’a pas pu le tester, sa fidélité semble être appréciée par les utilisateurs d’Amazon. Il est disponible pour 99€.

source : cpen.com

 

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Si on y réfléchit bien, le coeur est quand même l’organe le plus important. Pourtant, nous n’y prêtons pas vraiment d’attention. Aujourd’hui, on peut le surveiller grâce à QardioCore, un électrogardiographe.

QardioCore peut vous aider à surveiller votre coeur au quotidien et de manière discrète. En effet, cet électrocardiographe connecté se place directement sur votre poitrine sous vos vêtements pour un suivi constant de l’activité de votre coeur, un peu comme Rejiva qui vous fait un check-up complet. Plus besoin d’utiliser des patchs ou des gels souvent très froids et inconfortables, il reste en place toute la journée.

Des informations complètes enregistrées au quotidien

Le QardioCore enregistre aussi votre rythme cardiaque, votre température et votre activité physique (Pas, distance, calories). Il transmet ses informations directement via Bluetooth sur votre smartphone Android ou iOS et vous permet d’obtenir un historique complet. Vous pourrez alors transmettre vos données directement à votre médecin pour en discuter avec lui lors de votre prochaine visite par exemple.

Une utilité certaine

Cet électrocardiographe connecté peut donc être très utile aux personnes devant surveiller leur coeur (problèmes de poids, de diabète, de cholestérol ou ayant des prédispositions génétiques par exemple). Mais il peut aussi être utilisé par des personnes curieuses de savoir comment leur coeur se porte. Attention, posséder le Quardiocore ne peut remplacer des visites chez votre médecin.

La livraison du produit est prévue pour le printemps 2015 aux États-Unis tout d’abord, mais son prix n’est pas encore connu.

source : getqardio.com

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Neur.io is the latest company to help renters -- or anyone else -- turn their home into a smart home without retrofitting.

The post The Tiny Gadget That Plugs Into Your House and Monitors Power Use appeared first on WIRED.

Par Alicia Tang et Diane Touré, France Télévisions, Direction de la prospective. 

  "Your privacy is very important to us.  We designed our Data Policy to make important disclosures about how you can use Facebook to share with others and how we collect and can use your content and information "

Alors que Facebook tente de rassurer ses utilisateurs concernant l’utilisation de leurs données personnelles, en assurant qu’ils en détiennent le contrôle, un rapport belge vient accabler le géant mondial pour non respect des règles européennes sur la protection des consommateurs. Commandité par l’Autorité Belge de Protection des données et rédigé par des chercheurs et des juristes de l’Université de Louvain et de la Vrije Universiteit Brussels, ce rapport d’une soixantaine de pages retient 8 chefs d’accusation contre Facebook  concernant le consentement des utilisateurs, les paramètres de confidentialité, les termes du contrat, le croisement et le partage des données, la réutilisation des UGC, la géolocalisation imposée, la politique de "tracking" et le droit des utilisateurs à être propriétaire de leurs données.

 Faux sentiment de contrôle pour les utilisateurs

Facebook justifie bon nombre de ses activités, du fait du consentement de ses utilisateurs concernant leurs données et leur utilisation. Mais la législation européenne précise qu’un utilisateur qui donne son consentement doit le faire « librement », «en connaissance de cause », et sans aucune « ambiguïté ». Or Facebook ne délivre que quelques informations peu intelligibles, que ce soit sur ses agissements ou sur la protection des données. L’utilisateur n’est plus en mesure de comprendre ce jargon flou et confus, et accepte les conditions d’utilisation sans prêter attention aux conséquences (et sans avoir même eu le courage de les lire).

Contrôler son profil Facebook est devenue quasiment impossible.

Exemple: si un utilisateur veut supprimer son profil, la suppression ne s’appliquera que sur certaines données comme les statuts ou les  photos. Un compte n’est de ce fait jamais réellement effacé, des données être stockées quelque part dans la Silicon Valley.

Les données représentent le plus gros enjeu pour Facebook et l’entreprise utilise allègrement les User Generated Contents (contenus générés par les utilisateurs) à des fins commerciales et publicitaires, comme les « Sponsored Stories » ou encore les « Social Ads ». Alors que la nouvelle version de ces conditions vante la transparence dont fait figure Facebook, le réseau social ne propose en réalité aucun moyen de contrôle du mécanisme. De plus, cette pratique n’est pas du tout transparente, car les utilisateurs ne savent ni quand ni comment leur nom peut être associé à une marque ou à une publicité.

Le croisement et le partage des données rendent Facebook quasiment omniscient : l’entreprise collecte des données venant, bien évidement du réseau social lui-même, mais également d’Instagram ou encore Whatsapp, deux applis qu'il possède.

Ainsi, en combinant toutes ces informations, Facebook est en mesure de cerner de manière plus précise et plus profonde qui sont ses utilisateurs. Il est donc plus facile par la suite de vendre ces données personnelles à d’autres acteurs. Même si le réseau social se protège derrière le système « opt-out » qui permet d’enlever la publicité, celui ci n’est en aucun cas en accord avec les exigences juridiques européennes. D’autant plus que les informations concernant ces opt-outs sponsorisés ou encore la collecte des données de géolocalisation ne sont tout simplement pas fournies.

Facebook is watching you

Si l’utilisateur a donc clairement du mal à contrôler le réseau, Facebook n’a en revanche aucune difficulté à examiner ces moindres faits et gestes, estime le rapport belge. L’internaute a la quasi-impossibilité de désactiver la traçabilité de ses emplacements. Facebook collecte des informations sur la géolocalisation de ses utilisateurs depuis de nombreuses sources (comme des photos), notamment via son application mobile. Le réseau devrait proposer des paramètres de gestion de données de géolocalisation à un niveau compréhensible pour tous.

En réalité, le problème résulte dans le fait que Facebook dispose de méthodes de tracking diverses et variées. Même si le réseau social donne à ses utilisateurs de nombreuses informations concernant ses pratiques de pistage, les chercheurs et juristes ayant rédigé le rapport affirment que la collecte et l’utilisation de ces informations ne respectent pas l’article 5(3) de la Directive sur la e-vie privée.

Facebook reste en contradiction avec le droit européen depuis 2013, date à laquelle il avait promis de s'adapter; et l’entreprise n’a pas l’air de vouloir faire beaucoup avancer les choses, même si quelques actions ont été prises ici et là. Après tout, personne ne semble lui mettre une pression suffisamment forte pour qu'il saute le pas.

Le 2 mars 2015 est lancé, en France, le premier service web gratuit communautaire dédié au projet d’achat immobilier : Easyproprietaire.com.

A review of essential features for newsletter software

Despite the flourishing technical capabilities of email marketing programs, a huge percentage of email marketers send emails and newsletters without making the most of the services on offer, thereby writing off a lot of potential. Whether it be a poor delivery rate, inconsistent newsletter display or insufficient tracking facilities, there is usually room for improvement. But how do we know which features are the most important?

These 10 features are not 'rocket science', nor do they require any specialist knowledge. But they are fundamentally important if your email newsletter campaign is to be successful. They should help you to differentiate between newsletter marketing providers, whether you are setting out or reviewing your current provider.

1. Software certifications
2. A customisable sender address
3. Content personalisation facilities
4. Recipient grouping and segmentation
5. Duplicate dispatch control
6. Automated lifecycle emails
7. Consistent display on mobile devices
8. Consistent display in all web and email clients
9. Comprehensive tracking options
10. A/B tests: establish the best variant of a newsletter

10 email marketing features for your software

1. Software certifications

What is the point of having an immaculate newsletter if it never arrives? The keyword you need here is whitelisting. Companies (i.e. their IP addresses) can become whitelisted if they undergo a certification process offered by certification companies.

If the IP addresses and servers of a given email sending service are whitelisted, then the emails sent from those sources are not filtered as spam by the receiving server, but automatically recognised as 'acceptable'. This increases your delivery rate. There are a few well know software certification companies in the internet industry: Return Path, Certified Senders Alliance and Spamhaus. Look out for them!

2.  A customisable sender address

Make sure you are able to use your own sender address. Clarity is essential in email marketing – so make sure that your customers recognise you. Along with a punchy subject line and some personalised content, this rounds off a professional email package.

3.  Personalised content

Addressing your recipients with the appropriate title and providing personal references to the customer in your email can increase the success of your campaign by up to 81%!

An email that is tailored to the customer generates trust and improves customer retention. Aside from text and image personalisation, advanced features such as automatic product recommendation and account connections to your web shop are also becoming more prevalent on the market.

4.  Recipient grouping and segmentation

Let’s face it: no one wants to receive automated emails. The more effort you put into being specific, the higher the ROI. Dividing your recipients into groups and segments can help. What with recipients constantly subscribing and unsubscribing, manual upkeep of groups is impracticable. But if automated, you could save your recipients in groups according to gender or behaviour-based criteria and just target those customers for a particular product or newsflash.

5.  Avoid duplicated emails

You should avoid sending the same email to a recipient twice. Sounds obvious, but it is a common occurrence. It’s irritating for the recipient and will cost you more money – especially if you do it regularly because your address book is full of duplicated recipients.

A very useful feature is an automatic duplicates filter that, as you might imagine, filters duplicated email addresses out of your address lists. An automated tool is really the only option here; the manual maintenance otherwise required would be huge.

6.  Automated lifecycle emails

Regular newsletters at the beginning of the month are all fine and dandy, but a professional lifecycle campaign is really going to put you in touch with your customers. Show your customers that you are interested in them personally by sending birthday greetings, bank holiday felicitations or a sales follow-up email. Perhaps a help email 7 days after registration or a product suggestion 14 days after a purchase. Lifecycle emails should be easy to set up. Most importantly, they increase your turnover and show the customer that you are paying attention to them personally.

7.  Consistent display on mobile devices and in web clients

More than 50% of all emails are opened on mobile devices these days. Yet so often we find ourselves zooming in, swiping the page to the side or scrolling down just to find the main body of content. Poor legibility and cut-off text blocks are often the result.

But responsive design automatically adjusts the layout of the page to suit the end-device that the email is opened on. For example, the content is reduced to one column, the links are more clearly displayed and the images reduced in size.

Similarly, try to use templates that have been client tested. This will help to ensure that email presentation is consistent in various email and web clients. Does your email service provider offer responsive templates or client testing; are these services free?

8. Automatic web and text version

Some email clients throw up problems that no email provider can circumvent. That’s why it is absolutely essential to provide both a text and a web version for your newsletter. The ‘link to web version’ simply forwards the reader to their browser where they can read it as if it were a web page.

In rare cases, a recipient, an email client or an end-device may deactivate the HTML format. This is when access to a text version ensures that the email can still be accessed.

9. Comprehensive tracking options

 
A comprehensive tracking system is a must-have if you wish to make progress from one campaign to the next. Don’t be satisfied with click rates and open rates.

Get yourself some white labelled reports as PDF downloads to present to your boss; find out where your email was opened the most with Geotracking and use a heat map to see which parts of your newsletter caused the most interest. These things tell you more than the total number of opens.

10. A/B tests: establish the best variant of a newsletter

Emails appeal to people in different ways. An A/B test sends different variants of the same newsletter to a specified number of your campaign recipients (30% for example), so that you can analyse which newsletter performs best before sending the campaign to the remaining 70% of your recipients. It’s clever; and gives you essential advance insight into your campaign and its success.

Summary of 10 newsletter software features

This list of 10 features and services is by no means exhaustive. But whichever features you decide to employ for your campaign, make sure that they contribute the quality of the content. Saying less to fewer people will give you a bigger voice and will resonate for a longer period of time.

If you're looking for a new enewsletter solution check out our review comparing enewsletter services.

La société SeMeubler.com propose un service de location de meubles, électroménager et multimédia. Le catalogue propose plus de 400 produits sur des durées de location allant de 1 à 36 mois.

Dans cette cinquième partie d’une longue série d’articles sur le phénomène de l’uberisation démarrée ici, nous allons voir en quoi le passage de l’expérimentation à l’industrialisation est si critique. Nous ferons aussi un petit tour du côté de l’Etat qui se fait Uberiser dans de nombreux domaines et voir comme il réagit et peut réagir. Enfin, […]

Christian BARBARAY http://www.init-marketing.fr/

Interview exclusive de Emmanuel Mouton, pdg de Synox Group

BONJOUR MONSIEUR MOUTON, POUVEZ-VOUS VOUS PRÉSENTER ET PRÉSENTER VOTRE ENTREPRISE.

Je suis Emmanuel MOUTON, Président Directeur Général de Synox Group.
J’ai fondé ma première société dédiée à la mobilité en 2003, et c’est mon expérience et ma passion pour les nouvelles technologies qui m’ont rapidement conduit à développer une nouvelle structure dédiée aux objets connectés. C’est comme ça que Synox Group voit le jour en 2005.

Très impliqué dans le développement des nouveaux usages de demain, je contribue aussi activement à la promotion des nouvelles technologies en tant que Vice-Président du Cluster numérique FrenchSouth.digital et ambassadeur de la French Tech Montpellier.

Pour en revenir à Synox Group, c’est donc une société informatique spécialisée dans l’Internet des Objets qui propose des plateformes de services innovants dédiées à la gestion des objets communicants.
Nous nous positionnons aujourd’hui comme un incubateur de plateformes pour les objets connectés. Notre mission est de travailler main dans la main avec les industriels pour les accompagner dans la transformation de
leurs objets et équipements traditionnels en objets et équipements connectés, en leur préconisant la ou les bonnes briques de connectivité en fonction de leurs usages.

Nous avons des projets dans la téléassistance, dans le maintien à domicile des personnes âgées et tout ce qui tourne autour de la SilverEconomy. De nombreux projets aussi dans le véhicule connecté avec la maîtrise du risque routier, l’analyse préventive du comportement conducteur, l’éco-conduite, le covoiturage dynamique, en
passant par l’autopartage et la gamification du comportement de conduite. Un secteur dans lequel il y a beaucoup d’enjeux. C’est la raison pour laquelle nous avons créé depuis le 1er janvier 2015 la filiale SoFLEET qui a vocation à valoriser tous les services liés au véhicule connecté.

Nous travaillons aussi sur d’autres plateformes comme les distributeurs automatiques de boisson, la gestion de l’énergie, l’observance en santé, le quantified self… et nous ne sommes qu’au début des possibilités que peut apporter l’Internet des Objets.

Synox s’engage aussi dans une démarche RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) en proposant des solutions qui reposent sur les principes d’écoconception et permettent des usages respectueux des problématiques d’environnement et de développement durable. Parce qu’il est essentiel pour la société d’adopter un comportement éthique et transparent en réponse aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux de notre société.

QUELLE EST L’INNOVATION LOGICIEL QUE VOUS APPORTEZ AUX MARCHÉ IOT ?

Nous apportons de l’innovation de service en amenant toutes les briques technologiques dans les différentes étapes de la transformation d’un objet traditionnel en objet connecté et créer des services innovants qui répond aux besoins métiers de nos clients.. Connectivité (carte Sim machine to machine multi opérateur, plateforme de gestion des communications des objets connectés), stockage Cloud (sécurisation des données, création d’algorithmes comportementaux, prédictives, préventifs), restitution (IHM multidevice, multiplateforme).

PARLEZ-NOUS DE VOTRE PROJET D’INCUBATEUR ?

Synox Group a créé une filiale qui est entièrement dédiée à la création de plateformes SMAC pour l’Internet des Objets. Nous souhaitons en effet incuber de véritables projets en collaboration avec nos partenaires et clients. Par exemple, nous travaillons actuellement sur un distributeur automatique de boisson (vending machine) pour le
rendre connecté afin de surveiller à distance les pannes de machine, les ventes en direct, etc. Autre exemple, nous débutons l’expérimentation d’un projet de covoiturage dynamique qui repose sur
de la traçabilité en temps réel et des badges RFID. L’objectif à terme est de pouvoir interconnecter la solution à d’autres systèmes de transport pour faciliter les déplacements des usagers dans une ville.

Dans le secteur de la santé, nous travaillons aussi avec des hôpitaux afin d’optimiser et centraliser les flux d’information à partir d’objets connectés. Autant de projets passionnants qui sont en train
d’incuber au sein de notre antenne dédiée à l’IoT. Etude de faisabilité, expérimentation, mise en œuvre du business model, viabilité de la solution ou du service… si tout est validé, alors
c’est gagné !!

Notre mode de fonctionnement est toujours le même. Un capteur comme point de départ qui capte la donnée, la remonte sur un serveur pour la restituer en information intelligente sur une plateforme dédiée.
Mesure de l’activité des personnes, mesure de compteur d’eau ou d’électricité, capteur hydrométrique, capteur de pollution ou encore de présence, les données à capter sont infinies.

Nos clients font appel à nous car nos domaines de compétences sont très larges.

- En électronique où il faut comprendre comment les objets peuvent
être connectés

- Dans le télécom, avec une expertise dans la connectivité machine to
machine

- Dans le Cloud avec une maîtrise des infrastructures de stockage, de calcul, de puissance, de sécurisation (cybercriminalité, détournement de la donnée de l’usage prévu), de protection de la donnée (dans son
usage / propriété de la donnée)

- Dans le Big Data pour créer des base de données qui capables d’accueillir les millions de données générées

- Dans l’Analytic pour le traitement de la donnée, la mise en place
d’algorithmes prédictifs, préventifs…

- Dans le développement d’interfaces web et applications mobiles pour resituer la donnée

- Dans la mise en place d’incentives avec la gamification pour impliquer les usagers de ces services

Chacune de ces briques peuvent être utilisées de manière indépendante ou de façon complémentaire. Nous pouvons aussi bien être éditeur autonome qu’éditeur collaboratif. Et notre rôle n’est pas que d’apporter ces différentes briques à nos clients, mais de véritablement les accompagner dans toutes les étapes de leurs projets.

A VOS YEUX, LE MARCHÉ EST-il MATURE POUR LE GRAND PUBLIC OU QUAND PENSEZ-VOUS QU’IL ATTEINDRA SON PIC DE CROISSANCE ?

L’Internet des Objets, qu’on le veuille ou non, est inévitable. Il y aura de plus en plus d’objets connectés de partout pour tous les usages, dans tous les domaines. La véritable question, plutôt que d’éviter cette nouvelle tendance, de s’en méfier, voir même de la redouter pour certains, est d’arriver à savoir comment en tirer parti.
Est-ce que je suis prêt, conscient ou pas, à produire des données à des fins de service pour améliorer mon quotidien ? C’est ça la vraie question. Est-ce que je suis prêt à ce qu’on utilise mes données pour
me remonter des informations pertinentes qui répondent à mon comportement, mes envies, mes usages ? Sans pour autant prendre part au courant transhumaniste de plus en plus populaire qui promeut
« l’amélioration de la condition humaine grâce au développement des technologies », nous pensons qu’il y a plus à y gagner qu’à y perdre.

VOTRE MOT DE LA FIN POUR NOS LECTEURS ?

Nous faisons face à une augmentation exponentielle du nombre de données émanant de ces centaines d’objets connectés. Et cette croissance n’en ai qu’à ces débuts. On peut alors se demander à quelle échéance, pour quel volume on pourra considérer que l’usage des objets connectés est massif. L’Internet des Objets est une formidable opportunité d’agir en étant acteur de ces objets connectés plutôt que d’en subir leurs usages. Et c’est la mission de Synox d’accompagner les entreprises qui souhaitent tirer parti de cette révolution numérique et leur permettre de garder une longueur d’avance en anticipant les usages de demain.

Propos recueillis par Nicolas Goldstein

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Here's our recap of what happened in online marketing today, as reported on Marketing Land and other places across the web. The post Marketing Day: The Oscars’ Real-Time Marketing Winners, Bob Vila On Pinterest & Google Buys Softcard appeared first on Marketing Land.

Please visit Marketing Land for the full article.

L'étude Ifop menée pour Demeco fin 2014 révèle un certain nombre d'enseignements quant aux habitudes de déménagement des Français... Le déménagement (qu’il soit récent ou planifié) est assez fréquent 1 Français sur 4 projette en effet de déménager dans l’année. Il est motivé avant tout par l’accès à la propriété et la volonté de gagner en place et en confort. Les attentes en termes de déménagement Le coût du déménagement est la 1ère préoccupation quand on envisage de déménager via un professionnel, avec la recherche d’un bon rapport qualité-prix. Quand on prévoit de déménager seul, le coût attractif est également une attente forte mais il semble être un acquis. Ainsi, les attentes sont centrées autour de la rapidité et l’efficacité. Déménager seul ou avoir recours à un professionnel ? Un réel écart existe entre les personnes qui ont l’intention de déménager avec un professionnel et celles qui le font réellement : un certain nombre de freins limitent l’accompagnement par un pro... Les premiers freins à déménager avec un pro sont le prix (trop élevé) et la disponibilité de l’entourage. A l’inverse, la 1ère raison de passer par un déménageur est la contrainte du volume à déménager, en lien avec la surface de logement déménagé importante, ainsi que la distance à parcourir. On observe donc des profils assez différents entre ceux qui déménagent seuls ou via un professionel, tant sur le plan sociodémographique que sur le type de logements et de déménagement. Un point central des arbitrages faits : l’envie d’avoir recours à un professionnel est limitée dans la réalité par un certain nombre de contraintes et de freins, les premiers étant le prix et la disponibilité de l’entourage. Etude menée sur un échantillon national représentatif de 2800 individus, âgés entre 18 et 65 ans.La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas. Ces derniers ont été fixés sur les principaux critères sociodémographiques : âge, sexe, CSP du chef de famille, catégorie d’agglomération et région. Pour obtenir, in fine, une cible utile de : 1120 Français concernés par la problématique du déménagement? soit 4 Français sur 10.

Welcome to our new blog series on Social Intelligence Beyond Monitoring, from FACE MD Job Muscroft. In this series, Job will be showing how brands can get high-value insights from social media listening – first up, Brand Positioning.

 

There are now hundreds of social media monitoring tools on the market that allow you to quickly and easily mine thousands of conversations about brands and topics you are interested in learning about. In fact, as social listening has become an established part of brand health monitoring, most brands now subscribe to a platform and use key word search strategies to conduct basic monitoring around 2 main use cases:

1. Measure how visible a brand is in comparison to its competitors.
2. Track sentiment of customers likes and dislike about brand/products.

This type of monitoring is usually conducted by agencies on behalf of brands and feeds into the development of creative and comms strategies. This, in a world where digital and social advertising spend is now overtaking traditional spend, is crucial.

In this series of blogs I want to look at the emerging use cases for social intelligence which go beyond counting mentions of brands and quantifying consumer sentiment. I want to and talk about where the big value lies for companies who invest in building the capabilities of analysts and research teams to look at social data strategically – to go beyond saying what happened  to work out why, and what to do about it.

Social Intelligence for Brand Positioning

Brief

A large US female haircare brand with a strong legacy in the market is facing the reality that consumer perception has changed quickly over the last 2 years. It’s is looking to strengthen its brand positioning and identify new opportunities to engage with women.

What we did

Our approach was informed by the fact that Haircare is a highly emotional category and generates high levels of conversation amongst women online. This social media discussion is highly visual who often share images within their networks in order to find the right solution for their hair.

1. Started wide by listening to the whole category and identified a community of women driving the conversation around this product range and the most common articulated haircare needs
2. Focused the next stage of the project on this active community by creating a social panel of women who we listened to for a month to give us insight into their lives beyond their care hair needs
3. Aside from text analytics we spent time understanding the thousands of haircare images shared on Pinterest, Instagram, Tumblr and Twitter as an invaluable source of visual insight
4. Workshop with client team to download insights and build positioning platforms together

Why this worked

The client stakeholder group found this approach to their challenge worked for them as it helped them to get closer to their consumers’ mindset than more traditional research groups or surveys. It additionally as it gave them strategic insights about both individual and group behaviour in the haircare market: it’s not just about one-to-one communication with your customer, but understanding how she shares with her friends.

• Identified and brought to life a community of women that the brand needs to tap into if they are to reignite an connection with today’s consumers in this category.
• Most importantly, it brough to to life the emotional struggles surrounding their ideals of beauty
• Showed the specific language and aesthetic imagery that constructs the bonds within this community that can feed directly into more authentic creative executions
• Gave insight into both individual and group behaviour in the haircare market: it’s not just about one-to-one communication with your customer, but understanding how she shares with her friends.
• Highlighted the opportunities for the brand to position itself to engage the widest possible audience without alienating sub-communities

In the next blog in this series I will be highlighting how we can use social intelligence to help innovate products.

Connect with Job on LinkedIn or Twitter, or get in touch by email: Job@Facegroup.com

A l'occasion du vingtième anniversaire de son institut marketing Init, Christian Barbaray revient, de façon très personnelle, sur les enquêtes des temps passé, présent et futur.

LESIEUR, qui soutient L'OBSERVATOIRE DES CUISINES POPULAIRES, s'est intéressé fin 2014 avec l'Ifop au sujet de la transmission culinaire, au sens large. Comment se traduit l'apprentissage de la cuisine? Par qui passe-t-elle ? Via quels supports ? Quels éléments sont transmis ? La transmission culinaire s'opère-t-elle de la même façon qu'avant ? Autant de questions traitées au travers de cette étude, qui révèle notamment que... : - L'implication culinaire décline sur les plus âgés. Les plus jeunes, moins dans le quotidien, cuisinent plus dans une recherche de plaisir. - L’apprentissage à l'origine passe quelque soit l’âge par la mère, puis s’ouvre à une autoformation via internet ou les livres de cuisine. - La transmission mère-fille reste majoritaire, mais on observe de plus en plus que la transmission se fait aussi vers le fils. Les hommes, qui par ailleurs se mettent de plus en plus à la cuisine, commencent eux aussi à transmettre leur savoir, sachant que leur apprentissage s’est vraisemblablement fait plus tardivement. - Les plats traditionnels semblent moins transmis qu’avant, au profit d’un métissage culinaire (via les conjoints ou amis). L’équilibre alimentaire semble aussi plus prégnant.

Oculus Rift is dangerous. At least according to Rony Abovitz, CEO of Magic Leap, a rival that is pushing advances in augmented -- rather than virtual -- reality as the next big thing.

The most basic difference between the two technologies is that virtual reality immerses the user in an artificial world, while augmented reality uses less intrusive displays to overlap the conventional, everyday world. The former usually achieves its results via a combination of headset and earphones replacing the sensory inputs the brain receives from the real world, and it's this that Abovitz thinks poses health risks.

By: Matt Kamen,

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Interview exclusive de Stéphane Gochtovtt, responsable objets connectés de la marque Trendnet.

Bonjour Stéphane Gochtovtt, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Trendnet

Je suis responsable du développement de la marque TRENDnet en France depuis 2 ans et je travaille avec TRENDnet depuis 8 ans via l’importateur historique de la marque Exertis Comtrade.
TRENDnet est une marque Californienne spécialiste et leader du réseau depuis plus de 25 ans. La marque est présente en France depuis 2003 à travers tous les canaux de distribution : revendeurs, e-commerce et grande distribution. Le portefeuille de produits est vaste ; il comprend des articles très répandus comme le WiFi, le CPL, les réseaux filaire Ethernet, Gigabit ou fibre optique, les KVM, et les caméras IP.

En matière d’objets connectés, vous distribuez surtout des caméras, pourquoi ?

La sécurité du domicile ou des entreprises est une préoccupation de plus en plus importante, et évidement la vidéosurveillance est un secteur avec une croissance très forte et soutenue depuis quelques années.Il est donc normal que TRENDnet profite de son savoir-faire historique pour faire de la vidéosurveillance un véritable focus sur le développement de nouveaux produits avec de nouveaux usages.

Les caméras connectées sont-elles moins compliquées qu’avant à installer pour un particulier lambda ?

Les caméras IP vendues ces dernières années n’étaient en soit pas difficile a installer. Visionner et enregistrer la vidéo depuis le réseau local sur lequel la caméra est installée est automatique. La difficulté viens lorsqu’on veut voir la caméra depuis l’extérieur.

Jusqu’à maintenant il fallait faire de la redirection de port IP au niveau du routeur (ou de la box), ce qui prend quelques minutes pour l’amateur avertie, mais le grand public attend une installation ultra simplifié. C’est pourquoi TRENDnet a développé des caméras Cloud qui utilise donc un serveur distant. La caméra envoie l’audio et la vidéo sur un serveur, et l’utilisateur va se connecter au serveur avec son identifiant et son mot de passe pour accéder au flux de la caméra sans passer par le routeur et donc sans a avoir a faire des paramétrages complexes.

Quelles sont les fonctionnalités des derniers modèles de caméras connectées qu’il n’y avait pas avant ?

Sur les derniers modèles nous pouvons avoir des capteurs HD 1080p qui permettent d’avoir une qualité d’image exceptionnelle. On trouve aussi des ports micro SD qui permet d’enregistrer directement la vidéo sur la caméra. La vision de nuit est amélioré et la motorisation panoramique sur certains modèles permet de surveiller un champs extrêmement large.

Enfin les Baby Cam ont des fonctions tels que la diffusion de berceuses, un haut-parleur pour parler via la caméra, et même une sonde thermique qui alertera si la température de la pièce est trop froide ou trop chaude.

Quels sont les autres objets connectés que vous distribuez en France ?

TRENDnet sort également un produit appelé Smart Plug, qui est une prise connectée. Elle permet d’allumer ou d’éteindre ce qui y est branché à distance via une application sur son smartphone. On peut aussi paramétrer des plages horaires de fonctionnement. De nombreuses marques sortant ce type de produit en vogue, TRENDnet a décidé, pour se démarquer, d’intégrer au Smart Plug, un répéteur WiFi qui vient étendre la couverture du WiFi domestique.

Lors du IT Partners, avez-vous senti le marché de l’internet des objets plus mature qu’avant ?

Le marché des Objets connectés est encore jeune et en plein développement. Les revendeurs se positionne dès aujourd’hui sur ce marché, même si les ventes ne sont pas toujours au rendez-vous. Certains produits connaissent un essor plus rapide, comme les drones, et ceux destiné aux sports et à la santé ou encore les montres connecté qui commencent à rentrer dans les usages quotidien. Je pense que ce marché va croitre de façon très importantes sur les prochaines années dans des secteurs très différents comme la domotique ou le textile.

Votre mot de la fin ?

Peut-être que le revers de la médaille des objets connecté est la fameuse maxime : Big Brother is watching you !
Les marques doivent garantir que toutes ces données collectées sur leurs utilisateurs reste strictement confidentielles, et TRENDnet améliore sans cesse ses produits en ce sens.

Propos recueillis par Laurent Amar

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Couplée à un dispositif de reconnaissance faciale, la réalité augmentée pourrait engendrer des usages inédits et soulever certaines problématiques juridiques. Coup d’œil.