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Lysergic Saviours (A Psychedelic Prophecy!)
Cet été, retrouvez le meilleur de Clique TV sur myCANAL gratuitement
Pour fêter la fin de cette première saison de la nouvelle chaîne de télévision Clique TV, voici un petit cadeau : tout l’été, nous allons partager avec vous sur myCANAL les versions intégrales de nos meilleures émissions.
Tous les deux jours, une nouvelle émission sera à retrouver en libre accès sur notre page myCANAL. Dès à présent, pour fêter la fin de Wimbledon et le 1er anniversaire de notre titre de champions du monde de football, retrouvez les Clique Sport consacrés à Serena Williams et Kyllian Mbappé, présentés par Karim Bennani. À venir : la version longue 90 minutes du (très réclamé) Clique x Damso le 21 juillet – jour de la fête nationale belge -, le Clique Sport Michael Jordan, le Clique x Big Flo & Oli, la Clique De Kery James + Youssoupha + Médine en version intégrale, Solo avec Sulo avec Rebeu Deter ainsi que les Pouce avec David Lafarge Pokemon et Jhon Rachid… Bref, de quoi vous éviter de passer trop d’heures au soleil cet été.
Pour visionner gratuitement le meilleur des émissions de la chaîne Clique TV, rendez-vous régulièrement sur notre page myCANAL en cliquant ici.
Les émissions sont également diffusées tout l’été sur la chaîne Clique TV, disponible sur Orange (chaîne 149), Free (chaîne 82), dans les offres CANAL (chaîne 170) et sur myCANAL. Pour plus d’informations, cliquez sur ce lien.
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Portabilité transfrontière des contenus. Une fausse bonne idée de l’Europe. #DSM
Étant abonné Netflix et voyageant régulièrement à l'étranger, j'ai remarqué à plusieurs reprises que les films et séries qui m'étaient proposés différaient selon les pays où je me trouvais.
Je pouvais commencer un film sympa en Suède et ne pas pouvoir le finir en France, car rendu indisponible dans le catalogue FR. Ou alors le commencer en France en version française et n'avoir accès qu'à la version doublée en espagnol en Espagne.
Oui c'est regrettable, mais malgré le fait qu'on soit tous sur Internet, un réseau connecté mondial conçu pour le partage des connaissances, il existe encore des frontières invisibles comme celles-ci.
Et n'allez pas pointer du doigt Netflix ou d'autres acteurs, car il ne s'agit pas spécialement de leur volonté. C'est plutôt, comme toujours, un problème ou plutôt une exigence imposée par les ayants droit pour garder leurs griffes bien accrochées à leurs royalties et continuer encore et toujours à remplir leur porte monnaie avec de la donnée qui ne leur coûte à rien à copier-coller à l'infini sur les serveurs du monde entier.
Mais plutôt que de régler le problème une fois pour toutes en abolissant ces frontières invisibles imposées par le droit d'auteur, notre cher Parlement européen, histoire de faire plaisir à tout le monde, a trouvé la parade.
Dorénavant, une nouvelle loi baptisée Digital Single Market et concernant la "Cross-border portability" (portabilité transfrontière) va permettre aux citoyens européens d'être rattachés à un pays et donc de pouvoir accéder au catalogue FR partout en Europe s'ils sont français. Ça va donc régler la moitié de mon problème qui est de pouvoir finir un film commencé en France, dans un autre pays de l'UE.
Mais l'autre moitié de mon problème à défaut d'être réglé, s'aggrave.
Comment ?
Et bien quand j'allais par exemple en Islande (ou que j'utilisais un VPN islandais – c'est moins cher ^^), je pouvais découvrir de nouvelles œuvres réservées à mes amis vikings. Ainsi, je pouvais m'enrichir culturellement en découvrant les "catalogues" Netflix d'autres pays. C'était bien.
Mais grâce à l'Europe, c'est terminé. En bon petit français, je serai donc cantonné aux productions audiovisuelles que les ayants droit ont décidé de réserver au marché français (oui, car nous sommes un "marché"). Et je parle de Netflix, mais cela vaut aussi pour les restrictions par pays de YouTube et j'imagine que c'est valable pour Amazon Prime Video, Spotify, Deezer…etc.
Cette loi sur la portabilité transfrontière (transfrontalière ?) des données est donc une demi-solution qui règle un petit problème, tout en générant ce qui à mes yeux est maintenant un gros problème : Celui de la censure des contenus en fonction de la nationalité de l'internaute. Avant cela, on pouvait encore contourner la restriction avec des VPN, mais après le 1er avril 2018, date d'application de ces nouvelles règles (oui, et c'est loin d'être une blague), comme votre compte sera rattaché à un pays, même en passant par un VPN allemand, vous continuerez à accéder à du contenu réservé aux Français.
On est donc bien sur une loi qui génère une forme de censure culturelle et intellectuelle et qui emprisonne les utilisateurs de ces services, permettant aux ayants droit de nous diviser en petits groupes pour maximiser leurs profits.
À mon sens, ce que la Commission européenne et les acteurs comme Netflix auraient dû défendre, c'est tout simplement l'abandon de cette notion de frontières dès qu'on parle d'Internet. Les mêmes données, les mêmes contenus pour l'ensemble des habitants de la planète. Et voilà. Problème réglé.
Cela aurait été une avancée majeure pour la culture, mais aussi une manière de combattre la censure et la main mise de certains sur ce qui devrait revenir à l'humanité dans son ensemble. Et pour ceux qui auraient peur de se retrouver avec des milliers de films Bollywood dans leur Netflix, je tiens à leur dire que techniquement ça n'aurait pas été un problème. Il aurait toujours été possible de segmenter les contenus en fonction des intérêts de l'utilisateur comme c'est le cas actuellement par exemple sur YouTube, sans pour autant imposer un blocage ou une censure de contenu étranger au pays d'origine de l'abonné.
Bref, même si ces règles peuvent sembler améliorer le confort des utilisateurs européens, elles génèrent selon moi un effet de bord hyper négatif qu'on peut appeler de la censure.
Mais évidemment, tout est packagé, markété comme étant un bon en avant dans le progrès. Notez donc qu'une fois encore, on nous prend pour des cons.
B&O Beoplay M5
160 Watts, BeoLink multiroom & ChromeCast Built-in
La B&O Beoplay M5 est la troisième enceinte sans-fil sédentaire et multiroom du fabricant d’audio haut de gamme Bang & Olufsen ! Elle succède donc aux enceintes A6 et A9, auxquelles elle peut être associée via l’application Beoplay App. Cette enceinte dernier cri multiroom est compatible Bluetooth, AirPlay, Google ChromeCast, Spotify Connect ou encore Deezer. Compacte, elle dispose d’un design irréprochable et de 130 Watts de puissance au total.
À CHAUD : On vient de subir un contrôle au faciès
Ça arrive tous les jours, ce genre de choses. Mais aujourd’hui, ça nous est arrivé à nous. Ce n’est pourtant pas la première fois et on arrive jamais à s’habituer à ça.
Six policiers errent sur les Champs Elysées à 18H49. On sort tous les deux du cinéma. Le film s’appelait « Lamb ». Un film éthiopien, plongée enivrante dans les paysages verts, les familles disloquées et un petit garçon qui court avec son mouton au bout d’une corde.
Dehors, le temps est moisi. Les Champs Elysées dégoulinent d’eau. On a chacun un sac : un sac H&M et un sac en bandoulière bleu. L’un est au téléphone, l’autre au bout de ses tweets. Six policiers nous encerclent d’un coup. Ils portent des gilets pare-balles, des casquettes, des armes et des matraques. L’un demande de raccrocher le téléphone. On demande ce qui se passe.
Pourquoi nous ? Pourquoi maintenant ? « Parce que vous portez une casquette », rigole l’un des malins. Un autre reprend : « Vous savez, vous auriez pu être des voyous qu’on recherche ». « On a pourtant rien fait », on répond.
Et puis, on demande « une réquisition qui justifie ce contrôle ». Ils n’en ont pas. « On va aller au commissariat et je vais vous la faire lire », répond un des six policiers. On est d’accord. On veut bien aller au commissariat pour lire la réquisition.
Rapidement, ils se rétractent. Ils passent à autre chose. Ils fouillent nos sacs. Dans l’un d’eux, il y a six exemplaires du roman qu’on a écrit et qu’on a donné un peu plus tôt dans la journée. « Ça, c’est notre livre ». Ils répondent pas. Allument nos téléphones. Ouvrent nos porte-feuilles. On insiste. On réclame une raison. « Tu parles trop ». On leur dit que ce contrôle est injustifié. L’un de nous deux est plaqué contre la vitrine Tiffany’s. Les passants regardent.
« Ça s’appelle un contrôle au faciès, messieurs », on dit. Et un des policiers, yeux dans les yeux, répond : « Ce n’est quand même pas de notre faute si vous faites plus de conneries que les nôtres ».
Donc il y a eux et nous ? Et par cette phrase, de qui parle-t-il vraiment ? Qui sont « les nôtres » ? Et qui sont « les siens » ? On réagit, on lui demande « qui sont les vôtres ? ». Il répond juste : « C’est parce que vous êtes arabe et noir qu’on a pas le droit de vous arrêter ? ».
Ils nous séparent l’un de l’autre. L’un commence à dire que « les méthodes sont honteuses ». Il est coupé par un « Ta gueule ».
Et puis un deuxième policier reprend, en tendant sa joue : « Tape-moi, vas-y si t’es un homme ». Réponse calme : « Je n’ai jamais tapé personne, c’est pas vous que je vais taper maintenant ». Il rigole : « Ça se voit que t’as jamais tapé personne, toi ».
Il prend le poignet et serre très fort : « Essaye de fuir le contrôle maintenant, vas-y ». Il veut que ça dérape. « On s’est pas trompés, les gars » clame l’un des six policiers. Ils rigolent ensemble.
Évidemment, ils ne trouvent rien. Ils piaffent dans nos dos quand ils nous relâchent. On leur promet qu’il y aura une suite.
Mehdi MEKLAT et Badroudine SAID ABDALLAH
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Android.Fakedefender prend votre smartphone en otage !
Symantec vient de découvrir ce qu’il pense être le premier « rançongiciel » ciblant les terminaux mobiles : Android.Fakedefender. Cette nouvelle menace est en fait un faux antivirus et gagne du terrain sur la plateforme Android. Les victimes voient leur téléphone Android bloqué jusqu’au paiement d’une rançon !
Les faux antivirus (connus sous le nom « FakeAV ») et les rançongiciels présents sur PC depuis quelques années ont, depuis leur apparition, été très rentables pour les créateurs de logiciels malveillants et visiblement ces derniers espèrent bien réitérer ce succès sur les appareils mobiles. FakeAV est une forme d’escroquerie utilisant les logiciels malveillants pour déformer intentionnellement l’état de sécurité d’un terminal et tenter de convaincre l’utilisateur d’acheter une version complète du logiciel afin de remédier à des infections non-existantes.