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19 Jan 11:00

Tech’PAF en direct : pourquoi la Nintendo Switch est-elle mal barrée ? Réagissez !

by Clément Grandjean

Venez assister demain à la sixième édition de Tech’PAF, notre émission bimensuelle traitant de l’actualité high-tech. Au programme ce soir, un débat sur la Nintendo Switch. Faut-il l’acheter ? On répond à toutes vos questions avec Manuel et Julien qui ont pu tester la nouvelle console de Nintendo avant sa sortie.

tech-paf-logo

Retrouvez, comme un jeudi sur deux, notre émission Tech’PAF ce 19 janvier à 18h30. Comme d’habitude, celle-ci se déroulera en direct sur YouTube, Twitch et Facebook Live et nous tenterons de répondre à un maximum de vos questions et d’interagir avec vous. N’hésitez donc pas à participer dans les commentaires des différents canaux de diffusion, ou avec le hashtag #TechPaf sur Twitter.

Faut-il acheter la Switch ?

Ce soir à 18h30, Tech’PAF reste sur la même formule que la précédente émission avec un format légèrement différent qu’en 2016 afin d’améliorer le concept et faire en sorte qu’il vous convienne au mieux.

Le sujet du jour concernera la Nintendo Switch avec comme question principale : faut-il l’acheter ? Malgré son prix important, elle réussit à séduire de nombreux amateurs de la firme japonaise, tout en proposant un concept très innovant pour une console de salon. Quel est votre avis ? Venez en débattre avec nous, ce soir à 18h30, dans la sixième émission de Tech’PAF !

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Tout savoir sur la nintendo switch (NX)

23 Dec 13:45

Il a fallu 5 ans de travail pour réaliser la plus grande carte des étoiles

by Pierre
ps1_skyCinq ans de travail ont été nécessaires pour établir la plus précise des cartes stellaires. Un travail titanesque qu’ont effectué […]
27 Jan 11:59

Apple Watch : avec moins de 19 heures d’autonomie, Apple ne fera pas de miracle

by Gaël

L’autonomie est le point faible de toutes les smartwatchs du moment. Et selon les dernières rumeurs, l’Apple Watch ne ferait pas beaucoup mieux, voire pire, que les montres installées sous Android Wear.

Apple Watch

Dévoilée en fanfare l’année dernière, l’Apple Watch promettait monts et merveilles aux utilisateurs d’iPhone. Mais entre un (ou plutôt des) design premium, une partie logicielle poussée et des caractéristiques techniques plutôt alléchantes, Apple s’était bien gardé de parler du point le plus sensible de son nouvel appareil : l’autonomie. Qu’à cela ne tienne, le site 9to5mac.com a réussi à faire parler une source interne à Apple et en a tiré beaucoup d’informations concernant la batterie et surtout les tests d’autonomie actuellement menés dans les laboratoires de la marque à la pomme.

9to5mac nous apprend tout d’abord qu’Apple a bien opté pour un processeur puissant (une puce S1, produite par Samsung) et un écran Retina, de grande qualité. Cela permettrait à l’Apple Watch de bénéficier de performances « proches du processeur A5 d’Apple que l’on peut trouver dans les générations actuelles d’iPod Touch [...] et d’afficher à l’écran 60 images par secondes ». La contrepartie de cette débauche de puissance et de beauté d’affichage, c’est que la petite batterie de l’Apple Watch (dont la capacité n’a jamais été dévoilée jusqu’à présent) ne sera certainement pas apte supporter des composants aussi énergivores.

Et si l’on en croit 9to5mac, les premiers tests d’autonomie effectués dans les locaux d’Apple ne sont pas franchement éblouissants. L’année dernière, nous apprend le site américain, Apple espérait que l’Apple Watch soit capable de tenir de 2 heures et demie à 4 heures en faisant tourner continuellement des applications. La montre devait alors être capable de tenir 19 heures en usage actif/passif, de tenir 3 jours sans l’utiliser et 4 jours en mode “Ne pas déranger”. Les premiers tests montraient alors que l’Apple Watch n’était pas capable de tenir plus de deux ou trois jours sans utiliser d’application.

Mais les derniers tests réalisés par Apple avec des applications tierces ne se sont pas montrés aussi convaincants. Apple espère désormais que sa montre puisse tenir 2 heures et demie en faisant tourner des applications gourmandes du point de vue du processeur, et trois heures et demie avec l’utilisation d’applications « standards ». Une autonomie qui se rapproche, a priori, de ce dont sont capables actuellement les montres connectées sous Android Wear.

Trois heures d’affichage… de l’heure

La plus grosse déception à venir provient toutefois de l’affichage de l’heure sur l’Apple Watch. La source de 9to5mac indique en effet qu’Apple a testé l’autonomie de sa Watch en affichant uniquement l’heure, avec l’animation de l’aiguille des secondes mais sans autre application ouverte en tâche de fond. L’autonomie de la montre serait alors de 3 heures, ce qui a obligé Apple à éteindre l’écran de la montre quand celle-ci n’est pas utilisée. On ne sait pas encore si Apple compte utiliser l’accéléromètre pour activer automatiquement l’écran de la montre lorsqu’on s’apprête à l’utiliser. Le contraire serait en fait étonnant.

Avec plus de 3000 tests d’autonomie effectués en ce moment, l’autonomie serait l’un des centres d’attention d’Apple concernant sa smartwatch. Et toujours selon la source de 9to5mac, Apple espère toujours une autonomie moyenne de 19 heures mais ne pense pas y parvenir sur sa première génération de montre. L’Apple Watch ne fera donc pas de miracle au niveau de l’autonomie. Si cette source dit vrai, il est d’ailleurs même possible que son autonomie soit légèrement inférieure à celle des premières générations de montres sous Android Wear, pourtant assez mauvaises dans le domaine.

L’Apple Watch devrait sortir à la fin du premier trimestre de cette année à un prix pour le moment inconnu mais que l’on pense situé aux alentours de 350 ou 400 euros.

26 Jan 18:03

GDG DevFest 2015 : rendez-vous à Paris vendredi prochain pour la messe du développement

by Vincent

Après la DevFest de Nantes en octobre dernier, c’est cette semaine l’édition parisienne de la GDG DevFest 2015 qui se tiendra vendredi 30 janvier à l’ECE Paris au pied de la Tour Eiffel. Plus de 300 participants viendront de tout horizon pour écouter plus de 25 conférenciers.

GDG DevFest

La GDG DevFest session 2015 abordera quatre thèmes principaux : Web, Mobile, Cloud et Discovery. 22 conférences sur ces sujets sont prévues : du Machine Learning aux Google Glass en passant par Material Design, Android TV ou encore le WebGL. Des développeurs du monde entier, mais aussi des salariés de Google seront présents pour aborder ces différentes thématiques dont la plupart intéresseront les développeurs sous Android. À noter : la session finale sera dédiée à Cardboard de Google.

Une journée qui s’annonce donc intéressante.Il est possible d’y participer en s’inscrivant (pour 10 euros) sur le site de l’événement. Nous y serons présents afin de vous dresser un petit bilan des conférences.

26 Jan 17:52

Google explique pourquoi il ne compte pas s’occuper des failles de l’ancienne WebView

by Gaël

Il y a deux semaines, un cabinet d’étude spécialisé dans la sécurité révélait que de nombreuses failles dans l’ancienne WebView étaient présentes au sein d’anciennes versions d’Android. Ce même cabinet rapportait alors que Google ne comptait pas les corriger. L’un des développeurs d’Android a expliqué ce weekend pourquoi Google ne compte pas mettre à jour l’ancienne WebView d’Android 4.3 et de ses versions précédentes.

android 4.3.1 jelly bean razorg google asus nexus 7 2013 lte image 0

Rappelons rapidement les faits. Il y a deux semaines environ, le cabinet d’étude Rapid7 expliquait que l’ancienne WebView présente au sein des versions d’Android 4.3 et des versions précédentes était truffée de failles critiques. La WebView est un composant d’Android qui permet aux développeurs d’application d’afficher des pages web sans avoir à développer eux-mêmes un programme pour les afficher. Rapid7 avait alors contacté Google pour le prévenir de ces failles mais s’était vu répondre qu’il n’était pas question pour les développeurs d’Android de la mettre à jour. La nouvelle avait alors provoqué un petit scandale.

Google a enfin pris le temps de répondre à cette affaire de WebView. Plus exactement, c’est le développeur Adrian Ludwig, l’un des responsables de la sécurité d’Android, qui a expliqué pourquoi Google ne comptait pas mettre à jour l’ancienne version de la WebView sur son compte Google+. Adrian Ludwig explique tout d’abord qu’il existe un moyen très simple de corriger cette faille de WebView : passer son smartphone sous Android KitKat ou Lollipop. Après tout, la nouvelle WebView est basée sur Chromium depuis KitKat et rien (ou presque) n’empêche les constructeurs de faire une mise à jour de leurs appareils. Un argument qui n’est peut-être pas tout à fait de bonne foi mais qui se tient d’un point de vue purement pratique.

Concernant la mise à jour de l’ancienne WebView, Adrian Ludwig explique qu’il est actuellement très compliqué de la mettre à jour. L’ancienne version de WebView représente aujourd’hui plus de 5 millions de lignes de code, explique-t-il, et des centaines de développeurs ajoutent continuellement des milliers de nouveaux commits chaque mois. Effectuer des mises à jour de sécurité sur cette WebView est donc non seulement très compliqué et engendrerait plus de problèmes qu’elle n’en corrigerait. De plus, ajoute-t-il, comme de plus en plus d’appareils sont à mis à jour sous KitKat, le nombre d’utilisateurs concernés par les failles de sécurité de cette vieille WebView décroît de jour en jour.

Enfin, Adrian Ludwig propose quelques conseils quand il n’est pas possible de se passer de l’ancienne WebView. Il propose ainsi d’utiliser des navigateurs web sûrs à la place de WebView pour afficher une page web (Chrome ou Firefox par exemple) et propose aux développeurs de n’utiliser la WebView que sur des pages web de confiance, comme des pages chiffrées (en HTTPS). Dans le pire des cas, les développeurs peuvent eux-mêmes développer leur propre outil pour des appareils Android installés sous les version 4.3 ou précédentes afin d’afficher une page web sans craindre les failles. En d’autres termes, « débrouillez-vous »

Engadget

26 Jan 17:44

Cyanogen compte s’affranchir de Google et lancer son propre store d’applications

by Laure Renouard

C’est l’un des sujets les plus brûlants du moment. Cyanogen, passé du statut de petite ROM Custom à celui de véritable entreprise, ne compte pas rester subordonné à Google. C’est en tout cas ce qu’a tenu à faire comprendre Kirt McMaster, le CEO de Cyanogen, lors d’une conférence organisée en partenariat avec The Information.

Cyanogen

L’événement mis en place par The Information à San Francisco, « Next phase of Android », ressemblait plutôt aux prochaines étapes de Cyanogen, la ROM Custom la plus populaire au sein du monde d’Android. Non sans agressivité, le CEO de Cyanogen Inc, Kirt McMaster, a inauguré sa prise de parole par un « nous tentons de d’éloigner Android de Google » destiné à donner le ton. « Aujourd’hui, Android et iOS sont en réalité des coquilles pour les services de Google et d’Apple. Tous les autres existent dans ces bacs à sable sans accès aux couches basses du kernel du système d’exploitation », résume McMaster. Si Cyanogen déplore l’emprise de Google sur Android, c’est pour mieux expliquer son intention de proposer à l’avenir une version d’Android plus ouverte que sa concurrente fournie par Google, assortie de services négociés par CM auprès de nouveaux partenaires. La firme californienne a d’ailleurs cité l’exemple d’Aviate Launcher, le lanceur d’applications intelligent acquis l’an dernier par Yahoo et qui pourrait être intégré d’office dans l’Android à la sauce Cyanogen si jamais un accord parvenait à être conclu entre les deux parties.

« Nous avons à peine égratigné la surface au regard de ce que le mobile peut être. Aujourd’hui, Cyanogen est dépendant de Google. Demain, il ne le sera plus. Nous ne serons plus basés sur un quelconque dérivé de Google d’ici trois à cinq ans. », Kirt McMaster

Où Cyanogen sera-t-il dans quelques années ? Celui qui cherche à percer dans les pays émergents, notamment via un partenariat exclusif noué en Inde avec Micromax, vise bel et bien les services fournis par Google. Il est pour la société question d’ouvrir son logiciel à des portails d’applications alternatifs et, d’ici 18 mois, de proposer son propre store estampillé Cyanogen. Devant de telles ambitions, on s’attend déjà à une année 2015 pleine de rebondissements, où l’intégration des Google Apps à l’offre Cyanogen est pour le moins incertaine à long terme.

The Information

22 Jan 10:38

[MegaChat] La messagerie chiffrée de Kim Dotcom est lancée

by Elodie

MegaChat, la messagerie sécurisée de Kim Dotcom est lancée. Encore en version bêta, elle propose un service de visiophonie et se pose donc en concurrente direct à Skype, voire même une alternative

megachat_kim_dotcom Lire la suite..

22 Jan 10:35

HoloLens : Microsoft dévoile un casque de réalité augmentée très excitant

by Gaël

Microsoft tenait hier soir une conférence pour présenter l’avenir de Windows. Elle a été l’occasion de dévoiler une très belle surprise, HoloLens, un casque de réalité augmentée aux promesses extrêmement alléchantes.

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Vieillot, Microsoft ? Pas du tout ! C’est le message qu’a voulu faire passer la firme de Redmond hier soir en dévoilant un casque de réalité augmentée très impressionnant. L’HoloLens, puisque c’est son nom, se présente sous la forme d’un casque disposant d’une grande visière transparente. Ce casque permettra alors d’afficher des éléments en 3D au sein de l’environnement réel sous forme d’hologrammes. La vidéo ci-dessous permet de découvrir toutes les promesses de l’appareil.

Lien Youtube

Concrètement, HoloLens va permettre d’afficher des informations sur les objets du quotidien, d’afficher des objets en 3D pour jouer (à Minecraft, comme on peut le voir dans la vidéo) ou pour modifier des objets déjà existants et semble déjà promis à un bel avenir dans les entreprises de design. Les promesses sont très alléchantes et semblent encore appartenir au domaine de la science-fiction tant elles sont impressionnantes.

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Microsoft a dévoilé bien peu de détails concernant l’appareil en lui-même. On sait actuellement que ce casque a été présenté comme un véritable ordinateur qui embarquerait tous ses composants nécessaires à son fonctionnement en son sein. Il n’a pas besoin d’une connexion à un autre appareil pour fonctionner, peut se connecter à Internet et se contrôle avec la voix. Il est également équipé d’un CPU et d’un GPU (un SoC ?) et Microsoft a annoncé qu’il disposera également d’un HPU pour Holographic Processing Unit, qui se chargerait d’afficher et de calculer la position des hologrammes. Quelle est la différence entre un HPU et un GPU ? Microsoft n’a rien dit à ce sujet et n’a pas dévoilé le fondeur.

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Les premières véritables informations se trouvent toutefois dans une prise en main réalisée par le site américain Wired. Le journaliste indique que ce casque/lunettes possède un champ de vision de 120 degrés de largeur et de 120 degrés de hauteur. En d’autres termes, il est capable de repérer les bras et les mains de l’utilisateur, mêmes quand ils sont le long corps. L’appareil en lui-même est, selon les dires de la journaliste de Wired, un mélange de Google Glass géantes et de petit Oculus Rift.

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Pour afficher des hologrammes dans le monde réel, HoloLens va jouer avec la lumière afin de faire croire au cerveau que nouvelles formes apparaissent. Wired indique : “Pour créer les images affichées par HoloLens, les particules de lumières vont rebondir des millions de fois dans le moteur de gestion de la lumière de l’appareil. Puis les photons entrent dans les deux lentilles des lunettes où ils vont ricocher entre les couches bleues, vertes et rouges avant d’atteindre l’arrière de l’œil”. L’explication est sommaire, et Microsoft ne tient pas à donner plus de précisions.

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HoloLens ne possède pas de date de sortie. Le modèle présenté hier à la conférence et à la journaliste de Wired est encore à l’état de prototype. Microsoft se contente d’annoncer que son casque de réalité augmentée sera disponible “durant la vie commerciale de Windows 10”. En sachant que Microsoft compte exploiter Windows 10 pendant 10 ans, le grand public n’est pas près de mettre la main dessus. Microsoft compte toutefois rendre le casque disponible aux développeurs dès le printemps prochain. Ce qu’il a présenté hier soir est en tout cas très proche de ce que l’on a pu apercevoir récemment dans le dépôt de brevets de Magic Leap, une société dans laquelle Google a investi un demi-milliard de dollars l’année dernière. En plus de la réalité virtuelle, la réalité augmentée est désormais un enjeu important pour les entreprises spécialisées dans la high-tech.

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Wired

22 Jan 10:20

Les 8 trucs à savoir sur Windows 10

by Korben

Faut que je vous avoue un truc. J'ai toujours aimé Microsoft et plus particulièrement Windows. Ça se bidouillait bien, y'avait souvent des failles sympas avec lesquelles jouer, et surtout des tas de softs à tester dans tous les sens. ;-)

Et même si tout le monde a craché sur Windows 8 parce le bouton Démarrer avait sauté, et qu'il fallait faire 2 fois plus de clics pour avoir le même résultat qu'avec un Windows 7, c'était quand même un bon OS. Ce qui important à mes yeux pour un système d'exploitation, c'est sa stabilité.

Et Windows 8 et 8.1 ont rempli leur contrat sur ce point. Le reste, ça se customise alors on s'en fout un peu. Mais Windows 8 a fait flop, et face à l'avancée d'OSX et de distribs grands publics comme Ubuntu, il fallait réagir !

Alors ils se sont dit quoi chez Krosoft ? Sortir Windows 9 ?

NEIIIIN, Apple, ils en sont déjà à la version 10. (Oui, le X de OSX ça veut dire 10). Sortons plutôt directement Windows 10 ! (En vrai c'est à cause d'un bug rigolo)

J'utilise Windows 10 depuis quelques mois et comme c'était une version dev assez précoce, il n'y avait pas vraiment de différence avec Windows 8. Mais hier a eu lieu la grande messe de MS pour présenter le futur de ce que sera Windows 10.

Voici donc les quelques nouveautés qui ont été présentées :

  • Windows 10 sera multiplateforme. Que ce soit sur votre tablette, votre PC ou votre téléphone, l'OS sera le même.

phone-laptop

  • Si vous êtes sous Windows 8.1, 8, Windows 7 ou Windows Phone 8.1, vous pourrez faire la mise à jour gratuitement vers Windows 10. Mais après on ne sait pas si ça passera en payant ou pas. Comme ils présentent Windows comme un "service", je suspecte un abonnement mais il est aussi possible que Microsoft distribue gratuitement son OS et ses mises à jour ou en mode payant comme c'est le cas depuis toujours. Ca a été confirmé par Microsoft, il n'y aura pas d'abonnement.
  • Cortana, le clone de Siri pour Windows Phone sera intégré dans Windows 10 et sera donc disponible aussi sur PC. Vous parliez déjà à votre ordinateur ? Celui-ci va enfin vous répondre. Ce qui est intéressant avec ce système, c'est que j'imagine qu'on va pouvoir développer tout un tas d'outils et de scripts autour pour accélérer nos usages quotidiens.

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  • On le dit depuis des années : "Aux chiottes Internet Explorer !". Et bien Microsoft nous a écoutés et va abandonner (ou transformer ?) IE au profit d'un nouveau navigateur apparemment plus respectueux des standards du web. Son nom de code : Spartan. Je pense que c'était important pour MS de se débarrasser de cette boule puante d'IE et de repartir sur des bases saines pour reprendre des parts de marché à Chrome. (Firefox reste en toute subjectivité le meilleur navigateur du monde)
  • Dans Spartan, on peut annoter des pages web et les partager, et disposer aussi d'une "reading list" comprenez une zone de bookmarks à lire plus tard. Sympa !

spartan

  • Si vous êtes joueur, vous pourrez vous connecter à vos amis Xbox et même jouer avec eux via un système de streaming du jeu directement depuis votre PC. Un peu comme ce que propose Sony avec la PlayStation Now.
  • En marge de l'OS, Microsoft a aussi mis au point une application "Surface Hub" qui va permettre de transformer n'importe quel écran tactile en tablette / écran partagé / tableau blanc / zone de visio-conf. C'est basé sur OneNote. Pratique pour les salles de réunion au boulot.
  • Le truc qui m'a le plus intrigué, c'est leurs lunettes HoloLens qui vont permettre d'enrichir le monde qui nous entoure avec de la réalité augmentée. Eux appellent ça des hologrammes. Ça fait plus futuriste ;-). Pour fonctionner, le HoloLens se base sur votre regard, vos gestes et votre voix et va vous permettre de manipuler des interfaces virtuelles dans l'espace, ou de créer en 3D en n'étant pas devant votre écran.

holo-hero

  • C'est un peu l'effet de "Magic Waouh" de la fin de la conf de MS et même si ça veut dire se trimballer avec de grosses lunettes couvrantes sur la tronche, ça peut quand même être super cool. J'ai vraiment très très hâte de tester ça en vrai. Voici une démo en vidéo :

Je pense que ce sera un bon cru encore une fois, même si certaines de ces promesses (OS multi-device, Xbox en streaming...etc.) avaient déjà été faites avant le lancement de Windows 8.

La mise à jour gratuite est aussi une bonne stratégie pour Microsoft, car elle va permettre de réduire la fragmentation de son parc. Pas de date officielle de sortie pour le moment, mais la version RTM sera probablement disponible en octobre de cette année comme d'habitude. Hâte de tester ça.

Je vous en reparlerai surement au cours de l'année.

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Les 8 trucs à savoir sur Windows 10 ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

22 Jan 10:11

Google veut (toujours) devenir un MVNO aux États-Unis

by Romain Ch.

Google pourrait avoir conclu des accords avec deux opérateurs téléphoniques américains afin d’utiliser leurs réseaux, et proposer ses propres forfaits. Et ce n’est pas la première fois qu’on entend parler d’une arrivée prochaine du géant sur ce marché.

Google Logo 2010

Google fait ce qui lui chante. D’abord moteur de recherche, puis système d’exploitation pour mobiles (Android), et bientôt votre copilote en voiture, le géant de l’Internet américain se veut aujourd’hui opérateur téléphonique. D’après le Wall Street Journal, qui cite des sources proches du dossier, Google aurait conlu ou serait sur le point de conclure des accords avec deux opérateurs déjà en place : Sprint et T-Mobile. Ces derniers sont respectivement 3e et 4e opérateurs aux États-Unis, derrière Verizon et AT&T qui détiennent les trois quarts du marché.

Évidemment, Google ne veut pas créer son propre réseau, mais s’appuyer sur les infrastructures déjà en place et devenir un MVNO (Mobile Virtual Network Operator). Et les deux parties seraient bénéficiaires de l’accord puisque Google s’éviterait d’immenses frais d’infrastructures, tandis que les deux opérateurs ont un intérêt financier à laisser Google exploiter leurs réseaux. Pour l’heure, il ne s’agit encore que de bruits de couloirs puisque rien n’a été officialisé, mais il se dit que les accords pourraient être négociés en fonction du nombre d’utilisateurs que Google parvient à rallier.

Les détails de ce que compte proposer Google ne sont pas clairs, mais on parlait d’offres Triple Play en avril dernier, alors qu’une rumeur similaire évoquait des discussions avec Verizon. Il est de toute façon clair que Google s’intéresse de près à la téléphonie mobile, d’autant qu’il lorgnerait sur Softcard, un spécialiste du paiement sans contact via mobile, et qui est justement en partie détenu par AT&T.

21 Jan 18:22

AirBoard – La petite carte qui va vous propulser dans le monde des objets connectés

by Korben

Si vous vous intéressez un peu à la domotique, au Do It Yourself et aux objets connectés, voici un joli projet baptisé le AirBoard qui je pense va vous intéresser. Il s'agit d'un petit ordinateur conçu sur le même délire qu'Arduino et 100% compatible avec lui, qui va vous permettre de prototyper tout un tas de trucs "intelligents" (objets connectés) ou de miner votre maison pour la domotique.

Le AirBoard est totalement ouvert, sous licence Creative Commons, et le projet kickstarter a démarré en trombe. En terme de spec, le AirBoard mesure 4 cm sur 2,5 cm, communique avec les protocoles suivants : Bluetooth 2.1 , Bluetooth BLE 4.0 , WiFi  et XBee et dispose d'un mode de programmation OTA (Over The Air) de 5 secondes qui permet de lui envoyer votre code à distance.

Autrement, sa mini batterie permet une autonomie de 3 ans en veille, ce qui est loin d'être ridicule.

C'est un beau projet, qui plus est, français, que je vous invite à soutenir. Je pense que vous allez bien vous éclater avec ça.

Plus d'infos ici.

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : AirBoard – La petite carte qui va vous propulser dans le monde des objets connectés ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

21 Jan 18:16

En Corée du Sud, Apple fait peur à Samsung

by Greg

Jamais un fabricant étranger n’avait fait aussi bien en Corée du Sud ! En effet, selon le cabinet Counterpoint Research, Apple a réussit à atteindre 33% de parts de marché en novembre 2014 sur les terres de Samsung, dont la part de marché a d’ailleurs reculée à 46% contre 60% lors les mois précédents. Apple prend même la seconde place devant LG, second gros constructeur du pays.

Apple-Korea-Nov-2014

Pire, au Japon sur la même période, Apple domine outrageusement le marché avec 51% contre Sony, numéro 2, mais loin derrière avec seulement 17% de parts de marché, Samsung étant dans les poursuivants avec 6% ! En Chine, la situation est un peu différente avec Xiaomi (18%) et Lenovo (13%) en tête. Apple troisième avec 12% reste toujours devant Samsung quatrième avec 9% du marché.

Apple-Japan-Nov-2014

20 Jan 16:27

123456 reste le mot de passe le plus utilisé en 2014

by Pierre

Ce n’est pourtant pas compliqué d’avoir un mot de passe au minimum sécurisé. Quand nous disons un minimum, c’est à dire un mot de passe qui n’est pas 123456 ou juste password. Pourtant, ce sont toujours les plus utilisés sur le web.

Screenshot

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20 Jan 16:12

En 2014, c’est Google Play Store qui a la plus grosse

by Greg

Depuis 2010, Apple était leader dans le nombre d’applications disponibles sur son App Store, et Android était jusque-là derrière.

En 2014, le Google Play Store est passé devant la pomme, selon les études menées par l’entreprise AppFigures, avec 1.43 million d’applications contre 1.21 million ! Une forte augmentation qui peut se justifier par une communauté de développeurs beaucoup plus importante, 400 000 sous Android contre 280 000 développeurs pour iOS. Malheureusement selon les derniers chiffres, ces développeurs sous Android ne gagnent pas encore autant d’argent que chez Apple. D’ailleurs quantité ne veut pas forcément dire qualité…

apps (1)

19 Jan 15:45

Samsung Galaxy S6 : beaucoup de verre, un peu de métal et un nouveau capteur d’empreintes digitales

by Gaël

À moins de deux mois de sa présentation officielle au Mobile Word Congress, les rumeurs affluent concernant le Galaxy S6. Derniers éléments connus en date, des précisions quant à son design et son capteur d’empreintes digitales.

Galaxy S5
Ces nouvelles rumeurs proviennent directement de Corée du Sud, et plus précisément du site DDaily, qui affirme s’être entretenu avec un dirigeants de Samsung. Ce dernier aurait donné quelques indications supplémentaires sur le design du Galaxy S6. Contrairement aux précédents modèles, le Galaxy S6 ne serait pas en plastique mais serait recouvert de verre à l’avant et à l’arrière du téléphone, reliés par une bande métallique sur les côtés. Principale conséquence, le Galaxy S6 n’aurait pas de coque amovible et il serait donc impossible d’ôter sa batterie. Samsung s’inspirerait donc du design des derniers Xperia Z3 ou de l’iPhone 4. Un choix très étonnant de la part de Samsung, qui avait opté pour une coque en plastique amovible sur le Galaxy S5 et une coque en faux cuir, amovible elle aussi, pour ses Galaxy Note 4. Les premières rumeurs concernant le Galaxy S6 indiquaient toutefois que Samsung avait beaucoup travaillé sur le design de son prochain porte-étendard et créé une rupture avec ses anciens modèles. Il semble que le Galaxy S6 en soit l’incarnation.

Toujours dans les rumeurs, le toujours très bien informé SamMobile a obtenu de nouvelles informations concernant le capteur d’empreintes digitales du S6. Selon le fansite, Samsung a bien pris en compte les nombreuses critiques concernant le capteur présent sur les Galaxy S5 et Galaxy Note 4. Ces capteurs d’empreintes digitales avaient un gros défaut : il était nécessaire de faire glisser son doigt sur le bouton physique pour l’empreinte soit reconnue. Et, du fait de ce glissement, le capteur reconnaissait mal l’empreinte digitale en question. Avec le Galaxy S6, Samsung devrait introduire un capteur d’empreintes qui ne nécessitera plus de faire glisser son doigt, mais simplement de le poser sur le bouton physique pour que le doigt soit reconnu. Il devrait ainsi avoir un fonctionnement similaire aux iPhone 5S ou iPhone 6 et reconnaître bien plus facilement l’empreinte digitale de son propriétaire, simplement en posant et en retirant son doigt du capteur. Ce capteur sera par ailleurs toujours situé sur le bouton physique avant du smartphone. Et, précise SamMobile, ce bouton physique devrait être « bien plus gros comparé à celui du Galaxy S5 et du Note 4 ». Dernier point concernant ce capteur, l’aspect logiciel sera identique aux précédents appareils du coréen. Il faut comprendre par là qu’il permettra toujours de déverrouiller son smartphone, de signer en ligne, de se connecter à son compte Samsung, de passer en mode privé et enfin de payer avec PayPal. Samsung ne semble pas avoir inclus d’autres nouveautés logicielles.

Rappelons pour terminer que l’annonce du Galaxy S6 est attendu pour le début du mois de mars prochain, à l’occasion du Mobile World Congress. Samsung devrait également profiter de l’événement pour dévoiler une nouvelle smartwatch ronde installée sous Tizen.

19 Jan 09:42

Galaxy S6 : un capteur d’empreintes digitales tactile ?

by Membre rédacteur

Samsung a introduit avec le Galaxy S5 sa propre interprétation de la reconnaissance d’empreintes digitales. Malheureusement, le capteur choisi par le constructeur laisse un peu à désirer face au Touch ID développé par Apple.

finger-print-scanner-galaxy-s-5

Cela devrait changer avec le Galaxy S6. D’après SamMobile, un site généralement bien informé, Samsung pourrait intégrer dans son futur navire amiral un capteur d’empreintes digitales ne nécessitant plus que de poser le doigt sur le bouton d’accueil. Actuellement, il faut réaliser un geste du doigt, une technique qui peut générer des erreurs d’interprétation dégradant l’expérience utilisateur.

Lire la suite..

18 Jan 14:05

Les 10 jeux Android à surveiller de près en 2015

by Gaël

Après une année plutôt riche en bons titres sur mobiles, que ce soit en termes de jeux originaux ou de portages, il est temps de se pencher sur le cas de l’année à venir. Entre les innombrables clones de Clash of Clans que l’on ne manquera pas de se taper et les nouveaux free-to-play sans âme, il y a quelques perles à surveiller de près. En voici une petite liste.

Jeux à suivre

Super Meat Boy Forever

Si vous ne connaissez pas Super Meat Boy, c’est que vous êtes passés à côté d’un des meilleurs jeux de plateforme du XXIe siècle. Et j’exagère à peine. Dans la peau d’un bout de steak saignant, le but du jeu est de parvenir d’un bout à l’autre de niveaux de plus en plus en durs et de plus en plus exigeants. La version mobile, annoncée l’année dernière, devrait reprendre le principe du jeu de plateforme à la difficulté relevée, mais va l’adaptera aux smartphones en prenant la forme d’un runner : il faudra gérer les sauts, mais Meat Boy courra tout seul. Sortie prévue dans le courant de l’année (et plus probablement à la fin de l’année), si tout se passe bien.

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The Room 3

The Room premier du nom était l’un des meilleurs jeux de 2013. The Room 2 était l’un des meilleurs jeux mobiles de 2014. Alors qu’est-ce qui pourrait empêcher The Room 3 de figurer dans le classement des jeux les plus attendus de 2015 ? On ne sait pas grand-chose pour l’instant de ce troisième opus si ce n’est que ce sera toujours un jeu de puzzle et de résolution d’énigmes et que sa sortie est prévue pour le printemps prochain sur iOS et quelques semaines plus tard sur Android. C’est déjà pas mal.

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Curious Expedition

Faster Than Light, vous connaissez ? Il s’agit d’un Rogue-like dans l’espace dans lequel il faut traverser plusieurs systèmes planétaires afin de rapporter un objet à son QG. Et bien Curious Expedition, c’est plus ou moins la même chose, mais sur Terre et dans les territoires inexplorés du XIXe siècle (ce qu’on devine être l’Amérique du Sud ou l’Afrique). Le but est ici de ramener un trésor à la civilisation. Pour ce faire, il va falloir explorer des environnements générés aléatoirement, gérer les personnalités de son groupe afin de répondre aux besoins de chacun et bien entendu faire face à des monstres ou des populations locales plus ou moins dangereux. Curious Expedition est actuellement disponible sur PC en accès anticipé. Mais le jeu devrait sortir sur tablette dans le courant de l’année 2015, si le jeu sur PC se vend bien. On croise les doigts.

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The Deer God

Développé par des habitués des jeux mobiles, Crescent Moon Games, The Deer God est présenté de façon inhabituelle par ses concepteurs. Jugez plutôt : “The Deer God est un superbe jeu d’aventure en 3D et en pixel art qui va mettre en question votre religion et au défi votre dextérité”. Et d’après les premiers retours des joueurs, The Deer God s’annonce réussi et envoûtant. On y incarne un cerf (mais aussi d’autres animaux) perdu dans un monde étrange à l’ambiance captivante. Il faut alors explorer l’environnement et échapper à des ennemis mystérieux. The Deer God est essentiellement un jeu de plateforme, mais il cache également un jeu d’aventure où la mort joue un rôle central. Arrivée de cette curiosité prévue pour la fin de l’année sur Android.

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Mini Metro

Les transports en commun de votre ville sont mal foutus ? Vous pensez que la station des Halles a été conçue par des démons du septième cercle des Enfers ? Alors il est temps de vous mettre à Mini Metro. Le joueur commence avec trois stations de métro non connectées entre elles. Le but est alors de dessiner des routes entre ces stations afin de les connecter. Au fur et à mesure que la population de la ville grandit, de nouvelles stations apparaissent en parallèle des besoins des usagers. Au joueur de faire en sorte que son réseau ferré soit le mieux organisé possible… Jusqu’à ce qu’une multitude de problèmes enraye le tout et amène au game over. Mini Metro est déjà jouable, que ce soit dans un navigateur web ou sur Steam. Un portage sur mobile (iOS et Android) est toutefois prévu pour le milieu de 2015.

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Submerged

En gestation dans les locaux des développeurs de Epoch 1 et 2 (un shooter futuriste sans grande finesse), Submerged est un jeu d’aventure utilisant l’Unreal Engine 4. On ne sait pas grand-chose du jeu pour l’instant si ce n’est qu’on y incarnera Miku et son petit frère Taku dans un monde post-apocalyptique où le niveau de la mer a considérablement augmenté et a submergé les terres. Le premier trailer laisse entrevoir une musique somptueuse et une ambiance légèrement déprimante. Sortie prévue sur smartphone et tablette pour la fin de l’année, après un passage sur PC.

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Minecraft Story Mode

Les joueurs sur Android connaissent bien Telltale. Le développeur américain nous a habitués à des adaptations de jeux d’aventures très réussies, comme The Walking Dead ou plus récemment Game of Thrones. Plus surprenant, Telltale a annoncé il y a quelques semaines travailler sur un mode “Story Mode” de Minecraft. On sait peu de chose de ce mode de jeu si ce n’est que ce sera un jeu à part situé dans le monde cubique de Mojang. Pour les plus curieux et les anglophones, un petit site officiel donne quelques détails sur les intentions des développeurs. Le message est clair, ces derniers ont avant tout pour but de ne pas dénaturer le jeu de base. On en saura plus au cours de l’année, puisque le jeu est prévu sur Android et iOS avant la fin de 2015.

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Subterfuge

Subterfuge est un jeu uniquement multijoueur et en ligne, mais complètement adapté aux smartphones. Ici, le joueur contrôle une base située sur un petit territoire. Le but est alors de remporter la partie, c’est-à-dire de ne pas voir sa base détruite par d’autres joueurs d’une même partie et d’être le dernier survivant. Pour ce faire, et comme un dans un jeu de stratégie classique, il est nécessaire de collecter des ressources, de produire des armes et bien sûr d’attaquer les bases adverses. La particularité de Subterfuge, c’est que la dimension sociale est primordiale. Il faut donc continuellement discuter avec les joueurs des bases alentours pour entretenir des relations diplomatiques. Ces discussions permettent de forger des alliances, de lancer des attaques coordonnées, mais aussi de gagner du temps avant d’appliquer la célèbre tactique (anglaise, naturellement, diront nos lecteurs férus d’Histoire) du coup de poignard dans le dos. Subterfuge est actuellement en phase de bêta-test et devrait sortir dès l’été prochain sur iOS et sur Android. On a hâte.

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Love you to Bits

Si votre petite-amie robot venait à tomber en panne, que feriez-vous ? Comme tous les héros de jeux vidéo, vous traverseriez l’univers à la recherche de pièces détachées pour la faire fonctionner à nouveau. Et c’est exactement ce que propose Love you to Bits, un jeu d’aventure en point and click qui nous emmènera sur une douzaine de planètes différentes à explorer et à croiser autant de races extraterrestres plus ou moins belliqueuses. Le premier trailer du jeu laisse entrevoir des graphismes en 2D très séduisants et une musique qui pose très bien l’ambiance. Et puis quand on sait que c’est Alike Studio qui est derrière (une partie des auteurs de Tiny Thief), on a plutôt confiance.

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Banner Saga 2

Exigeant, dur et émotionnellement éreintant, le premier Banner Saga avait su séduire une foule de joueurs qui n’avaient pas peur d’effectuer des choix moraux engageants. Et c’est peu dire que l’on attend sa suite, de façon à savoir enfin comment notre peuple de Vikings affamés va survivre à l’invasion Dredge. Le premier trailer de Banner Saga 2 laisse d’ailleurs peu de doute à son sujet : il sera encore question de morts atroces, de fines négociations, de stratégie au tour par tour et de choix cornéliens crève-cœur. Vivement.

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16 Jan 21:08

Monument Valley a coûté plus de 800 000 dollars à développer

by Gaël

UsTwo, les développeurs de l’excellent Monument Valley, ont mis en ligne une très belle infographie sur leur jeu mobile. On y apprend notamment le coût de développement du jeu, ce qu’il a rapporté et la répartition des ventes par OS et par pays.

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L’information la plus impressionnante de cette infographie est sans conteste le coût de développement de Monument Valley. Le jeu de base, développé en 55 semaines (un an et quelques semaines), a en effet coûté 852 000 dollars au studio. Son extension, Forgotten Shores, développée en 29 semaines (environ 6 mois), a quant à elle coûté 549 000 dollars. Des chiffres très élevés compte tenu de l’état du marché des jeux mobiles, qui souffre d’un énorme taux de piratage. Monument Valley a toutefois été rentable puisque sa commercialisation a généré un chiffre d’affaires de l’ordre de 5,8 millions de dollars.

Dans le détail, on apprend que le jeu a été acheté 2,4 millions de fois sur les boutiques d’application d’Apple, de Google et d’Amazon. Un temps gratuit sur l’App Shop d’Amazon, le jeu a été téléchargé à cette occasion plus de 407 000 fois. Sur les 5,8 millions de dollars de chiffre d’affaires qu’ont généré les ventes, 81,7 % proviennent d’iOS tandis que Google Play ne représente que 13,9 % et Amazon 4,3 %. Ce n’est pas une surprise, il y a quelques jours, UsTwo annonçait que le taux de piratage de Monument Valley sur Android approchait les 95 %.

Derniers chiffres intéressants, seuls 50 % des joueurs ont terminé le jeu (qui n’est pourtant ni très long, ni très difficile) et seulement 24 % des acheteurs du jeu de base ont acheté l’extension Forgotten Shores. On vous laisse apprécier l’infographie ci-dessous.

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16 Jan 21:04

Samsung : les Galaxy A3, A5 et A7 seront bien commercialisés en France

by Romain Ch.

La gamme Galaxy A de Samsung ne devrait plus mettre longtemps avant de s’afficher dans nos magasins français. La firme a en tout cas annoncé leur disponibilité prochaine à la presse.

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Samsung vient de transmettre un communiqué de presse confirmant l’arrivée de la gamme Galaxy A en France prochainement. Cette gamme est composée de mobiles dont on a beaucoup parlé dernièrement : les A3, A5 et A7. Nous avons d’ailleurs eu l’occasion de les prendre en main lors du CES pour nous en faire un premier avis. Nous aurons également l’occasion de les tester les prochaines semaines.

En savoir plus : Prise en main des Samsung Galaxy A3 et A5 | Le Galaxy A7 est officiel

Samsung ne donne pas de date officielle de lancement, ni même d’indication sur les tarifs auxquels ils seront proposés. Les informations et visuels transmis par le constructeur laissent penser que les A3 et A5 seront proposés en quatre coloris (or, blanc, argent, bleu nuit), tandis que le A7, le plus haut de gamme, le sera sera en bleu nuit et en blanc. On y trouvera aussi un Mode Privé, sur lequel Samsung met l’accent et que nous aurons l’occasion d’essayer, et qui permet de « sécuriser tous ses contenus souhaités très facilement et rapidement. Il suffit de sélectionner son fichier et de choisir dans le menu déroulant «  Déplacer dans Privé ». Ainsi seul l’utilisateur pourra y avoir accès et le visualiser lorsque le Mode Privé est activé (via un code, mot de passe ou dessin de déverrouillage) ».

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16 Jan 19:59

Sur l’année 2014, il se sera vendu plus de 18 millions de Smartphones en France

by Greg

La Mobile Marketing Association France a publié la huitième édition du Baromètre trimestriel du Marketing Mobile, en partenariat avec comScore, GfK et Médiamétrie.

En France sur l’année 2014, il se sera vendu plus de 18 millions de Smartphones (soit +15% par rapport à 2013) et plus de 3 mobiles vendus sur 4 sont désormais des mobiles « intelligents ». Avec plus de 30 millions de Français (55,6% des Français) désormais mobinautes (soit 4,6 M de plus qu’il y a un an), le mobile devient un véritable media de masse.

Que ce soit sur Tablette ou sur Smartphone, les parts de marché montrent clairement une concentration sur une course à trois où Google, Apple et Microsoft trustent désormais plus de 92% du marché. Ces trois grands acteurs viennent chacun de passer un seuil symbolique avec pour la première fois plus de 3 millions d’utilisateurs de Windows Phone, plus de 7 millions d’iPhone et plus de 20 millions de téléphones Android !

Baromètre-Mobile-Marketing-Association-France---Infographie---T3-2014

15 Jan 23:14

Le Thalmic Myo, une nouvelle interface homme-machine

by bactisme

Nous avons reçu à la rédaction un objet que j’attendais depuis longtemps. Il s’agit du Thalmic Myo, un projet qui était en précommande en 2013 et qui nous a été livré il y a quelques jours (tout vient à point à qui sait attendre). Étant passionnés d’interactions, de réalité augmentée, d’objets connectés et surtout d’objets venus du futur, nous nous devions de tester cette interface d’un nouveau genre.

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Myo, est un bracelet qui se met autour du bras. Il comprend un accéléromètre, un gyroscope, il calcule son orientation et contient des petites électrodes qui sont au contact de votre peau et qui vont capter les mouvements de vos muscles.

Thalmic Myo

Les électrodes captent l’intensité électrique

Côté design, dans un monde où nous aurions tous un bracelet dans ce genre, il serait “portable”. Il arbore un look plutôt futuriste, donc. Le bracelet doit serrer un peu pour que les capteurs soient bien en contact avec le bras. Il n’est pas désagréable à porter, mais au bout de quelque temps, l’enserrement et son poids deviennent inconfortables. C’est un problème, surtout si l’on doit le porter à longueur de journée.

La promesse

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La promesse est celle d’un nouveau moyen d’interface Homme-machine. Tout simplement. Une interface qui comprendrait naturellement les gestes que vous faites, et une interface qui surtout se porterait au lieu de “s’attraper”.

Plus besoin donc,  de :

  • sortir son smartphone,
  • le déverrouiller,
  • lancer l’application,
  • Faire une action.

Des gestes assez naturels, comme un simple lever de petit doigt permettent donc de dire à son thermostat “j’ai froid” ou au film sur Netflix de s’arrêter ou à la musique sur Spotify de monter le volume d’un cran.

Ce bracelet se connecte donc à votre smartphone ou votre ordinateur (un dongle Bluetooth est fourni) et, via des connecteurs, permet de contrôler une multitude de choses. Une application “tasker” pour Android permet même de programmer ses propres tâches pour chaque action.

Est-ce que cela marche ?

J’ai essayé de faire une petite vidéo en mettant côte à côte mes actions et leur détection par le bracelet.

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Les muscles en question

Les muscles en question

Nous disposons encore de peu de mouvements : le pinch (pincement de doigt), les mouvements droite-gauche, le poing fermé et enfin la main ouverte. Certain fonctionnent moins bien que d’autres, à l’image du mouvement de main ouverte, souvent l’un des moins bien reconnus. Les mouvements doivent être plus francs que dans la vidéo promotionnelle.

Je dirais donc que la fonction principale, qui est de détecter la tension des muscles sous-jacents est plutôt maitrisée ; celle-ci fonctionne avec un bon taux de réussite. Le logiciel desktop permet de créer un profil de calibration, qui fait augmenter sensiblement l’efficacité du système à un bon 80 %.

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Les électrodes

 

Les usages

Les connecteurs disponibles

Une des promesses est de “remplacer” le smartphone, ou plutôt de le compléter. Le smartphone sert à la configuration mais les actions les plus courantes sur une taâche (arrêter, relancer, revenir en arrière) sont désormais à portée de bras.

Pour cet usage, beaucoup de connecteurs existent et sont fournis sur un Myo Market. Contrôler sa musique, les mains sales, dans la cuisine, est donc aujourd’hui possible. Sans rien avoir à sortir ni devoir se déplacer, c’est même plutôt grisant.

Cependant, ces quelques secondes gagnées valent-elles vraiment la peine de poser un bracelet sur son bras en permanence ? Est-ce que l’on peut vraiment porter un bracelet comme celui-ci en permanence, sans fatigue et sans gène ? Je ne pense pas.

D’autant que plus les activités sont diversifiées, plus le risque de fausses détections augmente. Si je porte le bracelet en tapant sur le clavier, une frappe énergique déclenche régulièrement le mouvement permettant de déverrouiller le bracelet et l’entrée de commande.

Le jeu, la réalité augmentée

Un usage excellent serait la combinaison du Myo avec des jeux type kinect ou en réalité augmentée avec l’Oculus Rift. Ce bracelet y apporterait une précision et une interface naturelle.

Lien Youtube

Bien que Minecraft et Word of Tank soient disponible en connecteur, le Myo n’ajoute pas vraiment à l’aspect immersif. En fait, les usages les plus probants sont ceux qui utilisent aussi les mouvements de l’appareil capturés avec le gyroscope : serrer le poing et tourner plus ou moins le poignet pour régler la température, par exemple.

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Dans le futur, imaginons un instant que la capture des intensités musculaires fonctionne parfaitement. La position des doigts par rapport à la main est connue, la position du bras aussi : l’ordinateur et les interactions telles que montrées dans Minority Report sont complètement possibles.

Le Thalmic Myo est actuellement disponible au prix de 199 dollars, à réserver à un public de développeurs et de « bidouilleurs ».

15 Jan 12:33

Project ARA : un nouveau prototype, de nouveaux modules et une sortie prévue cette année… à Porto Rico

by Gaël

Comme prévu, Google ATAP a tenu une conférence hier à propos de l’avenir de Project ARA. Une conférence riche en annonces et en images qui a permis de faire le point sur l’avancée du projet.

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Paul Eremenko, le responsable de Project ARA, n’a pas déçu hier, lorsqu’il a fait le point sur Project ARA. Depuis l’année dernière on ne savait en effet pas trop ce que devenait le projet de smartphone modulaire de Google. On a appris hier que le projet avançait bien. Paul Eremenko a en effet dévoilé la deuxième version du smartphone modulaire ou plutôt un second prototype nommé Spiral 2.

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Ce nouveau prototype présente plusieurs nouveautés par rapport au précédent. La principale concerne l’annonce de 11 nouveaux modules, encore à l’état de prototypes. On ne connaît pas exactement leur nature. Il est toutefois possible de voir dans la vidéo ci-dessous un module embarquant une caméra thermique, un autre avec une boussole, un thermomètre, etc. À terme, Google prévoit toutefois de sortir une vingtaine de modules lors de la commercialisation du téléphone.

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Contrairement au premier prototype du smartphone modulaire, les aimants qui maintiennent les modules sur le squelette — la base du téléphone sur lequel sont attachés lesdits modules — ne sont plus présents sur le squelette même mais intégrés directement aux modules. Principale conséquence, il ne sera plus possible de créer ses propres modules avec une imprimante 3D. Il sera toutefois possible de les personnaliser à l’aide d’une imprimante traditionnelle afin de leur conférer un design unique. Google en a d’ailleurs profité pour prendre une série de très belles photos de ces modules et du deuxième prototype du Project ARA.

Et pour l’avenir alors ? Paul Eremenko a d’abord confirmé que son équipe travaillait sur un troisième prototype dont la sortie est prévue pour cette année. En l’état, le Spiral 2 est capable de passer des appels en 3G. Le Spiral 3 devrait, lui, être capable de recevoir la 4G et devrait ainsi être équipé de meilleures antennes. Comme le montre l’agenda de Project ARA que l’on peut voir ci-dessous, l’équipe de développement travaille toujours sur la boutique en ligne d’achat de module, sur la version d’Android qui équipera le téléphone (une version d’ailleurs prise en charge par une équipe externe) et sur une nouvelle version du MDK.

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Paul Eremenko se garde toutefois bien d’annoncer encore une quelconque date de sortie et un prix pour le grand public. La conférence d’hier a toutefois été l’occasion d’apprendre que le Project ARA sera d’abord lancé à Porto Rico, dans les Caraïbes. Ce seront en effet les habitants de l’île qui seront les premiers capables de mettre la main sur l’un de ces smartphones. Selon le site Mashable, Google a choisi Porto Rico pour tester le marché parce que « ce pays possède une population incroyablement diversifiée qui possède autant d’utilisateurs de feature phone que de smartphones“. Les téléphones modulaires de Google seront d’ailleurs mis en vente par deux opérateurs locaux, OpenMobile et Claro, et seront vendus dans des magasins ambulants ressemblant à, je cite, ‘des food trucks‘. Le prix variera d’ailleurs en fonction des modules choisis par les utilisateurs. Google testera donc le marché là-bas et décidera en fonction de la demande locale de la date de lancement mondial pour les marchés occidentaux. Si lancement mondial il y a…

Droid Life

14 Jan 17:57

En 2014, le Play Store a laissé l’App Store sur place

by Romain Ch.

Entre la fin 2013 et la fin 2014, le Play Store a encore enregistré une énorme croissance, ce qui lui vaut aujourd’hui de dépasser « largement » l’App Store en nombre d’applications, mais aussi en nombre de développeurs. Et la tendance ne risque pas de s’inverser.

google play

Une croissance impressionnante

D’après un rapport publié par Appfigures, la croissance du Play Store a été exceptionnelle en 2014 et a permis au magasin d’applications de Google de surclasser son principal rival : l’App Store. Si en 2013, c’est Apple qui tenait la barre à tous les niveaux ou presque, le rapport de force est aujourd’hui inversé, et tend à s’accroître pour l’année 2015. La firme de Cupertino n’a pourtant pas démérité, et a vu son nombre d’applications passer d’environ 760 000 en 2013 à environ 1,21 million un an plus tard. Sur cette même période, le nombre d’applications présentes sur le Play Store est passé d’environ 730 000 à environ 1,43 million.

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Vous l’aurez compris, qu’il s’agisse d’Apple ou de Google, leurs magasins d’applications enregistrent des croissances folles : plus de 50 % pour Apple sur un an, et 100 % pour Google au même moment. Une croissance qui s’explique de plusieurs façons. Il y a d’abord le nombre de développeurs, qui sont définitivement plus nombreux sur Android qu’ils ne le sont sur iOS, alors qu’en 2011, Apple menait largement les débats. Aujourd’hui, le Play Store enregistre près de 400 000 développeurs, alors qu’ils ne sont « que » 280 000 sur l’App Store.

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Plus encore que le nombre de développeurs, c’est le mode de fonctionnement de ces magasins d’applications qui creuse l’écart. Google, par exemple, permet aux développeurs de publier leurs applications quasi librement, et ne vérifie qu’après si celles-ci remplissent les conditions de la charte des développeurs. Chez Apple, cela ressemble plus à contrôle de douane. Pour espérer publier son application, elle passe d’abord entre les mains de la firme, qui vérifie qu’elle soit conforme avant de ne décider ou non de sa publication.

 

Les mêmes intérêts ?

Il est aussi intéressant de jeter un œil aux différentes catégories d’applications de ces magasins d’applications. On se rend immédiatement compte que les intérêts ne sont pas les mêmes d’un système d’exploitation à un autre. Cela permet également de dresser un premier portrait de l’utilisateur d’Android et de celui d’iOS. Sur l’App Store, c’est la catégorie Business qui connait la plus belle progression avec 128 000 nouvelles applications en un an. Chez Google, cette catégorie Business se porte bien, arrivant dans le top 5 des catégories qui connaissent les plus belles croissances, mais les développeurs – et le public par conséquent – semblent être bien plus attirés par les catégories Jeux et Photographie. Cette catégorie Jeux a d’ailleurs grossi de 125 % en l’espace d’une année.

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L’Amazon AppShop se porte bien

À bonne distance des deux principaux magasins, l’Amazon AppShop vit un développement plutôt serein. Lui qui ne disposait que de quelques applications en 2011 enregistre dorénavant plus de 293 000 applications. Il s’agit d’ailleurs de la deuxième plus belle croissance sur un an (90 %), après le Play Store (environ 100 %). Une croissance qui suit d’ailleurs à peu près le même rythme que celle des développeurs, qui sont maintenant près de 50 000 sur l’Amazon AppShop alors qu’ils n’étaient qu’environ 25 000 l’an passé.

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Appfigures

14 Jan 12:24

Une faille concernant la WebView découverte au sein d’anciennes version d’Android

by Gaël

Une vulnérabilité concernant l’ancienne version de WebView a été découverte au sein d’Android 4.3 et des versions antérieures de l’OS mobile. Google a affirmé ne plus vouloir mettre à jour le module à l’avenir. Mais risque-t-on réellement quelque chose ?

faille de sécurité

La WebView est un composant d’Android présent dans toutes les versions de l’OS mobile. Il s’agit d’un module permettant d’afficher du HTML, du CSS ou d’exécuter du Javascript, bref d’afficher une page web, sans avoir à développer cet affichage soi-même. Jusqu’à Android 4.3, la WebView utilisait une version différente de Webkit, différente en tout cas de celle de Chrome. Depuis Android 4.4, la WebView utilisée provient de Chromium. Il est toutefois possible d’utiliser l’ancienne version de la WebView dans Android 4.4, notamment lorsque le développeur de l’application l’a rendue compatible avec les versions précédentes d’Android.

C’est bien cette ancienne WebView qui nous intéresse ici. Selon le cabinet d’étude spécialisé dans la sécurité Rapid7, Google a non seulement arrêté les mises à jour de l’ancienne WebView mais compte en plus ne plus corriger les éventuelles failles de sécurité. Concrètement, Google va uniquement mettre à jour et corriger tout ce qui concerne la WebView à partir de Android 4.4 et les nouvelles versions d’Android. Google lui-même l’a confirmé à Rapid 7, par l’intermédiaire de l’adresse email security@android.com :

Si la version de WebView affectée date d’avant Android 4.4, nous ne développons généralement pas de patch nous-mêmes, mais nous prévenons nos partenaires du problème rencontré.

Le problème, c’est que Rapid7 trouverait régulièrement des failles ou des vulnérabilités au sein de l’ancienne version de WebView. Et que, affirme Rapid7, Google aurait arrêté de faire ces mises à jour pour des raisons purement commerciales, afin de pousser les utilisateurs à basculer sur des smartphones plus récents dotés des versions les plus récentes d’Android. Ce qui représenterait actuellement plus de 60 % du parc d’utilisateur Android, soit près d’un milliard d’utilisateurs.

Cependant Rapid7 n’indique pas la nature ni la gravité des failles et des vulnérabilités que le cabinet trouve régulièrement au sein de WebView. Dans les faits, que risquent réellement les utilisateurs de “vieilles” versions d’Android ? Nous avons posé la question à Pierre-Olivier Dybman, développeur Android :

« La WebView est toujours un facteur de tourment pour les éditeurs de plateformes logicielles pour deux raisons. La première, c’est que cette dernière se doit d’accepter du contenu exécutable venant de l’extérieur (fichiers Javascript, etc.). La seconde raison, c’est que souvent, des ponts entre la plate-forme et la WebView sont construits afin de permettre à JavaScript d’accéder à des fonctions natives. C’est par exemple le cas sur Android. Par le passé, Google a dû corriger plusieurs failles assez sérieuses et a parfois mis beaucoup de temps à fournir les patchs. Toutefois, aujourd’hui la WebView d’Android 4.3 et moins n’est pas, à notre connaissance, vulnérable à des failles graves et exploitables de façon automatique. Je pense que ce qu’il faut comprendre de la réponse de Google et notamment de l’utilisation du mot “généralement”, c’est qu’à moins que l’on démontre l’existence d’une faille majeure exploitable de façon répétable et à distance, ils ne mettront pas les mains dans le cambouis. »

La dernière solution pour combler ces failles provient des développeurs eux-même. Une partie du code d’Android étant open source, il est tout à fait possible pour des développeurs motivés de coder eux-mêmes des correctifs et de proposer une WebView corrigée. Il est hélas peu probable que ces derniers soient enclins à combler chaque nouvelle faille découverte.

14 Jan 07:30

David Cameron veut interdire les applications de messageries chiffrées

by Elodie

Afin de faciliter le travail des autorités dans leur lutte contre le terrorisme, le Premier ministre britannique, David Cameron, souhaite interdire les applications de messageries chiffrées telles que WhatsApp, Skype, Hangout et iMessage.

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Plus de 50 chefs d’État se sont rendus à Paris pour rendre hommage aux victimes des attentats perpétrés à Paris entre le mercredi 7 janvier, au sein de la rédaction de Charlie Hebdo, et le vendredi 9 janvier, date de la mort des trois terroristes abattus par le RAID et le GIGN.

Réunis à l’Elysée avant le début de la marche, il a été annoncé la tenue d’un sommet international contre le terrorisme le 18 février à Washington, les pays de l’Union Européenne souhaitent travailler de concert mais également mettre les entreprises de l’Internet à contribution pour lutter contre ce fléau.

Ce lundi, David Cameron a donc prononcé un discours dans lequel il affirme vouloir interdire les « espaces surs » sur Internet, comme ces applications proposant un service de messagerie chiffrée et rendant ainsi la tache des autorités beaucoup plus compliquée.

« Dans notre pays, pouvons-nous autoriser un moyen de communication entre des personnes, même des extrémistes … que nous ne pouvons pas lire ? », apportant plus tard lui-même la réponse : « Non, il ne faut pas […] Le premier devoir de tout gouvernement est de garder notre pays et notre peuple en sécurité. »

À cette fin, il souhaite renforcer les prérogatives des agences de renseignement afin qu’elles puissent casser ces codes et accéder aux différentes données collectées. C’est dans le cadre d’un projet de loi sur la surveillance qu’il souhaite faire adopter s’il est réélu que ces mesures doivent être prises.

Ce discours n’est pas nouveau et a déjà été entendu il y a quelques mois dans la bouche du directeur du FBI, James Comey, mais également dans celle du CGHQ (pendant britannique de la NSA). Ils dénonçaient les nouvelles méthodes de chiffrement des mastodontes du web et visaient expressement Apple et Google.
Le FBI souhaitant même imposer une backdoor légale sur iOS et Android, Apple ayant déjà précisé qu’avec ces nouvelles méthodes il était désormais « techniquement infaisable » d’extraire des informations utilisateurs, quand bien même la demande proviendrait de l’administration US, l’entreprise ne stockant plus les clés de chiffrement de ses clients.

« Je crois profondément en la loi, mais je crois aussi que personne dans ce pays n’est au-dessus des lois. Ce qui m’inquiète ici c’est que des entreprises puissent délibérément faire la promotion de quelque chose qui mette les gens au-dessus des lois », prédisait alors James Comey.

Et de poursuivre, « Et si le défi de l’interception de données en temps réel menace de nous laisser dans l’obscurité, […] le chiffrement menace de nous entraîner tous dans un endroit très très sombre ».
Ces mêmes « lieux sombres » aujourd’hui dénoncés par Cameron. Mais comme le note très justement NextInpact, « ce renforcement de l’arsenal anglais » nuira potentiellement à la liberté d’expression, un contresens au slogan « Je suis Charlie » et à la marche républicaine auquel il a participé.

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James Comey, directeur du FBI

« Le Premier ministre ‘oublie’ en effet que cette sécurité ne sert pas uniquement à se protéger du monde du renseignement, mais également des assauts des pirates », note encore le site.
Il ne faut pas oublier que les géants du web ont renforcé la sécurité de leurs services en réponse aux révélations de l’Affaire Snowden sur la surveillance massive de la NSA et des autres agences gouvernementales, qui avaient scandalisée le monde entier.
Aujourd’hui, comme le 11 septembre a donné naissance au Patriot Act, certains craignent que les attentats perpétrés à Paris n’offrent une occasion en or aux différents gouvernements pour faire passer des loi restrictives sur les libertés individuelles, particulièrement sur Internet.

Comment concilier respect de la vie privée et sécurité nationale ? Tel sera l’enjeu à venir.

Il est assez ironique de noter que dans le même temps, Barack Obama a annoncé vouloir édicter de nouvelles lois en collaboration avec le Congrès sur la protection de la vie privée et des données personnelles des Américains, le « Consumer Privacy Bill of Right ». Celles là même présentes sur leurs smartphones et ordinateurs. L’affaire Snowden et Sony Pictures dans le rétro viseur…

« Les grandes compagnies se font pirater. Les informations personnelles des Américains, dont les informations financières, sont dérobées. Et le problème va en s’aggravant, il nous coûte des milliards de dollars » a-t-il estimé.

Un pas en avant, trois pas en arrière ? Et tout ça, pour un monde en paix.

09 Jan 17:57

Qualcomm présente Safe Switch, son Kill Switch amélioré

by Romain Ch.

Qualcomm, par le biais d’un post sur son blog en date du 6 janvier, a annoncé l’intégration de Safe Switch sur ses SoC Snapdragon 810. La fonctionnalité permet notamment d’effacer les données à distance, mais aussi de les récupérer si le mobile est retrouvé.

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L’année 2014 aura été marquée par l’avancée des mesures de sécurité dans le monde du mobile. Plusieurs évènements, tels que la surveillance de la NSA, en sont à l’origine, et les différents logiciels (iOS et Android) se sont dotés de protections supplémentaires. Les utilisateurs d’Android ont aussi l’habitude d’utiliser Android Device Manager, en cas de perte ou de vol d’un mobile, qui permet de verrouiller à distance son smartphone ou d’en effacer le contenu. Mais bien souvent, les voleurs trouvent des parades, peuvent remettre le mobile sur le marché, et laissent en plus un affreux doute à l’ancien propriétaire sur ce que sont devenues les données (messages, photographies, vidéos…). Dans le cas où un mobile est retrouvé, l’action d’effacer les données à distance est irréversible et les personnes n’ont plus que leurs yeux pour pleurer.

Mais c’était sans compter sur Qualcomm, qui a proposé une belle avancée technologique dans le domaine de la sécurité des mobiles. En effet, le fondeur vient de présenter il y a quelques jours – et pour la seconde fois – sa fonctionnalité Safe Switch, qui permet aux utilisateurs « de mettre hors de service leurs dispositifs au cas où ils sont perdus ou volés et les réactiver ensuite dans le cas où ils seraient retrouvés ». Couplé à un logiciel, il permet comme Android Device Manager de bloquer le smartphone à distance, de mettre en place un mot de passe, mais aussi d’effacer le contenu. La véritable nouveauté se trouve ailleurs : il est possible de récupérer les données qui étaient présentes dans le terminal s’il est retrouvé ! Qualcomm ne précise pas exactement le procédé, mais il serait intéressant d’avoir de plus amples informations. S’il est possible de récupérer ses propres données, un spécialiste ne peut-il pas également le faire ?

Cette technologie avait été une première fois annoncée en septembre 2014, mais elle est enfin intégrée aux processeurs Snapdragon 810. Pour l’heure donc, seul le LG G Flex 2 en est équipé, mais tous les flagships de 2015 devraient pouvoir l’utiliser.

Qualcomm

09 Jan 11:32

Norton présente un pantalon et une veste pour sécuriser vos données mobiles

by Auré

Symantec ou plus exactement sa marque Norton en collaboration avec la startup Betabrand ont récemment lancé une campagne de financement participatif pour produire à grande échelle des jeans dotés de filtres bloquant les signaux RFID.

En effet, c’est sur leur propre site qu’une campagne de crowdfunding a été lancée concernant l’élaboration et la prochaine commercialisation d’une paire de jeans d’un genre particulier. D’allure plutôt classique, ces pantalons auraient la particularité d’être équipés de filtres bloquant les signaux RFID censés permettre aux individus malintentionnés de dérober vos données personnelles.

Fabriqués à San Francisco, ces jeans commercialisés à plein tarif à 168$ l’unité serait proposés à partir de 151.20$ à l’occasion de la campagne pour une livraison prévue en février 2015.

Pour inciter les individus à investir Betabrand précise que : le RFID et le NFC peuvent désormais être utilisés pour voler vos informations personnelles, dont les données relatives aux cartes bancaires, directement depuis votre poche. Plus de 10 millions d’identités sont volées numériquement chaque année, et ce sont les outils les plus communément utilisés à des fins criminelles. On estime qu’en 2015, plus de 70 % des cartes bancaires seront exposées à ce type d’attaques.

Outre ce pantalon ayant déjà dépassé ses objectifs de financement, sachez que Betabrand propose également une veste avec un col de tailleur et une capuche amovible moyennant 198$. Malheureusement celle-ci rencontre beaucoup moins de succès.

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08 Jan 21:10

La part de marché d’Android en baisse en France pour la fin de l’année 2014

by Gaël

Le cabinet d’étude Kantar vient de mettre en ligne ses chiffres de répartition des parts de marché des différents OS mobile en France. La seconde moitié de l’année a été très nettement en faveur d’Apple et ses très populaires iPhone 6 et iPhone 6 Plus.

android monde

Kantar vient de publier un nouveau rapport sur les parts de marché des différents OS mobile dans le monde. Ses chiffres, que l’on peut maintenant consulter sur un site dédié (qui ne fonctionne à la rédaction que sur Safari et Internet Explorer, vous êtes prévenus), montrent notamment que les Français ont eu une nette préférence pour les produits Apple sur la fin de l’année. Entre les mois de septembre et novembre 2014, la part de marché d’iOS est en effet passé de 15,4 % à 20,8 %. Une hausse de cinq points qui s’explique par l’indéniable succès des derniers iPhone de la marque à la pomme.

kantar comparaison os france

Cette hausse s’est d’ailleurs faite au détriment d’Android, dont les parts de marché sont passées, toujours en France, de 72,7 % en septembre à 68,3 % en novembre. Kantar explique que cette baisse des parts de marché d’Android est visible partout dans le monde sur la période allant de septembre à novembre 2014. Kantar explique que cela est notamment dû à Samsung, qui a perdu des parts de marché durant la fin de l’année. « Sur la période, Samsung a particulièrement ressenti la pression avec une perte de parts de marché en Europe et aux États-Unis. En revanche la part de Motorola a augmenté grâce aux nouveaux Moto X et G, salués pour leur rapport qualité-prix ».

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Kantar explique enfin qu’Android reste l’OS mobile le plus utilisé en Europe avec une part de marché estimée à 69,9 %. Aux États-Unis, la situation est plus constatée avec une part de marché estimée à 48,4 % en novembre 2014, contre 47,4 % pour iOS à la même période. La Chine, enfin, reste le bastion d’Android avec une présence estimée à plus de 80 %.

Kantar

08 Jan 21:03

KitKat continue son ascension

by Ulrich Rozier

Lollipop est enfin là, et les mises à jour continuent à être programmées. Comme à son habitude, Google communique sur les parts de marché des versions d’Android telles qu’il les a mesurées les premiers jours de janvier. KitKat va bientôt dépasser les 40 % de parts de marché.

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Chiffres de décembre

 

C’est un exercice obligatoire pour Android, qui permet d’avoir une vision précise de la progression des versions les unes par rapport aux autres. Ce que nous pouvons apercevoir, c’est la nette progression d’Android 4.4 alias KitKat avec près de 40 % de parts de marché le mois dernier. Android 5.0 alias Lollipop n’a pas suffisamment de parts de marché pour apparaître dans les radars des développeurs.

Depuis plusieurs mois, Google a mis en place une certification assez stricte. Google ne délivre plus de certification GMS aux appareils qui sortent avec une version d’Android trop ancienne, et depuis le 31 juillet 2014 les nouveaux appareils Android doivent obligatoirement être équipés d’Android KitKat 4.4. Cette approbation de Google qui permet d’avoir sur le terminal les Google Play Services, ce qui inclut toutes les applications Google comme le Play Store ou encore Gmail.

08 Jan 11:50

Intel Compute Stick ou le PC dans une clé HDMI

by Florian L. du Comptoir du H
Ce type de "PC clé HDMI" existe depuis maintenant longtemps, avec des puces ARM et l'OS Android de Google mais voilà que le fondeur de Santa Clara annonce maintenant sa propre version avec une puce Bay Trail et Windows 8.1... [Tout lire]