Doppler Labs, the makers of the Here Active Listening system and the Here One headphones, has today announced the close of a $24 million follow-on Series B funding round led by Peter Chernin and The Chernin Group. New investors also contributed, including Kevin Efrusy, David Geffen, Dan Gilbert, Henry Kravis and Anton Levy, among others.
Doppler Labs has been on the scene since 2014, slowly… Read More
We live in an age with no shortage of robot animals — they seem to multiply like little unstable rabbits, except they're hardly ever rabbits — but none have proven themselves quite so relatable as this one. This is PneuHound, and while its name doesn't quite slide off the tongue, its body is definitely doing some sliding... whenever it tries to move in any way at all. Haha, same!
As Gizmodo points out, PneuHound (or PH, as I will refer to him from here on out to indicate an intimate relationship) was built at Hosoda Laboratory at Osaka University, and it's much smaller than other robot dogs, like Boston Dynamics' SpotMini. But I'm not interested in PH's size, although its lack of bulk does contribute to its overall aesthetic, which...
I’ve fallen asleep in some seriously public places over the years, like on the subway and in college common rooms. When I look back on it, that was a crazy thing to do. I really had faith no one would steal my wallet or cut my hair while I was away from the real world. Sleep is a mysterious time that I love, so when I got a pitch for the ZEEQ smart pillow, I knew I had to try it out.
The pillow, which launched on Kickstarter today, comes with eight speakers, a microphone, a three-axis gyroscope, and a 5000 mAh battery tucked inside it. The pillow can detect snoring through its microphone, register motion with its gyroscope, and play music through its speakers. ZEEQ’s creators told me their inspiration came from their own sleep...
YouCanHave.it répond à une réalité vécue par plus de 22 millions de Français possédant une télévision : Marc et Sophie ont décidé de se faire une petite soirée Télé. Bien installés sur leur canapé, ils commencent à regarder le programme qu’ils ont choisi et de nombreuses choses qu’ils voient leur font envie : destinations, vêtements, bijoux, etc. Or, le seul moyen qu’ils aient d’essayer de retrouver ce qui leur plaît est de multiplier leurs recherches sur le net. Une perte de temps et une difficulté indiscutable pour essayer de trouver ce qu’ils cherchent qui ne se concluent pas toujours par une réussite.
YouCanHave.it est l’application gratuite incontournable pour regarder la télévision autrement : « Je vois, je veux, je trouve !! ». C’est une application mobile second écran enrichissant les contenus télévisuels avec des compléments sous forme de textes, d’images ou de vidéos. YouCanHave.it met l’innovation au service de tous en permettant aux utilisateurs d’accéder aux informations et/ou produits / services associés au programme qu’ils regardent, classés selon différentes catégories et proposés en fonction des besoins et goûts propres à chaque téléspectateur (One-2-One vs One-2-Many).
Nos usagers cible sont les 98,5% de la population française équipée d’un écran de télévision et d’un smartphone / tablette, toutes tranches d’âge, toutes catégories sociaux professionnelles, et toutes cultures confondues.
Nos clients cible sont :
Les annonceurs, les marques qui peuvent ainsi bonifier leur placement de produit et/ou profiter d’une publicité innovante et ciblée grâce au profilage des téléspectateurs.
Les producteurs et les diffuseurs qui valorisent leur production en complétant leur diffusion par des informations associées (making-of, anecdotes, rush, lieux de tournages, etc.)
Les personnalités publiques qui peuvent profiter d’une plus grande audience et d’une promotion pertinente
Les collectivités qui ont la possibilité de valoriser leur ville, leur département, leur région, leur politique
Génèse.
S&B Digital est une start up française spécialisée dans le marketing et le conseil. Elle a vu le jour grâce à la rencontre de 2 experts de la télévision numérique et du Digital Marketing qui ont décidé de révolutionner le monde de l’audiovisuel, des nouvelles technologies et de la publicité. Très vite rejoins par un expert financier et de 2 ingénieurs informatiques convaincus par le projet, S&B Digital se développe de jour en jour et s’agrandit en sachant toujours compléter son équipe par des personnalités fortes, engagées et créatives. Aujourd’hui, S&B Digital ouvre le champ de ses activités pour accompagner des jeunes entreprises et leur permettre de bénéficier de l’expérience des associés et de l’expertise de toute l’équipe dans des domaines variés et complémentaires.
Ingrédient secret.
Il y a, à ce jour, deux concurrents sur le marché français, et un sur le marché américain. Ces trois Start up se concentrent exclusivement sur l’aspect commercial. Nous couvrons, quant à nous, l’enrichissement en Informations, en produits, et en services. De plus, les concurrents n’adressent que la partie « fashion » là où nous proposons neuf catégories supplémentaires. Enfin, YouCanHave.it est le seul à permettre la saisie en temps réel des publications, pendant la diffusion du programme, ou de son replay et est déjà prête pour son internationalisation.
Traction.
YouCanhave.it s’adressant à plusieurs cibles, BtoB et BtoC, diverses stratégies ont été mises en place. Promotion réseaux sociaux et événementiels, concours commerciaux, stratégie de communication globale, publicités pour les BtoC. Création d’un blog sur la télévision, en général, internationale permettant l’analyse, la réflexion, l’approfondissement de certains sujets, tout comme apportant un aspect fun et quelques fois léger. Prospection (calling, mailing), référencement (création de fichiers), présentation (individuelle), participation à des concours, à des salons spécialisés, organisation d’événementiels (présentation collective), pour les BtoB.
Équipe.
L’équipe est composée de collaborateurs qualifiés et spécialisés dans des secteurs complémentaires : technologie, commerce et marketing, communication, et finances.
Nos valeurs et notre culture se déclinent sur trois axes :
Innovation / « Ce qui est, est déjà fait, ce qui n’est pas est à penser et à réaliser », c’est pourquoi nous mettons notre créativité au service de l’innovation et nous nous efforçons d’être précurseurs dans tout ce que nous entreprenons.
Engagement Responsable / L’intérêt du client est au centre de nos préoccupations, nous cherchons à améliorer son quotidien et non pas à lui créer des nouveaux besoins. Nous mettons en place une approche améliorée de la RSE, la communication responsable qui sera notre ligne de route (responsabilité sociétale et environnementale)
Expertise / Chacun des membres de notre équipe est expert dans son domaine, reconnu par ses pairs, ce qui garantit la qualité et l’efficacité de nos services.
Marché.
Près de 22 millions de Français qui regardent la télévision (qui demeure en 2015, l’activité de loisir n°1 des Français) au moins une fois par jour. Une étude de The 2014 Nielsen Research Report montre que 84% des possesseurs de smartphone et de tablette utilisent leur appareil comme second écran lorsqu’ils regardent la télé, 52% d’entre eux effectuent des recherches en relation directe avec ce qu’ils regardent. Cette tendance augmente chaque jour un peu plus. Selon une étude de l’UDA (l’Union des Annonceurs) en 2014, la publicité TV n’a cru que très faiblement (+0,1% et –3,5% en 2013). Au contraire, elle a explosé sur le mobile (+35%). Les ventes en lignes représentent d’ailleurs 64,9 Milliards d’Euros en France en 2015 selon une étude de la FEVAD. Le marché international, que nous visons dans un avenir proche, représentait quant à lui 1 552 milliards d’euros dès 2013.
Financement & modèle éco.
Une entreprise rentable dès 2017, internationale dès 2019. Nous ouvrons peu à peu notre société aux investisseurs, une première phase d’ouverture aux business angel est en cours, une seconde aura lieu courant octobre. Nous envisageons une dernière levée premier trimestre 2017 via des fonds d’investissements. Nos sources de revenus sont diversifiées et vont de l’affiliation standard à la valorisation des données en passant par d’autres modèles possibles que nous évaluons au fur et à mesure.
Échecs.
Les premières difficultés rencontrées ont été liées aux premiers associés : 2 des membres de la première équipe n’étaient pas entièrement investis, sur le terrain du temps, comme sur l’aspect financier, laissant l’entier poids de la start up reposer sur les épaules de leur associé. Ces 2 membres ont fini par quitter la société, et le projet a failli échoué. Les nouveaux associés ont alors repris le flambeau sur des bases où l’investissement personnel et financier de chacun sont définies et primordiales.
La seconde est d’ordre de conseil banquier : lorsque le compte de la société a été ouvert, l’agence nous a orienté vers un compte pro, qui s’est avéré obsolète pour une start up et qui a compliqué de nombreuses transactions par des problèmes d’habilitation, rallongeant les délais nécessaire pour récupérer des fonds et nécessitant des frais d’avocats supplémentaires. Il s’avère que pour les start up, il faut ouvrir un compte en banque d’affaire. Le transfert vers une banque spécialisée sera effectif dès cet été.
Demain.
Nous souhaitons devenir la référence internationale en matière de publicité digitale non intrusive, et de bonification de l’utilisation du second écran. Déclencher de nouvelles habitudes dans la relation téléspectateurs – programme télévisés, permettant à l’usager de reprendre le contrôle sur ce qu’il voit, entend et regarde à la télévision en ayant le réflexe YouCanHave.it pour compléter son expérience télévisuelle, rechercher des informations supplémentaires, contradictoire et/ou approfondies, et tout, ce qui en lien avec ce qu’il visionne, pourra lui permettre de répondre à ses attentes, envies et besoins.
What else ?
YouCanHave.it est l’application qui dresse les bases de la télévision du futur sans publicités intempestives et avec le pouvoir d’en avoir le plein contrôle, dans la logique : « Je vois, je veux, j’ai mais ne subit plus ». Elle permettra, aussi, dans un proche avenir de connecter tous les spectateurs d’un programme télévisés afin qu’ils puissent échanger, partager ensemble sur ce qu’ils regardent au moment où ils le regardent, et échanger aussi avec les acteurs/animateurs/invités d’une émission lors de sa diffusion.
Que faire quand on ne peut pas emmener son chien avec soi, et qu’il faut le laisser seul à la maison… Solution pour que Pitchoune ait un peu de compagnie, lui laisser la télévision. Malheureusement, s’il préfère Motus aux Feux de l’amour, le toutou ne peut pas changer de chaîne. Enfin, ça, c’était avant. La […]
GIF de l'auteur. Toutes les images sont publiées avec l'aimable autorisation de l'artiste.
Dans ses dernières créations, Neil Mendoza a tendance à joindre le technologique au biologique. Dans Eggsistential Angst, par exemple, l’artiste britannique basé à Los Angeles couplait un pendule avec un œuf. Dans sa dernière œuvre, Hamster Powered Hamster Drawing Machine, il crée exactement ce que le titre annonce : une machine à dessiner actionnée par un hamster.
Comme pour toute roue pour rongeur, elle est mise en mouvement par la petite bête qui court, produisant l’énergie nécessaire à l’enclenchement de la machine à dessiner, grâce à un système de CAM, un bras mécanique et un crayon placé au centre d’une autre roue dessinent sur le papier. Un projet né de la fascination de Mendoza pour les machines à dessiner assistées par ordinateur, comme il le confie à The Creators Project.
« Il y a quelque chose de magique à regarder ces objets produire un truc qui a l’air fait à la main. » Familier des logiciels pour CAM, Mendoza a décidé d’ajouter un hamster, estimant que ce rongeur est sous-représenté dans le monde de l’art. Il est ici montré via un petit écran circulaire connecté à un appareil contrôlant la vitesse de la machine à dessiner via le logiciel openFrameworks.
« Une machine en particulier m’a inspiré, elle a été créée au XVIIIe siècle par le Suisse Pierre Jaquet-Droz, avec l’aide de son films Henri-Louis et Jean-Frédéric Leschot », note Mendoza. « Elle s’appelle The Writer et est l’un des automates les plus complexes qui aient survécu. Il s’agit d’un enfant assis à un bureau et écrivant à la plume. »
« En action, il écrit un texte jusqu’à 40 caractères, trempant sa plume dans l’encre de temps à autre, et remuant même le poignet pour éviter que l’encre ne coule », ajoute-t-il. « Ses yeux suivent le texte et sa tête bouge lorsqu’il prend de l’encre. L’une des choses les plus remarquables, c’est que le texte qu’il écrit est programmable. Certains considèrent que cet automate est l’un des premiers exemples de programmation. »
Si la machine de Mendoza n’est pas un automate du même gabarit, on ne se lasse pas de voir courir ce hamster, ignorant tout du dessein artistique auquel il est livré, perdu dans une course perpétuelle.
Hamster Powered Hamster Drawing Machine est exposé à la galerie Young Projects, à Los Angeles, jusqu’au 19 août 2016, aux côtés de dessins produits. Pour en savoir plus sur le travail de Neil Mendoza, cliquez ici.
Google's upcoming Daydream platform wants to keep you in virtual reality even in Chrome. The latest build of Chrome Dev for Android lists a feature called VR Shell, which would allow you to view any website in VR.
Learning to code usually involves sitting in front of a computer, memorizing commands, and carefully checking for syntax errors. But what if instead, coding was colorful, fun, and let you interact with the real world?
That's what Google is trying to do with a new initiative called Project Bloks. Bloks is a system of toy blocks that kids can connect together to control other toys and learn the fundamentals of coding in the process — a bunch of blocks with arrows on them, for instance, could be used to direct a robot. Google's intention is for Bloks to teach the logic behind coding, so that kids can pick up basic skills as they play and later transfer that knowledge to real-world applications.
En dévoilant son robot domestique, la start-up chinoise Roobo se positionne en futur acteur majeur des nouvelles technologies.
Anno 0 de la robotique domestique
Après Buddy, Zenbo, Jibo et consorts, l’année 2016 est décidément celle de la robotique domestique. Les machines quittent peu à peu les usines pour intégrer nos foyers. Un essor notamment dû aux progrès technologiques en termes de miniaturisation de l’électronique mais aussi et surtout aux avancées de l’intelligence artificielle et de la connectivité. Les algorithmes informatiques sont de plus en plus poussés et performants, au point de créer des machines capables d’apprendre.
Fini les aspirateurs et les tondeuses autonomes. Les machines deviennent chaque année plus intelligentes et peuvent réaliser un nombre de tâches toujours plus variées. Un appareil n’est plus conçu pour remplir une seule et unique mission. Grâce à l’internet des objets, de nombreuses entreprises se sont lancées sur le créneau du robot assistant personnel. Certains ont fait le choix d’un design simpliste comme Google et Amazon qui travaillent chacun sur un assistant personnel matérialisé mais statique, qui prendrait en charge toutes les fonctionnalités de la maison : réglage du chauffage, verrouillage des portes, surveillance et gestion des lumières. Ces dernières figurent parmi les missions principales assumées par ces systèmes intelligents. D’autres ont choisi de créer des assistants personnels mobiles et intelligents pour conjuguer le potentiel de l’IoT aux besoins des consommateurs. Rien que cette année, des BIG I, Zenbo et AI.Mergence ont été dévoilés. Et des projets de longue date comme le petit français Buddy, vont enfin pouvoir être commercialisés.
Grâce à la connectivité, tous ces appareils peuvent enfin être reliés. Et si acheter une bouilloire connectée ne fait absolument pas partie de vos priorités, sachez que si on l’inscrit dans un système global, son utilisation peut devenir intéressante.
La robotique domestique entre dans une nouvelle ère. Exit les simples machines fonctionnelles, c’est au tour des robots mobiles, intelligents et multitâches d’entrer dans nos maisons.
Domgy, le chien robotisé
Les machines sont particulièrement prisées dans les pays d’Asie, et notamment au Japon et en Chine, qui figurent parmi les pays les plus robophiles de la planète. Cette énorme demande insatisfaite et très enthousiaste représente un créneau en or. De plus de plus d’entreprises s’attaquent donc au grand public. Et qui dit grand public… dit domestique.
Si nous autres européens faisons preuve d’une certaine méfiance à l’égard des machines, les chinois sont beaucoup plus enthousiastes à l’idée d’en accueillir une chez eux. Roobo l’a bien compris et vient de lancer l’un des touts premiers systèmes autonomes pour la maison. Domgy (anagramme de My Dog) est un compagnon de vie non invasif (22 cm de haut) qui se charge de gérer votre foyer. La start-up basée à Pékin s’est en réalité occupée avant tout de la partie software, puisque c’est la société coréenne Innovative Play Lab dans laquelle Roobo a investi qui a développé le modèle hardware.
En bref Domgy réunit peu ou proue toutes les capacités habituelles d’un appareil domestique : assistance personnelle (comme pour les téléphones), assistance domotique (gestion centralisée de tous les appareils électroniques de la maison), divertissement (jeux, danse, musique et vidéos), gardien de sécurité (patrouille pendant votre absence et vous prévient en cas d’intrusion, peut également configurer des zones à risques pour les enfants et les personnages âgées)… Et ce grâce à des technologies désormais courantes comme la reconnaissance faciale, gestuelle et sonore, des capteurs en tout genre pour se déplacer sans accrocs dans la maison, un logiciel avancé qui lui permet de répondre habilement aux questions et ainsi de suite. Domgy peut également servir de téléconférencier pour vous mettre en relation avec vos proches. Il est même possible d’en prendre le contrôle à distance pour se déplacer directement dans la maison.
“Domgy a été développé pour servir de compagnon, d’ami. La solitude est l’un des principaux maux de nos sociétés, et les animaux peuvent parfois combler ce vide” explique Bruce Liu, co-fondateur et CEO de Roobo, “nous avons donc créé un personnage avec sa personnalité propre capable de reconnaître votre visage et votre voix et vous parler comme un ami. Il vous aide à envoyer des messages à vos proches et à surmonter votre solitude” résume-t-il.
Pour assumer son rôle, Domgy a été équipé d’un processeur MTK, d’une caméra Raspberry Pi 5M, d’une connexion wi-fi, bluetooth et infrarouge et d’un écran tactile. Côté détection, il embarque des capteurs de lumière, de température, d’humidité ainsi qu’un accéléromètre et un gyroscope pour ses déplacements. Enfin, le petit robot dispose d’une autonomie de 4 à 6 heures à une vitesse d’environ 5 km/h. Mais heureusement, lorsque sa batterie est presque épuisée, il se rend tout seul à sa station de chargement.
Roobo un acteur majeur de la robolution ?
La start-up pékinoise n’en est pas à son premier coup d’essai. Depuis 2014, elle a déjà lancé un appareil éducatif à destination des enfants, proche des modèles Amazon Echo et de Google Home, qui se contrôle par la voix et particulièrement abordable avec un prix avoisinant les 135€. Mais Roobo ne se limite pas à la robotique humanoïde. Elle officie dans les technologies les plus prometteuses. Son casque Idealens surfe ainsi sur la vague de la réalitié virtuelle et son drone Skye Obit comme le “drone social” qui suit son utilisateur. En plus de cela, l’entreprise s’attaque également au marché des wearables avec son casque connecté Runbone pour aider les sportifs à mesurer leurs performances. De quoi faire de Roobo l’un des acteurs majeurs du marché chinois de l’électronique dans les prochaines années.
La production de Domgy a déjà commencé fin 2015 et sa commercialisation est prévue dans les prochains mois.
When we started building TensorFlow, supporting mobile devices was a top priority. We were already supporting many of Google’s mobile apps like Translate, Maps, and the Google app, which use neural networks running on devices. We knew that we had to make mobile a first-class part of open source TensorFlow.
TensorFlow has been available to developers on Android since launch, and today we're happy to add iOS in v0.9 of TensorFlow, along with Raspberry Pi support and new compilation options.
To build TensorFlow on iOS we’ve created a set of scripts, including a makefile, to drive the cross-compilation process. The makefile can also help you build TensorFlow without using Bazel, which is not always available.
All this is in the latest TensorFlowdistribution. You can read more by visiting our Mobile TensorFlow guide and the documentation in our iOS samples and Android sample. The mobile samples allow you to classify images using the ImageNet Inception v1 classifier.
These mobile samples are just the beginning---we'd love your help and your contributions. Tag social media posts with #tensorflow so we can hear about your projects!
Microsoft wants to move beyond the keyboard and mouse to power the interfaces of the future. While the software maker has been investing in voice recognition and augmented reality scenarios, Microsoft's research division has made some significant progress with hand tracking. Researchers are working on software that will allow virtual environments to track and recognize detailed hand motion. The breakthroughs could apply to virtual reality headsets, or just the ability to more accurately control virtual objects on a screen.
Microsoft is presenting some of it work at two academic research conferences this summer, offering a closer look at what might be our virtual future. Microsoft is focused on improving the accuracy of hand tracking,...
[Harris Shallcross] decided to build a pair of smart glasses and recently completed a first prototype of his project ‘Ochi’ – an STM32 based, BLE-connected, OLED eyeglass display. There are of course several homebrew smart glasses projects out there; many are more polished-looking and nearly all of them also display information from a smartphone over Bluetooth. This one is interesting partly because it highlights many of the design challenges that smart glasses and other near-eye displays face. It also demonstrates the iterative development process: begin by getting something working to learn what does and doesn’t cut it at a basic level, and don’t optimize prematurely; let the process bring problems to the surface.
For his project, [Harris Shallcross] used a small 0.95″ diagonal 96×64 color OLED as the display. The lens is from a knockoff Google Cardboard headset, and is held in a 3D printed piece that slides along a wire rail to adjust focus. The display uses a custom font and is driven by an STM32 microcontroller on a small custom PCB, with an HM11 BLE module to receive data wirelessly. Power is provided by a rechargeable lithium-ion battery with a boost converter. An Android app handles sending small packets of data over Bluetooth for display. The prototype software handles display of time and date, calendar, BBC news feed, or weather information.
Devices like these have a lot to deal with. Weight and distribution of that weight is a concern, the size and comfort of the optics is important, and displaying data on a small OLED is only part of the battle – choosing what information to display and when are vital to the device being actually useful in any way, otherwise it’s just a tech demo.
This project set out to show whether it was possible to use the parts listed to make a glasses mounted smart display that was at least somewhat functional, and the software to support it. Clearly, [Harris Shallcross] succeeded at that, but what really showcases the development process is his list of improvements – what he decided needs to go into a second version, and why. One of those goals is to improve the optics; perhaps there’s something to learn from The $60 Bluetooth Head Mounted Display project, which used a similar OLED and a prism to locate the display off to the side instead of in front.
TechRax decided to spend days and days with a buddy buying countless bottles of Coca Cola. Taking a Bath in a Giant 1,500 Gallon Coca-Cola Swimming Pool...(Read...)
Cinq ans après avoir introduit la diffusion de vidéos en direct sur sa plateforme web, YouTube vient enfin de franchir le pas et d'annoncer l'intégration d'une fonction similaire pour ses applications Android et iOS.
Et de trois ! Après Periscope et Facebook Live, c'est maintenant au tour de YouTube de s'attaquer au tout jeune marché de la vidéo...
“We have found a special type of internal architecture for neural networks, that perfectly fits the face recognition tasks,” NTechLab CEO and founder Artem Kukharenko tells Digital Trends. And they're putting it to work!
Qu’est qui est plus compact que la plus petite des minimachines ? Une solution qui intègre votre PC à un élément indispensable de votre environnement de travail. Bureau, écran, clavier ou que sais-je encore ? La solution d’aujourd’hui intègre la machine à utiliser directement dans une webcam. Elle est donc quasiment invisible aux yeux de l’utilisateur.
La TVPRO HD6 n’est pas un monstre de performances mais l’équipement embarqué devrait répondre aux besoins de la majorité des utilisateurs classiques. La petite Webcam embarque l’équivalent de ce que proposaient les tablettes sous processeur Intel Bay Trail l’année dernière : Un Atom Z3735F dissipé passivement associé à 2 Go de mémoire vive et 32 Go de stockage. Un lecteur de cartes MicroSD permettra de monter un peu plus d’espace pour stocker des documents.
Pour le reste la connectique est assez complète, deux ports HDMI pour brancher la caméra sur deux écrans, deux ports USB 2.0 et un port RJ45 non détaillé. La TVPRO HD6 prend en charge le Wifi 802.11 b/g/n et embarque un module Bluetooth 4.0. Deux ports jack pour un micro et n casque sont également présents.
La partie optique est une webcam 1080p sans plus d’infos, un double microphone est bien sur de la partie mais la webcam cache aussi une petite paire d’enceintes stéréo. Bref, on branche ce truc à un écran ou deux, on allume et on peut commencer à travailler, une fois un clavier et une souris reliés.
Un PC déporté dans un autre objet est un PC invisible.L’ensemble mesure 22 cm de large pour 4,8 cm de profondeur et 3,6 cm d’épaisseur, soit un encombrement bien plus imposant qu’une webcam standard. Mais sans avoir un PC sur son bureau ce qui est un avantage indéniable. L’ensemble sera tout à fait capable des travaux courants : Surf, streaming, bureautique, multimédia. Pas une formule 1 niveau performances mais en partant du principe que l’engin est inaudible et qu’il fonctionne sans encombrer votre espace de travail, c’est tout de même une solution alternative élégante.
La TVPRO HD6 est vendue à 131€ sur AliExpress aujourd’hui. Ce qui n’est pas forcément donné. On a vu des équipements équipés du même « moteur » interne bien moins chers sur le marché. Mais c’est probablement le prix à payer pour l’originalité du concept.
Boston Dynamics — the (for now) Alphabet-owned company behind BigDog and other impressive machines — has just unveiled its latest robot: SpotMini, an all-electric, smaller version of its Spot robot.
One notable change: the 'bot can now be equipped with an elongated neck, which it shows off in a demonstration by helpfully picking up a glass and putting it in the dishwasher. Cute, and functional:
And here it is rebelling against human-centric beverage consumption:
Boston Dynamics' robots are notable for not falling over, even when given a good kick. But as its most cartoonish creation, this one apparently has one weakness: banana-peel-like obstructions, casually strewn on the floor:
Destiné aux bricoleurs légèrement geeks sur les bords, ces tournevis pourraient bien leur donner l’impression de réparer R2-D2 ou BB-8… Sortis de nulle part, ces lot de tournevis se compose donc de deux modèles à tête plate dotés de manches prenant la forme des sabres laser Yoda et de Dark Vador, et d’un modèle Philips décliné du […]
Microsoft, hot on the heels of the news that it is buying LinkedIn for $26.2 billion, has announced yet another acquisition, this time in the area of natural language and artificial intelligence: the company has purchased Wand Labs, a startup that develops messaging apps — and specifically technology behind them that lets them act more intelligently (beyond and alongside our own… Read More
It’ll probably come as no surprise to anyone who’s been following gaming of late, but Alienware’s looking to join the likes of HP and MSI with the release of a VR backpack of its very own. The Dell-owned gaming PC maker wasn’t exactly trumpeting the device at E3, but it did show off a prototype of the proton pack, hung snugly from a mannequin in the company’s… Read More
Take your favorite games with you wherever you go using this tabletop game transporting bag. The bag includes an array of specialized pockets, cases, and accessories that make transporting board games, dice games, and card games a breeze.
Panasonic unveiled the Toughpad FZ-A2, an Android tablet that seems to live up to its name by resisting water, dust, and drops. The Toughpad FZ-A2 will be available for purchase sometime in July.
Microsoft had a bold vision for its Xbox One console that involved its Kinect accessory. While the Kinect for Xbox 360 was one of the most popular game console accessories of all time, a bundled Kinect with the Xbox One introduced a $100 price premium over the PS4 competition. Despite switching course and unbundling the Kinect, Microsoft hasn't recovered yet in the games console battle, with reports suggesting it has sold 20 million Xbox One consoles vs. Sony's 40 million PS4 shipments.
Microsoft unveiled a new Xbox One S console yesterday, and it's 40 percent smaller with a Bluetooth controller. It looks great, and it's arguably the console Microsoft should have shipped originally. While it looks Surface-inspired, sources familiar with...
“In order to know what sound to play, the computer has to know something about the object being struck, and about the action that produced the sound,” Andrew Owens, one of the PhD students who worked on the project, tells Digital Trends.
Premier Farnell, the biggest maker of the wildly popular Raspberry Pi minicomputer, is now being acquired by Daetwyler Holding AG, a Swiss industrial component supplier, for approximately $871 million. According to Bloomberg, the union will reportedly allow both companies to better compete in the components market.
"By combining forces, we significantly increase our competitiveness and extend our product range," Daetwyler Chairman Ulrich Graf said in a statement, "facilitating a one-stop shopping experience for our wide range of customers from a multitude of industries."
Microsoft a annoncé, ce lundi, le rachat de LinkedIn pour la bagatelle de 26,2 milliards de dollars. D'après le communiqué, le réseau social orienté vers les professionnels conservera "sa marque distincte, sa culture et son indépendance".
Satya Nadella était encore à la recherche de sa première grosse acquisition en tant que patron de Microsoft....
Roberta Mancino est une base jumpeuse de renommée internationale et elle adore se lancer des défis totalement dingues. Elle n’hésite d’ailleurs pas à mettre sa propre vie en danger et sa dernière performance est sans doute la plus impressionnante de toute. Preuve en est, notre amatrice de sensations fortes a effectué un vol en Wingsuit au […]
Luxembourg has had its sights on space mining for quite a while. Now, it’s betting big: it has just set up a €200 million ($227 million) fund to entice space mining companies to set up shop in the tiny nation, in a bid to become the “Silicon Valley” of space resources.
The initiative will primarily benefit two American companies: Deep Space Industries and Planetary Resources. The fund will be used to finance asteroid survey missions that will be launched within three years. Luxembourg will also invest in research and development for technologies needed to identify, extract, and process minerals, water, and other valuable space-based commodities.
A montage of some of the types of bodies that Luxembourg hopes to strip-mine with reckless abandon. Montage credit: Emily Lakdawalla
A press conference on June 3 of last year also hinted that the fund may be used to make direct capital investments to become shareholders in the two companies.
Luxembourg is also looking at drafting legislation that legalizes the right of companies to extract and own materials on asteroids, the moon, and other celestial bodies. This would be similar to prior legislation passed by the U.S. just last year.
Doppler Labs, the makers of the Here Active Listening system and the Here One headphones, has today announced the close of a $24 million follow-on Series B funding round led by Peter Chernin and The Chernin Group. New investors also contributed, including Kevin Efrusy, David Geffen, Dan Gilbert, Henry Kravis and Anton Levy, among others.
Doppler Labs has been on the scene since 2014, slowly… Read More
GIF de l'auteur. Toutes les images sont publiées avec l'aimable autorisation de l'artiste.
For his project, [Harris Shallcross] used a small 0.95″ diagonal 96×64 color OLED as the display. The lens is from a knockoff Google Cardboard headset, and is held in a 3D printed piece that slides along a wire rail to adjust focus. The display uses a custom font and is driven by an STM32 microcontroller on a small custom PCB, with an HM11 BLE module to receive data wirelessly. Power is provided by a rechargeable lithium-ion battery with a boost converter. An Android app handles sending small packets of data over Bluetooth for display. The prototype software handles display of time and date, calendar, BBC news feed, or weather information.
Microsoft, hot on the heels of the news that it is buying LinkedIn for $26.2 billion, has announced yet another acquisition, this time in the area of natural language and artificial intelligence: the company has purchased Wand Labs, a startup that develops messaging apps — and specifically technology behind them that lets them act more intelligently (beyond and alongside our own… Read More
It’ll probably come as no surprise to anyone who’s been following gaming of late, but Alienware’s looking to join the likes of HP and MSI with the release of a VR backpack of its very own. The Dell-owned gaming PC maker wasn’t exactly trumpeting the device at E3, but it did show off a prototype of the proton pack, hung snugly from a mannequin in the company’s… Read More
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