Sébastien
Shared posts
Dell : 25 ans en France et un modèle révolutionné
La fin de l'Internet illimité commence en Europe !
En Allemagne, l'opérateur O2 a annoncé la mise en place d'une politique de "fair use" (ou "utilisation équitable") sur ses forfaits d'accès à internet par ADSL, pour brider le débit des internautes qui dépassent 300 Go de données par mois. En France, des plans similaires sont dans les cartons depuis plusieurs années.
[Lire la suite]Google met à jour Hangouts, qui s'invite sur le bureau sans Chrome
Google a mis à jour son application Hangouts. Désormais, la plateforme de messagerie instantanée fonctionne pratiquement comme une application autonome. Située sur le bureau, elle n'a plus directement besoin du navigateur web Chrome.
[Lire la suite]Free ne veut pas d'Android : « c'est donner à Google l'accès à nos box »
[MàJ] Le nouveau Skype pour Windows est disponible, avec sa nouvelle interface
Après des mois de rumeurs sur la refonte de l’interface des versions OS X et Windows (bureau) de Skype, la version 7.0 est finalement disponible au téléchargement. Le résultat correspond largement aux captures qui avaient circulé çà et là. Cependant, la version pour Windows est à l’état de Preview et nous semble moins réussie visuellement que son pendant pour OS X.
Free ne veut ni coucher avec Netflix ni avec Android...
Les petits smartphones sont en voie d’extinction
D’après les derniers chiffres en provenance de Taiwan, 80% des smartphones produits dans le pays au troisième trimestre passent la barre des 4,8 pouces. Un pourcentage qui augmente toujours plus et annonce la disparition progressive des « petits » smartphones.
Les petits deviendront grands
Comme le révèle Digitimes, plus des trois quarts des smartphones taïwanais produits sur cette île – et il y en a beaucoup – ont une taille supérieure à 4,8 pouces. Bien qu’il s’agisse d’un seul marché, il est révélateur d’une impression évidente que le marché du smartphone est en train de changer, et que la norme actuelle se situe plus autour des 5 pouces que du format de 4 à 4,5 pouces qui était autrefois une référence. Surtout que le pourcentage est à la hausse. En effet, au second trimestre de l’année, les exportations taïwanaises de smartphones de plus de 4,8 pouces représentaient 59,4% de leur volume total. Le troisième trimestre connait donc une hausse considérable, reléguant les expéditions de « petits » smartphones à moins de 20% du volume total.
Et évidemment, ce pourcentage n’est pas destiné à se réduire. À Taiwan ou ailleurs, les dernières annonces des constructeurs concernent des smartphones extrêmement grands, à l’image d’un Galaxy Note 4 ou d’un HTC Design Eye. Rares sont les exceptions, telles que le Galaxy Alpha avec un format de 4,7 pouces ou le Z3 Compact avec 4,6 pouces, à s’afficher tout juste en dessous de la taille de référence.
Alors quel smartphone choisir ?
Dans un monde où le grand format – finalement plus autour de 5 pouces que de 4,8 – devient la norme, un grand nombre d’utilisateurs sont laissés sur le carreau. La faute surtout à une offre « haut de gamme » ou « excellent rapport qualité/prix » s’affiche désormais largement au-dessus de la barre des 5 pouces. La preuve en est l’agrandissement de certains smartphones de référence. Le Moto G dans sa version 2014 passe l’étape du 5 pouces, la gamme Nexus voit toujours plus grand alors qu’un Nexus 4 plafonnait à 4,7 pouces, et même Apple, qui vantait pourtant son iPhone 5 pour « sa taille parfaite » connait sa phase de folie des grandeurs.
Alors si le marché est à la fois demandeur et soumis à ces nouvelles idées de la taille idéale, il ne reste plus beaucoup d’alternatives à ceux qui recherchent des spécificités dernier cri dans un format peu encombrant.
France, 38% du trafic Web issu des smartphones et tablettes
Guide photo : Réussissez vos photos de sujets en mouvement
Le dîner est imprimé
L’engouement autour de l’impression 3D est plus grand chaque jour. Parviendra-t-elle à sauver le monde ? Ou bien signera-t-elle l’avènement de l’apocalypse, lorsque des millions d’individus fabriqueront eux-mêmes leurs propres AK-47 ? Ou est-ce que tout cela n’est en fin de compte qu’un brouhaha absurde autour d’une machine qui ne fait que cracher de rutilants jouets en plastique ? J’ai décidé d’enquêter. Ma stratégie : m’immerger dans le monde de l’impression 3D, et vivre pendant une semaine en n’utilisant que des objets imprimés en 3D : brosse à dents, meubles, vélos, cachets de vitamines – dans le but d’évaluer le potentiel de cette technologie, mais aussi ses écueils.
A. J. Jacobs a souhaité pousser le principe de l’impression 3D dans ses derniers retranchements en imprimant un repas complet. Le récit de son expérience a été publié ce matin sur Ulyces, une maison d’édition numérique qui publie chaque jour des histoires vraies. Nous en publions en exclusivité les deux premiers chapitres.
Je suis entré en contact avec Hod Lipson, professeur d’ingénierie à l’université de Cornell et l’un des trois plus grands experts du pays en matière d’impression 3D, pour lui exposer mon idée. Il a trouvé le projet formidable, mais son coût avoisinerait les 50 000 dollars. À moins d’imprimer des œufs de Fabergé pour les vendre ensuite au marché noir, il me fallait un plan de secours.
Et voici comment je me suis résolu à organiser un repas entièrement imprimé en 3D. Je fabriquerais des assiettes, des fourchettes, des sets de table, des ronds de serviettes, des bougies en 3D – sans oublier, bien sûr, des aliments imprimés en 3D. Car oui, il est effectivement possible d’imprimer des aliments en 3D. M. Lipson pense d’ailleurs que la nourriture pourrait être le fer de lance de cette technologie (nous y reviendrons).
Je voulais offrir à ma femme la quintessence du dîner en amoureux dernier cri. Un ami a suggéré que, afin de clore la soirée avec panache, nous embauchions une entreprise située à Manhattan pour qu’elle crée des répliques en 3D de nos organes génitaux. C’est là que j’ai décidé de tracer la limite.
Ce dîner a sans doute été le repas le plus laborieux de tous les temps. Mais il m’a donné un avant-goût du futur, aussi bien de son côté utopique que de ses aspects dystopiques.
Pour décrire l’appareil simplement, une imprimante 3D ressemble à un pistolet à glu relié à un bras de robot. Mais en lieu et place de la glu, c’est du plastique qui sort du tube. On choisit la forme que l’on désire. En utilisant un logiciel adapté, il est possible de concevoir n’importe quel objet sur son ordinateur – par exemple, une tasse à café avec deux anses. Il suffit ensuite de télécharger le fichier sur son imprimante 3D. Il faut attendre une ou deux heures jusqu’à ce que le bec de l’imprimante ait terminé d’effectuer des allers-retours tout en crachant du plastique fondu, couche par couche, pour qu’en sorte enfin ladite « tasse ambidextre ». D’autres types d’imprimantes fonctionnent avec du métal, du tissu biologique, de la céramique ou même des aliments.
Le bon côté de l’imprimante 3D, c’est qu’elle est une révolution en marche à elle toute seule. Elle va démocratiser l’industrie. Tout comme Internet nous a transformés en Gutenberg sur canapés, nous permettant de nous auto-publier et de nous trouver des millions de lecteurs en un clic, les imprimantes 3D nous transformeront en Henry Ford, Ralph Lauren et Daniel Boulud. À l’avenir, quand vous voudrez une nouvelle paire de bottes pour la fête de ce soir, vous n’aurez plus qu’à charger une cartouche de nylon, choisir un modèle, appuyer sur un bouton et finalement enfiler vos nouvelles chaussures.
L’impression d’aliments est pour l’instant un phénomène mineur, qui se limite aux foires scientifiques, aux universités et à une poignée d’amateurs de chocolat.
Bien sûr, la révolution n’est pas encore là, du moins pas pour les particuliers. D’après un spécialiste, Terry Wohlers de Wohlers Associates, seulement 68 000 imprimantes pour particuliers ont été vendues. L’impression 3D reste un hobby pour la plupart de ses utilisateurs, parmi lesquels on compte beaucoup de geeks. La majeure partie du marché de l’industrie 3D, dont la valeur croissante est estimée à 2,2 milliards de dollars aujourd’hui, est industrielle.
L’impression d’aliments est pour l’instant un phénomène mineur, qui se limite aux foires scientifiques, aux universités et à une poignée d’amateurs de chocolat. Et, comme je l’espérais, à moi-même. Mais avant de devenir un chef cuisinier du futur, il fallait que je fabrique les assiettes et les ustensiles de cuisine.
J’ai fait l’acquisition d’une imprimante 3D Cube, sans doute le gadget domestique le plus perfectionné qui soit. Cela ressemble à une machine à coudre qui se serait accouplée avec un MacBook. Et ce n’est pas donné : la 3D Cube coûte 1 299 dollars, plus 49 dollars pour chaque cartouche. J’ai téléchargé un logiciel de graphisme sur mon ordinateur portable et j’ai dessiné une fourchette. Il m’a ensuite suffi de presser une touche pour que, vingt minutes plus tard, ma fourchette émerge de mon imprimante. Elle ressemblait à une boucle de plastique vert néon avec quatre bouts pointus, et m’évoquait un outil qu’un chimpanzé aurait utilisé pour se débarrasser de termites.
Mes six tentatives suivantes n’ont pas eu beaucoup plus de succès. J’ai imprimé une tasse qui fuyait, un bac à glaçons qui refusait de relâcher ses glaçons, et une cuillère qui rappelait sans le vouloir une des montres fondues de Salvador Dalí. Ma femme, Julie, a baptisé mon nouveau tiroir à couverts « l’île des ustensiles attardés ».
À ma décharge, l’impression 3D est étonnamment difficile – chose que ses partisans ne crient pas sur les toits. Il y a tant de choses qui peuvent mal se passer : le bec se bouche, la machine surchauffe, le support d’impression penche trop d’un côté… D’ailleurs, il existe des sites internet tels que le blog Epic 3D Printing Fail qui sont exclusivement dédiés aux photos de projets ayant mal tourné, souvent de façon très drôle. Je pense notamment à une boîte que j’assimilerais à un rejeton échappé du cerveau d’un Frank Gehry ivre mort.
C’est aussi excessivement lent. Une tasse à thé prend environ quatre heures à être imprimée, tout ceci avec un bruit de martèlement incessant. Quand j’ai essayé de concevoir et d’imprimer des dés pour remplacer ceux du jeu de Monopoly de mon fils, je me suis lancé dans une mission d’une journée complète. Mon fils a apporté une contribution utile à mon labeur en soulignant le fait qu’on pouvait passer commande en un clic sur Amazon.
Cela dit, j’ai fait des progrès en m’entraînant. Je suis particulièrement fier de mon verre à vin, avec son support en forme de cône. Je suis devenu obnubilé par le logiciel de graphisme, passant des heures à moduler des formes sphériques et à creuser des cylindres. J’ai téléchargé des centaines de formes gratuites (et ma femme a réussi à choper les boucles d’oreilles Tetris).
Je suis Dieu et j’évolue dans un univers en plastique bleu vif !
Je riais comme un enfant après chaque impression fructueuse : Oui, c’est moi qui ai créé ce rond de serviette ! Je peux tout faire. Je suis Dieu et j’évolue dans un univers en plastique bleu vif !
Le pouvoir peut mener au narcissisme.
Découvrez la suite de l’histoire « Pizza 3D » sur Ulyces.
Tout ce qui change dans Windows 10
Systèmes d'exploitation : Microsoft reste en tête, sauf sur mobile
Il y a désormais autant de cartes SIM que d’êtres humains
Les technologies « mains libres » dangereuses au volant
Comment télécharger et installer Windows 10 (version préliminaire) ?
Windows 10 surveille ses utilisateurs de très très près
Le Store de Windows 10 n'aura pas que des applications ModernUI
Les 10 voitures marquantes du Mondial de l'Auto 2014
Android : 50 applications gratuites indispensables
Avec SNCF Maps, on géolocalise les trains en temps réel
17 % des Français ne savent pas à quoi correspond la 4G selon Prixtel et Ipsos
L’application Nuit Blanche Paris 2014, l’indispensable des Parisiens
Amis noctambules, ce soir du 4 octobre a lieu la Nuit Blanche. Cette douzième édition sera marquée par de nombreuses performances artistiques, mais aussi par l’ouverture gratuite de certains musées.
Quoi de mieux pour se repérer dans la nuit qu’une application mobile ? Éditée par CityVox, l’application Nuit Blanche Paris 2014 n’a pas le mérite d’être d’une élégance folle, mais elle permet de visualiser les différentes opérations menées dans la Capitale ce soir et pendant la nuit. Sur une carte ou via une liste, tous les événements référencés sont accessibles, et ils sont assortis d’un petit descriptif vous permettant de vérifier si, oui ou non, il vous faudra parcourir encore deux kilomètres à pieds pour vous rendre dans cet obscur atelier d’artistes. Bonus : vous pouvez vous géolocaliser pour trouver les animations à proximité de l’endroit où vous vous trouvez, mais aussi les transports en commun disponibles. Vos pieds vous remercieront !
Indispensable ! L'application Nuit Blanche vous donne le programme et l'itinéraire du « IN » de la Grande Randonnée pour tout savoir et ne rien manquer de l'événement Nuit Blanche à Paris le 4 octobre 2014. 1/ Visualisez en un coup d'œil - en mode carte ou en mode liste...