Sébastien
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Test du Wiko Cink Five
Vous l’attendiez ? Voici notre test du dernier smartphone de Wiko, le Wiko Cink Five.
En quelques mots, le Wiko Cink Five est le successeur direct du Wiko Cink King que nous avions testé fin mars. Comparativement au Cink King, le Wiko Cink Five en reprend les principaux traits de design, cependant les bordures de l’écran s’avèrent beaucoup moins prononcées que celles de son prédécesseur.
Pour faire un rapide tour du propriétaire, le Wiko Cink Five propose une dalle IPS de 5 pouces en résolution HD (720 x 1280 pixels), un processeur quadricœur MediaTek MT6589 cadencé à 1,2 GHz, 1 Go de RAM, 4 Go en stockage interne, une caméra de 8 mégapixels, et une batterie de 2000 mAh. Le tout à moins de 199 euros.
Caractéristiques
Modèle |
Wiko Cink Five |
---|---|
Version | Android 4.1.2 Jelly Bean |
Écran | 5 pouces |
Résolution | 720 x 1280 pixels |
Technologie | Dalle IPS |
Densité de pixels | 320 ppp/ppi |
Traitement contre les chocs | Non |
Processeur (CPU) | MediaTek MT6589 (ARM Cortex-A7) Quad-Core à 1,2 GHz |
Chipset graphique (GPU) | PowerVR SGX544 @288 MHz |
Mémoire vive (RAM) | 1 Go |
Mémoire interne (ROM) | 4 Go |
Support microSD-HC | Oui jusqu'à 32 Go |
APN (Caméra) | 8 mégapixels |
Caméra frontale | 2 mégapixels |
Carte SIM | double-SIM standard |
WiFi - Wi-Fi Direct | Oui, a/b/g/n - Oui |
DLNA - Hostpot WiFi Hotspot Bluetooth - Hotspot USB |
Oui - Oui Oui - Oui |
Bluetooth | Bluetooth 4.0 |
Réseaux | HSPA+ (21 Mbit/s) |
NFC (Near Field Communication) | Non |
Boussole - GPS - Baromètre | Oui - Oui - Non |
Accéléromètre - Gyroscope | Oui - Oui |
Capteur de proximité et lumière | Oui - Oui |
Port micro-USB - HDMI | Oui - Non Compatible USB-OTG |
Tuner FM (Radio) | Oui |
Sortie jack 3,5 mm | Oui |
Amélioration sonores | Non |
Batterie | 2000 mAh |
Dimensions | 145 x 74 x 10.7 mm |
Poids | 158 grammes |
DAS | 0.639 W/Kg |
Prix conseillé | ~190 euros |
Contenu de la boîte
- un smartphone Wiko Cink Five
- une batterie de 2000 mAh
- un adaptateur secteur
- un câble USB <> Micro-USB
- un kit piéton filaire classique
- un manuel d’utilisation
Prise en main
La prise en main est perfectible, cependant il y a quelques progrès notables en termes de finition.
Écran tactile de 5 pouces en résolution HD (720 x 1280 pixels), accompagné d’une caméra frontale de 2 mégapixels au-dessus et des touches sensitives tactiles en dessous.
Je ne suis pas un maniaque de la propreté, enfin si un peu quand même… Que ce soit sur l’écran ou la coque arrière, on est forcé de constater que le smartphone à tendance à se salir bien trop vite, contre la joue lors d’un appel ou en utilisation lors de la navigation Internet, dans les applications et compagnie.
Quoi qu’il en soit, il faut souligner que le mobile tient relativement bien en main, peut-être pas aussi accrocheur qu’un Acer Liquid E2, mais il est possible de le maintenir à la verticale sans que l’on ait peur de le faire glisser.
Lorsque j’ai vu le design de la caméra dorsale, j’ai immédiatement pensé à l’époque Desire et Desire HD.
Bien que le but ne soit pas de le comparer aux mobiles haut de gamme, il faut tout de même souligner que les dimensions de 145 x 74 mm du Cink Five sont bien plus imposantes qu’un GS4 de 136,6 x 69,8 mm ou un HTC One de 137,4 x 68,2 mm, néanmoins on peut noter une légère amélioration face au King de 147 x 76,5 mm.
Face au King, il est moins fin mais plus léger :
- Cink Five : 10,7 mm d’épaisseur pour un poids de 158 grammes
- Cink King : 9,6 mm d’épaisseur pour un poids de 167 grammes
Même si cela ne casse pas des briques, la finition est, comme je vous le mentionnais, plus travaillée.
À sa tête, on trouve une entrée jack audio 3,5 mm et une seconde entrée micro-USB 2.0 (compatible USB-OTG).
Comme nous pouvons le voir, la coque avant est couverte d’un plastique brillant, là où elle est mate à l’arrière.
En soi, la coque arrière est plutôt souple, mais je ne m’amuserais pas à la tordre dans tous les sens.
Aucun circuit ou carte mère apparent (ou presque), la finition interne du Cink Five est sans reproche.
Une fois la façade ouverte, on retrouve la batterie de 2000 mAh, deux emplacements SIM et un emplacement micro-SD.
Voici une photo plus détaillée sur les différents composants accessibles sous la coque arrière.
Comme promis, le Cink Five propose une batterie amovible qui peut facilement être remplacée.
Une dernière vue d’horizon du smartphone Wiko Cink Five totalement dénudé.
Il y a du mieux, le produit n’est pas laid à regarder, cependant les traces de doigt restent bien trop visibles, et autant vous dire qu’elles reviennent assez rapidement, même après un nettoyage.
Qualité écran
Doté d’un écran haute définition, on peut dire que l’écran tactile est d’une qualité correcte, sans plus. Le Wiko Cink Five adopte une dalle IPS de 5 pouces d’une définition 720 x 1280 pixels pour 320 ppp/ppi.
Les angles de vision
Pour continuer sur les angles de vision, ils sont plutôt bons.
À la verticale autour des 160 degrés, l’écran reste parfaitement lisible.
Ainsi qu’à l’horizontale autour des 155/160 degrés pour les deux côtés.
Les couleurs et le contraste
En ce qui concerne les couleurs et le contraste, voici la liste des mobiles dans l’ordre :
Wiko Cink Five – Huawei Ascend Mate – Archos 53 Platinium
Du coté des blancs, inutile de dire que le Cink Five est clairement en retrait avec cet effet bleuté délavé.
Ensuite, le rouge est peut-être trop rouge sang, mais cela reste tout de même acceptable.
Un vert très bon, et même pratiquement semblable au Huawei Ascend Mate.
Du bleu ciel pour le Cink Five, là où les deux autres sont plus sur des bleus orienté nuit.
Un dégradé de blanc et noir, une fois de plus l’effet bleuté est bien lisible et le noir peu profond.
On peut également en conclure sur cette dernière aquarelle de couleurs.
Interface logicielle
Sur la partie logicielle, beaucoup d’utilisateurs ne resteront pas indifférents quant à l’interface constructeur très légère. Dans un sens, cela facilite la rapidité des mises à jour et dans un autre, cela allège aussi le système.
Installé sur Android 4.1.2 Jelly Bean, le Wiko Cink Five est basé sur le build ALPS.JB.SP.V1.
À plusieurs endroits dans le système, on peut remarquer quelques petits modifications, comme par exemple dans les paramètres où l’on peut constater le changement de couleurs des icônes normalement blanches.
Le dictaphone, une fonctionnalité de base que l’on retrouve dans la plupart des smartphones.
Il est possible de régler la qualité de la voix en trois formats (.ogg, .3gpp ou .amr), mais aussi sélectionner le mode d’enregistrement qui se définit également en trois options (Normale, Réunion et Lecture).
En plus de cela, le Dictaphone intègre également d’autres options complémentaires telles que l’annulation de l’écho, suppression du bruit et le contrôle de gain (degré du volume) automatique.
Comme pour tous les smartphones double-SIM, on retrouve une intégration logicielle très simple autour de la gestion de ses cartes SIM : sur quelle carte j’appelle, j’envoie un message ou me connecte à l’interface mobile ?
Il y a également une application dédiée à la radio FM, car oui, le Wiko Cink Five intègre un Tuner FM.
Du coté de la localisation GPS :
- Google Maps vous localisera à 20 mètres (au minimum)
- tandis que GPS Data est bien plus précis à 3 mètres autour de vous
Pour ce qui est de l’accroche réseau et communication téléphonique, cela reste acceptable dans les deux cas.
L’optimisation logicielle est satisfaisante, mais pas aussi bien optimisée qu’un Liquid E2. Par moment, il y a de petits délais quant à l’affichage des bureaux ou d’une application à la sortie de veille.
Photo et vidéo
Que l’on soit en photo ou en vidéo, on sent une nette amélioration quant au capteur dorsal de 8 mégapixels.
Qualité photo
En ce qui concerne les photos, elles sont plus lumineuses, plus contrastés et moins floues.
Selon les informations fournies par la caméra dorsale, il s’agit bien d’un capteur de 8 mégapixels avec une longueur focale de 3,5 mm et une ouverture de 2,4, capable de réaliser des photos en 3264 x 2448 pixels.
Exemple 1 (standard) :
Bien que ce soit encore un peu sombre, ce premier exemple montre une photo tout à fait acceptable.
Exemple 2 (standard) :
Sur un beau ciel bleu, voici le second exemple : détails sur la route bien distincts, phare de la voiture, etc.
Exemple 3 (HDR) :
On se croirait presque dans un rêve ! Il s’agit purement et simplement d’une photo HDR qui s’avère assez nette.
Exemple 4 (HDR) :
Pour le quatrième et dernier exemple, une autre démo en HDR dans le sens opposé. Même si le smartphone met un peu de temps à réaliser des photos en ce mode, il faut tout de même souligner que le résultat est probant.
Qualité vidéo
Autant dire qu’en vidéo, on rentre dans une nouvelle dimensions avec une qualité bien meilleure !
Sans plus attendre, voici un exemple rapide de l’enregistrement vidéo :
N’oubliez pas que choisir 1080p (Full-HD) pour la qualité de la vidéo.
Caméra frontale
Pour la caméra frontale, elle est également meilleure que le Cink King. Elle est capable de réaliser des photos en 1200 x 1600 pixels avec une ouverture de 2.8.
Les vidéos sont également correctes, mais sont limitées en SD (480 x 640 pixels).
Performances et autonomie
Performances
Pour cette comparaison, nous nous sommes efforcés d’être le plus équitable possible, étant donné que le Cink Five et Liquid E2 sont pratiquement identiques en termes de caractéristiques, sauf les résolutions qui diffèrent :
- Cink Five : écran de 5 pouces en résolution HD (720 x 1280 pixels)
- Liquid E2 : écran de 4,5 pouces en résolution qHD (540 x 960 pixels)
Pimentons un peu cette comparaison en ajoutant le troisième candidat qu’est le Cink King. De ce fait, nous allons pouvoir déterminer les performances de chaque produit, afin de voir lequel s’en sort le mieux :
- Cink Five : processeur quadricœur MediaTek MT6589 cadencé à 1,2 GHz (ARM Cortex-A7)
- Liquid E2 : processeur quadricœur MediaTek MT6589 cadencé à 1,2 GHz (ARM Cortex-A7)
- Cink King : processeur double-cœur MediaTek MT6577 cadencé à 1 GHz (ARM Cortex-A9)
Soulignons que les puces graphiques (GPU) diffèrent également :
- Cink Five : puce graphique PowerVR SGX544 cadencée à 288 MHz
- Liquid E2 : puce graphique PowerVR SGX544 cadencée à 288 MHz
- Cink King : puce graphique PowerVR SGX531 cadencée à 394MHz
Vous noterez que certains benchmarks du Cink King sont absents, mais les principaux sont là.
Linpack
Le premier test sur Linpack :
- Cink Five : 36.449 Mflops en Single Thread, puis 111.996 Mflops en Multi-Thread
- Liquid E2 : 37.21 Mflops en Single Thread, puis 126.532 Mflops en Multi-Thread
- Cink King : 37.951 Mflops en Single Thread, puis 61.737 Mflops en Multi-Thread
Quadrant & AnTuTu
Le second test a été réalisé sur les deux célèbres outils Quadrant et AnTuTu :
- Cink Five : 3664 pts sur Quadrant et 12 383 pts sur AnTuTu
- Liquid E2 : 3 946 pts sur Quadrant et 13 844 pts sur AnTuTu
- Cink King : 2 527 pts sur Quadrant et 6 212 pts sur AnTuTu
Nenamark1 & Nenamark2
Pour le troisième et avant-dernier test, voici un test sur Nenamark1 et Nenamark2 (2.4) :
- Cink Five : 46.0 fps sur Nenamark1 et 37.2 fps sur Nenamark2
- Liquid E2 : 47.0 fps sur Nenmark1 et 52.5 fps sur Nenamark2
Epic Citadel
Pour le second exemple sur Epic Citadel, le Liquid E1 est légèrement devant :
- Cink Five : 44.1 fps en High Performance
- Liquid E2 : 55.0 fps en High Performance
Pour conclure la partie performances, voici un tableau récapitulatif :
Wiko Cink Five |
Acer Liquid E2 |
Wiko Cink King |
|
---|---|---|---|
Linpack (Single Thread) | 36.449 Mflops | 37.21 Mflops | 37.951 Mflops |
Linpack (Multi-Thread) | 111.996 Mflops | 126.532 Mflops | 61.737 Mflops |
Epic Citadel | 44.1 fps | 55.0 fps | / |
Nenamark 1 | 46.0 fps | 47.0 fps | / |
Nenamark 2 | 37.2 fps | 52.5 fps | / |
AnTuTu | 12 383 pts | 13 844 pts | 6 212 pts |
Quadrant | 3664 pts | 3 946 pts | 2 527 pts |
Dans la majorité des situations, on remarque que le Liquid E2 s’en sort mieux. Le Wiko Cink Five reste très fonctionnel, malgré quelques rares latences, notamment au déverrouillage.
Autonomie
Pour cette dernière partie, nous allons clôturer sur les tests d’autonomie.
Comme certains d’entre vous le savent déjà, mes tests d’endurance se basent sur la durée et non la journée puisque, comme on le sait tous, l’utilisation varie d’un utilisateur à l’autre ; l’un ne va faire que du mail, tandis que l’autre va jouer ou faire aller sur le web. Bref. C’est imprécis.
Face au Liquid E2, je dois dire que j’ai tout de même bien été surpris quant à la ténacité du Cink Five en autonomie. Pourtant, il ne faut pas oublier que le Cink Five embarque un écran HD (720p), qui est censé consommer un peu plus qu’un écran qHD (560p) installé sur le Liquid E2, et encore plus que le Cink King (480p).
Si je devais donner un avis sur l’autonomie des Cink King et Cink Five, je confirmerais sans aucun doute que l’autonomie est bien meilleure sur le Wiko Cink Five. Lorsque MediaTek parlait de son fameux Quad-Core basé sur un SoC ARM Cortex-A7, ce n’était clairement pas du flanc ; preuve avec le test du Liquid E2.
Au lieu de le mettre à 50% en test vidéo, cette fois et pour toutes les prochaines fois, j’ai décidé de mettre la luminosité de l’écran à 100% (le maximum), afin de se faire une réelle idée en autonomie. Au premier abord, le Wiko Cink Five s’en sort plutôt bien, et ce même s’il abrite une batterie de seulement 2000 mAh :
- 1h06 à 80% en vidéo (luminosité à 100%, réseau mobile, 3G/WiFi activés)
- 8h28 à 56% en musique (écran éteint, réseau mobile et WiFi activés)
Convaincu ? Moi je le suis, reste à voir ce que donne le mobile après deux ou trois mois d’utilisation.
Conclusion
Petit bémol également pour le taux de retour sur ce type de produits. WIko est une marque jeune qui connaît des soucis de suivi de produits et de SAV.
- Bonne réactivité de l'écran
- Batterie amovible facilement remplaçable
- Interface constructeur rapide et légère
- Emplacement micro-SD
- Support natif double SIM (matériel et logiciel)
- Haut-parleur de qualité correcte
- Bonne tenue en main
- LED de notification
- Écran moyen, les blancs et les noirs sont mauvais
- Traces de doigts trop visibles
- Design '
- Quid du SAV de Wiko ?
Disponibilité
Le smartphone Android Wiko Cink King est disponible chez :
- chez Cdisount à 186,19 euros
- chez RueDuCommerce à 189 euros
- chez Amazon à 189 euros
- chez Darty à 190 euros
- chez Materiel.net à 192,95 euros
- chez Top Achat à 194,90 euros
- chez LDLC à 199 euros
- chez Fnac à 199,90 euros
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Évidemment, toutes les applications citées ici sont compatibles avec les smartphones de toutes les marques, comme Samsung, Google, Xiaomi, OnePlus, Oppo, Realme, etc.
Rappelons qu’il s’agit ici de notre sélection et non d’une liste exhaustive. N’hésitez pas à proposer vos alternatives dans les commentaires.
Les meilleurs claviers Android
Google Gboard : la référence
Gboard, la solution de Google est rapidement devenue LA référence en la matière. L’application est très régulièrement mise à jour pour apporter des nouveautés et elle propose déjà de nombreuses fonctionnalités comme le swipe, la prédiction très efficace des mots et évidemment des options de GIF, stickers et de recherche bien complètes. En plus de cela, vous pouvez choisir parmi de nombreux thèmes de personnalisation. Que demander de plus ?
Swiftkey : la meilleure alternative gratuite
Swiftkey est l’un des plus populaires claviers alternatifs du marché. Racheté par Microsoft en 2016, le clavier est connu et reconnu pour son moteur de suggestions prédictives très performant et son écriture par gestes nommée « flow ». Au fil des mises à jour, Swiftkey a gagné beaucoup de nouvelles fonctions, notamment l’intégration des GIF et de nombreuses personnalisations (forme du clavier, taille des touches, thèmes, etc.).
Si vous vous ennuyez en attendant les réponses de vos interlocuteurs, alors c’est vers Ginger qu’il faut se tourner. Ce clavier intègre en effet des petits jeux, une solution idéale pour passer le temps. Pour les émojis et le côté un peu kitsch, mais rigolo, on se tournera plutôt vers Kika qui reste complet en plus d’être coloré.
Flesky : le clavier respectueux de la vie privée
On mettra également en lumière le clavier Fleksy qui a le mérite de proposer des interactions très particulières. Pour faire apparaître les chiffres, passer aux majuscules ou utiliser la ponctuation, il faut faire glisser le doigt sur l’écran. Un petit temps d’adaptation est nécessaire pour prendre le pli, mais, si vous souhaitez un peu d’originalité, cela en vaut la peine ! Aussi, cette app promet de respecter votre vie privée en n’enregistrant aucun mot que vous tapez : tout reste sur votre téléphone.
AnySoft Keyboard : le clavier open source
AnySoft Keyboard nous a été recommandé dans les commentaires par Certes. Il a la particularité d’être open source (le code source est disponible sur Github) et d’être à la fois disponible sur le Google Play Store, mais aussi sur F-Droid, l’une des alternatives à la boutique de Google.
L’application propose pas mal d’options et de modularité, mais pèche un peu par son moteur de suggestion un peu moins poussé. Le prix à payer pour un clavier qui respecte totalement la vie privée de ses utilisateurs.
Si vous avez la moindre difficulté pour installer votre clavier, n’hésitez pas à suivre notre tutoriel dédié expliquant comment changer de clavier sur Android.
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La photo, Internet et les mails, premiers usages des Français sur les smartphones
Les Français utilisent leurs smartphones pour téléphoner mais également (et surtout) pour prendre des photos, naviguer et consulter leurs courriers.
Une étude assez complète et amusante de Surikat/Ifop* dévoile plusieurs éléments intéressants sur les habitudes des Français quant à l’usage des smartphones. A ce titre, on apprend que la majorité des mobinautes de l’Hexagone (53 %) ont un smartphone Android, alors que 27 % ont un iPhone et 5 % un smartphone sous Windows Phone.
L’étude a également constaté que les Français n’utilisaient (heureusement) pas leurs smartphones uniquement pour appeler et envoyer des messages. Ils sont tout de même 98 % à utiliser leur device pour prendre des photos, 95 % pour aller sur Internet et 92 % pour consulter leurs mails. A noter que 77 % parmi nous prennent des notes sur leurs smartphones et 84 % se géolocalisent grâce à leur appareil.
En termes d’applications, le document révèle que 57 % des mobinautes sous Android disposent de plus de 10 applications sur leur téléphone. Un chiffre qui contraste avec les 87 % d’utilisateurs de l’iPhone qui ont le même nombre d’applications.
Les Français, ces publiphobes…
Ces applications sont essentiellement tournées vers les services. En effet, l’étude démontre que 73 % des Français utilisent moins de cinq applications par jour dont la première du classement est celle relative à la consultations des mails (51 %). Vient ensuite la consultation de la météo pour 42 % des utilisateurs français de smartphones. Puis enfin les applications d’actualités, qui intéressent 33 % des Français.
Les mobinautes français semblent également être publiphobes puisqu’ils déclarent à 87 % être gênés par la publicité en ligne. A ce propos, ils sont à peine 33 % à avoir cliqué sur une publicité sur leur téléphone, dont près de la moitié déclare avoir cliqué par erreur. Il préconisent donc des petites bannières en bas de l’écran, n’occupant pas plus de 25 % de la dalle. Annonceurs, vous êtes prévenus !
* Etude réalisée sur un échantillon de 1003 personnes, représentatif des possesseurs de smartphones en France et âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région.
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