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Un serveur virtuel privé gratuit, ça vous branche ?
Si vous avez besoin d'un petit serveur pour tester un truc rapide sous Linux, foncez faire un tour sur Instantserver.io.
Ce service en ligne propose des instances Amazon EC2 gratuitement pendant une durée de 30 minutes au-delà de laquelle elle sera automatiquement détruite. C'est court, mais suffisant pour jouer un peu.
Vous pouvez même gratter 5 minutes de rab. Par contre, pour la garder en ligne plus longtemps, il faudra payer.
En tout cas, Instantserver est très pratique quand on n'a qu'un Windows sous la main, quand on veut déployer un truc en test rapidement, ou quand on veut utiliser la bande passante d'Amazon pour télécharger un truc à l'arrache.
Ces machines virtuelles sont des Ubuntu 13.04, 64-bit, 614 MB de RAM et 8 GB de stockage.
PHPDocFill – Pour vous aider à documenter votre code PHP
Si vous codez de manière régulière, vous devez savoir que les développeurs détestent commenter leur code ou faire la moindre documentation. Et pourtant, que ce soit pour la même personne ou pour ceux qui reprendront le code un jour, cela est vraiment indispensable si on veut s'y retrouver ou générer un manuel de son code.
C'est pour les aider dans cette tâche que Clément Nedelcu a mis au point PHPDocFill, une application gratuite et open source qui analyse le code contenu dans tous les fichiers PHP de votre projet et qui insère des blocs PHPDoc préformatés devant chaque élément.
Vous pouvez ainsi coder comme un porc et y revenir plus tard pour éditer cette documentation PHP en étant sûr de ne rien oublier.
Comme c'est du PHPDoc (standard), il est ensuite possible de générer automatiquement une documentation HTML avec index des éléments et commentaires associés.
Cyanogenmod incognito
Voici une nouvelle fonctionnalité qui va ravir les utilisateurs d'Android. Dans les prochaines versions de la ROM Cyanogenmod 10.1 en nightly, il y aura un mode Incognito.
Ce mode permettra d'anonymiser votre utilisation de certaines applications. Une fonctionnalité similaire avait déjà été ajoutée dans Cyanogenmod 7 et permettait de retirer des droits à des applications Android. Le hic, c'est que privées de certains droits, les applications pouvaient planter.
Là, pour ce mode incognito, les développeurs ont été un peu plus malins. Chaque application dispose d'un marqueur qui indique si l'OS doit lui retourner des infos normales ou anonymisées. Si ce marqueur est actif, l'application trop curieuse aura alors accès à un gestionnaire vide de tout contact, un calendrier sans le moindre rendez-vous, un historique de navigation et d'appels totalement clean et 0 SMS. Même chose avec les données GPS qui ne seront pas récupérables en simulant un arrêt de ce dernier.
Ainsi, plus de crashs d'application et un anonymat garanti. Le plus beau là dedans, c'est que l'API intègre un appel qui permettra aux applications de savoir si elles tournent en mode anonymisé ou non. Ainsi, les développeurs pourront changer le comportement de l'application s'ils détectent ce mode actif.
Pour l'utilisateur, pas beaucoup de changement au final. Lorsque vous installerez une nouvelle application, l'OS vous demandera si vous voulez modifier les permissions de celle-ci. L'avantage d'un mode incognito est double. Il permet à la fois de se protéger des applications trop curieuses, mais aussi des malwares qui commencent à débarquer en masse sous Android et qui n'hésitent pas à aller pomper toutes vos données personnelles pour les envoyer à des mafias chinoises ^^.
Steve Kondik qui est en charge du développement, proposera cette fonctionnalité au projet officiel Android (open source) et espère qu'il sera adopté dans les prochaines ROMs de Google.
Bitmessage : lorsque le protocole de Bitcoin protège vos conversations
L'e-mail pose des problèmes de sécurité, quoi de simple pour le remplacer ?
On se retrouve ainsi avec un client assez léger, capable d'échanger des messages un peu à la manière des e-mails ou de gérer des listes de diffusion, le tout sans serveur central, de manière anonyme et avec un chiffrement activé de bout en bout.
Il faut dire que, comme nous l'évoquons souvent, l'e-mail est une sorte d'aberration sécuritaire. Il est aujourd'hui massivement utilisé, mais on ne compte plus les problèmes auquel il fait face et qui ne gênent, finalement, pas grand monde. Vous pouvez ainsi vous faire passer pour n'importe quel expéditeur, la quasi-totalité des échanges n’est ni signée, ni chiffrée, et vous ne pouvez pas savoir si au cours de son transit, il a été intercepté même lorsque vous utilisez le protocole SSL pour vos envois / réceptions.
De plus, n'importe qui peut vous envoyer des messages en récupérant votre adresse, avec une gestion des spams qui est certes de plus en plus efficace, mais encore assez empirique. C'est aussi tout cela qui permet l'extension du phishing et des scams. Philip Zimmermann, le créateur de PGP, a toujours indiqué que pour lui, un e-mail était une sorte de carte postale numérique, que n'importe qui pouvait lire. Il l'a encore récemment répété dans le documentaire Les internets diffusé sur Arte, et il a raison.
Bitmessage : plus qu'une alternative à l'e-mail, un outil simple à utiliser
Mais toutes les tentatives pour lui trouver un remplaçant n'ont pas vraiment fonctionné. Certes, les jeunes utilisent sans doute plus les messageries instantanées que les e-mails, ce qui règle une partie des problèmes, mais leur gestion plus que centralisée et la volonté de certains acteurs à exploiter votre vie privée contre ces services posent de toute façon problème.
Bitmessage ne sera sans doute pas une solution générale à tout cela, mais l'outil qui est encore assez jeune a l'avantage de simplifier pas mal d'étapes, notamment la gestion des clefs de chiffrement, la gestion du carnet d'adresses, etc. Il faudra donc surtout le voir que comme une alternative à OpenPGP rapide à prendre en main, par exemple.
Son principe de fonctionnement est assez simple. Vous téléchargez un fichier exécutable disponible par ici. Celui-ci comprend l'ensemble du logiciel et, via les paramètres, vous pourrez même en faire une version portable à utiliser depuis une clef USB par exemple.
Il faut savoir que votre machine soit un élément complet du réseau, le port 8444 est utilisé (TCP) si possible. S'il n'est pas accessible ou redirigé depuis votre routeur, l'icône de connexion sera jaune, mais tout fonctionnera parfaitement. Dans le cas contraire, elle sera verte. En cas d'absence de connexion, elle sera rouge.
Créer une nouvelle adresse ou une mailing-list : simple comme bonjour
La première chose à faire est de vous créer une identité dans la section « Your identities > New ». Une identité est composée d'une série alphanumérique qui commence par « BM- ». C'est un peu votre adresse mail, elle vous permettra d'envoyer et de recevoir des messages. Pour la générer, deux méthodes sont proposées. Une totalement aléatoire qui ne pourra pas être récupérée en cas de perte des fichiers de l'application ou de nouvelle installation. Elle est à privilégier pour les échanges temporaires.
Une seconde vous permet plutôt d'utiliser une passphrase connue uniquement de vous et qu'il faudra garder secrète puisqu'elle permettra de recréer votre adresse depuis n'importe quelle machine. Malheureusement, il n'existe pour le moment pas de système de révocation en cas de compromission de l'adresse en question, comme c'est le cas avec les clefs PGP par exemple. Notez que chaque adresse devra être identifiée par un label qui vous permettra de vous y retrouver, mais qui ne sera visible que par vous.
Via votre liste de clefs, vous pourrez avoir accès à plusieurs options via un clic droit sur chaque élément. Copier votre adresse pour la fournir à un tiers, l'activer ou la désactiver et la faire se comporter comme une pseudo-mailing-list. Si c'est le cas, tous les mails envoyés à cette adresse seront renvoyés à tous ceux qui décideront de s'y abonner (via l'onglet « Subscriptions »).
En effet, outre la capacité d'envoyer un message à une adresse, vous pourrez décider d'y souscrire. Si elle envoie un message qu'elle veut diffuser largement, vous le recevrez. La différence dans le cas de la pseudo-ML c'est que chacun peut faire parvenir un message aux abonnés, un peu comme pour recréer un forum.
Un fonctionnement en liste blanche ou noire et un carnet d'adresse pas si inutile
Pour le reste, on retrouve le comportement d'un client mail ultra-basique. Il est possible d'envoyer et de recevoir des messages, mais sans aucune hiérarchie entre eux. Un carnet d'adresses et une liste noire vous permettent de gérer les personnes avec qui vous voulez ou non communiquer.
Notez d'ailleurs que la présence d'un contact dans le carnet d'adresses n'est pas forcément anodine. En effet, dans les paramètres vous verrez des champs dédiés à la « difficulté ». Pour valider un message lors de son envoi, un calcul sera nécessaire. Celui-ci sera plus ou moins complexe selon les réglages du récepteur, mais aussi selon la présence ou non de l'expéditeur dans son carnet d'adresses et le fait qu'ils aient déjà échangé ensemble ou non. Ceux qui veulent des détails concernant cette procédure peuvent se rendre par ici ou lire ce PDF.
Bien entendu, le tout peut être utilisé de manière conjointe avec le réseau Tor ou un proxy. Il reste maintenant à espérer que le projet évolue, notamment dans la gestion des messages, mais aussi sa capacité à échanger des fichiers par exemple. Distribué sous licence MIT, le code source est disponible sur GitHub.
Source David Legrand
Comment réagir face à une arnaque sur Internet ?
MegaUpload : Kim Dotcom révèle une autre vidéo du raid de la police
Une nouvelle vidéo révélant l'intervention des forces de l'ordre lors du raid sur la demeure de Kim Dotcom a été dévoilée. Les séquences filmées se concentrent sur la situation à l'extérieur de la maison, avec en particulier l'engagement d'une unité antiterroriste, l'arrestation de certains employés et l'enlèvement des voitures.
[Lire la suite]Les nouveaux statuts sur Facebook
Les radars pédagogiques à la merci des pirates ?
Je ne sais pas si dans votre ville, la mairie a investi dans des radars pédagogiques, mais si c'est le cas, je pense que cette news va vous faire marrer.
Spiwit m’a envoyé un tweet hier pour me signaler que ce genre de panneau fonctionnait en Bluetooth. Ce qui est drôle, c’est qu’un code PIN à 4 chiffres pour protéger du Bluetooth, ça peut se casser rapidement avec un petit bruteforce. M’enfin, pas la peine de pousser jusque là, puisque le code de ces panneaux est celui par défaut, à savoir 0000. C'est d'ailleurs un code classique qu'on retrouve sur la plupart des appareils bluetooth, et il appartient à l'acheteur de cet appareil de le changer. Évidemment, l’installateur ou la Mairie ne prend pas la peine de le changer.
Et alors ? me direz-vous...
Connecter un téléphone en Bluetooth à ce genre de panneau ne va pas vous emmener très loin sans le logiciel qui permet de le configurer... Sauf que ces logiciels sont librement accessibles sur le net. Par exemple, les logiciels Windows à destination des panneaux EKO et Tomi de marque Jcbetco sont librement accessibles ici.
Vous l’aurez compris, en théorie, n’importe qui peut donc configurer ces panneaux à partir d’un ordinateur Windows. Je dis en théorie, car je n’ai pas poussé plus loin mes recherches pour ne rien hacker.
Mais si je me base sur la documentation, ce qu’on peut modifier sur ce genre de panneau est plutôt sommaire... Seuils des vitesses, clignotements, affichage des points perdus, récupération des statistiques liées au trafic routier, et surtout un petit texte "libre" où vous pouvez indiquer ce que vous voulez... D’ailleurs, si j’en crois la dernière news disponible sur le site de Jcbetco, certains ont déjà joué avec ...
Oui, oui, comme si un installateur allait mettre "Fuck You !" pour faire une démo... surtout que si j’en crois la capture logicielle ci-dessus, il y a déjà un mode "démo" intégré (et sans insulte).
Moi je pense plutôt à un petit malin qui a piraté le bousin.
Je sais que Spiwit se penche actuellement sur un radar pédagogique d’une autre marque. Il semblerait que le fonctionnement de celui-ci soit assez similaire. Il est beaucoup plus pointu que moi techniquement sur ce genre de choses donc on risque d’en apprendre un peu plus dans les jours à venir.
Quoiqu’il en soit ce serait bien que ces sociétés fassent rapidement une petite mise à jour avec au moins un code PIN Bluetooth aléatoire (et pas 0000), un vrai mot de passe pour accéder à l’interface et allez, soyons fous, qu’elles retirent leurs logiciels pros du net.
Test de la montre Pebble
Histoire de vous mettre dans le bain tout de suite, je ne porte plus de montre depuis que je suis rentré en seconde au lycée. Je n'avais pas encore de téléphone portable pour m'indiquer l'heure donc je devais me démerder autrement, mais ce fut pour moi comme une libération psychologique.
Avant j'avais pris l'habitude de retirer ma montre à chaque période de grandes vacances. Ne plus avoir de montre, c'était synonyme de liberté. Observer le temps qui passe est quelque chose de très stressant. On se presse, on se demande si on va avoir le temps, on angoisse sur l'heure de sa propre mort qui arrive à grands pas...
Le bracelet au poignet, c'est pour moi toujours aussi lourd à porter. C'est un genre d'entrave pour esclaves du temps, un peu comme la cravate l'est pour certains.
Du coup, en retirant cette foutue montre à temps complet, c'était un peu comme si j'étais en vacances à l'année. J'étais beaucoup plus relax, moins dans le speed, moins à regarder le temps qui passe toutes les xx secondes.
Quelques années ont passé et maintenant, l'heure, je l'ai sur le portable et sur l'ordi. Mais ça va, j'ai moins de contraintes de temps qu'à l'époque, donc je la regarde très peu?
Évidemment, j'ai parfaitement conscience qu'une montre, c'est aussi un bijou, quelque chose qui peut être très joli et agréable à porter et que je devrais peut être aller voir un psy pour régler ce petit problème que j'ai avec les montres.
Je suis parfaitement d'accord avec vous !
Toutefois, j'ai pris le temps de tester durant quelques jours la montre connectée Pebble qui a fait le buzz il y a environ 1 an, grâce à un Kickstarter réussi ! Je ne l'ai pas porté longtemps au poignet à cause des raisons précédentes, mais surtout parce qu'il s'agit d'une montre de prêt et que je ne voulais pas l'abimer.
J'ai vu que le bracelet en plastique pouvait être aussi remplacé par un bracelet standard en cuir (ou en moustache) ce qui peut être sympa. Concernant l'aspect extérieur de la montre, je m'attendais à un truc vraiment plus gros. Finalement, la Pebble est d'une taille et d'une épaisseur parfaitement raisonnables et ils ont fait un effort sur le look en proposant différents coloris (noir, blanc, orange, gris ou rouge).
Elle est équipée de 4 boutons. 1 pour valider, 2 pour naviguer dans les menus vers le bas ou le haut et 1 pour revenir en arrière. Elle se recharge via un connecteur USB et dispose d’une autonomie qui tourne aux alentour des 7 jours si on ne joue pas trop avec. Notez aussi que votre téléphone perdra lui aussi un peu en autonomie à cause de la connexion Bluetooth.
Maintenant, le petit plus de la montre Pebble, c’est sa connexion Bluetooth. En effet, cette petite montre peut s’associer avec votre iPhone ou votre téléphone Android. Ensuite, il faut installer le logiciel officiel Pebble sur votre téléphone, ce qui permettra entre autres de gérer les mises à jour, le réglage de l’heure et de la date, les notifications... etc.
Ainsi, grâce à cette montre, vous pourrez (de base), être alerté via une petite vibration à votre poignet que vous avez reçu un SMS, un email, un message Facebook, un message Gtalk, ou que vous avez un appel entrant. Évidemment, le nom de votre correspondant ou son message peut s’afficher sur l’écran de la montre.
Vous pouvez aussi piloter votre musique de manière assez basique. Lecture/Pause, Suivant, Précédent.
D’ailleurs cet écran, parlons-en. Il s’agit d’un écran e-ink (encre électronique) noir qui me fait penser un peu aux écrans à cristaux liquides, mais en beaucoup plus joli. La montre est rétroéclairée donc vous pouvez lire l’heure dans le noir. Cependant, je trouve quand même l’écran un peu trop sombre pour que la lecture de l’heure et des notifs soit réellement agréable. Mais bon, c’est mon avis, et vous ça vous conviendra peut-être parfaitement.
La montre est waterproof et dispose surtout d’un SDK ouvert qui permet à n’importe quel développeur motivé de créer des applications mobiles capables d’interagir avec la Pebble. Il est aussi possible d’inventer de nouvelles applications natives ou watch faces pour la montre elle-même.
Qu’est ce que c’est qu’une Watch Face ? Et bien c’est le look de votre montre. Numérique, à aiguille, ou techno-geek-hacker-kikoo pour lire l’heure en binaire, avec Mario ou le Nyan Cat. Il y en a vraiment pour tous les goûts. J’ai trouvé ça plutôt cool de pouvoir pousser aussi loin ce degré de personnalisation.
Autrement, niveau applications, on trouve un tas de trucs sur le Play Store Android : Possibilité de localiser son téléphone en le faisant bipper à partir de la montre, transmission des notifs en tout genre (twitter, alertes système, alerte météo... etc.) vers la Pebble, calendrier, suivi pour le sport, possibilité de reprogrammer les boutons de la montre pour qu’ils effectuent des actions sur le téléphone... etc.
Grâce au SDK de le Pebble, il est possible de tout imaginer et les développeurs d’apps comme RunKeeper (pour la course) ou FreeCaddie (pour le golf) commencent à intégrer le support de la Pebble dans leurs softs. Concernant les applications natives (watch apps) vous pouvez aussi avoir un petit aperçu de ce qui se fait en jetant un œil à ce site. On y trouve des jeux, des utilitaires et même un vibromasseur (Quoi ? Ma soeur ?) !
En truc rigolo que j’ai vu avec le Pebble, y’en a qui ont fait un peu de domotique avec, d’autres récupèrent la météo (ou d’autres infos genre les résultats du sport ou le ping de leur serveur) via IFTTT et la balance sur la montre, d’autres enfin l’utilisent pour récupérer les notifs Google Maps et ainsi avoir du guidage GPS étape par étape sur leur montre.
Enfin, niveau prix, le revendeur français La Montre Bleue qui m’a prêté cette Pebble, la propose à moins de 200 € sur son site.
Vous l’aurez compris, la Pebble n’en est encore qu’à ses débuts, mais le fait que chacun puisse utiliser le SDK PebbleKit pour en faire ce qu’il veut ouvre des possibilités de dingue aussi bien en terme applicatif pur qu’en terme de personnalisation d’affichage. Bref, vous avez de quoi vous amuser.
Free commence à offrir le VDSL2 à ses abonnés
Free se convertit au VDSL2. L'opérateur vient d'annoncer le lancement de ce protocole dans les deux départements pilotes, à savoir la Dordogne et la Gironde. Free étendra progressivement l'accès à cette technologie à mesure que le régulateur donnera son feu vert.
[Lire la suite]PRISM : la NSA a accès aux données de tous les géants du web
Encore un scandale pour l'administration Obama. Quelques heures après les révélations sur les liens entre la NSA et l'opérateur téléphonique Verizon, la presse a obtenu des éléments très graves révélant l'existence d'un programme d'espionnage impliquant la totalité des géants du web. Ces derniers ont ménagé des accès spéciaux pour les autorités, afin de faciliter la recherche d'information.
[Lire la suite]Microsoft dévoile Windows 8.1 en vidéo
Dans trois semaines, Microsoft donnera le coup d'envoi de sa conférence annuelle Build. À cette occasion, le géant américain présentera en détail la prochaine mise à jour d'importance de son système d'exploitation, Windows 8.1. En attendant ce jour, le groupe a choisi de dévoiler quelques fonctionnalités en vidéo.
[Lire la suite]Le Monde de l'approximation et du raccourci
Petit retour sur un article publié aujourd'hui sur lemonde.fr. Nous tenons à corriger ici quelques approximations et quelques erreurs du journaliste.
Source : lemonde.fr lemonde.fr : Jusqu'à l'éclatement de l'affaire Liberty Reserve, cette société américaine de transferts de fonds sur Internet, aujourd'hui soupçonnée de blanchiment d'argent à hauteur de 6 milliards de dollars (4,6 milliards d'euros), peu de gens connaissaient l'existence des monnaies électroniques, ni leur mode de... Lire Le Monde de l'approximation et du raccourci
Lettre de Wall Street Même les geeks se méfient de l'e-monnaie
Jusqu'à l'éclatement de l'affaire Liberty Reserve, cette société américaine de transferts de fonds sur Internet, aujourd'hui soupçonnée de blanchiment d'argent à hauteur de 6 milliards de dollars (4,6 milliards d'euros), peu de gens connaissaient l'existence des monnaies électroniques, ni leur mode de fonctionnement.
En quelques jours, on a découvert la dimension de ces nouveaux instruments monétaires. Dans la foulée ont émergé les noms des champions de ces monnaies virtuelles : Mt. Gox, la "Bourse d'échange" numéro un du circuit, et d'autres aux noms aussi "numériques" (Bitomat, Bitfloor...) que leur monnaie : Bitcoin, Litecoin, SolidCoin, GeistGeld, Ripple, BBQCoin... Ces sociétés ne sont pas qu'américaines : on en trouve à Moscou (WebMoney), au Panama (Perfect Money)... Au Proche-Orient, la plus connue s'appelle cashU. En 2011, quand elle a senti le souffle de la justice dans son dos, Liberty Reserve s'était délocalisée au Costa Rica.Pour l'anecdote, la première tentative d'acheter des biens sur Internet en "monnaie virtuelle" remonte à 1999, lorsqu'une devise du nom de Flooz fit brièvement son apparition. La prononciation à l'anglaise ("flouze") avait un petit côté provocant et sans équivoque.
Mais si chaque plate-forme de transfert d'argent dispose aujourd'hui de sa propre "monnaie virtuelle", la plus célèbre se nomme Bitcoin, première du genre à s'être imposée. C'était il y a quatre ans seulement. Il n'est vraisemblablement pas anodin que le nom de son ou de ses inventeurs soit lui-même resté jusqu'à ce jour inconnu ! Sotashi Nakamoto, auteur du premier post sur le Web expliquant le fonctionnement de Bitcoin, le 24 mai 2009, s'est révélé n'être qu'un pseudonyme.
Le New Yorker a cherché à découvrir son identité, sans succès. Autant prévenir le lecteur peu averti de la mathématique financière, la lecture du texte (Bitcoin : A Peer-to-Peer Electronic Cash System, http://bitcoin.org/bitcoin.pdf) est légèrement absconse. Bitcoin a ensuite donné naissance à de multiples autres monnaies qui, toutes, fonctionnent sur un principe identique.
JETONS DE CASINO
Ce ne sont pas de "fausses monnaies" : leur détention n'est pas prohibée, on peut les acheter et les vendre, etc. Leur valeur peut même fluctuer en fonction de l'offre et de la demande de leurs "consommateurs".
Ainsi, le Bitcoin s'échangeait entre 2 et 11 euros en 2011-2012, puis a connu une flambée inouïe, grimpant à 110 euros entre février et début avril 2013, puis à 200 euros en une semaine, avant de s'effondrer à 66 euros. Il a ensuite repris son cours haussier et valait 91 euros lundi 3 juin.
Pour sûr, on sent dans ces variations un fumet spéculatif prononcé. Surtout, ces monnaies n'ont de valeur qu'en circuit fermé, un peu comme des jetons de casino. Elles sont "virtuelles", car sans autre valeur d'usage, comme les jetons, que d'être échangeables contre des devises réelles.
Sont-elles obligatoirement source de trafic ? Pas sûr. Aux Etats-Unis, les sociétés de transfert, pour éviter d'être instrumentalisées "à l'insu de leur plein gré" par des criminels, se disent favorables à une réglementation si elle n'empiète pas sur leur fonctionnement. Ainsi, contrairement au "LR", la monnaie de Liberty Reserve, la traçabilité de chaque Bitcoin est supposée acquise.
Son principal promoteur, la société Mt. Gox, assure exiger une preuve tangible d'identité et de résidence du client avant d'autoriser une transaction et tenir un registre public de tous ses transferts de fonds. Le problème est que ce n'est pas le cas des autres, et que Mt.Gox est lui-même soupçonné... d'avoir développé des filiales pour se soustraire à sa propre règle.
C'est vraisemblablement parce qu'elles avaient suspecté la propension des promoteurs de ces monnaies et de beaucoup de leurs utilisateurs à y avoir recours pour dissimuler des transactions douteuses que des organisations plutôt favorables au numérique ont progressivement tourné le dos aux monnaies virtuelles.
Ainsi de WikiLeaks, qui n'accepte plus les dons en monnaie virtuelle. Ou de Facebook. En 2009, le réseau social a offert à ses membres d'utiliser des "Facebook Credits", mais coupa rapidement court à cette pratique.
Topic Sylvain Cypel
Un numéro aux Etats-Unis pour recevoir des SMS
Si pour une raison ou une autre, vous avez besoin d'un n° de téléphone pour par exemple valider un compte nouvellement créé sur un site qui l'exige, et que vous ne voulez pas le donner, alors essayez ce truc.
Il s'agit de SlideSMS, un site qui mets à dispo plusieurs numéros aux États-Unis et qui affiche sur sa page (donc publiquement), tous les SMS reçus.
Évitez donc les trucs contenant des infos trop confidentielles... mais pour un code de confirmation, c'est plutôt pratique.
Linkeo s'en prend à LinuxFr et récolte un effet Streisand
L'effet Streisand peut aussi piéger les agences spécialisées dans le développement web. C'est ce que révèle l'affaire Linkeo. La société a cherché à faire retirer un commentaire négatif suite à une annonce publiée sur LinuxFr. Mais en menaçant ce dernier par une mise en demeure, Linkeo a écorné son image à un niveau autrement plus important qu'une banale réaction, aussi désobligeante soit-elle.
[Lire la suite]Buccaneer : une belle imprimante 3D à moins de 270 euros !
Ils avaient 30 jours pour lever 100 000 dollars. En une seule journée, ils en ont déjà le triple. Pirate3D a dévoilé sur Kickstarter son imprimante 3D Buccaneer, au design extrêmement réussi, qui ne coûtera que 270 euros lors de son lancement prévu pour décembre 2013.
[Lire la suite]Comment résoudre 3 Rubik's cubes en jonglant avec !
sbfndgfhk:sdbvj:dfkhksdbgj shgljs=gsfgus=fnfvhsvgfjkshgoM
C'est moi ou ce mec est un rapide de la gâchette ?
Impressionnant ! Son clavier va prendre feu !!!
À ce rythme-là, je finirai mes journées de travail beaucoup plus tôt mais les titres de mes articles ressembleraient à ça : "sbfndgfhk:sdbvj:dfkhksdbgjshgljs=gsfgus=fnfvhsvgfjkshgoM"