A battery that can fully charge a smartphone in less than one minute and bend in half could soon be powering popular gadgets. The aluminium battery is also more environmentally friendly than current lithium-ion and alkaline batteries and keeps working for "thousands" of cycles.
By: James Temperton,
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La carafe connectée iSommelier est capable d’aérer le vin en une vitesse record. Mieux encore, elle est reliée à un Cloud qui permet à ses utilisateurs d’obtenir de précieux conseils sur l’aération de vins spécifiques. Malheureusement, elle est destinée à un usage professionnel à un prix de 1.899€. La carafe iSommelier qui a été imaginée par Ifavine s’avère être
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Also available: a slightly pricier gold version (for when you're feeling flashy).
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– Ria Blagburn
La Cnil annonce une simplification des formalités pour les multinationales qui mettent en œuvre des flux transfrontières de données et qui ont adopté des BCR (« règles contraignantes d’entreprise », RCE).
Dans ce cadre, la Cnil propose de délivrer une autorisation unique à chaque groupe ayant adopté des BCR, afin de permettre à leurs entités de demander des autorisations à la Cnil au coup par coup pour leurs flux transfrontières de données.
En pratique, lorsqu’un nouveau flux transfrontière de données hors de l’Union européenne sera mis en œuvre par des entités d’un groupe pour lequel la Cnil aura délivré une autorisation unique, celles-ci devront simplement effectuer un engagement de conformité à l’autorisation unique du groupe sur le site de la Cnil.
Préalablement à l’engagement de conformité, les entités devront analyser la conformité des nouveaux flux transfrontières de données hors de l’Union européenne à l’autorisation unique délivrée par la Cnil au groupe.
La Cnil précise qu’à la suite de l’engagement de conformité, le responsable de traitement devra tenir à sa disposition une liste à jour des flux transfrontières, qui précisera les informations suivantes :
Dans ce cadre, la Cnil annonce que ses services vont contacter dans les prochaines semaines plus d’une soixantaine d’entreprises multinationales ayant déposé des BCR, afin de définir en concertation avec ces dernières le contenu de leurs autorisations uniques respectives.
L’attention des entreprises multinationales concernées est attirée sur le fait que la définition de leur autorisation unique est une tâche qui doit être anticipée et réfléchie afin de s’assurer qu’une telle autorisation unique s’adaptera à l’évolution du groupe dans le temps.
Céline Avignon
Anaïs Gimbert-Bonnal
Lexing, Droit Informatique et libertés Contentieux
Jean-Philippe CunnietRapport très attendu sur le marché mondial des études enfin paru
Respondents are the lifeblood of market research. Whether it’s qual or quant, surveys or communities, neuromarketing or ‘Big Data’ and everything in between knowing how to reach, engage, and understand people is the very bedrock of insights.
In our interconnected world, achieving that goal is in some ways easier, and in many more ways more difficult. Until now, little data have existed to help researchers understand this basic question: how do we get consumers to engage with us and what do those folks look like?
Now in its second year, the GRIT Consumer Participation in Research (CPR) report is our effort to answer the who, what, when, where, and why of global consumer participation.
We hope this report will become the go-to resource that researchers globally can use to validate and benchmark their own research. Enjoy!
A l'occasion du Printemps des Etudes, voici une publication de Marie-Laurence Juan (Directrice Associée Repères, Directrice du Département Qualitatif) sur le quali sensoriel :
A l’heure où le consommateur est plus que jamais dans l’expérientiel et à l’écoute de ses sensations, de son corps, de sa subjectivité comme référents premiers, les marques doivent réussir à se raccrocher à cette nouvelle dynamique pour attirer, se légitimer et créer du lien. Comment ? En se reconnectant elles aussi avec leur réalité «corporelle» qu’est le sensoriel, réalité souvent bien peu exploitée et qui pourtant les rendent vivantes, uniques et pérennes.
Earlier in the week, RetailNext announced an expansion of its platform to add support for stereo cameras from Xovis, a Swiss-based company that has built an expertise in measuring passenger movement in airport terminals. It’s a new partnership that is exciting for both RetailNext and its retailer customers, as it provides much needed deployment options when it comes to hardware installations.
Looks good
Do you know how much it costs to build a retail store?
No, really, I’m asking, because all I know is it’s a lot.
Stores spend an inordinate amount of resources – time and money – on developing and cultivating a “look,” and you can’t add or install anything that detracts from the overall atmosphere and aesthetic. Even if it’s the best stereo camera in the world, if it’s not sleek, tiny and unobtrusive, it’s a no-go.
Retailers no longer have to worry about ugly or obtrusive when it comes to video analytics. The product offering from Xovis is packaged efficiently and in a small footprint, and what is there is pretty well-hidden in store ceilings.
More than a pretty face
The Xovis sensors break new ground when it comes to covering ground. At a fairly typical 10-foot installation height, the standard Xovis PC2 model has 20% more horizontal coverage than typical stereo cameras seen in the market, and the PC2 “UL” model has almost 70 percent more coverage.
For retailers, this means fewer sensors/cameras on the ceiling and a smaller capital expenditure on hardware.
Also, as it relates to installation, the Xovis can go from seven feet with the PC2 all the way to 60 feet with its PC3 model, which makes it perfect for both retail and mall operators around the world.
Lastly, unlike other stereo sensors, the Xovis sensors can power advanced analytics functionality in RetailNext such as dwells, kinetic maps and multi-sensor Full Path Analysis.
Up and running
Xovis sensors are immaculately designed and manufactured, allowing for an easy out-of-box experience. For a retailer, that means no more time-consuming left-right lens tests to ensure lenses aren’t misaligned and other quality control issues.
There is also a nice, easy set-up wizard to guide configuration of the cameras, and there’s no need to use outdated and obscure plug-ins to get the web UI to work. Installation is easier and more efficient, saving retail clients time and money.
With both hardware and software, Xovis owns all of its intellectual property and manufacturing, which affords it a great deal of flexibility. The company is able to work with both RetailNext and our client base on custom mounts and covers, and customized software enhancements take just days or weeks.
A growing space
As the in-store retail analytics space continues its rapid growth, the demand for new, emerging sensor technologies – like video analytics cameras – grows with it. The size of the sensor market is growing exponentially, and the resulting opportunity invites new competitors to enter the fray. The exciting output of that new competition is innovative new products like those offered by Xovis.
At RetailNext, we’ve built a hardware-agnostic software platform that works seamlessly with new technologies as they come to market, and it allows us to focus completely on providing our retailer clients with the solutions needed to best serve their shoppers. The new Xovis sensors coming online will further entrench RetailNext’s status as an industry standard in retail analytics.
Sound off on the #retail conversation on Twitter @RetailNext and at www.facebook.com/retailnext.
L'apport des sciences humaines et sociales au design, comme levier de l'innovation et du développement, c'est le thème central des échanges organisés le 24 avril prochain par le CVT Athéna et le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, en partenariat avec Bpifrance dans le cadre des rencontres chercheurs / entreprises.
Beaucoup d’objets vous aident à manger sainement. Mais la plupart du temps, il faut entrer soi-même les données à chaque repas, ce qui peut être fastidieux. Alors pour garder la motivation et prendre soin de sa ligne, il y’a BiteBite, un capteur à installer dans l’oreille.
BiteBite est un petit capteur très léger de 85 grammes qui se niche dans votre oreille. Il a pour objectif de vous aider à garder la ligne et à vous sentir mieux. Comment ? C’est très simple :
Grâce à BiteBite, tout est automatiquement enregistré. Il vous suffit de prononcer à voix haute ce que vous mangez et l’appareil le reconnaîtra. Vous n’avez plus rien à entrer manuellement.
De plus, BiteBite saura vous prévenir si vous mâcher trop vite et combien de fois au cours d’un repas. Cela vous permettra peut-être de réaliser que vous mangez trop vite. Ce qui, à l’instar de la HappiFork, vous aidera à ne pas avoir de problèmes de digestion causés par une mastication trop rapide.
C’est très bien d’enregistrer toutes sortes d’informations, mais encore faut-il pouvoir les analyser. C’est là que l’application, connectée via Bluetooth, entre en scène. Compatible iOS et Android, elle vous apportera des analyses et des conseils sur votre façon de manger. Vous pourrez voir les calories ingérées, votre taux d’hydratation et la composition de vos repas (fruits, légumes, graisses…). Il y’a aussi une partie réservée aux micronutriments (glucides, protéines, graisse). En ajoutant des objectifs personnalisés, vous pourrez les atteindre plus facilement et vous arrêter quand l’objectif est atteint. Prenez un fruit au lieu d’une barre chocolatée !
Vous n’avez pas besoin de porter le BiteBite tout le temps, “seulement” quand vous buvez et mangez. L’appareil se recharge via USB et peut durer 3h par charge, ce qui devrait vous permettre de l’utiliser pendant 3 jours d’affilé.
Le BiteBite sera à vous en juin 2015 pour un prix de 146€ .
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William El Kaim, journaliste à la Revue du Digital, a rédigé un article suite au petit-déjeuner Conférence BVA sur les Data Sciences le 19 mars dernier.
Big Data : il n’y aura pas de Data Scientist omnipuissant
A l’heure du Big Data, il n’y aura pas de « Data scientist » omnipuissant, mais une diversité de data scientists œuvrant en équipe pour résoudre un problème métier, estime Thierry Vallaud en charge de la toute récente offre de services « Data Sciences » de l’institut de sondages BVA. Il a pris la parole à l’occasion de la présentation de cette offre le 18 mars à Paris.
Faire parler les données
L’important c’est de savoir faire parler les données avec les Data Sciences. C’est ce que martèle Thierry Vallaud. On parle ainsi de « Data Miner », de « Data scientists » et « d’experts en recherche opérationnelle ».
Thierry Vallaud a présenté la nouvelle offre de services de BVA baptisée « BVA Data Sciences » dont le but est de réinventer, avec ses clients, le monde de l’étude de marché et de la recommandation marketing. BVA souhaite même devenir le « Chief Data Officer » des entreprises, en charge de valoriser leurs données, en les associant à celles de BVA et aux données publiques.
Nouvelles compétences
En liant les études et les « data science », BVA souhaite révéler les connaissances qui sommeillent dans les données. Cette évolution impose à BVA et à ses clients de prendre en compte de nouvelles compétences et de nouvelles fonctions dans l’entreprise.
Au global, l’ADN de BVA reste la collecte et l’expertise dans le traitement des données pour répondre aux questions que se posent ses clients et délivrer des recommandations pertinentes. Dans certains cas, des données pourront également être renvoyées directement dans les systèmes d’information des clients, afin de déclencher des actions en temps réel.
BVA démonte les 3 mythes du Big Data
Dans cette marche vers le Big Data de BVA et de ses clients, Thierry Vallaud démonte les mythes qui entourent ce domaine. Il recentre le débat sur ce qui est vraiment important : la science qui consiste à faire parler les données.
Premier mythe : la volumétrie. Le volume de données n’est pas un facteur clef. Il est loin d’être aussi important que l’on pourrait le croire. « La plupart des études pour nos clients se basent sur des volumes de données qui ne dépassent pas 30 Go » pointe Thierry Vallaud. Alors n’ayez pas peur, « venez comme vous êtes », dit-il en réutilisant la publicité d’un vendeur de restauration rapide, « et ouvrez nous vos données et vos systèmes, le CRM et les systèmes en silos ».
En matière de volumétrie, le Big Data démarre à partir de 500 Go car c’est seulement à partir de ce moment qu’il faut commencer à se préoccuper de l’infrastructure, rassure le responsable.
Se donner le temps de la réflexion
Deuxième mythe : la vélocité. Elle dépend de chaque projet. « Il faut donner du temps au temps avec le nécessaire recul de l’homme d’études, » affirme Thierry Vallaud. » Puis on laisse la technologie agir en temps réel. Et pas l’inverse » conseille-t-il. Il faut s’accorder le temps nécessaire de la réflexion, de la compréhension et de la validation des algorithmes, avant de penser à la vitesse d’exécution.
Ainsi, on ne traite pas de la même manière le taux d’abandon des clients qui fréquentent une salle de sport, qui est une demande quasi-temps réel basé sur la présence en salle, et la valorisation commerciale d’une base CRM de l’entreprise.
Aller chercher les données là où elles sont
Troisième mythe : la variété des données. Sur cette partie, l’institut de sondage veut aller chercher les données là où elles sont jusque dans le système d’information de ses clients.
Au final, en se proposant de jouer le rôle de Chief Data Officer « externe », BVA devrait être bien placé pour valoriser toutes les données dont les entreprises ne savent pas toujours quoi faire. Que ce soit des données collectées, attitudes, opinions, les données exogènes telles que le taux d’équipement des ménages, les réseaux sociaux, ou des données du CRM de l’entreprise.
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Dans le cadre d’une opération spécial rangement, Ikea invite particuliers et professionnels à poster une photo de leur intérieur… en désordre. Une opération social media signée par l'agence Zmirov Communication.
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Chaque semaine, dans le « Guide du Nouveau Storyteller », Benjamin Hoguet nous livre un article dédié à la découverte de la création et de la production de contenus interactifs et transmédias. Une démarche qui débouchera bientôt sur la publication d’un livre par cet auteur très actif dans la promotion et le développement des nouvelles pratiques de storytelling. Il a d’ailleurs, par le passé, cofondé Racontr, une plateforme de création de contenus interactifs notamment à destination des médias, et il co-anime la branche française de l’association Storycode qui organise régulièrement des conférences et des workshops dédiés aux nouvelles formes de narration.
Pouvez-vous nous dire ce qu’est un storyteller ?
Par définition, c’est quelqu’un qui raconte une histoire. Un storyteller interactif, c’est un auteur qui est capable de réinventer la manière dont il fait les choses, les imagine et les construit. Tout cela en fonction du thème, du public auquel il veut s’adresser et des opportunités technologiques qu’il a à sa disposition. Il peut s’adapter et proposer à chaque fois ce qui est le plus pertinent. Un storyteller, au final, c’est quelqu’un qui est capable de se projeter et de faire preuve d’empathie pour son public tout en trouvant la bonne forme, et la bonne manière de raconter une histoire. On parle souvent des nouvelles écritures pour définir les nouvelles pratiques de storytelling.
Pouvez-vous me définir d’une manière générale ce que sont les nouvelles écritures et quels types de formats ce concept englobe ?
C’est une désignation dans laquelle on met un peu toutes les formes d’innovations en termes de contenu. On écrit du contenu pour la télé, la radio, le web, le cinéma et la presse. Les nouvelles écritures créent une convergence entre tous ces formats qui permet d’inventer de nouvelles manières de diffuser et de partager les contenus. Ce terme de nouvelles écritures englobe des réalités qui sont extrêmement variées. Cela regroupe toutes les expérimentations et toutes les réflexions qui se font autour d’une question : comment créer, imaginer, produire et diffuser différemment du contenu pour mieux toucher son public?
En ce qui concerne le journalisme, où en sommes-nous ?
En matière de journalisme, il y a beaucoup de choses très différentes qui se testent. Le journalisme sur le web a commencé avec des choses assez simples qui étaient plus ou moins la reproduction des contenus papier avec la même temporalité que dans un journal ou dans un magazine. Aujourd’hui, la presse en ligne essaye de trouver de nouvelles manières, à la fois de toucher un public, mais aussi de mieux valoriser l’information. C’est pourquoi, on voit de plus en plus de nouveaux formats comme le documentaire interactif ou la data visualisation par exemple. L’information est présentée de manière plus interactive et cela permet de produire des choses qui ont une plus grande valeur ajoutée ainsi qu’une plus grande pertinence par rapport aux attentes du public.
Comment les médias s’adaptent-ils à ces changements ?
Il y a des médias qui ont les moyens d’avoir des équipes en interne pour développer des projets, comme Le Monde par exemple, dont le département Grands Formats produit des articles longs et multimédias. Après, d’autres médias avec moins de capital humain vont utiliser les nombreux outils qui sont apparus pour créer du contenu multimédia comme avec Storyfy qui est un outil très utilisé. Les outils à disposition permettent de créer des expérimentations interactives qui mettent à profit le savoir-faire du journaliste et permettent de créer des œuvres qui ont plus de valeur ajoutée.
Vous parlez notamment d’expérimentations interactives et d’interactivité. En quoi cela consiste exactement ?
Pour moi, l’interactivité englobe de nombreuses expériences utilisateurs. Il existe différentes formes d’interaction. Il y a l’interactivité machine-qui nous pousse à toucher l’écran de la tablette, du mobile ou à cliquer sur l’ordinateur- il y a l’interactivité sociale- qui nous fait participer à des discussions sur les réseaux sociaux par exemple- et finalement, il y a l’interactivité collaborative- où les gens participent à la création d’une œuvre en co-construction. Le mot interactivité, je l’utilise vraiment comme une ombrelle très large et dedans il y a toutes les formes d’innovations.
Est-ce que certains médias ont des difficultés à changer l’organisation de leur rédaction et de logique de production de contenu ? Cela ne va-t-il pas trop vite ?
Effectivement, cela va vite. Après le but n’est pas d’être toujours forcément à la pointe des nouveaux usages. Un média s’adresse à un public relativement large. Par exemple, en ce moment, les casques de réalité virtuelle se développent mais ils restent relativement confidentiels. Du coup, pour un média, réaliser des œuvres de réalité virtuelle pourrait être un peu prématuré. Mais par contre, sans être à la pointe, il faut quand même adopter un certain nombre de choses assez vite. Cela suppose effectivement beaucoup de changements en termes d’organisation de la rédaction et en termes de conception d’un projet. Ce sont des projets plus complexes à envisager et qui demandent plus de temps, de compétences et de collaborations.
Qu’est ce qui a poussé les médias à amorcer ces changements ?
Beaucoup de comportements ont changé. Beaucoup de choses ne fonctionnent plus comme elles ont fonctionné auparavant. A ses débuts, la presse en ligne avait des mécanismes d’engagement d’audience très différents. Aujourd’hui, on remarque qu’il y a une réalité assez forte qui est « la mort de la home page ». C’est-à-dire que l’on ne tape plus forcément Le Monde.fr pour accéder au contenu du Monde. On va plutôt passer par les médias sociaux ou par le mobile. On s’aperçoit qu’il y a plein de nouvelles habitudes de consommation de l’information qui remettent en cause ce qui existait avant. Nous sommes donc actuellement dans une phase de recherche et de développement et le but, c’est de tester des choses assez différentes et d’essayer de comprendre ce qui marche et ce qui ne marche pas auprès du public dont les usages ont changé.
Vous utilisez le terme de « recherche et développement » pour désigner l’ensemble de ses projets expérimentaux. Quels sont les avantages pour les médias de se lancer dans cette logique ?
Il y a plusieurs avantages à se lancer dans ces projets au-delà de la simple recherche et développement. En premier lieu, c’est la montée en compétence des personnes qui travaillent dessus. Par la collaboration et la complexité de ces projets, les gens qui sont impliqués ont tendance à s’apprendre mutuellement beaucoup de choses. Les journalistes peuvent vraiment monter en compétence. L’autre avantage, c’est l’aspect image. Cela permet de se positionner comme un média innovant comme par exemple avec le NYT qui, en 2012, publiait le reportage Snowfall qui lança cette mode des «Long Forms » qui perdure aujourd’hui. Les retombées économiques ont été assez négatives mais les retombées en termes d’image au niveau de la presse et du grand public ont été assez importantes (3,5 millions de lecteurs).
Ces contenus ont-ils un modèle économique ?
Concernant le modèle économique, il y a la possibilité de le développer petit à petit, ou du moins, d’intégrer ces différents formats dans le modèle économique déjà existant. Car ce genre de projets peut servir à promouvoir des abonnements ou à faire du contenu sponsorisé pour ceux qui le pratiquent. Par contre, il est également possible d’imaginer des business modèles propres à certains projets pour lesquels, par exemple, une application serait développée. C’est tout à fait envisageable mais tout dépend de la stratégie du groupe.
par Alexander Paull
Articles en relation :
Découvrez l’APE « Accès aux Programmes Européens », nouvelle aide Bpi France pour faciliter l’accès des PME au programme Horizon 2020.
Ce nouveau dispositif APE vient en complément de l’Aide au Partenariat Technologique (APT) qui vous permet de financer le recours au conseil pour le montage de projets collaboratifs (notamment européens).
Cette offre s’adresse aux PME (<250 salariés) innovantes, à fort potentiel de croissance et souhaitant présenter seules un projet d’innovation stratégique pour l’entreprise, dans le cadre d’un appel de la Commission européenne.
Elle prend la forme d’une prestation de diagnostic et de conseil réalisée par une société spécialisée (membre de l’ACI : Association des Conseils en Innovation). L’entreprise peut choisir sa société de conseil.
Le but de l’APE est d’inciter les PME françaises à participer aux programmes européens de RDI financés par l’Union européenne et de diagnostiquer leurs besoins, d’évaluer leurs potentialités et de favoriser leur orientation vers les nouveaux soutiens d’Horizon 2020 tels que l’Instrument PME.
La nouvelle aide se présente sous la forme de 2 modules :
Retrouvez plus d’informations sur le site de Bpifrance
ou contactez Doriane Dumondelle : Doriane.dumondelle@bpifrance.fr
Tel. : 05.56.48.46.31.
De nombreux plugins sont disponibles pour Sarah, pour de nombreux périphériques. Mais que faire si rien n’est dispo pour votre matériel ?
Lorsque j’ai découvert Sarah, j’ai été confronté à un problème de taille : je ne connaissais (et ne connais toujours) rien en développement. Les langages utilisés pour la programmation de plugins sont pour moi du chinois. Et même si j’arrive quelque peu à modifier un fichier xml pour le faire correspondre à mon besoin, il est inconcevable pour moi d’écrire un plugin de A à Z pour piloter un de mes équipements. Heureusement, il y a le Plugin Creator.
Après la fourchette connectée, Slowcontrol se met aux biberons connectés. La petite entreprise française vient d’officialiser son projet à travers un collecte sur le site de crowdfunding Indiegogo.
Les petits gars de Slowcontrol sont décidément très friands de tout ce qui touche à la nourriture. Après avoir lancé une fourchette connectée qui permettait de manger plus lentement, ils s’attaquent à l’alimentation des tout petits en proposant un biberon connecté aux multiples fonctionnalités nommé sobrement : Baby Gigl.
L’intérêt d’un biberon connecté peut susciter une certaine perplexité à première vue, mais Baby Gigl peut être un véritable allié pour tout parent d’enfant en bas âge. Celui-ci permet en effet de nourrir correctement le bébé. Lorsque l’on tient un biberon, il faut le faire avec une certaine inclinaison pour que l’enfant n’avale pas de l’air, responsables de coliques, extrêmement douloureuses pour lui. Baby Gigl émet donc un bip sonore lorsque le biberon est mal incliné. Le même système sonore vous avertira lorsqu’un grumeau sera coincé dans la tétine.
Jusque là, rien de bien connecté, si ce n’est un biberon qui fait du bruit. Heureusement, d’autres fonctionnalités sont également au programme. La consommation du bébé est calculée automatiquement, vous savez à quelle vitesse il boit, combien de temps il a mis a boire le biberon entier, quelle quantité il a bue et adapter l’écoulement du liquide. Tout ça est consigné sur une application pour smartphone.
Vous pourrez partager l’intégralité de ces informations depuis l’application avec qui vous voulez. L’intérêt de cette pratique réside surtout quand le bébé n’est pas nourri par les parents, mais que ces derniers souhaitent tout connaître du repas de leur progéniture. À moins que ce ne soit pour espionner la baby-sitter. Le biberon est connecté au téléphone par Bluetooth.
L’application intègre également un journal de bord où vous pourrez conserver toutes les données que vous souhaitez. Le but est de pouvoir montrer à votre médecin l’ensemble de ces données pour faciliter son travail.
Comme souvent sur les sites de financement participatifs, vous pouvez profiter de réductions importantes si vous achetez les produits rapidement. Ainsi, 1 Baby Gigl et deux bouteilles sont à 75 dollars (70 euros), contre 99 normalement, 2 Baby Gigl et 4 bouteilles à 149 dollars (140 euros), contre 189 normalement et 3 Baby Gigl et 6 bouteilles à 219 dollars (200 euros), contre 289 normalement.
A noter qu’il n’y a pas d’offres particulières de lancement pour les très grosses commandes. Les 10 Baby Gigl et les 30 bouteilles sont à 679 dollars (630 euros), et pour les 30 Baby Gigl et 60 bouteilles, comptez 1999 dollars (1800 euros).
Pour ce qui est de la disponibilité, les livraisons du biberon connecté devraient débuter en septembre prochain, à condition bien sûr, que les 80 000 dollars espérés seront atteints.
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Il y a un plaisir particulier à voir une idée ou un projet passer de l’étape de de concept à sa concrétisation dans le monde réel, et ce qui était un projet Indiegogo project, le TrackR Bravo, est enfin devenu une réalité. En un mot, le TrackR Bravo est un appareil qui pourra vous aider à localiser vos objets – ce qui est pratique si vous possédez pas mal de babioles, et que vous avez souvent du mal à vous rappeler où vous les avez mis.
Jean-Philippe CunnietEtudes des émotions
By Davide Sher
Games Workshop beware: consumer-made miniatures are getting better and better, catering to an ever growing demand for a more personalised strategy board game experience. Horde Invasion, a new Indiegogo project by professional digital character artist Taras Skorobruh, offers a whole range of possibilities: resin 3D printed miniatures in various sizes or the possibility to 3D print them yourself at home.
The digital source files for home 3D printers, available as a full Digital Horde package for $49 (or for $5 for a single character), are broken up into pieces to assemble and are ready to be fed into to your high resolution resin 3D printer, or, if you are going for larger sizes, even on a filament-based desktop system.…
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Evikey est une petite entreprise française venant de lancer une clef USB ultra-sécurisée NFC. Il est possible de la verrouiller par NFC depuis votre smartphone. Ainsi, vous êtes le seul à pouvoir accéder au contenu stocké dessus. Que vaut ce coffre-fort USB ? il est passé entre les mains de la rédaction.
Marque : Evikey
Catégorie : Clef USB
Date de sortie : automne 2014. Pour commander, il faut envoyer un mail à l’adresse suivante : contact@evikey.com
Prix : 96 euros pour la version 4 Go, 168 euros pour la version 8 Go, 240 euros pour la version 16 Go et 326 euros pour la version 32 Go.
Testé avec un Nexus 5
La clef USB est présentée dans un emballage plastique solide. Rien de bien folichon, mais en même temps, pas besoin d’un drap en satin pour une clef USB, on peut difficilement faire mieux.
Pas de notice papier, tout est déjà présent à l’intérieur de la clef USB. C’est dommage, car cela peut s’avérer pratique. Gare à ne pas égarer le fichier dans les tréfonds de votre ordinateur ou à le supprimer par erreur. Heureusement elle est téléchargeable sur http://evikey.com/produits/telechargement.html ou consultable http://evikey.com/produits/notice.html directement sur le site.
Le constat est le même que pour l’emballage. Il s’agit d’une clef USB qui ressemble à beaucoup d’autres. Une coque plastique très solide transparente. Ce n’est pas beau, mais en même temps ce n’est pas ce qu’on lui demande. Reste qu’ils auraient quand même pu faire un effort. Si le transparent laisse entrevoir deux diodes lumineuses, nécessaires pour communiquer avec la clef, il n’était pas pour autant obligatoire.
Pour être francs, nous avons bien cru qu’on nous ne pourrions jamais publier le test de la Evikey pour une raison très simple : nous n’arrivions pas à enlever le capuchon. Pris de désespoir nous avons même essayé de l’ouvrir avec un couteau de cuisine, c’est dire.
On s’est donc rendu sur le site de Evikey qui indique que le capuchon peut-être « un peu difficile à ouvrir les premières fois« . Contactés via Twitter, ils nous ont appris qu’il fallait tirer en exerçant une pression sur l’extérieur de la clef. Pas forcément intuitif, surtout qu’aucune indication ne le montre.
Il faut pincer le côté du capuchon comme indiqué à l’image et tirer très fort.
Le design de l’application est pour le moins singulier. On est en présence d’un design assez old-school qui fait un peu « pirate » des années 2000. Il faut aimer. Petit bémol quand même, l’application a planté plusieurs fois pendant le test, de manière aléatoire. Pour le reste, les sigles sont relativement clairs et permettent aisément d’aller où on veut.
Après la bataille contre le capuchon, il a enfin été possible d’utiliser la clef. Pour commencer il va falloir effectuer certains réglages qui permettent de reconnaitre le téléphone, le définir comme apte à déverrouiller ou encore le mode de déverrouillage qui sont au nombre de 4. Soit vous n’en mettez aucun, soit par simple contact NFC ou par code PIN, soit par code PIN uniquement soit les deux.
Le système de sécurité fonctionne extrêmement bien. Lorsque la clef est verrouillée, elle clignote en rouge et est absolument indétectable sur n’importe quel ordinateur.
Au contraire, elle devient verte lorsqu’elle est visible.
En parlant de couleurs, sachez qu’il existe plusieurs codes couleur différents, qui permettent de comprendre ce qu’il se passe sur la clef. Les couleurs sont d’ailleurs personnalisables avec un large choix.
Un mode SOS est également de la partie servant principalement à faire de la lumière en cas de problème, l’utilité d’un tel dispositif n’est démontrée que si vous possédez une batterie portative USB, puisque la clef doit être alimentée.
Si Evikey se masque très bien, l’utilisation du NFC est laborieuse. Le temps d’attente est très variable. 5 secondes une fois, 20 secondes la fois prochaine ou pire, rien ne se passe. Il faut également parfois recommencer une manipulation, car le NFC n’a pas fonctionné. En outre il faut bien faire attention à manipuler le téléphone loin de la clef puis de l’approcher comme expliqué sur l’application, mais pas de manipuler avec le téléphone déjà collé sinon cela ne fonctionne pas. En bref, il faudra s’armer de patience pour l’utiliser, reste qu’il n’y a pas non plus besoin de déverrouiller la clef toutes les 5 minutes, ce qui réduit la possibilité de s’énerver.
La Evikey One Pro permet également de donner l’accès pendant un temps limité à un utilisateur. Une particularité qui peut s’avérer particulièrement utile et pratique en entreprise.
Enfin, la clef USB est en version 2.0, tandis que le tendance est au 3.0 aujourd’hui, plus rapide. Étonnant quand on sait le prix de la clef.
Android 2.3.3 ou ultérieur
Apple n’est pas au rendez-vous, les produits Apple ne disposant pas de la technologie NFC embarquée.
Clef USB 2.0
Déverrouillage par NFC depuis smartphone Android
Annoncé comme non piratable
Ce que j’ai aimé : La possibilité de verrouiller la clef USB et de la rendre indétectable sur n’importe quel terminal.
Ce que je n’ai pas aimé : Le design trop minimaliste, le NFC parfois un peu lent à la détente, l’USB 2.0 en retard par rapport au 3.0 et le prix.
Evikey a eu une excellente idée en développant cette clef USB qui est un véritable coffre fort portable pour données sensibles. Néanmoins, le design de la clef manque de singularité et le NFC est traine parfois la patte. En outre, le tarif est élevé (96 euros pour la version 4 Go, 168 euros pour la version 8 Go, 240 euros pour la version 16 Go et 326 euros pour la version 32 Go) ce qui peut décourager l’utilisateur lambda qui se dirigera vers la version Premium : moins chère (69,90 euros la 4Go, 99,90 la 8 Go, 129,90 la 16 Go et 169,90 la 32 Go), et plus simple d’utilisation. Néanmoins, cette clef trouvera surtout son utilité chez les professionnels désireux de garder bien au chaud leurs projets. Ils pourront d’ailleurs la tester lors du Devoxx qui se tiendra du 8 au 10 avril prochain !
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New EU Data Protection law: a blow-by-blow guide to dealing with it
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Les algorithmes qui orientent la navigation de millions d’internautes restent souvent bien obscurs pour le commun des mortels. Un site repéré par Motherboard se propose d’y remédier grâce aux techniques de dataviz.
Selon une étude de l’université de l’Illinois, moins de 40% des utilisateurs de Facebook réalisent qu’ils ne voient pas tout ce que leurs amis postent sur le site. Pourtant, des algorithmes sélectionnent l’intégralité des contenus que rencontrent les utilisateurs du réseau social. Quitte à les emmener, via un excès de personnalisation, en pleine vallée de l’étrange…
Et pour se prémunir des dérives possibles de cette navigation totalement personnalisée, encore faut-il comprendre ce qui la produit, soutient Motherboard. C’est toute l’ambition du projet Visual.go, créé par le docteur en informatique Steven Halim en 2012 et sans cesse amélioré depuis. Afin de rendre intelligible le fonctionnement de ces structures complexes à ces étudiants, le spécialiste y a représenté les algorithmes les plus courants sous forme d’animations. On (re)découvre ainsi le Tableau des Suffixes, qui permet la création d’Index.
Si la plateforme fait appel à un public déjà initié, pas de panique : vous pouvez toujours commencer avec Flappy Bird.
