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19 Jul 16:34

Surface Pro / Galaxy Book : quelle est la meilleure tablette hybride ?

Surface Pro de Microsoft ou Galaxy Book de Samsung : laquelle des deux tablettes hybrides, qui s'affichent finalement à un prix assez proche et offrent des performances similaires, vaut vraiment le coup ?
19 Jul 16:04

Avast met la main sur l’éditeur de CCleaner

by Clément Bohic
La société britannique Piriform, à l'origine de l'outil de nettoyage CCleaner, tombe dans l'escarcelle de l'éditeur tchèque Avast.
18 Jul 21:14

Emmanuel Macron promet-il vraiment le très haut débit pour tous dès 2020 ?

Le président prétend avancer de deux ans son objectif de couvrir toute la population française en THD. Sauf qu’il ne s’agira peut-être plus d’apporter du 30 Mbit/s. Explications.

18 Jul 17:16

Vacances : voici les meilleurs forfaits pour partir à l'étranger

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15 Jul 17:48

Wi-Fi n, ac, ad, ax… : tout savoir sur le réseau sans fil et ses débits

by Vincent Sergère

Le Wi-Fi est partout : des ordinateurs aux montres connectées en passant par les smartphones et les tablettes, mais tous les réseaux sans-fil ne se valent pas. Que l’on parle de Wi-Fi n, ac, ad ou de Wi-Fi 5, 6 ou 7, il est parfois difficile de comprendre les différences entre les normes. Voici notre guide pour tout comprendre sur le Wi-Fi.

Mise à jour du dossier en novembre 2018 pour prendre en compte la nouvelle nomenclature.

Le Wi-Fi a vu le jour à la fin des années 90. À l’époque, on ne parlait pas encore de Wi-Fi, mais on trouvait l’AirPort d’Apple dans l’iBook en 1999. Quelques années plus tard, le terme Wi-Fi se généralisait pour l’ensemble des normes 802.11 dont la certification est prise en charge par la WECA (devenue Wi-Fi Alliance). Le Wi-Fi couvre de nombreuses normes différentes qui ont toutes le préfixe 802.11. Un suffixe sous forme de lettre permet de distinguer les normes entre elles. Pour les particuliers, on parle de sept générations différentes : 802.11a/b/g/n/ac/ad/ax. Chacune représente une évolution par rapport à la précédente. Intéressons-nous de plus près à leurs spécificités !

802.11 Bande de fréquence Débit théorique maximal Portée Congestion Largeur canal MIMO
a (WiFi 1) 5 GHz 54 Mbps Faible Faible 20 MHz Non
b (WiFi 2) 2,4 GHz 11 Mbps Correcte Elevée 20 MHz Non
g (WiFi 3) 2,4 GHz 54 Mbps Correcte Elevée 20 MHz Non
n (WiFi 4) 2,4 GHz 288 Mbps Bonne Elevée 20 MHz Non
n (WiFi 4) 5 GHz 600 Mbps Correcte Faible 20 ou 40 MHz Oui
ac (WiFi 5) 5 GHz 5 300 Mbps Correcte Faible 20, 40, 80 ou 160 MHz Oui
ad 60 GHz 6 757 Mbps Très faible Faible 2 160 MHz Oui (+MU-MIMO)
ax (WiFi 6) 2,4 et 5GHz 10 530 Mbps Correcte Très faible 20, 40, 80 ou 160 MHz

Comme on peut le voir dans le tableau ci-dessus, il existe énormément de débits théoriques différents. Avant d’entrer davantage dans les détails, il faut noter que le débit relevé en pratique est largement inférieur au débit théorique maximal. Cela est dû au fonctionnement du protocole 802.11. De plus, le débit est fortement dépendant de la distance entre les appareils, mais également des obstacles (comme les murs) qui se dressent sur le passage. Dans le meilleur des cas, il faut compter sur un débit pratique environ deux fois inférieur au débit théorique. Et dans le pire des cas (murs, interférences), le débit peut littéralement s’effondrer jusqu’à une perte de signal.

Wi-Fi 2 (802.11 b) : les débuts

Le Wi-Fi a donc fait ses débuts en 1999 avec les normes 802.11a (WiFi 1) destinée à l’entreprise et 802.11 b destinée aux particuliers. Le Wi-Fi B exploite la bande des 2,4 GHz et une modulation DSSS avec laquelle il plafonne à 11 Mb/s. Le Wi-Fi A exploite quant à lui la bande des 5 GHz et une modulation OFDM qui lui permettent d’atteindre 54 Mb/s.

Rappelons, et c’est une vérité générale, que plus la fréquence est basse, plus le signal porte, mais en contrepartie plus il est soumis aux interférences. Non seulement aux interférences d’autres réseaux Wi-Fi, en l’occurrence, mais aussi et surtout à celles d’autres signaux, la bande des 2,4 GHz étant aussi celle du Bluetooth, des téléphones sans-fil DECT et… des micro-ondes.

Wi-Fi 3 (802.11g) : l’unification

Le Wi-Fi G remplace à lui seul les Wi-Fi A et B en 2003. La norme IEEE 802.11g associe effectivement la modulation OFDM plus performante du Wi-Fi A à la bande de fréquences 2,4 GHz du Wi-Fi B, ce qui permet d’offrir au grand public le débit maximal théorique de 54 Mb/s du Wi-Fi A, avec la portée supérieure du Wi-Fi B, tout en assurant la rétro-compatibilité avec les équipements Wi-Fi B pré-existants.

Le Linksys WRT54G, routeur Wi-Fi emblématique de l’ère Wi-Fi G

Wi-Fi 4 (802.11n) : la montée en débit

L’IEEE 802.11n est une révision majeure qui décuple littéralement le débit maximal théorique. La norme apporte pour ce faire deux évolutions : la technologie MIMO et une bande passante doublée.

Le Wi-Fi N peut fonctionner avec une bande de 20 MHz de large, comme auparavant — auquel cas il délivre un maximum de 72,2 Mb/s — et désormais de 40 MHz de large. Le débit étant proportionnel à la bande passante, comme avec la 4G, un flux de 40 MHz est deux fois plus rapide qu’un flux de 20 MHz, soit 150 Mb/s.

Le cas du MIMO

MIMO signifie Multiple Input Multiple Output. Comme son nom l’indique, cette technologie permet au Wi-Fi d’exploiter simultanément plusieurs flux. On parle par exemple de MIMO 2×2 pour deux antennes en émission et deux en réception, ce qui double le débit par rapport à une configuration sans MIMO, soit 300 Mb/s avec 40 MHz. Le Wi-Fi N peut atteindre du MIMO 4×4, soit un maximum absolu de 600 Mb/s.

Wi-Fi 5 (802.11ac) : jusqu’à 2600 Mb/s

Le Wi-Fi AC multiplie encore les débits en améliorant chacune des techniques de transmission employée :

  • compte tenu de la largeur de canal, le Wi-Fi AC ne fonctionne que sur la bande des 5 GHz, les points d’accès basculent en Wi-Fi N sur la bande des 2,4 GHz
  • le beamforming, qui permet aux points d’accès d’orienter les ondes vers les terminaux, est désormais standardisé
  • la modulation passe du 64QAM au 256QAM, ce qui augmente la bande passante de 25%
  • nouvelles largeurs de canal de 80 MHz et de 160 MHz, ce qui double et quadruple la bande passante par rapport aux 40 MHz maximum du Wi-Fi N
  • jusqu’à 8 flux en MIMO, ce qui double encore la bande passante par rapport aux 4 flux maximum du Wi-Fi N
  • prise en charge du Multi-user (le MU de MU-MIMO), qui permet aux points d’accès de communiquer avec plusieurs terminaux simultanément, plutôt que tour à tour (à très haute fréquence)

L’IEEE a spécifié le 802.11ac, mais la Wi-Fi Alliance a certifié les appareils en deux vagues.

  • On a donc vu les premiers appareils 802.11ac Wave 1 dès 2014. Limités au Single User et à 3 flux de 80 MHz, ils délivraient déjà une bande passante maximale de 1300 Mb/s (433 Mb/s par flux de 80 MHz)
  • Depuis 2017, on trouve des produits 802.11ac Wave 2 compatibles Multi User avec 4 flux de 80 MHz, qui permettent d’atteindre 1733 Mb/s par appareil. Certains appareils revendiquent 2166 Mb/s voir 5330 Mb/s, mais c’est avec une modulation 1024QAM qui n’est pas standardisée, ce qui peut poser des problèmes d’interopérabilité entre équipements de marques différentes.

Un routeur « AC5300 » (addition des débits sur 3 bandes) bardé d’antennes

Wi-Fi 802.11ad : le très haut débit à très courte portée

Vient ensuite le Wi-Fi AD, qui n’est pas tant le successeur du Wi-Fi AC qu’une norme complémentaire. L’IEEE 802.11ad a d’ailleurs été ratifié avant l’IEEE 802.11ac et jouit de sa propre WiGig Alliance, littéralement « alliance pour le sans-fil Gigabit ».

Comme son nom l’indique, le WiGig atteint avec un seul flux des débits exprimés en gigabits par seconde. Il fonctionne pour ce faire à très haute fréquence, sur la bande des 60 GHz, avec une largeur de canal de… 2160 MHz. Le Wi-Fi AD ne traverse donc pas les murs, il peut tout juste se réfléchir contre les surfaces pour atteindre des appareils en vue indirecte. Sa portée maximale est de 10 mètres.

En pratique, un mode Single Carrier offre un débit maximal de 4,6 Gb/s, et un mode OFDM triple bande exploitant aussi les bandes 2,4 et 5 GHz offre un débit maximal de 7,2 Gb/s.

En 2017, le WiGig sert essentiellement à concevoir des stations d’accueil sans fil pour ordinateurs portables professionnels. Les débits très élevés permettent de raccorder un ou deux écrans et des périphériques USB. Pour les réseaux locaux, on se contente encore du Wi-Fi AC.

Wi-Fi 6 (802.11ax) : libérer le réseau

La version définitive de la norme 802.11ax n’est pas attendue avant 2019, mais les fabricants proposent déjà des solutions basées sur un brouillon (802.11ax draft 2.0).

Cette nouvelle évolution du Wi-Fi doit permettre de dépasser les 10 Gb/s tout en gardant une compatibilité avec les deux fréquences des précédentes versions : 2,4 et 5 GHz.

Développée avec l’IoT et les smartphones en tête, cette norme doit réduire la consommation énergétique et donc augmenter l’autonomie de nos appareils.

L’objectif de cette nouvelle génération est également d’améliorer la gestion des réseaux denses, c’est à dire principalement les lieux publics où peuvent circuler plusieurs dizaines voir plusieurs centaines d’appareils mobiles. Un cas d’usage auquel ne répondait pas le Wi-Fi 802.11 ac.

La compatibilité entre toutes ces normes

Dans le meilleur des mondes, toutes ces normes seraient compatibles entre elles. Malheureusement, nous sommes dans le monde de l’informatique, et l’interopérabilité entre toutes les normes est parfois délicate. Tout d’abord, si le routeur est configuré sur la bande des 5 GHz, il ne sera pas visible par les appareils de la bande des 2,4 GHz et vice versa. Pour outrepasser cette limitation, la plupart des routeurs sont dual-band pour que l’utilisateur puisse configurer deux réseaux Wi-Fi différents : un sur la bande des 2,4 GHz et un autre sur celle des 5 GHz.

wifi

Mis à part cette contrainte, toutes les normes Wi-Fi évoquées dans cet article sont rétrocompatibles entre elles. Du moment que les deux appareils sont situés sur la même bande de fréquence, l’appareil qui supporte la norme la plus récente (ou plus performante) s’adaptera à la norme la plus ancienne (ou moins performante). Par exemple, un smartphone Wi-Fi 802.11g pourra se connecter à un routeur ac si ce dernier est dual-band et possède donc un réseau sur la bande des 2,4 GHz.

Et dans la pratique ?

Toutes ces normes et ces débits théoriques sont bien jolis, mais dans la pratique, qu’est-ce que ça donne ? Comme nous l’avons déjà abordé dans l’article, par rapport au débit théorique, le débit pratique est à peu près divisé par deux, même si l’appareil se trouve à côté du routeur. Aujourd’hui, la bande de fréquences 2,4 GHz est souvent saturée, en particulier en milieu urbain, et les appareils Wi-Fi 802.11g et n qui l’utilisent seront donc souvent limités aux tâches les plus simples : chargement de page web et streaming de musique.

Avec un smartphone ou une tablette, les usages s’orientent de plus en plus vers le visionnage de contenu vidéo. Dans ce cas, en particulier pour des vidéos HD, le Wi-Fi 802.11n 5 GHz peut se révéler nécessaire afin d’éviter les micro-coupures. De plus, si vous avez la fibre, votre connexion Internet propose au moins du 100 Mb/s. Il serait donc dommage de la brider avec du Wi-Fi trop lent. Le débit théorique du Wi-Fi 802.11n étant limité à 70 Mb/s, il faudra donc au moins du Wi-Fi 802.11ac pour profiter pleinement de la fibre.

Orange TV Livebox 4 (6 sur 7)

La Livebox d’Orange

À lire sur FrAndroid : Test de Google Wifi : simple et efficace, excessivement

Le Wi-Fi sur les ordinateurs et smartphones

Concernant les ordinateurs portables, la situation est un peu différente puisqu’ils intègrent souvent plusieurs antennes. Les plus haut de gamme comme les MacBook Pro 15 pouces avec touch bar intègrent trois antennes, ce qui permet d’atteindre les 1300 Mb/s théoriques. Mais le MacBook Pro 13 pouces sans touch bar, lui n’intègre que 2 antennes et se voit donc limité à 867 Mb/s théoriques.

En tout cas, pour profiter de ces 3 antennes, il faut également que le routeur supporte lui aussi les 3 flux spatiaux, ce qui n’est pas le cas de toutes les box des opérateurs. En effet, seule la Livebox 4 supporte le MU-MIMO avec 4 antennes en réception sur la bande 5 GHz. Dans les autres cas, il vous faudra acheter un routeur compatible, dont le prix peut vite grimper.

Au final, à moins d’être prêt à acheter un routeur compatible et avoir des besoins énormes en débit le Wi-Fi 802.11ac dans sa forme la plus simple, sans surenchère d’antennes, représente pour le moment le meilleur compromis en terme de débit-prix.

À lire sur FrAndroid : Tout sur le Bluetooth : objets connectés et geomarketing

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Fibre, ADSL : quelle est la meilleure offre Internet fixe en 2022 ?

by Julien Cadot

Bien choisir sa connexion à Internet n'est pas chose aisée. Les FAI (SFR, Orange, Free, Bouygues, etc.) sont nombreux, les offres sont confuses et les technologies sont camouflées derrière des sigles parfois obscurs. Et même après avoir compris tout cela, il faut se poser les bonnes questions. Nous répondrons à toutes vos interrogations avec un comparateur des meilleures offres et une FAQ informée, qui vous guidera vers le forfait le plus adapté à vos besoins.  [Lire la suite]

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14 Jul 21:23

Google Drive : comment sauvegarder son ordinateur en ligne

by Romain Heuillard

Plus qu’un service de stockage en ligne, Google Drive devient un service de sauvegarde pour ordinateur, avec le lancement d’une application « Backup & Sync » pour Mac et PC. Voici un tutoriel.

Qu’est-ce que le programme de sauvegarde et de synchronisation de Google ?

Google a lancé en juillet 2017, avec un peu de retard sur le calendrier, l’application « Sauvegarde et synchronisation » pour Windows et macOS. Elle permet d’importer ses photos et ses fichiers sur son compte Google Drive, pour les sauvegarder (panne, perte, vol) et pour les consulter depuis plusieurs appareils.

Elle remplace à ce titre les deux applications de synchronisation existantes, l’une dédiée aux photos, l’autre aux fichiers. Et contrairement à cette dernière qui se limitait au seul dossier « Google Drive », à la manière de Dropbox, la nouvelle application permet d’importer n’importe quel dossier de l’ordinateur, ou même un disque dur entier, à la manière de Backblaze ou de Crashplan.

Tarifs des forfaits Google Drive

Google Drive est ainsi l’un des rares services, avec SugarSync, à combiner sauvegarde et synchronisation. Dans ces conditions on dépasse rapidement les 15 Go gratuits d’un compte Google, il faut souscrire un forfait de stockage Google Drive :

Volume Prix
15 Go Gratuit
100 Go 2 €/mois
1 To 10 €/mois
2 To 20 €/mois
10 To 100 €/mois
20 To 200 €/mois
30 To 300 €/mois

À lire aussi : Amazon Drive tue le stockage illimité, voici les alternatives

Comment sauvegarder son ordinateur sur Google Drive ?

Voici comment sauvegarder et synchroniser sur les serveurs de Google des photos, des vidéos et toutes sortes de fichiers en provenance de votre ordinateur :

1. Téléchargez et installez le logiciel « Sauvegarde et synchronisation » depuis le site internet de Google Drive

2. Connectez-vous à votre compte Google

3. Sélectionnez les dossiers de l’ordinateur à « sauvegarder en continu » dans Google Drive. L’application sélectionne automatiquement votre Bureau, votre dossier Documents et votre dossier Images. Vous pouvez ajouter d’autres dossiers ou des volumes entiers. Malheureusement, à l’heure où nous écrivons ces lignes, il est impossible d’exclure des sous-dossiers d’un dossier.

4. Choisissez comment importer vos photos : par défaut, votre photothèque est importée sur Google Drive, mais pas sur Google Photos. Vous pouvez cocher la case correspondante si vous le souhaitez, et choisir si vos photos sont importées dans leur qualité d’origine, auquel cas l’espace est décompté de votre forfait, ou si vous souhaitez les recompresser et bénéficier d’un stockage gratuit illimité.

5. Cliquez sur « Paramètres du réseau » si vous souhaitez limiter la vitesse à laquelle les fichiers sont importés. Nous recommandons aux abonnés à l’ADSL de limiter le débit montant à 80 % de leur débit maximal, afin de ne pas saturer la connexion. Attention aux conversions : 1 Mb/s est égal à 125 ko/s, et non à 1000 ko/s (1 octet contient 8 bits).

6. Choisissez si vous souhaitez synchroniser le dossier Mon Drive. Celui-ci présente encore l’intérêt de permettre de synchroniser le même dossier sur plusieurs appareils. En effet, il est malheureusement impossible de relier le dossier « Documents » de votre ordinateur fixe au dossier « Documents » de votre ordinateur portable, comme le proposent iCloud ou SugarSync.

7. Cliquez sur « Démarrer ». L’application réside dans la barre des tâches. Elle permet de consulter l’avancée des imports, l’espace de stockage utilisé, et d’ouvrir le dossier Google Drive sur l’ordinateur, Google Drive sur le web ou Google Photos sur le web.

Après quelques heures ou quelques jours, selon la quantité de données à sauvegarder et le débit en émission de votre connexion à internet, vos données seront accessibles de n’importe quel appareil, par le biais des nouveaux sous-dossiers « Ordinateurs » des applications Google Drive sur le web, sur smartphone et sur tablette.

À lire sur FrAndroid : Apple iCloud désormais moins cher que Google Drive, qui l’eut cru ?

10 Jul 10:22

Windows 10 va (enfin) limiter la bande passante réservée aux mises à jour

À la sortie de la Fall Creators Update, Windows 10 sera capable de gérer avec précision la récupération des mises à jour. Microsoft répond à l’une des critiques les plus souvent formulées contre son système, qui avait tendance à aspirer une bonne partie de la bande passante.

09 Jul 12:00

Test du Sony Xperia Touch : que vaut le gadget qui transforme une surface en tablette tactile ?

by Omar Belkaab

Nous avons testé le Sony Xperia Touch, un projecteur impressionnant qui permet d’utiliser n’importe quelle surface (telle qu’une table) comme d’une tablette tactile. L’appareil est très enthousiasmant du point de vue de l’innovation qu’il propose, mais à l’usage quotidien, est-il aussi bon qu’il le prétend ?

Présenté lors du MWC de Barcelone, le Sony Xperia Touch a de quoi donner envie à toute personne un minimum intéressée par les technologies. Ce projecteur permet de transformer des surfaces planes en tablettes tactiles. Autrement dit, vous pouvez naviguer dans une interface en tapotant directement sur votre bureau ou même sur le sol (sait-on jamais).

Le constructeur nous a prêté l’objet dans le cadre de ce test. Nous vous livrons ici notre avis sur le Xperia Touch.

Fiche technique

Modèle Sony Xperia Touch
Version de l'OS Android
Définition 1366 x 768 pixels
SoC Snapdragon 650
Mémoire vive (RAM) 3 Go
Appareil photo (dorsal) 13 Mégapixels
Réseau Non
Dimensions 134 x 143 x 69 mm
Poids 932 grammes
Prix 1499 euros
Fiche produit

Design

Le Sony Xperia Touch est un boîtier au design assez classique. L’objet dispose d’une forme rectangulaire aux angles arrondis. La majorité de la surface est une couche gris métallique et quadrillée qui laisse passer le son. Les deux côtés de l’appareil sont noirs et sont couverts d’une plaque en verre.

À l’avant, on peut voir la fenêtre qui laisse passer la lumière du projecteur, tandis que la face arrière loge le tiroir de la carte microSD et les ports USB Type-C pour la recharge et HDMI. Au-dessus se trouvent le bouton d’allumage, la caméra et les touches capacitives pour contrôler le volume du son.

Les boutons de contrôle sont au-dessus.

Esthétiquement, le Xperia Touch ne devrait pas avoir de mal à s’insérer dans un salon ou dans une autre pièce de la maison. Il y a toutefois un bémol de taille : le câble d’alimentation de l’appareil est extrêmement court. Il vous faudra absolument une rallonge pour l’utiliser confortablement.

Pour les dimensions, le boîtier fait 134 mm de hauteur pour 143 mm et 69 mm en longueur et largeur. L’objet pèse mine de rien son petit poids : 932 grammes. Il n’est cependant pas compliqué à transporter. Enfin, en utilisation, le Xperia Touch souffle légèrement. Si vous habitez dans un environnement particulièrement silencieux, le bruit se fait sensiblement entendre, mais il est très loin d’être assourdissant.

Un câble trop court.

Tiroir microSD.

Logiciel

Le Sony Xperia Touch tourne sous Android 7.0 Nougat et bénéficie du patch de sécurité de mai 2017 (nous l’avons testé en juillet). On peut espérer que les mises à jour sécuritaires seront régulièrement effectuées. La partie logicielle repose sur l’interface maison du constructeur. Quelques applications sont ainsi préinstallées, mais l’expérience globale est intuitive et sobre.

Notez que vous pouvez utiliser le widget Tableau pour écrire des notes manuscrites. N’espérez toutefois pas réaliser de jolis dessins, vous n’obtiendrez jamais la finesse des traits d’un stylet.

Le tout est fluide. Je n’ai pas observé de latence particulière due à l’interface. Notez par ailleurs qu’il y a 32 Go d’espace de stockage et que vous pouvez ajouter une microSD.

Petite note pour ne rien oublier.

Usage au quotidien

Sur une surface plane, le Xperia Touch est un plaisir à utiliser. L’appareil répond au moindre mouvement et on se prend vraiment au jeu du délire futuriste de servir d’une table lambda comme d’une tablette tactile. C’est précis et on peut passer de longues heures à naviguer sur l’image projetée sur une table. Évitez les surfaces noires qui ne sont évidemment pas compatibles avec le projecteur puisqu’on ne voit pas grand-chose. Les matériaux qui ne glissent pas bien sont également à prescrire (une vieille table en bois par exemple), car le doigt ne glisse pas bien dessus.

Par ailleurs, vous aurez souvent besoin de pousser la luminosité à fond. L’ayant utilisé majoritairement dans des pièces modérément éclairées, j’ai trouvé que le Xperia Touch était un peu faiblard à ce niveau-là. Mais dans l’ensemble l’expérience est très agréable.

La luminosité est ici poussée à fond, mais à cause de la grande fenêtre ouverte à proximité, on ne voit pas très bien.

Se regarder soi-même en vidéo n’est pas particulièrement plaisant.

Vient ensuite le moment où l’on essaie de projeter l’image du Xperia Touch sur un mur. Pour cela, il faut retourner l’objet et le redresser à la verticale. La caméra du boîtier (de 13 mégapixels) peut ainsi détecter quand vous êtes à proximité et s’activer automatiquement. Jusque là, je n’ai pas remarqué de problème. Pas besoin d’essayer de naviguer dans l’interface en appuyant sur le mur : le fabricant précise bien que les options tactiles sont désactivées.

Néanmoins, lors du MWC, Manu avait eu l’occasion d’utiliser le Xperia Touch en restant à distance. Sur le stand du constructeur, il lui suffisait simplement de lever le doigt pour que sa main soit détectée et ainsi faire apparaitre un curseur sur l’image. En faisant quelques gestes de la main, il pouvait naviguer dans l’interface.

L’affichage projeté sur le mur.

J’ai voulu reproduire la même chose… en vain. Le Xperia Touch s’allume bel et bien quand il détecte que je suis à proximité et affiche ainsi l’écran verrouillé sur le mur. L’appareil peut de ce fait servir d’horloge murale et permet de voir si l’on a reçu des notifications. Néanmoins, à aucun moment il n’a réagi au mouvement de ma main. Je me suis donc retrouvé à gesticuler dans tous les sens sans aucun résultat.

Il ne semble donc pas possible (pour l’instant ?) de pouvoir naviguer dans l’interface quand le Xperia Touch est posé à la verticale. J’ai contacté Sony à ce sujet, mais j’attends encore leur retour. En attendant je vous conseille donc vivement de vous en servir sur une surface horizontale.

Par ailleurs, faites attention à ne pas trop bouger le support sur lequel vous avez posé le projecteur. En effet, un léger mouvement suffit parfois à le perturber. Il est alors obligé de s’éteindre quelques secondes avant de se relancer. Rien de bien grave, mais il s’agit d’un détail bon à savoir.

Qualité de l’image

Comme mentionné plus haut, l’affichage de l’image manque de luminosité — Sony parle pour sa part de 100 lumens. En dehors de cela, notez que la définition est de 1 366 x 768 pixels et que la diagonale varie de 23 à 80 pouces.

Un autre détail m’a chiffonné et relève de la projection laser qui provoque un effet arc-en-ciel désagréable. Reste à savoir si cela vous dérangera ou non.

Performances

Du côté des performances, le Xperia Touch n’est pas excellent, mais il reste correct dans ce qu’il propose. C’est parfait pour jouer à des jeux très simples, tels que Fruit Ninja. Par contre, il a un peu de mal à afficher une belle fluidité dès que l’application est plus gourmande, comme sur Asphalt 8 Airborne. Sur ce jeu, il a d’ailleurs même planté une fois, sans aucune raison — j’étais par ailleurs en train de doubler le premier de la course au moment la machine m’a lâché. Je l’ai mauvaise.

Être nul à Fruit Ninja…

Précisons que le Xperia dispose d’un Snapdragon 650 couplé à 3 Go de RAM LPDDR3. Aux benchmarks, on retiendra qu’il s’en sort honorablement, mais sans folie.

  Sony Xperia Touch
SoC Snapdragon 650
AnTuTu 80 177 points
3DMark Sling Shot Extreme 886 points
3DMark Sling Shot Extreme (Graphics) 780 points
3DMark Sling Shot Extreme (Physics) 1 683 points
3DMark Ice Storm Unlimited 18 262 points
3DMark Ice Storm Unlimited (Graphics) 21 254 points
3DMark Ice Storm Unlimited (Physics) 12 223 points
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) 12 / 5,9 FPS
GFXBench Manhattan (onscreen / offscreen) 27 / 15 FPS
GFXBench T-Rex (onscreen / offscreen) 44 / 32 FPS

Autonomie

La capacité de la batterie n’est pas indiquée dans la fiche technique du Xperia Touch. Le constructeur précise seulement que l’appareil a plus ou moins une heure d’autonomie en lecture vidéo. Ce n’est pas grand-chose. Et cela se fait d’ailleurs ressentir à l’utilisation.

Sans le câble d’alimentation, on peut voir le niveau de batterie fondre comme neige au soleil. Et ce, en lançant seulement quelques applications dessus. Le projecteur a vraiment plus vocation à être utilisé en étant constamment branché sur secteur.

Prix et disponibilité

Le Sony Xperia Touch est disponible en exclusivité chez Orange et GLD pour un prix de 1 499,99 euros. Difficile d’imaginer que la foule se pressera pour se procurer cet objet pour un tarif aussi élevé.

09 Jul 09:08

De Goldorak à Your Name : l’essor de l’animation japonaise en France (partie 1)

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goldorak

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09 Jul 09:08

De Goldorak à Your Name : l’essor de l’animation japonaise en France (partie 2)

by Antoine Boudet

Comment l'animation japonaise s'est-elle démocratisée en France depuis son arrivée compliquée à la fin des années 1970 ? Marie Pruvost-Delaspre, enseignante à la Sorbonne Nouvelle et spécialiste du sujet, revient, dans cette deuxième partie de notre interview, sur l'émergence du fansub, des offres de streaming légal et l'influence de l'animation japonaise sur la française. [Lire la suite]
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(Re)découvrir Windows 95 au travers d'un jeu avec un simple navigateur web

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Un jeu en ligne permet de simuler un environnement tel qu'il était sous Windows 95, une façon ludique de découvrir ou redécouvrir cet ancien système Windows sorti il y a plus de 20 ans.
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Mise à jour Windows 10 : Microsoft va afficher une fenêtre de rappel pour les options de confidentialité

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Forcing sur la mise à jour. Microsoft a annoncé qu'une fenêtre de rappel invitant les utilisateurs à vérifier leurs options de confidentialité va s'afficher avant de proposer la mise à jour Creators Update.
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04 Jul 07:11

Comparatif drones : comment choisir ? Lequel acheter ?

Au royaume des drones, tout est permis. Si les premiers modèles valent à peine 25 euros, certains appareils peuvent dépasser les 2.000 euros. Pour vous aider à vous y retrouver et tout savoir sur ces drôles de petits engins, suivez le guide.
03 Jul 19:23

La mort programmée du téléphone de bureau : la "génération applis" arrive

Alors qu’une nouvelle génération de jeunes salariés férus de technologie accède au monde du travail, de nombreuses entreprises se demandent s'il ne faut pas supprimer purement et simplement le téléphone de bureau.
01 Jul 23:09

Du nouveau pour Google Photos

by heso59
Plus de partages et amélioration de la bibliothèque : c'est le programme de la mise à jour de Google Photos. (CCM) — Comme promis, la mise à jour de Google Photos apporte de nouvelles possibilités dans la façon de partager ses clichés entre amis. Puisque c'est l'une des activités préférées des Internautes et mobinautes, Google aimerait profiter de ces innovations pour relancer son application
01 Jul 23:01

10 ans de l'iPhone : l'influence du smartphone d'Apple

Le 29 juin 2007, il y a 10 ans, Apple commercialisait le tout premier iPhone, son smartphone à écran tactile. Passage en revue des changements en entreprise déclenchés par l'iPhone.
01 Jul 23:01

10 ans d’iPhone, 10 ans de bouleversements dans les smartphones et aussi pour Apple

Lancé commercialement le 29 juin 2007, l’iPhone premier du nom a provoqué un changement profond de la physionomie du marché mondial de la téléphonie mobile et plus encore des smartphones. Mais l’iPhone a aussi transformé Apple lui-même. Les chiffres.
01 Jul 22:59

10 ans d'iPhone illustrés en 10 chiffres

Depuis le lancement en 2007 de l'iPhone, puis de l'App Store en 2008, Apple a franchi quelques caps et imposé de nouvelles références dans l'univers de la téléphonie mobile. Les chiffres de la démesure ?
01 Jul 22:40

Portrait officiel d’Emmanuel Macron : derrière les iPhone, la valeur travail

by Julien Cadot

Pour la première fois, un président a choisi de poser un objet technologique dans le cadre du portrait officiel. Avec cet objet, Emmanuel Macron actualise une valeur qu'il porte au centre de son projet et qui n'est pas, normalement, celle de la fonction présidentielle : le travail. [Lire la suite]
01 Jul 22:07

Sous l'oeil de la Hadopi, l’appétit des 8-14 ans pour « la fast culture »

Que font les très jeunes sur les écrans ? C’est ce qu’a voulu savoir la Hadopi dans le cadre d’une étude qualitative publiée aujourd’hui. Le document, long de 85 pages, a pour objectif de sonder les pratiques des 8-14 ans, la génération dite des « smartphone native » dopée au streaming et à Facebook.

01 Jul 21:29

Les 10 meilleurs détournements du portrait officiel d'Emmanuel Macron

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01 Jul 21:28

Vacances d'été 2017 : partez équipés !

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01 Jul 00:29

Ultraportable ou PC hybride : quel ordi mettre dans votre valise ?

Tout bon technophile ne doit oublier ni sa crème solaire ni son PC portable lorsqu'il part en congés. Voici notre sélection d'ordinateurs pour vous accompagner sur la route des vacances... sans alourdir la valise !