Yago

Google Device Assist, application d’aide pour les appareils Lollipop, fait son apparition aux États-Unis. Elle permet d’obtenir de l’aide sur la gestion de son terminal.

Google vient de déployer, aux États-Unis, une application destinée aux smartphones de la gamme Nexus, aux Google Play editions, et aux appareils Android One. Répondant au nom de Device Assist ou de Cavalry Support, il ne s’agit ni plus ni moins que d’une application d’assistance pour les terminaux équipés d’Android Lollipop en version stock. Particulièrement intelligente – du moins d’après Google – l’application est en mesure de vous dire ce qui ne tourne pas rond dans votre smartphone.

Ainsi, l’application donne de précieux conseils pour améliorer les performances du terminal (utilisation de la batterie, gestion de la luminosité de l’écran, etc). L’application se compose de deux onglets, l’un concernant les problèmes qu’elle a détectés (ou mauvaises utilisations) du smartphone ou de la tablette, et l’autre offrant des conseils additionnels avec même quelques tutoriels. L’application se veut véritable interface entre l’utilisateur et Google, et pour ce, elle s’équipe de boutons « Contact Support », qui permettent de demander l’aide de Google.

L’application n’est pour l’heure disponible qu’aux États-Unis, mais elle est disponible via une apk. Pour les autres, notre guide complet de Lollipop est disponible !

Yota nous a toujours étonnés. Ce constructeur installé à Moscou a parié qu’il pourrait se différencier à travers l’intégration d’un écran e-Ink (ePaper) dans un smartphone. La première itération cachait malheureusement de nombreux défauts, la seconde vient d’être présentée officiellement, avec une disponibilité immédiate en Europe. Que vaut ce Yotaphone 2 ? Nous avons eu la chance de passer plus de 2 heures en sa compagnie, voici nos premières impressions.

Le Yotaphone 2 est enfin là !

Le Yotaphone 2, nous avions pu découvrir un prototype avancé lors du Mobile World Congress, en février dernier. À l’époque, nous avions largement salué l’évolution de ce smartphone russe si particulier. L’objectif ? Concevoir un smartphone Android « premium » et y fondre un écran e-Ink dans la coque arrière. Pour le coup, c’est vraiment impressionnant aux premiers abords, bien plus que le premier modèle Yotaphone.

Yotaphone 2 (l’écran est courbé sur les côtés) et Yotaphone

Des caractéristiques en retraits

Comme on s’y attendait, les caractéristiques du Yotaphone 2 n’ont pas bougé d’un poil, c’est une première demi-déception. Ce Yotaphone 2 est propulsé par du Qualcomm Snapdragon 800, jumelé avec 2 Go de RAM, de la 4G LTE (catégorie 4) et 32 ​​Go de stockage interne. C’est évidemment des caractéristiques que l’on retrouvait sur les smartphones haut de gamme de 2013 – à l’image du Samsung Galaxy S4 ou du LG Nexus 5.

Écran de 4,7 pouces (1080p) en Super AMOLED

L’écran principal n’a également aucune particularité, il s’agit d’un écran de 4,7 pouces en définition 1080p et en technologie Super AMOLED. Le Yotaphone 2 tourne sous Android 4.4.3 alias KitKat, avec une apparence pure d’Android AOSP – Android Open Source Project – et quatre applications Yota pré-installées.

Le Yotaphone 2 est assez fin avec 8,95 mm

Les deux capteurs photo sont de 8 et 2 mégapixels, avec un flash LED à l’arrière. Contrairement au premier modèle, l’emplacement des connectiques et des capteurs photo sont plutôt classiques. Avant de passer à la partie la plus intéressante, vous trouverez quelques photos supplémentaires dans la galerie ci-dessous.

Un écran EPD à l’arrière, pourquoi ?

Sans aucun doute, l’élément qui nous intéresse, c’est l’écran de 4,7 pouces collé à l’arrière du smartphone. Plus précisément, c’est un écran EPD (Electronic Paper Display), une technologie e-Ink que l’on retrouve sur les livres électroniques de type Kindle. Ce papier électronique imite l’apparence d’un rendu de feuille de papier – il est purement réflectif et utilise la lumière ambiante de la même manière que le papier classique. Composé d’un verre traité avec Gorilla Glass 3, vous ne devriez pas craindre de rayer l’écran arrière du Yotaphone 2. Au toucher, j’ai vraiment eu l’impression d’avoir une coque classique (mais de qualité) de plastique en main.

Capteur de 8 mégapixels avec flash LED et écran e-ink de 4,7 pouces

Contrairement à l’écran principal (FullHD 1080p), l’écran e-ink possède une définition de 960 x 540 pixels (qHD). Bien entendu, il n’est pas là pour regarder des films ou jouer à des jeux, à quoi peut-il servir ?

Yota a mené une vraie réflexion sur les fonctionnalités clés de cette technologie d’écran. Aujourd’hui, c’est une technologie que l’on retrouve principalement sur les livres électroniques et certains bracelets connectés. Elle a déjà deux qualités indéniables, la première est liée à la consommation d’énergie. En effet, l’écran e-ink ne consomme de l’énergie uniquement lorsque le contenu affiché est modifié. Les pixels qui composent l’écran possèdent plusieurs états distincts stables, de manière à garder intact le contenu affiché en l’absence de source d’énergie. En d’autres mots, vous pouvez laisser afficher n’importe quel contenu, une photo par exemple, même lorsque la batterie du téléphone est à plat.

En faible luminosité, il devient difficile de lire l’écran e-ink (qui ne possède pas de retro-éclairage)

La deuxième qualité indéniable est la lisibilité de cet écran. Sur des écrans classiques, IPS ou AMOLED par exemple, le rétro-éclairage est plutôt agressif pour l’œil humain, a contrario le papier électronique reflète la lumière tout comme une feuille de papier classique le ferait. Ce type d’écran est donc parfaitement visible en plein soleil, et il est très reposant pour les yeux.

Les applications pré-installées ont été conçues pour l’écran e-ink

Le mode « capture d’écran »

Yota a semble-t-il réussi à profiter des qualités de cette technologie d’écran. Même si Android reste peu modifié, le Yotaphone 2 intègre plusieurs applications qui profitent intelligemment des capacités de l’écran e-ink. Comme sur le premier modèle, il est possible de l’utiliser comme livre électronique, en ouvrant des fichiers ePub ou PDF – comme n’importe quel Kindle. Avec cette fonctionnalité simple, Yota promet 100 heures de lecture – impressionnant pour un smartphone avec une connexion active.

On joue aux échecs ?

Bien entendu, vous pouvez afficher ce que vous voulez. Une fonctionnalité bien pratique permet de capturer l’écran principal d’un simple geste (appui long sur le bouton de retour à l’accueil), cette capture d’écran est ensuite affichée sur l’écran e-ink. Vous pouvez donc décider de capturer une photo, un plan ou encore une note. Notez que la capture reste affichée, même si votre smartphone s’éteint.

À gauche, on active la recopie d’écran. À droite, on prend une capture d’écran de l’écran principal. Au milieu… vous connaissez !

Un mode recopie avec du tactile

Une grosse évolution, par rapport au premier modèle, est la possibilité d’afficher exactement ce qu’il se passe sur l’écran principal, l’écran e-ink devient alors tactile. Certes, ce n’est pas évident à l’utiliser, néanmoins c’est suffisant pour naviguer dans ta timeline Twitter ou changer une musique sur Spotify. Yota n’a pas communiqué sur le taux de rafraîchissement de cet écran e-ink, néanmoins j’estime qu’il doit y avoir 2 à 3 images par seconde. L’expérience n’est donc pas fluide, néanmoins cela permet de réaliser quelques actions simples, comme lancer un appel ou ouvrir une application.

Recopie d’écran, à ce moment-là l’écran e-ink est tactile

L’écran principal à gauche (FullHD) et l’écran e-ink à droite (qHD)

Il est également possible de taper du texte grâce au clavier virtuel, néanmoins le taux de rafraîchissement entraîne une latence d’affichage très handicapante. Le tactile est fidèle et enregistre fidèlement la frappe, néanmoins l’affichage est lent à afficher les lettres. Si vous avez l’habitude de taper vite, vous pourrez aisément vous habituer à utiliser votre clavier virtuel sur cet écran.

Clavier virtuel fonctionnel, mais peu pratique

Enfin, le mode « panneaux »

En plus de ces deux modes, Yota a également développé un système de panneaux personnalisables. Ces panneaux (panels en anglais) peuvent donc être modifiés à loisir, ils utilisent des widgets maison, et vous passez d’un panneau à l’autre avec un simple swype. Agenda, horloge, météo, tweets, SMS, articles, lecteur de musique… vous affichez ce que vous voulez.

Configuration d’un panneau, vous pouvez en avoir jusqu’à 4

Les widgets à installer sur le panneau

Un panneau d’exemple, avec une horloge et des raccourcis vers des applications

On peut également afficher des éléments actifs, comme le pourcentage de batterie ou des notifications

YotaEnergy, jusqu’à 5 jours d’autonomie ?

Yota a également profité des qualités de cet écran e-ink pour développer un mode d’économie d’énergie très avancé. Vous pourrez paramétrer d’une manière assez importante le mode d’économie d’énergie, pour améliore efficacement votre autonomie. D’après Yota, il serait possible d’atteindre 5 jours d’autonomie sans avoir à couper les fonctions essentielles du smartphone. Évidemment, on attendra de le tester en conditions réelles pour savoir ce qu’il en est réellement.

Écran de réglage du mode YotaEnergy

L’heureux mariage d’un Kindle et d’un smartphone Android, la bonne affaire ?

Le meilleur des deux mondes avec le Yotaphone 2 ? C’est la première chose à laquelle j’ai pensé. Utilisateur d’un Nook Touch (une liseuse sous Android) depuis quelques années, j’ai souvent rêvé d’avoir un smartphone autonome avec un écran reposant (pour les yeux). En somme… un livre électronique. Évidemment, ce Yotaphone 2 a des atouts non négligeables comme vous avez pu le lire plus haut. Peut-il remplacer un Kindle ? On peut l’imaginer. Il s’agit de la même technologie d’écran, avec la possibilité d’utiliser l’application Kindle ou d’ouvrir n’importe quel fichier (PDF, ePub, etc.). On peut donc remplacer un Kindle. Néanmoins, cela reste un écran de 4,7 pouces, moins confortable que les écrans de livres électroniques qui dépassent les 6 pouces en diagonale. C’est un élément important, surtout pour afficher des pages de livres, ou encore des pages de magazines.

Mode lecture

Je pense que le Yotaphone 2 peut être considéré comme un produit de substitution. J’en serai persuadé après avoir passé quelques jours à l’utiliser en smartphone principal, et en laissant ma liseuse à la maison. En tout cas, Yota a réalisé un énorme travail d’intégration, que cela soit technique ou logiciel.

On sent une vraie intelligence de conception, et un bon niveau de finitions à première vue. Les ambitions du constructeur russe sont importantes, l’entreprise entraîne dans son sillage de nombreuses startups installées à Moscou qui développent des applications dédiées au Yotaphone.

Le Yotaphone 2 est compatible Qi, il peut donc être rechargé par induction (sans fil)

L’écran e-ink permet de réaliser des selfies en utilisant le capteur arrière

Un Yotaphone 2 convaincant, mais hors de prix !

Le Yotaphone 2 est convaincant. Ce second modèle russe ne possède pas de gros défauts, contrairement à la première itération. Néanmoins, comme vous l’avez lu, ses caractéristiques sont en retraits par rapport à la génération actuelle de smartphones, mais il reste un téléphone performant.

Il n’est pas le smartphone le plus rapide, il n’a pas le meilleur capteur photo, ni le meilleur écran, néanmoins il possède un élément différenciant et unique : ce fameux écran e-Ink. Et Yota a semble-t-il réussi à exploiter les capacités de cette technologie d’affichage. Je ne peux pas m’avancer plus avant de réaliser un test complet, il faudra vérifier si l’écran e-ink ne possède pas de défaut rédhibitoire et si la partie logicielle est suffisamment stable.

Enfin, terminons par ce qui me fâche. Le Yotaphone 2 doit-il rester dans un marché de niche ? Probablement. En France, le Yotaphone 2 est commercialisé (dans un premier temps) à la Fnac, sur Fnac.com et dans deux boutiques parisiennes, ainsi que dans les boutiques Lick. Il est d’ailleurs déjà disponible en précommande sur le site de la Fnac. Là, où ça coince, c’est évidemment le prix : 700 euros, « sans subvention ». C’est bien trop élevé, pour des caractéristiques de 2013.

Comme le dernier Panasonic Lumix DMC-CM1, c’est un téléphone que j’aimerai utiliser au quotidien. Pourquoi ? Il est évidemment onéreux, mais il est unique en son genre. Malgré tout, j’ai bien peur que les ambitions de Yota soient un peu trop élevées pour le moment, il faudrait redescendre un peu sur Terre.

Comme on s’en doutait, Samsung n’a pas tardé à mettre en ligne une mise à jour en OTA pour le Galaxy S5. La Pologne est le premier pays a en bénéficier et il fait peu de doute que les autres pays devraient recevoir la mise à jour bientôt.

Les propriétaires polonais de Galaxy S5 sont donc les premiers à recevoir Lollipop sur leur téléphone. La mise à jour de 1,42 Go est disponible en Pologne en OTA et devrait logiquement arriver dans les autres pays du monde sous peu, vraisemblablement avant la fin du mois. Le fichier est déjà téléchargeable sur le site SamMobile (inscription obligatoire sur le site pour pouvoir télécharger le fichier), et les membres du forum XDA-developers ont commencé à uploader la bête sur Mega.co.nz. Naturellement, on vous conseillera d’attendre un peu que des liens fiables (et surtout vérifiés) sortent dans la journée. Pour les plus pressés, notre tutoriel pour mettre manuellement son téléphone à jour est disponible sur ce lien.

Nous avons déjà longuement parlé de Lollipop pour les différents appareils de Samsung, que ce soit pour le Galaxy S5, le Galaxy S4 ou le Galaxy Note 3. Samsung a conservé l’essentiel de l’interface de TouchWiz, sa surcouche, mais l’a adapté à Material Design : on retrouve quelques icônes rondes typiques, des fenêtres flottantes, un peu plus de couleur et surtout des animations revues et corrigées. Si l’on en croit également les premières previews, les performances du Galaxy S5 ont été légèrement améliorées. Certaines applications qui ramaient horriblement autrefois (la galerie d’image, par exemple) sont maintenant beaucoup plus fluides.

Si cette mise à jour est bien effective, Samsung n’aura mis que 31 jours pour déployer Lollipop sur le Galaxy S5, ce qui en fait l’une des plus rapides du constructeur coréen. C’est suffisamment rare pour être remarqué.

Flagg’it est un système permettant de matérialiser les meilleurs moments de vos activités pendant que vous les vivez.

Lorsque l’on se filme avec sa caméra embarqué, ou toute autre caméra du marché (Sony, Cannon, Nikkon…). Il est désormais possible de créer des repères sur l’instant. Les repères appelés « Flagg » permettent d’identifier les meilleurs moments et de ne plus avoir à visionner l’intégralité des vidéos.

Flagg’it se connecte aux caméras à l’aide d’un signal sonore. Il effectue un traitement audio pour retrouver le signal de synchronisation. L’utilisateur peut alors appuyé librement à chacun de ses meilleurs instants. Des petits flagg identifieront ces instants sur votre vidéo.

Situés à Toulon, les concepteurs de Flagg’it viennent de mettre leur projet sur indiegogo à partir de 59$.

Lire la suite..

Le Bluetooth Special Interest Group vient de dévoiler les spécifications de la norme Bluetooth en version 4.2. Au programme : des transferts plus rapides, plus sécurisés et qui consommeront moins d’énergie tout en permettant la création de nouveaux usages dans l’Internet des objets.

Sur son site Internet, le groupement d’industriels (12 entreprises) en charge du développement de la norme Bluetooth vient de dévoiler les spécifications de sa version 4.2, pratiquement un an jour pour jour après avoir dévoilé le Bluetooth 4.1. Si la version 4.1 permettait de réduire les interférences, de raccourcir le temps de connexion, d’augmenter la capacité des transferts et de permettre à un périphérique d’avoir plusieurs rôles (par exemple la montre qui reçoit des informations d’une ceinture cardiofréquencemètre tout en envoyant des informations au smartphone), la version 4.2 va encore plus loin.

Sécurité et confidentialité

Trois axes principaux ont été travaillés : la sécurité, la rapidité des transferts et l’économie d’énergie. Un trio parfait pour accélérer l’émergence des objets connectés. Pour commencer par le domaine de la sécurité, la fonctionnalité LE Secure Connections apporte un nouveau chiffrement lors de l’appairage pour plus de sécurité. La fonctionnalité LE Privacy 1.2 empêche, quant à elle, de suivre un utilisateur par l’intermédiaire de son objet connecté Bluetooth s’il ne l’accepte pas explicitement. Typiquement, cela concerne les magasins qui installent des bornes Bluetooth (beacon) un peu partout pour suivre le parcours des clients via l’adresse MAC de leur périphérique Bluetooth. Une nouvelle fonctionnalité pratique pour ceux qui tiennent à leur vie privée puisqu’actuellement, la seule solution pour être « anonyme » est de couper purement et simplement le Bluetooth.

Plus de performances, moins d’énergie dépensée

Les performances et les économies d’énergie vont de pair, avec la fonctionnalité LE Data Lenght Extension. En effet, pour réduire la consommation d’énergie des appareils Bluetooth, les transferts entre les terminaux auront une capacité maximale multipliée par 10, pour des transferts jusqu’à 2,5 fois plus rapides. Les tuyaux sont plus gros et l’information circule plus rapidement à l’intérieur, ce qui permet donc aux appareils de réduire les temps de transfert et donc d’activité. On a donc au final une hausse de l’autonomie des appareils.

Internet en Bluetooth

Enfin, la dernière amélioration et sûrement la plus innovante est celle qui permettra l’émergence de nouveaux objets connectés. Regroupée sous deux fonctionnalités (Low-power IP et Bluetooth Smart Internet gateways), cette nouveauté permettra à un appareil Bluetooth d’accéder à Internet pour envoyer ou recevoir des informations, par l’intermédiaire d’une passerelle. On imagine ainsi un petit capteur placé dans une pièce dépourvue de Wi-Fi mais qui se connectera à Internet avec ce protocole. Pratique notamment pour la miniaturisation et l’indépendance des accessoires de domotique.

Le Bluetooth 4.2 devrait donc permettre de multiplier les objets connectés puisque comme le rappelle le Bluetooth SIG sur son site, l’Internet des objets (IoT) est en pleine croissance et les prédictions font état de 28 milliards d’objets connectés en 2020.

A lire sur le sujet : Notre dossier sur le Bluetooth | Les nouveautés du Bluetooth 4.1

Edit : selon Ars Technica qui a contacté le Bluetooth SIG, les fonctionnalités de sécurité sont compatibles avec les appareils Bluetooth 4.1 et 4.0 actuels avec une mise à jour du firmware. En revanche, il faudra peut-être repasser par la case FCC, ce qui pourra freiner la volonté des constructeurs. Les autres fonctionnalités nécessitent une mise à jour matérielle.

Bluetooth SIG

L’application de navigation GPS et de cartographie hors-ligne CoPilot fait aujourd’hui son entrée sur l’App-Shop d’Amazon pour tous les utilisateurs d’appareils sous Android ou sous Fire OS. Une alternative de plus dans le monde désormais chargé des applications de navigation.

CoPilot fait désormais partie des applications présentes sur le plus grand nombre de plateformes, puisqu’on la retrouve sur iOS, Android, Windows Phone et sur des webstores utilisables sur Android ou des ordinateurs portables. ALK Technologies, responsable de l’application, ajoute aujourd’hui une nouvelle corde à son arc : CoPilot est désormais présent sur l’App-Shop d’Amazon. L’application y est gratuite et compatible avec les smartphones comme les tablettes sous Fire OS, mais aussi avec les smartphones Android qui préfèrent le portail d’Amazon à celui de Google.

Comme sur les autres plateformes de téléchargement, CoPilot est gratuit au téléchargement, mais propose des achats in-app pour débloquer certaines fonctionnalités premium. Sans sortir votre carte bleue, vous pouvez bénéficier des plans des rues enregistrés dans la mémoire du téléphone – mais pas sur carte micro-SD, comme le rapportent ses utilisateurs -, de planifications de trajets avec plusieurs options d’itinéraires, à une base de données de points d’intérêt couplée à une recherche locale basée sur Google, Yelp et Wikipedia. Moyennant finances, vous pourrez accéder au guidage vocal, aux limites de vitesse et bien sûr télécharger des cartes supplémentaires. Des fonctionnalités résolument tournées vers les automobilistes ; les piétons quant à eux peuvent se tourner, pour un usage des cartes hors-ligne, vers l’inévitable Google Maps ou vers Nokia Here, également très performant.

L’application PayPal se met à jour sur le Play Store et permet aux appareils Samsung de rendre un peu plus utile leur lecteur d’empreintes digitales.

Plus de sécurité grâce aux empreintes digitales ? Avec une mise à jour de son application sur le Play Store, et en date du 2 décembre, PayPal offre enfin la possibilité aux utilisateurs de lecteurs d’empreintes de se connecter à leur compte avec plus de sécurité. Malheureusement, cette compatibilité n’est pour l’instant offerte qu’aux appareils Samsung, à savoir les Galaxy S5 et S5 4G+, le Galaxy Alpha, le Galaxy Note 4 ainsi que les Galaxy Tab S. Après avoir enregistré leurs empreintes sur l’appareil, les utilisateurs peuvent les configurer sur l’application PayPal en accédant aux paramètres.

Ce partenariat entre PayPal et Samsung n’est pas nouveau, et la compatibilité était déjà permise, mais via l’application disponible sur le Samsung App Store. À partir de maintenant, elle s’offre au plus grand nombre.

PayPal
PayPal Mobile

Votre réflexe sécurité, maintenant sur votre téléphone.Envoyez et recevez de l'argentPayez vos achats. Demandez des paiements. PayPal vous permet d'envoyer et de recevoir de l'argent rapidement et facilement depuis votre mobile.Gérez votre compteVérifiez votre solde, consultez vos transactions et plus encore, quand et où vous le souhaitez. Encore plus… En...

Gratuit

Le Snapdragon 810 est le futur SoC haut de gamme de Qualcomm. C’est lui qui viendra remplacer l’actuel Snapdragon 805. On connaissait pratiquement tout sur cette puce à l’exception d’un détail très important : les fréquences de fonctionnement. Une information révélée il y a quelques heures sur Twitter.

C’est Andrei Frumusanu, rédacteur chez Anandtech qui l’affirme sur son compte Twitter personnel : les quatre cœurs Cortex-A57 du Snapdragon 810 seront cadencés à 2 GHz alors que les quatre Cortex-A53 seront quant à eux cadencés à 1,55 GHz. Selon lui, c’est la version la plus rapide qui existe actuellement du Snapdragon 810 et on imagine qu’il a obtenu ces chiffres grâce au terminal de développement récemment mis en vente par Qualcomm. Bien évidemment, ces chiffres sont faibles par rapport aux fréquences auxquelles Qualcomm nous avait habitués. En effet, les quatre cœurs Krait 450 du Snapdragon 805 grimpent à 2,7 GHz. Toutefois, la comparaison n’est pas si évidente que cela.

Rappelons en effet que les cœurs Krait actuels sont basés sur le jeu d’instruction ARMv7 32 bits alors que les nouveaux Cortex-A53 et A57 sont basés sur l’ARMv8, un jeu d’instructions 64 bits. La nouvelle architecture des cœurs et l’utilisation d’un nouveau jeu d’instruction devraient permettre d’augmenter les performances à fréquences égales, du moins par rapport aux anciens Cortex. Or, les Krait de Qualcomm étaient déjà plus performants que les Cortex ARMv7. La comparaison est donc délicate d’autant plus qu’on ne connaît pas encore les performances réelles des Cortex-A57. ARM avait partagé quelques informations sur lesquelles on pouvait lire une amélioration des performances de l’ordre de 45 % des Cortex-A57 par rapport aux Cortex-A15. Mais par rapport aux Krait 450 ? On peut s’attendre à une hausse des performances, qui sera toutefois limitée par la plus faible fréquence de fonctionnement.

À part les nouveaux cœurs, de nombreuses nouveautés seront présentes dans le Snapdragon 810. On peut cite pêle-mêle une nouvelle puce graphique, l’Adreno 430, qui devrait améliorer nettement les performances en jeux tout en apportant le support de la lecture et de l’enregistrement HEVC / H.265. La mémoire LPDDR4 devrait également faire son apparition sur les terminaux haut de gamme pour assister le SoC dans ses tâches. Enfin, la consommation énergétique de l’ensemble sera réduite grâce à l’utilisation de la gravure en 20nm par Qualcomm en lieu et place de l’actuelle 28nm. Pour simplifier : plus de performances avec une empreinte énergétique réduite.

Edit : merci à tok tok! de nous avoir informé que le Snapdragon 810 était passé sous AnTuTu dans le smartphone de développement de Qualcomm. Son score : 52 275, c’est l’un des plus élevé sur un smartphone.

Free Mobile va proposer pendant 5 jours de souscrire au forfait Free Illimité pour 3,99 euros par mois au lieu de 19,99 euros. Un bon plan de fin d’année qui devrait faire jaser les concurrents.

Grande braderie de Noël chez Free Mobile. L’opérateur organise une vente privée à partir du vendredi 5 décembre à 7h, et jusqu’au mercredi 10 décembre à 6h. Une fois de plus, Free va proposer son forfait Free Mobile illimité au tarif de 3,99 euros par mois durant 1 an. Pour rappel, ce forfait permet d’avoir accès aux appels illimités, aux SMS/MMS illimités, et à 20 Go d’internet mobile pour les utilisateurs disposant d’un téléphone 4G, et de 3 Go de data pour ceux qui ne sont compatibles qu’en 3G.

Free avait déjà eu recours à une vente privée pour proposer ce forfait fin juin dernier. Une fois n’est pas coutume, il sera réservé aux membres de vente-privée.com, et aux personnes non abonnées qui n’ont pas souscrit à un forfait Free Mobile durant les trois derniers mois. Il ne devrait pas être possible d’ouvrir une nouvelle ligne avec cette offre, la précédente opération de ce genre n’ayant concerné que les portabilités de numéros existants. Sachez également qu’après un an, l’offre repassera à 19,99 euros par mois. Elle reste toutefois sans engagement.

Deal Labs

Sortie très discrètement à la fin du mois dernier, AZ Screen Recorder est une application permettant de réaliser des captures d’écran vidéo sans avoir besoin de rooter son appareil. Et elle n’a quasiment aucun défaut.

AZ Screen Recorder est une application extrêmement légère (178 Ko) qui permet de réaliser une action attendue depuis très longtemps par les utilisateurs d’Android : réaliser des captures vidéo sur son appareil, sans avoir à le rooter préalablement. En fait, ce n’est pas vraiment une prouesse puisque pour être installée et utilisée, AZ Screen Recorder nécessite obligatoirement un appareil installé sous Android 5.0, au moins. C’est en effet l’une des nouvelles fonctionnalités de Lollipop : il est possible de prendre des vidéos de son appareil sans avoir besoin de le rooter. Google n’a toutefois pas intégré d’application par défaut pour réaliser l’opération et c’est donc AZ Screen Recorder qui s’en charge. De fort belle manière, soit dit en passant.

Lien Youtube

L’utilisation de AZ Screen Recorder est d’une simplicité enfantine. Une fois l’application installée, un menu flottant comprenant quatre icônes permet de tout faire : capturer des vidéos, ouvrir le menu des paramètres, accéder aux vidéos capturées et quitter l’application. Lorsqu’on lance la capture des vidéos, le menu flottant disparaît et seul un très discret point rouge est alors accessible en bas à gauche de l’écran. Ce dernier permet de mettre en pause la vidéo ou de la stopper avec des fonctions de double clic ou de clic prolongé. L’arrêt et la pause des vidéos sont également accessibles dans la barre des notifications ou tout simplement en verrouillant son appareil.

Le menu des paramètres est également très complet. Il permet de choisir la définition de sa vidéo, de régler le bit-rate, d’activer ou non le micro de l’appareil (pour ajouter des commentaires à sa vidéo par exemple) ou encore de faire apparaître les appuis de doigts sur l’écran. Enfin, un dernier raccourci permet d’accéder au dossier des vidéos. Le développeur a même pris le temps d’ajouter un bouton de partage pour les uploader en quelques secondes sur Youtube. On peut difficilement faire plus complet.

Le plus beau finalement, c’est que AZ Screen Recorder est entièrement et véritablement gratuit. Il n’y a aucun achat in-app (contrairement à cette app), pas une seule trace de pub, rien. La seule contrainte de cette application est, rappelons-le, l’obligation de posséder un appareil installé sous Lollipop.

AZ Screen Recorder - No Root
Hecorat

AZ Screen Recorder - No Root is the best app to record the screen of your Lollipop smartphones/tablets. It's 100% FREE, no time limit, no watermark, material design UI and easy to record with one action to start/stop recording.AZ Screen Recorder No Root is the only screen recording app...

Gratuit

Les indices se multiplient autour des Google Glass en version 2.0. La dernière information en date nous provient de l’USPTO, l’organisme américain en charge des brevets. Ce dernier a publié un brevet déposé par Google permettant d’apercevoir un design revu et corrigé pour les prochaines montures de réalité augmentée.

Les rumeurs autour des Google Glass se multiplient. Avant-hier, le Wall Street Journal avait annoncé que les futures montures de réalité augmentée de Google contiendraient une puce Intel. Pourtant, avant cette nouvelle rumeur, les informations allaient plutôt dans le sens d’un abandon pur et simple des Glass par Google. En cause : un soutien faible, voire inexistant, des cadres de Google. Pourtant, un nouvel indice vient renforcer les rumeurs autour d’une nouvelle version des Google Glass. En effet, un brevet déposé par Google et portant sur le design des montures vient d’être publié par l’US Patent and Trademark Office.

Le visuel intégré au brevet est parlant : on peut y voir une monture qui ressemble aux Google Glass Explorer Edition, mais avec des changements importants. Tout d’abord, le boîtier présent à l’arrière de la branche droite disparaît. Ce n’est pas une grande perte puisque c’était un composant plutôt disgracieux. Ce qui signifie au passage que Google réussirait à intégrer toute l’électronique dans le seul boîtier présent à l’avant de la monture. Toujours dans une logique de miniaturisation, ce boîtier subirait une cure de minceur, devenant plus compact.

Les Google Glass actuelles

Ces montures ne disposent pas de pont qui vient reposer sur le nez, mais d’une unique branche qui fait le tour du crâne. On voit mal comment ce type de montures peut tenir sur le visage des utilisateurs et il est possible que le visuel concerne uniquement le boîtier électronique. À moins que Google ait trouvé d’ici là un moyen magique de défier la gravité. Les challenges sont donc nombreux pour la deuxième version des Google Glass, qu’ils soient techniques, mais aussi éthiques ou légaux puisque de nombreux problèmes se posent avec les actuelles Google Glas. Elles avaient même poussé Google à publier une charte de bonne conduite.

Google vient de mettre en ligne la première mise à jour pour Android 5.0 Lollipop. Elle n’est disponible pour le moment qu’en téléchargement sous forme d’image système pour les Nexus 7, 9 et 10.

Comme d’habitude avec les nouvelles versions d’Android, Google a rapidement mis en ligne la première mise à jour pour Lollipop. Il n’y a pour le moment aucun changelog permettant de savoir ce que cette nouvelle version corrige. On espère que les différents problèmes de WiFi, rotation d’écran et autre crash vont enfin appartenir au passé.

Pour le moment cette mise à jour n’est disponible que sous forme d’image système (build LRX22C) à télécharger et à flasher sur son appareil. Pour l’instant seules les images systèmes des Nexus 7 2013 (en WiFi uniquement), 9 (Wifi) et 10 sont disponibles dans le lien que l’on peut retrouver en dessous de cette actualité. Attention, comme il ne s’agit pas d’une mise à jour incrémentielle, flasher l’image sur sa tablette effacera toutes les données de l’appareil. L’installation de ces images est relativement simple, il suffit de se munir d’un câble USB, d’un peu de patience et surtout de notre guide d’installation.

• Télécharger les images système d’Android 5.0.1 pour la Nexus 7,9 et 10

Le PDG de la branche américaine de Huawei s’est lâché lors d’une interviewsur Microsoft et son système d’exploitation mobile Windows Phone. Il considère que l’OS n’a permis à aucun constructeur de gagner de l’argent.

Le Huawei Ascend W1, sous Windows Phone.

Alors qu’il répondait aux questions d’un journaliste du Seattle Times, le patron de la branche américaine de Huawei, Joe Kelly, s’est exprimé sur les ambitions de la firme, et en a profité pour mettre un petit coup de surin à Windows Phone. L’homme explique notamment que Huawei n’a pas gagné d’argent avec Windows Phone, et que d’ailleurs « personne n’en a gagné ». Une mauvaise publicité pour Windows, qui laisse entendre que l’intérêt de l’OS est autre que financier. Et du coup, les intentions du constructeur chinois envers Microsoft sont assez claires : il ne devrait pas y avoir de prochain smartphone Huawei sous Windows Phone.

Au lieu de cela, la marque compte se consacrer à Android et espère se faire plus connaitre sur le territoire américain, où l’attention est principalement monopolisée par Apple et Samsung. Huawei n’est pas si connu que cela aux Etats-Unis, alors qu’il est le troisième constructeur mondial, et a proposé des produits de haut rang en cette année 2014. La cuvée 2015 devrait d’ailleurs être du même acabit avec les possibles sorties des Ascend Mate 8, Ascend P8 et Ascend D8. Justement, l’autre raison à cet abandon de Windows Phone c’est que Huawei a dernièrement consacré son énergie aux smartphones plus haut de gamme, alors qu’il reproche à Windows Phone de se concentrer sur les smartphones d’entrée et de milieu de gamme.

IDC vient de publier ses derniers chiffres sur le marché des smartphones. Sans surprise, l’OS numéro un reste Android. Le système d’exploitation de Google étale en effet la concurrence avec plus de 80% de parts de marché.

Lire la suite..

On connaissait les smartphones avec des boutons physiques en façade (Samsung), des téléphones avec des boutons physiques situés dans le dos de l’appareil (LG et ses LG G2 et G3), et les autres téléphones, avec uniquement des boutons physiques sur les tranches. Désormais il faut accueillir un nouveau type de smartphones : ceux sans aucun bouton physique.

C’est en tout cas ce que semble proposer le Manta X7, un téléphone conçu par une nouvelle marque chinoise, Manta. Si l’on en croit les premières rumeurs en provenance de l’Empire du Milieu, ce téléphone ne possède aucun bouton physique : ni bouton de volume ni bouton de mise en marche. Comment fonctionne-t-il alors ? Personne n’en sait rien actuellement. À vrai dire, ces rumeurs se basent sur les premières images du téléphone, qui n’affichent aucun bouton.

La réponse se trouverait possiblement sur les tranches de l’appareil. Il semblerait en effet que le Manta X7 introduise un nouveau système d’interaction avec le téléphone qui passerait par les bords de l’appareil. Ainsi, le Manta X7 pourrait repérer là où se situe le pouce de l’utilisateur afin de « coller » une fenêtre d’application du côté du pouce et ainsi utiliser plus facilement le téléphone à une seule main. On ne connaît actuellement pas les dimensions de l’appareil (ni sa fiche technique d’ailleurs), mais les premières images laissent entrevoir un appareil de grande taille, compris entre 5 et 6 pouces.

On attendra donc l’officialisation du Manta X7, qui devrait intervenir d’ici peu, pour répondre à ces innombrables questions. Reste que le design de nouveau téléphone chinois n’est pas sans rappeler le Nexus 5.

GSM Dome

Comme tous les mois, ou presque, Google publie son rapport sur la répartition des versions d’Android installées sur les smartphones dans le monde. KitKat continue sa lente progression et Lollipop n’est toujours pas présent dans les tableaux de statistique.

La désormais avant-dernière version d’Android, KitKat, vient de franchir un nouveau seuil le mois dernier. Désormais, la version 4.4 de l’OS mobile de Google est installée sur plus d’un tiers des smartphones Android dans le monde, très exactement 33,9 %, en augmentation de 3,7 points par rapport à octobre dernier. C’est encore inférieur à Jelly Bean, qui baisse de 2,2 points et reste installé sur 48,7 % des téléphones. Les versions plus anciennes de l’OS – Ice Cream Sandwich, Gingerbread et Froyo – se partagent quant à elles 17,4 % des autres téléphones, soit une petite baisse de 1,5 point. Rien de bien nouveau depuis le mois dernier, donc, KitKat étant bien parti pour être présent sur les smartphones pendant encore quelques années et devrait continuer à augmenter pendant encore quelques mois.

Lollipop, la dernière version en date d’Android lancée au début du mois de novembre dernier, n’est logiquement pas encore présente dans ce tableau. Elle devrait faire son apparition dès le mois prochain, avec la livraison des premiers appareils Nexus et la mise à jour des quelques smartphones haut de gamme des constructeurs. Des mises à jour qui n’ont actuellement été effectuées que sur une poignée d’appareils (les Nvidia Shield Tablet et les anciens Nexus pour le moment), mais qui devraient théoriquement affluer durant le mois de décembre. Rendez-vous le mois prochain pour connaître enfin les premiers chiffres.

S’il est une date à retenir pour les prochains jours, c’est celle du 10 décembre, où Samsung devrait enfin lancer son premier smartphone sous Tizen, mais aussi Vivo présenter le terminal le plus fin du marché.

Le X5 Max de Vivo a fait couler beaucoup d’encre en quelques semaines, Vivo ayant attendu l’annonce de l’Oppo R5 – actuellement le plus fin du marché avec une tranche de 4,85 mm – pour commencer à teaser son challenger. L‘appareil de la firme chinoise, montré sous presque toutes ses coutures dans une campagne de communication menée sur les réseaux sociaux, aura la particularité d’abriter, malgré sa minceur, une prise jack 3,5mm : pourtant, on estime qu’il mesurera 4,75 mm d’épaisseur. À cette dernière, manifestement trop délicate à intégrer dans le R5, Oppo a préféré un adaptateur micro-USB vers jack.

On ignore le reste des caractéristiques du X5 Max, si ce n’est qu’il devrait, selon la communication de Vivo, offrir une excellente expérience en termes de son et d’images. La marque a en outre insisté à plusieurs reprises sur la solidité de son appareil et sa résistance aux rayures, montrant au passage des éléments de métal. On peut donc s’attendre à un smartphone à écran anti-rayures (voire en saphir synthétique) doté d’une coque unibody en métal. D’autres rumeurs entourant l’appareil évoquent un écran de 5,5 pouces 1080p, un processeur octo-core signé MediaTek et compatible 4G, 2 Go de RAM et un appareil photo de 13 mégapixels situé au dos de l’appareil. Une recette plutôt prometteuse qui sera dévoilée le 10 décembre prochain au Shenzhen Concert Hall : autant dire qu’avec un tel lieu retenu pour la présentation de son 5X Max, Vivo croit en ses bonnes performances sonores.

Sur le même sujet : Les téléphones fins ne font plus rêver

Si vous utilisez un gestionnaire de mot de passe de type Lastpass, SecureSafe, RoboForm et d'autres, il y a un truc sur lequel j'aimerai attirer votre attention.

Lorsque vous utilisez un logiciel client de ce genre sous Android, celui propose généralement de remplir automatiquement les champs login et mot de passe de vos sites web ET de vos applications. Si ce n'est pas le cas, ce qu'on fait tous en général, c'est d'aller dans le gestionnaire de mot de passe, copier le mot de passe et le coller dans le champ qui va bien.

Dans les 2 cas, grave erreur ! Car il est très simple pour une application tierce tournant sur votre téléphone, d'intercepter le contenu du presse papier. Évidemment, et contrairement aux versions desktop, il n'y a pas d'API sous Android et les navigateurs mobiles pour permettre de passer des mots de passe de manière sécurisée. Les développeurs de ces gestionnaires de mot de passe mobile ont donc dû trouver un moyen détourné de transmettre ce login et ce mot de passe et cela se fait via le presse papier.

Voici la liste des applications testées par les chercheurs qui soulèvent ce problème :

Il faut que vous ayez bien conscience de ça avant d'utiliser de tels logiciels. N'importe quelle app vérolée installée sur votre smartphone peut récupérer ces identifiants et les transmettre dans votre dos à d'affreux criminels. Pour démontrer cette possibilité, le développeur Xbao a mis au point un soft baptisé ClipCaster qui intercepte tout simplement le contenu de votre presse papier (et donc vos logins et vos mots de passe). Il s'agit d'un proof of concept pour montrer que ça fonctionne...

Les chercheurs en sécurité qui soulèvent ce problème proposent 2 solutions pour arranger ça. La première consiste à modifier le presse-papier d'Android afin de le segmenter et le sécuriser pour que seules les applications autorisées puissent accéder à son contenu. La seconde possibilité passe par un soft de clavier qui pourrait communiquer avec les gestionnaires de mot de passe via une API et transmettre le mot de passe en toute sécurité aux sites et aux applications. Je pense que Swiftkey a un coup à jouer sur ce créneau. Voici comment ça se passerait en théorie :

Mais attention, rien de tout cela n'existe pour le grand public... Donc ce que je vous recommande si vous utilisez un gestionnaire de mot de passe sous Android, c'est d'afficher en clair votre mot de passe, de le mémoriser et d'aller le retaper vous-même dans le bon champ. Bref, d'utiliser votre mémoire comme d'un presse papier ;-)Autrement, choisissez bien votre gestionnaire de mot de passe, car certains ne sont pas sérieux lorsqu'ils communiquent avec les serveurs (dans le cas de mots de passe stockés dans le cloud). Si la TLS (couche de chiffrement) n'est pas correctement implémentée, il est possible via une attaque Man In The Middle (MITM) d'intercepter votre identifiant principal (login+pass) pour déverrouiller cette base de mots de passe. C'est le cas par exemple de RoboForm et SecureSafe qui échouent lors de la vérification des certificats TLS, laissant la porte ouverte aux interceptions MITM. Par contre sur LastPass, les chercheurs n'ont pas réussi à pratiquer d'attaque MITM, car la vérification des certificats TLS se fait bien.Maintenant vous savez...

Merci à Nicola pour le partage.

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Gestionnaires de mot de passe sous Android – Attention à la fuite… ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

On n’y croit presque plus, tant Samsung a repoussé les délais jusqu’aux limites de la mémoire humaine. Reste que pourtant, son premier smartphone sous Tizen, attendu depuis 2013, devrait être présenté le 10 décembre prochain. Sa cible ? Le marché indien.

Le Samsung Z prévu pour la Russie l’été dernier.

Entre le programme Android One, le lancement de Firefox OS et bientôt Tizen, si Reuters voit juste, l’Inde est ces derniers temps fort convoitée. On attendait initialement le premier smartphone de Samsung sous son système d’exploitation Tizen en Russie (en tout cas, c’était l’annonce de juin dernier, annulée depuis), avant que le Coréen ne laisse son projet en suspens. À la faveur d’un article publié par un grand quotidien coréen, le Maeil Business Newspaper, Reuters assure que Samsung tiendra une conférence le 10 décembre prochain, en vue de présenter le Z1.

Selon toutes vraisemblances, ce smartphone serait situé sous la barre des 100 dollars, et devrait n’être autre que le SM-130H repéré dans les colonnes de la FCC américaine au début du mois. On s’attend donc à un terminal d’entrée de gamme, double-SIM dont les caractéristiques restent à préciser. On parle déjà d’un processeur quad-core à 1,2 GHz couplé à 512 Mo de RAM, le tout logé sous un écran de 4 pouces à la définition de 480 x 800 pixels, sans oublier un espace de stockage de 4 Go. Rien de bien transcendant pour un smartphone qui, si ces rumeurs s’avèrent, devra affronter une concurrence bien établie. On pense notamment à la marque Micromax, qui s’apprête à lancer une gamme Yu tournant sous Cyanogen, mais aussi à Karbonn et Spice. Face à une concurrence sous Android One un peu mieux équipée, et surtout plus aboutie en termes logiciels, Samsung devra peaufiner ses arguments pour convaincre.

Le Projet Ara n’est décidément pas seul : une société finlandaise développe elle aussi sa propre idée du smartphone modulaire.

Et encore un concurrent pour Google. Le concept des smartphones modulaires fait des émules, et depuis qu’on parle du Projet Ara, d’autres projets qui existent eux aussi depuis longtemps font surface. Il y a quelques temps, le projet V-Senn était apparu, pensé par des anciens de Nokia, et ressemblait fortement à celui de Google : un exosquelette composé d’un écran de 4,7 pouces avec une résolution Full HD et des dimensions de 124 x 63 x 8,9 mm.

Le projet du jour prend le nom de PuzzlePhone, et est le fruit de Circular Devices, une société finlandaise (encore !) qui travaille maintenant depuis 2013 sur cette idée, bien que le statut de la société n’existe que depuis quelques mois. Pour son smartphone, la société veut permettre aux utilisateurs d’entièrement personnaliser leur mobile, qu’il s’agisse de la taille, du choix des composants ou de l’aspect visuel (couleurs) de l’appareil. L’objet se compose de trois parties, « The Spine » qui comprend l’exosquelette avec l’écran , « The Heart » avec la batterie et quelques composants , et « The Brain »  avec l’appareil photo et le processeur.

Le concept de PuzzlePhone se veut également écologique, avec un système de remplacement pièce par pièce pour le mobile. Le mobile devrait fonctionner sous un fork d’Android, et pourrait être disponible dans le courant de l’année 2015. Une future campagne de financement participatif à prévoir ?

BikeHUD Adventure est comme son nom l’indique un dispositif HUD (Heads-Up Device) permettant aux passionnés de deux roues de disposer d’un affichage tête-haute.

Bien que le prototype n’en soit pas encore à ce stade, le BikeHUD devrait dans sa version finale être constitué d’un écran translucide sur lequel seraient projetées les informations relatives à votre vitesse, au rapport de votre boîte, à vos clignotants ainsi que d’autres informations utiles tels que l’heure.

Compatible avec de nombreux types de casque, le BikeHUB nécessiterait l’installation d’un petit capteur sur votre moto afin de transmettre les informations à votre casque.

À la recherche de financement sur Kickstarter, ses créateurs espèrent récolter £120,000 soit environ 151 000 € pour une livraison prévue en août 2015. Pour en faire l’acquisition, il vous sera nécessaire d’investir au moins £245 soit environ 309 €.

Lire la suite..

Le géant américain Intel vient d’officialiser le rachat de la jeune société PasswordBox, qui propose des solutions ultra-sécurisées pour protéger les mots de passe.

PasswordBox, une jeune société canadienne (Montréal), vient d’être absorbée par Intel. Le géant américain a annoncé aujourd’hui cette acquisition, et précise que les 47 employés de PasswordBox seront intégrés à sa branche dédiée à la sécurité (Safe Identity). Il n’a par contre pas donné de détails supplémentaires sur l’utilisation des technologies de la start-up.

Néanmoins, on peut s’en faire une première idée en se basant sur les solutions que propose la start-up. PasswordBox est connu pour son service de gestion des mots de passe. L’entreprise propose par exemple à ses utilisateurs de se connecter facilement à tous leurs sites internet et à leurs applications – en créant de nouveaux mots de passe chiffrés en AES-256 (une solution ultra-sécurisée) – sans avoir besoin de se souvenir ou de taper les mots de passe d’accès pour chacun d’entre eux. Il s’agit tout simplement d’une solution de simplification, regroupée dans une application disponible pour iOS et Android.

Pour le moment, il semblerait que l’application de PasswordBox reste en place sur le Play Store. Quant au montant de ce rachat, c’est pour le moment un mystère.

PasswordBox# 1Password Manager
Password Box Inc.

★Gagnant, meilleure application mobile du CES 2014★Vu dans : FORBES * VENTURE BEAT * WALL STREET JOURNAL * TECHCRUNCH * USA TODAYPasswordBox est un gestionnaire de mots de passe gratuit permettant aux utilisateurs de stocker, de retrouver et de partager les noms d’utilisateur, les mots de passe et autres données...

Gratuit

TNW

Un article un peu particulier aujourd'hui, qui devrait plaire à tous les développeurs web qui cherchent une nouvelle techno avec laquelle jouer pour se dégourdir les doigts. Pour ce tuto, je me suis fait aidé d'Erwan Martin et Jim Laurie, tous les 2 développeurs chez Kontest et experts en Polymer / Material Design. Ce sont eux qui ont rédigé le tuto ci dessous et qui partage leur expérience.

Polymer, pour ceux qui n'en auraient jamais entendu parlé, c'est un nouveau framework développé par Google permettant de créer rapidement des applications web à l'aide de composants préexistants. Comme d'autres frameworks tels que X-Tag (Mozilla), Polymer repose sur les Web Components. Il s'agit d'une spécification en cours de standardisation par le W3C permettant la création de composants HTML indépendants et réutilisables.

Polymer

Pour faire simple Polymer permet de découper une application web en plusieurs morceaux (composants), indépendants, qui contiennent le code HTML (structure), le style CSS et le code Javascript (intelligence du composant). Un composant peut par exemple être un menu, un bouton ou encore un widget Twitter. Il existe un ensemble de composants Polymer préexistants qui permettent de gagner du temps pour démarrer une application web.

Ce tutoriel pour vous initier à Polymer est découpé en 4 parties :

• Les mutations d’objets
• Les web components
• Le positionnement
• Les animations

Material Design

Ce nouveau framework permet par exemple d’appliquer les règles du Material Design dans une application web. Ce nouveau langage visuel, lui aussi développé par Google, est pensé pour maximiser le confort de navigation et simplifier la prise en main des applications. Pour être le plus intuitif possible, il s’inspire directement des matériaux tels que le papier et l’encre, il fait ainsi directement référence aux réelles sensations de toucher. Le Material Design de Google intègre également les dernières avancées technologiques permettant d’unifier les interfaces quel que soit l’outil de navigation de l’utilisateur (ordinateur, tablette ou smartphone).

L'expérience utilisateur est devenu aujourd’hui un axe nécessaire d’innovation pour les marques déjà présentes sur le Web afin de coller aux tendances actuelles en matière de webdesign.

La technologie Polymer permet donc de penser le développement différemment. Chaque web component est indépendant et est du coup facilement réutilisable tout au long du développement d’une application. Cette nouvelle technologie évite donc les répétitions et permet de gagner du temps.

Voici le tutoriel officiel proposé par Google.

Kontest

En intégrant les dernières innovations technologiques de Google que sont Polymer et le Material Design, la startup française Kontest est la 1ère plateforme marketing à utiliser Polymer en production. L’objectif premier de Kontest, à savoir de “Sublimer les marques par le jeu”, se confirme avec l’annonce de cette nouvelle collection de jeux. Six jeux composent la Collection Polymer™ : trois types de Calendrier de l’Avent, un Quizz, un jeu Instant Gagnant et un jeu de Tirage au sort. L’ensemble des jeux est compatible avec les dernières versions des navigateurs.

Maintenant nous allons aborder rapidement et simplement deux notions très importantes de Polymer qui sont les web components ainsi que les mutations d’object.

Nous allons créer une page toute simple qui affichera un message.

Pour cela je vais bien sûr loader (charger en français) Polymer ainsi que platform.js (<troll>Dans Polymer 0.5 sortie depuis peu, ça s’appelle webcomponents.js maintenant :) </troll>).

Je crée ensuite directement dans le <body> mon nouvel élément polymer <my-collection>. Cet élément contient un template qui sera affiché là où sera appelé mon élément, ici directement dans le <body>.

Il contient {{description}}, ce qui affiche la valeur de la variable description de notre élément. On ne peut pas faire plus simple comme élément. Voilà le résultat sur notre navigateur.

Maintenant nous allons voir qu’il est possible d’imbriquer des éléments entre eux sans difficulté. Grâce au scope de chaque élément l’on aura aucun conflit tant sur le html, css que le js.

Ce que je viens de faire c’est de déclarer un nouvel élément <my-game> qui prend en argument type. Dans le template de <my-collection> j’ai rajouté l’appel à notre nouvel élément en fournissant à l’attribut type la valeur de la variable type de l’élément <my-collection>. Maintenant en dessous de notre première phrase on va avoir le paragraphe du template de notre nouvel élément.

Voilà ce que ça donne.

Grâce à la possibilité de faire des multitudes de composant indépendant, on va pouvoir créer un élément une seule fois et le réutiliser très simplement à l’infini.

Je vais vous montrer que Polymer observe chacune des mutations des variables de vos élément.

Ce que je viens de faire c’est d’ajouter un lien qui exécute ma fonction changeType au click. Celle ci modifie la variable type de l’élément. Automatiquement l’élément <my-game> va appeler sa fonction typeChanged car la valeur de son attribut type aura changé. Voilà ce que ça donne au click.

Voilà une approche rapide de deux notions incluses dans Polymer. Ce qu’il faut faire pour améliorer ce code c’est créer un dossier pour chacun de nos éléments ce qui permettra de les maintenir plus facilement et de les rendre réutilisable.

Ce qu’il faut retenir, penser en élément indépendant qui vont interagir ensemble afin de faire quelque chose de bien précis. Polymer sait quand une variable à changé, du coup le déclenchement d’action spécifique est bien plus facile à mettre en place.

Positonnement

Polymer apporte un ensemble de fonctionnalités facilitant la vie des développeurs front-end.

J’imagine que certains d’entre vous savent qu’il n’est pas toujours facile de positionner les éléments comme on le souhaiterait. Entre le positionnement vertical ou le dimensionnement d’un élément par rapport aux autres, cela peut vite devenir un casse-tête. Heureusement CSS3 a apporté “flexbox”, un nouveau type de rendu permettant de résoudre la plupart de nos problèmes, comme les alignements horizontaux et verticaux, la gestion de l’espace disponible ou la modification de l’ordre d’affichage des éléments.

Malheureusement l’utilisation de cette propriété est mal connue, n’est pas toujours implémentée de la même manière, et nécessite encore l’utilisation de préfixes. Pour faciliter le placement des éléments dans une interface, les développeurs de Polymer ont ajouté des attributs permettant de contrôler la mise en page avec flexbox. Voici quelques exemples de ce que Polymer permet de faire :

<div horizontal layout>
    <div>Enfant 1</div>
    <div>Enfant 2</div>
    <div>Enfant 3</div>
 </div>

(http://jsbin.com/bizoku)

<div horizontal reverse layout>
    <div>Enfant 1</div>
    <div>Enfant 2</div>
    <div>Enfant 3</div>
 </div>

(http://jsbin.com/jicud/)

<div vertical layout center>
    <div>Enfant</div>
 </div>

(http://jsbin.com/kofuti)

<div horizontal center center-justified layout>
    <div>Enfant</div>
 </div>

(http://jsbin.com/dinuro)

<div vertical layout>
    <div>Enfant 1</div>
    <div flex>Enfant 2</div>
    <div>Enfant 3</div>
 </div>

(http://jsbin.com/rifulu)

Les exemples ci-dessus ne représentent que quelques possibilités de ce qui est faisable. Si vous êtes curieux et souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à consulter la documentation officielle.

Animations & transitions

Le positionnement c’est bien, mais Polymer permet de faire beaucoup plus. Comme nous l’avons déjà vu précédemment, Google cherche à faciliter la mise en oeuvre du material design dans nos web-applications à travers Polymer. Pour cela, le framework met à disposition un ensemble de transitions et d’animations pré-disponibles.

Je vais vous présenter une seule des multiples transitions possibles. Pour découvrir l’ensemble des possibilités je vous invite à vous rendre sur cette page.

Les animations sont une des caractéristiques principales du material design comme vous pouvez le voir sur cette vidéo démo :

ll est donc intéressant de voir comment on peut créer une transition entre deux éléments de votre interface.

<core-animated-pages selected="{{page}}" transitions="hero-transition">
  <section>
    <div class="thumbnail" hero hero-id="card-transition" on-tap="{{open}}">
      <div class="background" hero hero-id="background-transition"></div>
      <div class="title" hero hero-id="title-transition">
        <p>This is a thumbnail</p>
      </div>
    </div>
  </section>
  <section>
    <div class="card" hero hero-id="card-transition" on-tap="{{close}}">
      <div class="background" hero hero-id="background-transition"></div>
      <div class="title" hero hero-id="title-transition">
        <p>This is a title</p>
      </div>
      <p>Lorem ipsum...</p>
    </div>
  </section>
<core-animated-pages>

Cette interface est composée de deux sections contenues dans une balise core-animated-pages. Cet élement permet justement de réaliser une transition entre deux pages en spécifiant son type avec l’attribut “transitions” (ici ‘hero-transition’). On spécifie la page affichée avec l’attribut “selected” (la valeur correspondant à la position de la page dans le DOM, ici 0 ou 1).

A l’intérieur des pages (sections) j’ai ajouté des éléments composé d’un rectangle coloré et d’un texte.

Pour pouvoir réaliser une transition entre les deux pages, Polymer a besoin de connaître les éléments qui sont présents sur chacune d’elles et de les associer. Pour cela on ajoute un attribut “hero” sur chacun des éléments ainsi qu’un attribut “hero-id” qui doit avoir la même valeur pour les éléments identiques des deux pages. Par exemple les titres des deux pages ont un attribut “hero-id” qui est “title-transition”.

Et c’est tout. Polymer se charge ensuite de faire les associations entre les éléments et va afficher une transition lorsque l’on change de page.

Dans cet exemple, le changement de page se fait au clic sur les div “thumbnail” et “card”, déclenchant l’appel au fonctions “open” et “close” qui se chargent de changer la page sélectionnée.

http://jsbin.com/fehig/3/

Alors ça vous a plu ? Si cette techno vous intéresse, voici le gars à suivre sur ce sujet : Addy Osmani (c'est lui l'un des inventeurs de Polymer). Et si vous avez des choses à ajouter, des ressources, des liens, des conseils etc... N'hésitez pas à le faire dans les commentaires.

Merci à vous et merci à Erwan et Jim d'avoir partagé tout ça avec nous !

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Initiation à Polymer, le nouveau framework web de Google ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

Les Google Glass pourraient revenir dans une nouvelle version qui s’équiperait cette fois d’un processeur confectionné par Intel. Elles viseraient ainsi des marchés plus « professionnels ».

Les Google Glass ne sont pas mortes. Alors que le statut des Google Glass fait actuellement débat, que ce soit parce que tous les magasins physiques qui en vendent ont fermé ou parce que même Sergueï Brin ne les porte plus, des informations contradictoires surgissent. On apprend que Google n’aurait pas du tout l’intention de jeter les lunettes aux ordures, mais plutôt d’en sortir une nouvelle version. C’est une community manager du nom de Becca S, qui a répondu aux interrogations d’un utilisateur il y a quelques jours, indiquant que Google est en train de travailler à une nouvelle version des lunettes.

Et aujourd’hui, le Wall Street Journal croit savoir que cette version 3 des Google Glass pourrait être animée par un processeur Intel. Cette puce – dont le modèle est inconnu – pourrait donc remplacer celle de Texas Instrument qui équipait jusqu’alors l’appareil. Cette collaboration aurait également plusieurs intérêts, dont le premier est de promouvoir les Google Glass auprès des professionnels. Intel, réputé dans ce domaine, travaillerait alors avec Google pour rendre les lunettes plus attractives. Le second intérêt, c’est que cette collaboration prestigieuse permettrait à Intel de définitivement s’implanter dans le paysage des objets connectés, lui qui vient de dévoiler son premier bracelet connecté.

WSJ

Android Auto, la version de l’OS de Google qui servira à rendre les voitures plus intelligentes, a été aperçu dans une vidéo de prise en main, à bord de la Hyundai Sonata lors du LA Auto Show. Une vidéo réalisée il y a quelques jours par Google et à destination des développeurs permet d’en savoir un peu plus sur le système à destination des automobiles et concurrent du CarPlay d’Apple.

Android Auto est attendu pour 2015. Pour nous faire patienter, Google a conclu des partenariats avec certains constructeurs qui embarquent le système dans des voitures pour réaliser quelques démonstrations. C’est le cas de Hyundai dont la Sonata 2015 sera compatible avec Android Auto (en plus de CarPlay d’Apple) et qui était présente au salon LA Auto Show il y a quelques jours. C’est aussi le cas de Kia qui a implanté Android Auto dans une Soul pour que les développeurs de Google puissent jouer avec. Et justement, le compte YouTube Google Developers a réalisé une petite vidéo explicative, pour compléter les prises en main réalisées par les journalistes à bord de la Sonata, mais aussi pour accompagner la disponibilité de l’API d’Android Auto.

Les développeurs d’applications tierces peuvent donc désormais travailler à l’intégration d’Android Auto. Il semblerait que celle-ci soit relativement simple puisqu’elle ressemble à l’intégration d’Android Wear. Comme prévu, les développeurs n’auront pas à se soucier de l’interface, qui sera la même entre toutes les applications. Il faudra donc juste gérer les notifications ou encore le contrôle vocal. Malheureusement, il faudra posséder un téléphone sous Android 5.0 Lollipop pour être compatible avec Android Auto. Le fonctionnement est simple : on branche le téléphone en USB à la voiture et cette dernière passe en mode Android Auto, un système déporté depuis le téléphone. C’est ce dernier qui réalise les calculs, mais c’est aussi son GPS qui est utilisé, légèrement moins performant que ceux intégrés aux voitures.

À allumage, c’est Google Now qui se présente à nous avec ses différentes cartes : l’itinéraire pour rentrer chez soi, la météo, mais aussi les notifications d’appels et de SMS. Bonne nouvelle : WhatsApp est d’ores et déjà compatible avec Android Auto, pour recevoir les notifications, mais aussi répondre par la voix. Une application très importante aux États-Unis où les jeunes utilisent massivement les messageries instantanées en lieu et place des SMS. Concernant les applications de musique, on trouvera Google Play Music, Spotify, Soundcloud, Pocket Casts ou encore, Joyride. Pour rappel, il est également possible d’utiliser la voix pour naviguer, appeler ou encore envoyer des SMS.

A lire sur le sujet : Android Auto suivez le guide | L'interface d'Android Auto ne sera pas modifiable

Android Auto devrait être disponible dans certaines voitures au cours de l’année 2015. Hyundai prévoit de commercialiser sa Sonata vers l’été prochain.

Lien Youtube

Edmunds

IPhone News

Chaque jour, le service appXoid vous fait découvrir une sélection d’applications. Découvrez le Top 5 de la semaine, les cinq applications à ne manquer sous aucun prétexte !

Cette sélection d’applications et de jeux a été testée par l’équipe appXoid, un service de recommandation d’applications édité par Humanoid. Découvrez les cinq meilleures applications de la semaine du 22 au 28 novembre !

Z Launcher Beta

Nokia a annoncé récemment sa première tablette, la N1, qui tournera sous Z Launcher. Aujourd’hui, nous vous proposons donc de découvrir la version bêta de ce launcher original. Il a pour particularité de s’adapter à votre utilisation (plus vous l’utilisez, plus la personnalisation sera poussée) selon l’heure de la journée !

Z Launcher Beta
Nokia Apps LLC

From Nokia, a re-imagined way to use your Android. Adapts to you. Launches anything in one second.Throughout the day, Nokia Z Launcher is learning how you use your phone and promoting your favorite apps so you can get to them faster. The more you use it, the better it gets.IT’S...

Gratuit

Microsoft Office Mobile

Vous rêviez de pouvoir consulter vos documents Word, Excel, et Powerpoint depuis votre mobile Android ? C’est maintenant possible. Microsoft a rendu l’accès gratuit à la suite Office pour les appareils fonctionnant sous l’OS de Google. Et c’est terriblement pratique ! Et Microsoft Office Mobile intègre maintenant Dropbox !

Microsoft Office Mobile
Microsoft Corporation

Microsoft Office Mobile est le complément Office officiel optimisé pour les téléphones Android. Il vous permet de consulter et de modifier vos documents Microsoft Word, Microsoft Excel et Microsoft PowerPoint où vous voulez. Grâce à la prise en charge des graphiques, des animations, des graphiques SmartArt et des formes, vos...

Gratuit

0h h1

Vous en avez assez de Threes! et de 2048 ? 0h h1, à prononcer « oh hi » vous propose une alternative sympathique à base de carrés colorés à aligner selon un système logique bien particulier. Vous ne devez pas placer côte à côte des carrés rouges et bleus, éviter de créer deux colonnes identiques, etc. Sur une petite grille de 4 x 4, la tâche est aisée, mais elle l’est beaucoup moins sur un grille de 10 x 10 !

0h h1
Q42

0h h1 is a little logic game that follows three simple rules:- Three red tiles or three blue tiles next to each other in a row or column isn't allowed- A full row or column must have as many blue tiles as it has red ones.- No two rows are...

Gratuit

Phases

Nouvelle semaine, et nouvelle application Ketchapp ! Le développeur propose un petit jeu minimaliste – comme toujours – où il faut cette fois ci déplacer une bille dans des niveaux à l’horizontale. Un peu à la manière d’un Badlands ultra-simplifié, il faut éviter les pièges et atteindre la fin des niveaux sans encombre !

Phases
Ketchapp

Par le développeur de 2048, ce nouveau jeu d'action et aventure intitulé Phases consiste à contrôler une balle de lumière (en blanc) et d'avancer le plus loin possible à travers les niveaux sans toucher les objets maléfiques (en noir). ...

Gratuit

Plague – The Network

Plague – The Network est un concept hyper intéressant ! En véritable réseau social, il permet de partager du contenu (vidéo, texte, photo, informatif) mais en se basant sur la localisation. Les personnes proches reçoivent l’information, et la partage où la laisse aux oubliettes. L’information agit alors comme un virus et peut se transmettre à travers le monde par le partage des personnes à proximité !

Plague - The Network
Deep Sea Marketing S.A.

Plague is an essentially different way to spread information.The idea for Plague is to create a perfect medium for spreading information as wide as it deserves to be spread, without any boundaries.Plague works like a virus. When you spread information, it goes to the users who are closest to you...

Gratuit

Recevez vous aussi ces bons plans !

Pour recevoir ces bons plans directement sur votre smartphone ou votre tablette, téléchargez l’application appXoid sur Android.

appXoid
Humanoid

Vous ne vous en sortez pas dans le Google Play ? appXoid met de l'ordre. Retrouvez une sélection journalière d'applications avec des nouveautés, des bons plans, des surprises et nos coups de coeur. Le tout est testé, illustré et éditorialisé pour votre plus grand plaisir.Tout cela sur l'application appXoid, mais...

Gratuit

Lorsqu’on évoque une tablette, automatiquement un prix à trois chiffres (voire plus) nous vient en tête. Grâce à la publicité, CDiscount propose une tablette à 49,99 euros, ce qui pourrait être une alternative très intéressante selon les besoins. Un petit retour des utilisateurs.

La CDisplay Haier E701 que propose CDiscount est intrigante non pas pour ses caractéristiques mais pour son prix d’achat qui la place sur un segment où elle est seule : moins de 50 euros (oui, bon, on chipote). Bien sûr, pour un tel prix, il ne faut pas s’attendre a des capacités haut de gamme, et cela s’est ressenti lors de notre test puisque la tablette accroche tout juste la moyenne de 5/10. Les utilisateurs partagent-ils cet avis ?

Avis général

Les retours des utilisateurs peuvent paraître surprenant : ils sont en effet étonnés par la qualité des matériaux qu’affiche la tablette (tout est à relativiser bien sûr, ici avec le prix inférieur à 50 euros) mais sont vite rattrapés par la gêne qu’occasionne la publicité envahissante. En effet, pour pouvoir commercialiser une tablette à un tel prix, CDiscount impose à l’utilisateur un bandeau publicitaire sur le bureau de la tablette. Il est possible de le désactiver, mais de manière temporaire seulement.

Pas mal niveau qualité matériaux, niveau puissance ça reste correcte

La pub est franchement envahissante

Une tablette qui semble correcte pour son prix mais une expérience un peu gâchée par la publicité donc. Il est en plus de cela impossible de changer de launcher afin d’éviter ce fameux bandeau.

Pour laisser leur pub, ils ont verrouillé le launcher

Heureusement, des solutions alternatives existent afin d’améliorer grandement le plaisir d’utilisation comme nous allons le voir par la suite.

Pour retrouver tous les avis des utilisateurs, vous pouvez vous rendre sur ce forum :

• Avis et retours sur la CDisplay Haier E701

Personnalisation de la CDisplay Haier E701

Les utilisateurs Android aiment personnaliser leurs produits comme bon leur semble. Avec cette tablette, l’envie de personnalisation peut se transformer en un véritable besoin de confort, et même les néophytes effrayés par le simple mot « root » peuvent soudainement s’y intéresser.

Rooter un appareil permet d’accéder à ses droits administrateur et ainsi d’avoir la possibilité de personnaliser le terminal de manière avancée. Ici, rooter la CDisplay Haier E701 permet donc de supprimer le bandeau publicitaire et ainsi profiter pleinement de la tablette.

Voici un tutoriel qui vous guidera pour rooter la CDisplay Haier E701 :

• [CDisplay Haier E701] Root, Rom et Rock’n’Roll !

Accessoires pour la CDisplay Haier E701

Pour habiller votre tablette, la protéger ou bien y ajouter un quelconque périphérique, il existe des accessoires généraux ou qui lui sont spécifiquement dédiés. Pour vous aider à trouver l’article qui vous correspond, les membres du forum sont prêts à vous aider juste ici :

• Accessoires pour la CDisplay Haier E701

Comme toujours, nous remercions bien évidemment la communauté FrAndroid qui est très active. Vous pouvez découvrir tous les forums concernant la CDisplay Haier E701 et partager votre avis ici.

Vous pouvez vous procurer la tablette directement sur le site CDiscount

L’iPad Pro, cette tablette grand format sur laquelle Apple travaillerait depuis quelques mois, revient dans la rumeur de temps à autre. Cette fois, c’est le magazine japonais Mac Fan qui, dans son édition de janvier, donne quelques indiscrétions sur cette ardoise XXL.

D’après le mensuel, qui publie un schéma de la tablette, l’iPad Pro devrait bel et bien embarquer un écran LCD de 12,2 pouces; ses dimensions seraient de 305,31 x 220,8 x 7 mm.

Lire la suite..