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18 Feb 15:18

SLH Designs is Selling 10 Airports in the Caribbean for only $20

by Vasco Ferreira

Here’s an enticing deal that arrives just in time for those exploring the newly upgraded Caribbean region in Microsoft Flight Simulator. SLH Designs is offering a fantastic bundle of 10 airports in this region for just $20!

World Update 16 was released just a few days ago, and it brought numerous improvements to the Caribbean region in Microsoft Flight Simulator (aside from some water masking issues, which the team is currently addressing). The update also introduced 7 custom airports designed by Gaya, offering a diverse array of detailed destinations for plotting flight plans.

If you’re looking to expand your collection of custom airports in this region, without any overlap with those included in the World Update, SLH Design’s bundle is perfect for you. The 10 included airports are scattered across the islands and are nicely detailed, featuring good textures and even modeled interiors.

SLH Designs Caribbean Airports 5

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Here’s the full list:

  • TQPF – Anguilla
  • TJCP – Culebra (Puerto Rico)
  • TFFR – Guadeloupe
  • TFFA – Guadeloupe
  • TFFM – Guadeloupe
  • TDPD – Dominica
  • TXKF – Bermuda
  • TUPJ – Tortola
  • TGPY – Grenada
  • TKPK – St. Kitts and Nevis

Priced individually, the total cost would amount to $127.50, making this bundle an excellent deal at just $20. Alongside the 7 airports included in the World Update, this bundle offers a very impressive variety of airports that should make your exploration of the islands even more interesting.

This limited-time offer is available exclusively at SLH Designs’ website.

08 Feb 18:44

☕️ Des incidents de sécurité chez AnyDesk et Mastodon

by Vincent Hermann
Vitrée brisée

Le 2 février, AnyDesk, spécialisé dans le partage de bureau à distance, a publié une note de sécurité. La société indiquait avoir été victime d’une intrusion dans ses systèmes. Plus précisément, elle a découvert les preuves d’une compromission à la suite d’un audit.

AnyDesk dit avoir informé les autorités, mené à bien le plan de remédiation, révoqué tous les certificats liés à la sécurité et remplacé les systèmes quand nécessaire. Dans une mise à jour datée du 5 février, la société ajoute qu’il n’existe aucune preuve que des données de clients ont été volées et que l’ensemble des binaires distribués par le site sont sûrs.

Par sécurité cependant, il est recommandé d’utiliser les dernières versions disponibles (7.0.15 et 8.0.8). En outre, tous les mots de passe ont été réinitialisés. Pour AnyDesk, cette étape est presque un excès de zèle, mais elle ne souhaite manifestement pas prendre de risque.

Du côté de Mastodon, c’est un peu plus sérieux. « En raison d’une lacune dans la validation du contenu fédéré dans les versions de Mastodon concernées, les attaquants peuvent créer des charges utiles qui usurpent l’identité de comptes fédérés distants comme s’ils étaient vus depuis le serveur concerné ».

Toutes les versions antérieures aux 3.5.17, 4.0.13, 4.1.13 et 4.2.5 sont vulnérables. Cependant, les gestionnaires du projet ne publieront pas d’informations plus précises avant un deuxième avis de sécurité prévu le 15 février. Ceci pour laisser le temps aux administrateurs de mettre à jour leurs instances.

08 Feb 18:41

Prestataires du tiers payant piratés : la moitié des Français concernés, la CNIL ouvre une enquête

by Martin Clavey
Restons calmes
des mains qui portent des gants chirurgicaux

La semaine dernière et cette semaine, Viamedis et Almerys, deux prestataires du tiers payant, ont signalé avoir subi des attaques informatiques menant à des fuites de données. Hier soir, la CNIL a annoncé qu’elle ouvrait une enquête sur ces violations de données et a révélé que plus de 33 millions de personnes étaient concernées.

État civil, la date de naissance, le numéro de sécurité sociale, le nom de leur assureur santé ainsi que les garanties ouvertes au tiers payant, ce sont ces données personnelles de la moitié des français que des pirates ont réussi à récupérer chez les deux prestataires Viamedis (filiale du groupe Malakoff-Médéric-Humanis) et Almerys (filiale du Holding financier Heka Invest). À elle seule, Viamedis gère le tiers payant de 84 complémentaires santé, dont sa maison mère Malakoff-Médéric-Humanis.

Ces opérateurs sont des intermédiaires entre les professionnels de santé et les complémentaires. Ils fournissent le portail qui permet aux médecins, pharmaciens et autres professionnels de santé de savoir s’ils peuvent accorder ou non le tiers payant à un assuré social.

Des comptes de professionnels de santé compromis

C'est par l'accès à ces portails que les attaques ont eu lieu. Les pirates ont réussi à compromettre des comptes de professionnels de santé, semble-t-il. C'est en tout cas ce que les deux entreprises ont expliqué. Et c'est, entre autres, ce que l'enquête de la CNIL devra vérifier. « Devant l'ampleur de la violation », l'autorité explique que sa présidente, Marie-Laure Denis, qui vient tout juste d'être renouvelée à son poste, « a décidé de mener très rapidement des investigations afin de déterminer notamment si les mesures de sécurité mises en œuvre préalablement à l’incident et en réaction à celui-ci étaient appropriées au regard des obligations du RGPD ». Il serait, par exemple, problématique que ces portails n'utilisent pas de solution de double authentification des personnels de santé. Dans leurs communications, Viamedis et Almerys ont expliqué chacune avoir coupé l'accès à leurs plateformes de tiers payant pour les professionnels via le système de login/mot de passe. À l'heure d'écriture de cet article, le site de Viamedis continue d'afficher un message expliquant qu'il est « momentanément interrompu » alors que celui d'Almerys est de nouveau accessible. Le reste du système du tiers payant demeure utilisable et les assurés continuent à pouvoir en bénéficier.

Des données utilisables pour crédibiliser des attaques de phishing

Les deux entreprises se sont empressées de préciser une liste des informations qui ne sont pas concernées : « ni information bancaire, ni coordonnée postale, ni numéro de téléphone, ni e-mail ne sont concernés par cet acte malveillant » du côté de Viamedis, « les informations bancaires, les données médicales, les détails de remboursements de santé, les coordonnées postales, les numéros de téléphone et les adresses e-mail ne sont en aucun cas concernés par cette violation », chez Almerys. De son côté, la CNIL met ces informations au conditionnel, en attendant les conclusions de son enquête. Il en reste que, couplées à d'autres données provenant de fuites antérieures ou de fichiers de prospection, par exemple, celles qui ont été récupérées chez ces prestataires peuvent servir pour rendre encore plus précises des attaques de phishing.

Un numéro de sécurité sociale, identifiant pour de nombreux services

Le numéro de sécurité sociale, qui fait partie des données qui ont fuitées, sert d'identifiant pour de nombreux services publics, comme l'explique le site Ameli, « il vous est demandé à chaque fois que vous vous adressez à votre caisse d'allocations familiales (CAF), à votre caisse de retraite, à France Travail (ex-Pôle emploi), à votre mutuelle (ou complémentaire santé) ou encore à une maison départementale des personnes handicapées (MDPH) ». Couplé au nom de famille et à la date de naissance (qui font aussi partie de la fuite) et au code postal de résidence, il peut permettre de créer un compte Ameli si celui-ci n'a pas déjà été créé. Il ne suffirait donc aux pirates que d'identifier le code postal d'un assuré qui n'aurait pas de compte Ameli pour pouvoir en créer un. La personne malveillante pourra, après la création du compte Ameli, créer un compte FranceConnect au nom de l'assuré (encore une fois si celui-ci n'existe pas encore) et se connecter à la myriade de services publics utilisant ce système. Cela dit, 42 millions d'assurés disposant d'un compte Ameli selon l'Assurance Maladie, il reste peu de possibilités de création de compte pour les pirates.

Aux complémentaires de signaler aux assurés

Si la CNIL donne un chiffre de « plus de 33 millions de personnes » touchées alors que les premières communications des entreprises se gardaient bien d'évoquer l'ampleur des fuites, l'autorité indique qu'elle n'est pas en mesure d'indiquer à chaque personne si elle est concernée. Elle précise qu'il appartient à chacune des complémentaires santé « faisant appel aux prestataires Viamedis et Almerys d’informer individuellement et directement l’ensemble des personnes concernées comme le prévoit notamment le règlement général sur la protection des données (RGPD) ». L'autorité ajoute qu'elle s'assurera que « ce soit fait dans les plus brefs délais ». Certaines complémentaires ont déjà commencé à informer leurs clients. Malakoff-Humanis a publié sur son site un message qui explique comment ses assurés peuvent savoir s'ils sont concernés, message envoyé aussi à ses assurés. D'autres, comme Generali par exemple, ont aussi envoyé un mailing.

Conseils de prudence

Face à cette fuite gigantesque, la CNIL conseille aux assurés concernés (rappelons qu'il s'agit de la moitié de la population et qu'ils n'ont pas tous encore été contactés par leurs complémentaires) d'être « prudents sur les sollicitations que vous pourrez recevoir, en particulier s’ils concernent des remboursements de frais de santé ». Elle les pousse aussi à « vérifier périodiquement les activités et mouvements sur vos différents comptes ». Ces conseils classiques et indispensables laissent les assurés bien démunis face à une attaque de si grande ampleur.
08 Feb 17:55

Neuf ans plus tard, le DRM Safedisk a enfin sa Némésis

by contact@comptoir-hardware.com
Fut une époque où les joueurs achetaient des disques contenant des jeux complets. Certes, cette pratique paraît totalement désuète désormais, puisque même le dernier GOTY, à savoir Baldur’s Gate III, n’a toujours pas eu droit à une version physique (cela va néamoins changer dans les prochaines semaines, avec la commercialisation d’une édition physique actuellement disponible en précommande sur le site de Larian Studios)... [Tout lire]
04 Feb 21:13

Here’s How You Can Create Your Own Landing Challenges for MSFS in Just a Few Minutes

by Vasco Ferreira

The landing challenges in Microsoft Flight Simulator are among the quickest and most enjoyable experiences you can have in the simulator. Within just a few minutes, you can practice a landing or challenge your skills in a demanding final approach, complete it, and move on with your life, feeling a sense of accomplishment without the need to spend time on pre-flight preparations, aircraft configuration, and other serious considerations.

Microsoft Flight Simulator already includes a great selection of challenges that cater to all preferences, from landing on challenging short strips to executing a perfectly smooth landing with a large airliner, with plenty of different scenic and environmental scenarios to consider. Some developers have also created their own packs, broadening the range of activities available for simmers to explore.

But what if you could create your own landing challenges and enjoy them yourself or share them with the community? That’s where today’s featured app comes into play. Landing Challenge Creator enables users to craft their own landing challenges for Microsoft Flight Simulator with surprising ease and speed.

TBLFScenery, the developer behind this app, is not new to the scene, having released several airport sceneries for MSFS, all located in France. Landing Challenge Creator represents a slightly different venture for the developer but is an intriguing one nonetheless. Through a simple yet well-designed app, which also aligns with today’s design trends – contrasting sharply with many flight simulation apps that seem stuck in the aesthetic of the ’90s – Landing Challenge Creator makes the process of creating your challenges not only straightforward but also quite enjoyable.

The process is indeed straightforward. You select the destination airport, its altitude, and the runway to use, and then input additional parameters including approach waypoints, time and weather conditions, the aircraft of choice, and even program potential failures that can occur during the event.

Users can customize all the information and screens they are accustomed to seeing in the stock landing challenges, including descriptions and images for each screen. This adds a professional touch to the challenge, especially if you plan to share it with others. You can include notes that will be displayed in the description scene of each challenge and even write short sentences that appear during the loading screen.

Landing Challenge Creator MSFS app

After creating a challenge, the app saves a list of them, and with the press of a button, it will install the challenge folder into your MSFS Community Folder.

However, Landing Challenge Creator is not without its flaws and could definitely use some refinements. During testing, I noticed several aspects that could be improved and shared these insights with the developer, who has plans to enhance these and other areas.

For instance, it’s currently not possible to give each challenge a custom name; they are all named “My Landing Challenge in [airport ICAO].” Also, once you create a challenge, it’s not possible to edit it. If, upon testing it in the simulator, you find aspects that need refinement, you’ll have to start from scratch and create a new one. If you happen to still have the app open, you can make edits to the challenge you just created, but close the app and you’ll have no chance of editing an existing challenge.

It’s not too much trouble, as long as you’ve saved the descriptions you wrote somewhere for easy copying and pasting back into the app. The developer has indicated that this and other feedback will be taken into account as the app continues to be refined.

Landing Challenge Creator MSFS 4

My Own Challenge in the Idaho Wilderness

For my test case, I created a landing challenge for one of my favorite Idaho bush strips, Dewey Moore. I took some screenshots, designed a “loading screen” similar to those in the stock challenges with a preview of the flight path, and incorporated them into Landing Challenge Creator, along with other details of the challenge.

It was initially intended for use with the Blackbird Beaver, so the images used reflect that, but I ultimately switched the aircraft to the Cessna 152 to make it a bit easier. The experience was not only fun in terms of the challenge itself but also the process of creating it – and it was quick!

Be warned, though: landing at Dewey Moore is not for the faint of heart. It’s a completely blind approach with no margin for error as you navigate through the valley, making a tight turn to the right just before touchdown! But it’s a lot of fun, and it will put a big smile on your face every time you nail it.

Landing Challenge Creator MSFS 5

Landing Challenge Creator MSFS 3

Landing Challenge Creator MSFS 2

If you’re interested in trying out this challenge that I made using the app, you can download it here. Just unzip the folder into your Community folder and you’ll find the challenge in MSFS in Activities – Custom Content.

In conclusion, this is a very cool app that significantly simplifies the creation and installation of your own custom Landing Challenges in MSFS. Despite its existing shortcomings, the potential for fun and creative uses is immense. Highly recommended!

Landing Challenge Creator is available for purchase through Simmarket, priced at just around $10.00.

02 Feb 18:07

☕️ Fuite de données chez Viamedis, prestataire du tiers payant gérant 20 millions d’assurés

by Sébastien Gavois
À côté d'une patiente âgée, un médecin observe une radio dentaire.

Viamedis, qui gère le tiers payant pour 20 millions de Français en étant prestataire de 84 complémentaires santé, a informé l’AFP qu’elle avait été victime d’un piratage.

L’entreprise, filiale du groupe Malakoff-Médéric-Humanis, a expliqué dans un communiqué reçu par l’agence de presse que des données d’assurés lui ont été dérobées, incluant l’état civil, la date de naissance et le numéro de sécurité sociale, le nom de leur assureur santé ainsi que les garanties ouvertes au tiers payant de certains d’entre eux.

Si Viamedis affirme que « les données personnelles exposées sont limitées » et précise que « ni information bancaire, ni coordonnée postale, ni numéro de téléphone, ni e-mail ne sont concernés par cet acte malveillant », croisées à d’autres bases de données, elles peuvent être facilement utilisées dans des campagnes de phishing.

Interrogé par l’AFP, le directeur général de Viamédis a indiqué qu’« à date, nous n’avons pas le nombre d’assurés « impactés »nous sommes toujours en cours d’investigation ».

L’entreprise a déconnecté sa plateforme de gestion suite à la découverte de ce piratage. Son site web n’était pas non plus accessible ce jeudi 1er février. Mais Viamedis assure que cette déconnexion n’empêche pas les assurés de bénéficier du tiers payant. Cela devrait par contre avoir des conséquences pour certains professionnels de santé comme les opticiens et audioprothésistes.

Viamedis explique avoir déposé une plainte auprès du procureur de la République, notifié la CNIL et fait une déclaration à l’ANSSI.

02 Feb 17:37

En interne comme en externe, les nouvelles cartes d'acquisition Elgato 4K X et 4K Pro sont complètes

Elgato [...] annonce aujourd'hui le lancement de deux nouvelles cartes de capture, la 4K X et la 4K Pro. Dotées des dernières puces et de caractéristiques exceptionnelles, ces cartes de capture permettent aux créateurs d'offrir à leurs publics la meilleure expérience de visionnage possible, sur toutes les plateformes, sans compromettre leur propre session de jeu sur PS5, Xbox Series X|S, sur des PC haut de gamme ou sur des consoles portables comme la Nintendo Switch. La 4K X, une carte USB, propose une technologie passthrough et de capture allant jusqu'à 4K144. La 4K Pro, une carte PCIe, offre une qualité allant jusqu'à 8K60 HDR10 en passthrough et 4K60 HDR10 en capture. En définissant ainsi une nouvelle référence dans la technologie du streaming, Elgato place les joueurs et joueuses à la pointe de la création de contenu. « Il y a plus de 10 ans, nous avons révolutionné le processus de capture et de partage de contenu pour les créateurs du monde entier, » confie Julian Fest, SVP et DG d'Elgato. « Nous sommes heureux aujourd'hui de continuer à repousser les limites pour les créateurs avec le lancement de la 4K X et la 4K Pro. Ces produits qui combinent la connectivité HDMI 2.1, un mode HDR10 intense et un passthrough VRR flexible allant jusqu'à 8K60 (pour la première fois dans une carte de capture de jeu) permettront aux utilisateurs de fournir un niveau encore plus haut de contenu. » […]

Lire la suite
31 Jan 19:26

Qu’est-ce que le vishing, ou arnaque vocale au faux conseiller bancaire ?

by Jean-Marc Manach
Ça n'arrive pas qu'aux autres
Des personnages effondrés : WTF ?!

Libération raconte comment une avocate au barreau de Paris et son mari, l’ancien juge antiterroriste Jean-Louis Bruguière, ont été escroqués d’environ 200 000 euros en « à peine une demi-journée », par téléphone, arnaque appelée voice phishing ou encore vishing. L’occasion d’un rappel important : cela n’arrive pas qu’aux autres et il faut toujours être prudent !

Un homme se présentant comme employé du service anti-fraude de la BNP, où le couple est client de longue date, l’avait appelé pour lui expliquer qu’un virement suspect de 2 500 euros vers le Sénégal venait d’être détecté.

Pour rassurer l’avocate, le faux conseiller bancaire l’avait invité à vérifier que son numéro de téléphone correspondait bien à celui de leur banque (mais qu’il avait usurpé via une application dédiée). L’escroc avait également détaillé de nombreuses informations que seule la banque était censée détenir : « l’ensemble de leurs avoirs, la nature de leurs comptes, les montants qui y figurent ou le nom des bénéficiaires de leurs virements », sans que Libé précise comment il avait accédé à ces données.

Ensuite, l’arnaque se lance

Mise en confiance, l'avocate a accepté de faire opposition sur de prétendus nouveaux achats frauduleux. Sauf qu'en fait d'opposition aux virements frauduleux, elle les validait, une technique utilisée depuis des années par des escrocs. La personne pense être au téléphone avec un conseiller de la banque qui lui dit qu’elle va recevoir un code, en confiance, elle le transmet donc… sauf que le code sert à valider la transaction (un code ne sert jamais à annuler une transaction). Des banques mettent en garde leurs clients (avec un message préventif accompagnant ces fameux codes) face à ces arnaques, mais les escrocs ont bien souvent réponse à tout, donc encore une fois soyez prudent ! Mis sous pression, le couple a même remis, à la demande de l'escroc, leurs cartes bancaires à un taxi G7 dépêché tout spécialement pour les faire analyser. Là encore, pour rassurer ses victimes, l'escroc leur avait demandé de couper les cartes en deux, afin qu'elles ne soient plus utilisables. Sauf que si la puce n’est pas coupée en deux, il est facile de continuer à s’en servir : les escrocs n'ont eu qu'à les recoller pour s'empresser d'aller multiplier retraits bancaires et achats dans des boutiques de luxe sur les Champs-Élysées.

Les escrocs ne s’arrêtent jamais et vont toujours plus loin

Une fois l’argent dérobé, les pirates passent la seconde pour tenter d’en récupérer toujours plus. L’escroc a expliqué au couple qu’il semblait avoir été ciblé par « un puissant réseau de cybercriminels basé à Dubaï » connu pour effectuer des cambriolages. Toujours dans le but de les « protéger », le faux conseiller bancaire transféra l'appel à un autre individu se présentant comme « brigadier-chef à la Brigade de fraude au moyen de paiement ». Ce dernier parvint à les convaincre, « après plusieurs heures de conversation quasi ininterrompue », de remettre à un autre taxi dépêché tout spécialement « ses bijoux les plus précieux, des pièces d'or et même 30 000 euros en liquide qui dormaient dans l'appartement ». Cela paraît fou dit comme ça, mais quand on est pendant des heures au téléphone avec des escrocs jouant sur la peur, c'est probablement bien moins évident.

La révélation… et le coup de chance

Le lendemain, comprenant avoir été dupés, la femme a porté plainte au commissariat, où le faux conseiller bancaire l'a rappelé une nouvelle fois, pour lui proposer, cette fois-là, de sécuriser leurs œuvres d'art. Or, précise Libé, « en entendant le faux conseiller bancaire, les policiers reconnaîtront formellement un suspect bien connu de leur service, Emmanuel B., interpellé fin 2021 et incarcéré durant seize mois pour avoir escroqué des dizaines de victimes, dont l'ancien ministre de l'Économie Dominique Strauss-Kahn, détroussé de 25 000 euros l'été précédent après avoir benoîtement communiqué au téléphone ses codes bancaires, utilisés pour acheter des bijoux Cartier à Madrid ». Placé sur écoute, l’escroc se vantait alors de « gagner fréquemment 200 000 euros par semaine ».

Des arnaques bien rodées, des formations pour escrocs

Et n’allez pas croire que ce genre d’arnaques va disparaitre. Libé raconte également comment des communautés de « scammers » se forment sur Telegram ou Discord, pouvant réunir « plus de 10 000 membres » se revendant des « formations à l'escroquerie pour 300 euros », des cartes bancaires volées pour 50 euros ou encore des « packs id » comprenant « un lot de cartes d'identité, relevés d'imposition, taxe foncière et bulletins de salaire d'une victime pour 80 euros ». Ce type d'escroquerie est monnaie courante ces derniers temps, de nombreux arnaqueurs partageant tutos et modes d'emploi sur des réseaux sociaux et messageries chiffrées. Il ne s’agit pas de montrer du doigt ce couple en particulier, mais d’expliquer le processus rudement bien huilé pour éviter de se faire avoir soi-même. Le YouTubeur Micode avait ainsi raconté dans une longue enquête comment il avait « infiltré un réseau d'arnaqueurs au SMS » sur Telegram réunissant des milliers de membres, et découvert qu'il ne s'agissait pas d'une mafia, mais de « petits indépendants souvent très très jeunes qui se connaissent physiquement, qui se croisent peut-être à l'école et qui ramènent leurs copains ». À l'instar de ce qui se passe dans les autres formes de cyberdélinquance, et comme dans tout marché structuré, « il y a vraiment des rôles très définis qui travaillent ensemble pour vous voler votre argent », expliquait Micode. Il y a le faussaire, qui doit trouver des faux papiers d'identité pour permettre aux scammers d'acheter des cartes SIM afin d'envoyer des SMS en masse sans être traçables, le développeur qui va mettre en place le site de phishing « et à la fin, et ça c'est le rôle le plus fascinant que j'ai découvert dans toute cette enquête, le "halloteur" ou la "halloteuse", très souvent fait par des filles », précisait Micode, chargé d'appeler les victimes pour les escroquer.

Du phishing pour commencer et mettre en confiance

Directeur général du site Cybermalveillance.gouv.fr, plateforme d'assistance aux victimes créée en 2017, Jérôme Notin évoque un « phénomène massif » depuis environ trois ans, et « d'autant plus difficile à endiguer qu'il évolue constamment ». Les dernières « nouveautés » en date utilisent l’intelligence artificielle pour imiter la voix d’une personne, d’un enfant appelant ses parents à l’aide par exemple. Ces derniers, alors paniqués, peuvent très facilement tomber dans le piège et se laisser détrousser par des escrocs. En 2022, UFC-Que Choisir évoquait déjà ce type d'arnaque et rappelait qu' « avant d’obéir à votre interlocuteur, vérifiez l’information par vous-même : raccrochez puis appelez votre conseiller bancaire afin qu’il confirme l’information. Sachez de plus que ce dernier ne vous demandera pas vos codes par téléphone ». En 2023, UFC-Que Choisir avait rappelé les conseils pour se prémunir de ce genre de fraudes : « Votre banque ne vous demandera jamais de communiquer ces informations par téléphone, ni de valider des opérations à distance ». Évoquant des techniques « de plus en plus sophistiquées », nos confrères relevaient déjà que « dans certains cas, le numéro de téléphone affiché correspond même à celui de votre banque ». Rappel important : les pirates vont toujours utiliser des informations qu’ils ont pu récupérer à droite ou à gauche pour tenter de se faire passer pour un interlocuteur légitime. Ils vont se servir de ces informations pour vous mettre en confiance ou en obtenir d’autres. On parle de phishing (ou hameçonnage), une technique qui « consiste à récupérer vos données personnelles par la tromperie, puis à les utiliser de manière malveillante », rappelle Service-Public, ou vishing (pour voice phishing, ou hameçonnage par téléphone). Cybermalveillance.gouv.fr recommande aux victimes de faire opposition « sans délai » à sa carte bancaire en cas d’appel d’un faux conseiller, via le numéro de téléphone de votre banque ou le serveur interbancaire d’opposition à la carte bancaire au 0 892 705 705 (numéro surtaxé), service ouvert 7 jours sur 7, 24h sur 24. Francenum.gouv.fr souligne qu' « il est important de noter que toutes les banques sont concernées par ce phénomène, et certaines refusent de rembourser les victimes. Il est donc nécessaire d’être vigilant et de ne pas donner ses informations personnelles à des individus non fiables ». Le site recommande dès lors de sensibiliser les personnes vulnérables de son entourage aux risques liés à ce type d’arnaque et recense une liste de 13 conseils pour se protéger. Il propose notamment d'utiliser une application de blocage des appels émanant de numéros connus pour être utilisés par des escrocs. Google recommande d'installer son application Téléphone, disponible sur la plupart des appareils Android équipés d'Android 9.0 ou d'une version supérieure, pour filtrer les appels indésirables et savoir qui vous appelle avant de décrocher. Google précise cela dit, en note de bas de page, que « le filtrage automatique est disponible aux États-Unis, uniquement en anglais », que « le filtrage manuel est disponible au Canada et aux États-Unis, uniquement en anglais », et qu' « il se peut que cette fonctionnalité ne parvienne pas à détecter tous les appels automatiques ou indésirables ». On peut aussi se tourner vers des applications tierces comme Filtre D'appel, gratuite, qui ne contient pas de publicité « et ne collecte ni n'envoie nulle part vos données personnelles ou vos contacts », mais qui va jusqu'à surbloquer certains numéros légitimes. N'hésitez pas à partager, en commentaires, vos retours d'expérience et conseils en la matière.
27 Jan 12:31

☕️ Fin de mission pour l’hélicoptère Ingenuity sur Mars : « il n’est plus capable de voler »

by Sébastien Gavois
54e vol d’Ingenuity

La NASA annonce la mauvaise nouvelle dans un billet de blog.

Ingenuity a dans tous les cas largement dépassé les espoirs de l’Agence spatiale américaine puisqu’il était sur la planète depuis trois ans, effectuant pas moins de 72 vols pour un total de plus de deux heures. Il était pour rappel prévu pour effectuer jusqu’à cinq vols d’essai, sur une période de 30 jours.

« Cet hélicoptère remarquable a volé plus haut et plus loin que nous ne l’aurions jamais imaginé et a aidé la NASA à faire ce que nous faisons de mieux : rendre l’impossible possible. Grâce à des missions comme Ingenuity, la NASA ouvre la voie à de futurs vols dans notre système solaire », affirme l’administrateur de la NASA, Bill Nelson.

Il y a quelques jours, l’Agence spatiale américaine avait perdu le contact avec Ingenuity. Au cours de la descente de son dernier voyage, « les communications entre l’hélicoptère et le rover ont été coupées prématurément, avant l’atterrissage ». Elles ont finalement rapidement été rétablies.

Le drone continue en effet d’échanger des informations avec le rover Perseverance (qui sert de relai avec la Terre), mais les dernières photos envoyées ne laissent plus de place à l’espoir : elles « indiquent qu’une ou plusieurs des pales du rotor ont subi des dommages lors de l’atterrissage et qu’il n’est plus capable de voler ».

25 Jan 18:26

Les voitures électriques, hybrides et thermiques face à leurs émissions de CO₂

by Sébastien Gavois
Vro₂m vro₂m !
Voiture électrique

La Cour des comptes européenne vient de publier un rapport sur la « réduction des émissions de dioxyde de carbone des voitures particulières », avec comme sous-titre « enfin un coup d’accélérateur, mais la route est semée d’embûches ». Le coup d’accélérateur vient de la voiture électrique, les embuches des constructeurs de voitures thermiques et hybrides. Explications.

Transport : 23 % des émissions de gaz à effet de serre

Le rapport commence par un état des lieux, peu encourageant : « Alors que l’Union européenne est parvenue à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans de nombreux domaines au cours des 30 dernières années, les émissions de dioxyde de carbone (CO₂) du secteur des transports [sans compter les transports internationaux aériens et maritimes, ndlr] ont continué de croître. En 2021, elles représentaient 23 % des émissions totales de gaz à effet de serre de l’UE, dont plus de la moitié provenant des voitures particulières ».

C’est la deuxième source d’émission après l’approvisionnement énergétique à 26 % qui, depuis 1990, est en baisse de 44 %. De son côté, le transport est en hausse de 16 % et c’est la seule source à croitre. L’industrie est troisième à 22 % des émissions (-35 % depuis 1990), le résidentiel et le commercial à 13 % (-27 %) et l’agriculture à 11 % (-22 %). Le reste (déchets et autres) est à 6 %, en baisse de 35 %.
Dans le détail des transports, les voitures particulières représentent 56 % des émissions de dioxyde de carbone, en hausse de 15 % depuis 1990. Viennent ensuite les camions à 27 % (+28 %). On arrive déjà à plus de 80 % des sources d’émissions des transports. Il reste les camionnettes en troisième position à 11 % (+49 %). Enfin, le reste (les trains, navires, avions et motos) sont en bas de la liste avec 6 %, en baisse de 28 %.

Mesures en laboratoire et sur la route : des écarts importants

Maintenant que le décor est posé, intéressons-nous à une autre réalité : les mesures en laboratoires et la réalité du terrain. Entre 2009 et 2019, « les émissions moyennes des véhicules neufs en conditions d’utilisation réelles n’ont pas diminué, principalement parce que les constructeurs se sont concentrés sur la réduction des émissions mesurées en laboratoire plutôt que sur route ». Ils devaient se conformer à la réglementation et passer sous certains paliers (en laboratoire) pour être éligibles à certaines primes et aides. En effet, le rapport explique que les émissions de CO₂ « sont généralement plus élevées sur route qu’en laboratoire », à cause de plusieurs facteurs. Le comportement du conducteur, le nombre de personnes et le chargement (qui augmentent la masse), la température extérieure, la circulation, l’utilisation de la climatisation, etc. La conclusion du rapport est sans appel : « Avant 2020, les émissions n’ont diminué que lors des mesures en laboratoire, et non sur route ». Les émissions de CO₂ en conditions réelles des voitures neuves « n’ont connu qu’une baisse marginale (moins de 7 %). Parallèlement, les émissions de CO₂ mesurées en laboratoire ont chuté de 16 % ».

La consommation du carburant récupérée en direct dans la voiture

Un tacle est adressé aux fabricants : « l’exactitude des émissions de CO₂ déclarées par les constructeurs sur les certificats de conformité des voitures neuves en début de chaîne n’est pas suffisamment garantie ». Les affaires autour du « dieselgate » de Volkswagen sont un exemple parlant. Le groupe a utilisé « différentes techniques visant à réduire frauduleusement les émissions polluantes (de NOx et de CO2) de certains de ses moteurs diesel et essence lors des essais d'homologation », rappelle Wikipédia. Pour aller chercher l’information directement à sa source, les constructeurs ont l’obligation (depuis 2021) d’installer un compteur sur les véhicules neufs afin de récupérer la consommation de carburant dans les conditions réelles sur route. « En convertissant les informations obtenues à partir du compteur de consommation de carburant en émissions de CO₂, puis en comparant ces chiffres avec les valeurs d’émissions en laboratoire, il est possible de calculer l’écart et de détecter toute variation ». Les données sont récupérées soit à distance, soit lors des entretiens réguliers (tous les 15 000 à 30 000 km). Une analyse préliminaire montre que « les émissions en conditions réelles pour les véhicules neufs immatriculés en 2021 montre que l’écart était plus faible pour les voitures à moteur diesel (18,1 %) que pour les voitures à moteur essence (23,7 %). Pour les hybrides rechargeables, l’écart moyen avoisine les 250 % ». Excusez du peu.

Le WLTP aurait comblé « la moitié de l’écart »

La méthodologie a pour rappel changé au cours des dernières années, afin de se rapprocher davantage de la réalité. Alors que le « nouveau cycle européen de conduite » (NEDC ou New European Driving Cycle, établi dans les années 70) était la norme pendant des dizaines d’années, l’Europe et le Japon ont travaillé sur un nouveau protocole de test, toujours en laboratoire. C’est ainsi qu’est arrivée la procédure d’essai harmonisée au niveau mondial pour les véhicules légers (WLTP ou Worldwide harmonised Light Vehicle Test Procedure). Elle est devenue obligatoire pour les véhicules neufs en septembre 2017 et utilisée pour la première fois en 2021 dans le cadre du règlement sur les émissions de CO₂. Le WLTP sert à donner une estimation de l’autonomie des voitures électriques, avec une base comparable. Mais on sait bien qu’il existe une différence entre la théorie et la pratique (style de conduite, température…). C’est mieux, mais encore loin d’être parfait, comme le reconnait le rapport : « D’après les études disponibles, le cycle WLTP aurait comblé environ la moitié de l’écart entre les émissions mesurées en laboratoire et les émissions en conditions réelles ».

Une baisse globale grâce à « l’essor important des véhicules électriques »

Le rapport note une bonne nouvelle : les émissions de CO₂ des voitures particulières neuves « ont commencé à baisser de manière significative à partir de 2020 ». Soit près d’une dizaine d’années après le premier règlement en matière d’émission de CO₂… mais, même en laissant de côté cette latence très importante, ce n’est visiblement pas grâce à ce règlement. En effet, « les émissions en conditions réelles des voitures à moteur thermique n’ayant pas diminué, cette baisse s’explique principalement par l’essor important des véhicules électriques ». Le rapport rappelle que, « selon le règlement sur les émissions de CO₂ des voitures particulières, [les voitures électriques] sont considérés comme des véhicules à émission nulle », même si on sait que les émissions de particules ne sont pas nulles (usure des pneus, des freins, production électrique, etc.). Comme le rappelait l’ADEME fin 2022, il ne faut pas oublier le coût environnemental de la conception d’une voiture électrique et de ses batteries plus précisément. Plus la capacité (en kWh) est importante, plus l’empreinte écologique (en tonnes équivalent CO₂ ) de la fabrication est élevée. Il faut donc faire davantage de kilomètres pour « rentabiliser » l’opération.
Les voitures thermiques sont prises entre deux feux : « L’amélioration continue des technologies de motorisation et l’introduction de groupes motopropulseurs hybrides ont rendu les moteurs plus efficients, mais l’augmentation de la masse des véhicules associée à des moteurs plus puissants neutralise l’effet des progrès technologiques ».

Hybrides rechargeables : les émissions « sont trois à cinq fois supérieurs »

Dans le même temps, le rapport indique que « les émissions des véhicules thermiques et des hybrides rechargeables neufs restent préoccupantes ». Sur les voitures hybrides rechargeables, enfonçons une porte ouverte : plus le moteur électrique est utilisé, moins les émissions sont importantes. L’hypothèse retenue était que « les conducteurs utiliseraient davantage l’électrique que le moteur thermique, ce qui a classé la plupart des hybrides rechargeables parmi les véhicules à faibles émissions (moins de 50 g CO₂/km) ». Or, dans la réalité, les émissions « sont trois à cinq fois supérieurs », selon différentes études reprises par le rapport. Sur les données récupérées auprès de 122 000 voitures hybrides rechargeables, en moyenne, « les émissions de CO₂ en conditions réelles (139,4 g/km) sont 3,5 fois supérieures à celles mesurées en laboratoire (39,6 g/km) ». L'un des facteurs serait une « utilisation plus fréquente que prévu du moteur thermique, en particulier pour les hybrides rechargeables d’entreprise ». Comme l’entreprise paye le carburant, l’incitation à recharger pour les employés est bien moins importante, explique le rapport. La Commission a évidemment décidé de revoir sa copie pour les mesures en laboratoires « en ajustant la répartition de l’utilisation entre moteurs électrique et thermique ». Par contre, ces changements ne s’appliqueront qu’à partir de 2025.

« La voiture électrique était la meilleure technologie actuellement disponible »

Pour le rapport de la Cour des comptes européenne, « de nombreuses études ont conclu que la voiture électrique était la meilleure technologie actuellement disponible pour réduire les émissions totales produites par les voitures particulières. En 2021, environ 1,9 million de voitures électriques étaient en circulation, et représentaient environ 0,76 % de l’ensemble du parc automobile de l’UE ». Elle pointe néanmoins des « obstacles importants à la progression de la diffusion des véhicules électriques ». Le premier concerne évidemment la disponibilité des batteries, et par ricochet des matières premières pour les fabriquer. C’est un « défi stratégique majeur pour la chaîne de valeur des batteries dans l’UE ». Vient ensuite le manque d’infrastructures de recharge dans l’Europe dans sa globalité. Trois pays sortent du lot : la France, l’Allemagne et les Pays-Bas qui concentrent « 70 % de l’ensemble des bornes de recharge de batteries automobiles » de l’Union européenne. Les trois États couvrent 23 % de la surface de l’Union. Enfin, dernier obstacle : « les véhicules électriques sont, en moyenne, plus chers que les véhicules thermiques, ce qui peut les rendre tout simplement inaccessibles aux consommateurs ». En France, les cartes du bonus écologique ont été rebattues, avec de nouvelles conditions.

Trois recommandations pour les 2 ou 3 ans à venir

Le rapport se termine par trois recommandations (à prendre d'ici à 2025 ou 2026) adressées à la Commission européenne :
  • Augmenter le niveau d’assurance que les émissions des véhicules correspondent aux déclarations des constructeurs sur les certificats de conformité
  • Mieux utiliser les outils électroniques pour la collecte et la vérification des données relatives aux voitures
  • Recentrer les objectifs de réduction des émissions de CO₂ sur les éléments clés qui influent sur celles des voitures particulières neuves
Dans ce dernier cas, le rapport préconise d’« introduire un plafond d’"émissions de CO₂ en conditions d’utilisation réelles" au niveau du constructeur, qui ne devrait pas être dépassé pour les voitures à moteur thermique et qui tiendrait compte de tous les types d’hybrides ».
25 Jan 17:50

La FAA autorise la mise en service des MAX-9 d’United (pour le 28 janvier), mais empêche Boeing d’en produire davantage

by Joël Ricci

United Airlines a déclaré mercredi avoir reçu l’approbation finale de la Federal Aviation Administration (FAA) pour remettre en service commercial sa flotte de Boeing 737 MAX-9 à partir de dimanche. Dans un même temps, la FAA a interrompu toute expansion de la production du MAX jusqu’à ce que l’entreprise améliore son contrôle qualité.

United Airlines, qui compte 79 avions de ce type, a reçu l’approbation finale de la FAA pour commencer à remettre en service son Boeing 737 MAX-9. Tous ceux-là étaient immobilisés au sol depuis le début du mois suite à l’accident du vol AS 1282 d’Alaska Airlines qui a vu un bouchon de porte s’arracher du fuselage, entraînant une dépressurisation de la cabine. La FAA avait exigé des inspections approfondies de la zone du bouchon de porte concernée avant d’autoriser l’avion à voler à nouveau.

Actuellement, pour remettre en service un Boeing 737 MAX 9, la compagnie aérienne doit suivre un processus d’inspection et de maintenance spécifique ordonné par la FAA. Ce processus a été publié et documenté le mercredi 24 janvier. Selon la FAA, le processus d’inspection comprend la vérification des boulons, des rails de guidage et des raccords de la zone affectée, l’inspection de dizaines de composants des bouchons de porte et même le resserrage des fixations.

Le même jour, la FAA a interrompu toute expansion de la production du Boeing MAX jusqu’à ce que l’entreprise améliore son contrôle qualité. Cela signifie que Boeing peut continuer à produire des avions MAX au rythme mensuel actuel, mais qu’elle ne peut pas augmenter ce rythme. La FAA n’a fourni aucune estimation de la durée de la limitation et n’a pas précisé le nombre d’avions que Boeing peut produire chaque mois.

La FAA autorise la mise en service des MAX-9 d’United (pour le 28 janvier), mais empêche Boeing d’en produire davantage 86 Air Journal

©Boeing

20 Jan 12:01

Add Thousands of Heliports to MSFS with this Automatic Helipad Scenery Generator

by Vasco Ferreira

Helicopter fliers, this one is for you. Looking to fill a major gap in the simulator and turn all those real-world helipad locations into something that actually resembles a place where you can land your helicopter? Then today’s freeware recommendation arrives at just the right time. It’s called MSFS Autogen Helipads, and it leverages data from OpenStreetMap to automatically generate helipad scenery in MSFS for thousands of helipads around the world that you can spawn on!

This innovative project from Simfocus, which is free to download, aims to address a significant shortcoming in the simulator: the lack of a comprehensive list of real-world heliport locations as properly generated default scenery. MSFS Autogen Helipads takes care of this with a simple but powerful script that pulls data from OpenStreetMap to create accurate and realistic helipads in various shapes and positions.

The tool doesn’t just stop at placing helipads; it also considers several important factors, such as edge lighting, exclusion of buildings and vegetation, and accurate terraforming based on elevation data.

MSFS Autogen.Helipads 1

MSFS Autogen.Helipads 4

Key Features:

  • Realistic Helipads: The tool generates helipads with correct shapes and positions;
  • Edge Lighting: It provides edge lighting around helipads, making them visible and functional during night flights;
  • Terrain Adjustments: By retrieving elevation data, the tool applies terraforming to ensure helipads blend seamlessly with their surroundings;
  • Exclusion of Obstacles: It generates polygons to exclude buildings and vegetation, ensuring clear and safe helipads;
  • Additional Data: The tool fetches names, ICAO codes, and adjusts materials based on available OpenStreetMap data;
  • Navigation Enhancement: It produces a .csv file with userpoints for use in Little Navmap;

Limitations

While the tool brings numerous advantages, it does have its limitations, particularly in terraforming. The elevation data, which is crucial for accurately modeling the terrain, is not always reliable. This inconsistency can lead to helipads being inaccurately placed, such as being sunk into the ground or placed on sloped terrains. However, the project is continually evolving, with updates aimed at refining these aspects.

MSFS Autogen.Helipads 3
Sometimes you may find a particularly interesting spot…

It’s also worth noting that this mod doesn’t cover the whole world. The United States, Canada, the UK, Germany, Italy, or Japan, are well covered, along with other countries, but there are some major gaps everywhere else. A map is available on the website, but you’ll also see the scenery availability in the MSFS World Map.

How to Get It

MSFS Autogen Helipads is available for free from Simfocus. You need to register an account and “purchase” the mod, but it doesn’t cost a dime!

17 Jan 19:37

AzurPoly report their OV-10 Bronco has entered beta

by ShamrockOneFive

Another new aircraft on the way that will surely interesting fans of military aircraft types. AzurPoly, makers of the C-160 Transall for Microsoft Flight Simulator, are reporting that their OV-10 Bronco has now entered into beta testing. Here’s a look at the latest.

Entering into beta testing

This twin turboprop light attack and forward air controller aircraft is quite an interesting one. Developed in the 1960s to perform counter insurgency operations, the Bronco has served in limited numbers with a variety of air forces including three branches of the US military, the Philippine Air Force, Germany, Indonesia and others.

Azur Poly have been busy creating the aircraft over the last several months and reported in December that their modeling and texturing work was nearing completion. Sound was also reportedly in a good place with the sound samples having been recorded from a real OV-10. The aircraft will also have animated antennas, animated canopy with vibrations, and custom tire compression animation.

The product is now in beta testing as of last week suggesting that release could be coming before too long.

Read more on the company’s Facebook page.

14 Jan 13:17

Yawman Arrow released

by ShamrockOneFive

Lots of products are being released in the hardware space for flight simming right now (I’ll be doing a round-up soon) but none are more interesting than the Yawman Arrow which aims to combine the form factor of something like an Xbox or PlayStation controller with the functionality of a joystick and throttle quadrant. It’s certainly an ambitious idea and I love to see innovations like this happening in hardware. Let’s have a look at what has just come out.

Controller sized flight sim hardware

I’ve seen people playing and sharing hardware configurations for full fidelity DCS modules, airliners, and more making use of PlayStation and Xbox controllers. Of course, MSFS fans on Xbox have absolutely been flying on Xbox controllers so we’re well past the point where that is considered an impossibility. But what if the experience could be a little more full featured? That appears to be what the Yawman Arrow is intending to do.

Just released and already sold out, this $249 USD controller is clearly aimed at taking your flight simming on the go but it is also a potential alternative for folks who don’t want or don’t have the space for a full setup but want something they can pick up and fly with.

Yawman, in their marketing material, report that they combine “complex yoke, throttle quadrant and mechanically-linked rudder pedals together in a handheld package.” It certainly sports a different configuration than your typical controller although the ergonomics and sizing are certainly there.

Here’s their feature and compatibility lists:

Features:
• Integrated trim wheel 
• Five-button D-pad
• Five-way hat switch 
• Two shoulder bumper buttons 
• Two Vernier-style engine control sliders
• Two faceplate sliders
• Mechanically linked triggers simulating pedals
• Made in the USA

Compability: 
• Microsoft Flight Simulator on PC 
• X-Plane 11 / 12 on PC and Mac
• Infinite Flight for Android 
• Prepar3D
• DCS World 

They also report that the controller is not compatible with Xbox or iOS (or presumably PS5).

I haven’t personally had a chance to check this controller out yet but its certainly an intriguing proposition.

Restocking soon

Yawman have already sold out of their initial batch of controllers and are now in the process of restocking. More are reportedly coming and will be available on January 15th.

Learn more about it on their website.

14 Jan 08:01

Planifiez l’envoi de vos e-mails avec l’extension Thunderbird « Send Later »

by Korben

Aujourd’hui, je vais vous parler d’une extension Thunderbird super pratique qui vous permet de planifier l’envoi de vos emails comme un chef. Il s’agit de l’extension « Send Later » et elle est disponible gratuitement sur le site officiel de Thunderbird dans la section des addons.

Le principe de base est simple : vous rédigez votre email et au lieu de l’envoyer immédiatement, vous planifiez l’envoi pour un moment ultérieur stratégique parce que vous êtes super malin :).

Jusqu’ici, rien de nouveau sous les soleils de Tatouine… Toutefois ce qui fait la force de « Send Later », c’est la richesse des options de planification qu’elle offre.

Vous pouvez également définir des règles pour des envois réguliers et récurrents encore plus efficaces que les services de La Poste. En plus de programmer des envois à des moments précis, ‘Send Later’ vous permet également de choisir des options rapides comme ’15 minutes plus tard’, ’30 minutes plus tard’ ou ‘2 heures plus tard’. Vous pouvez même définir des raccourcis personnalisés pour plus de commodité.

Pour ajouter « Send Later » à votre Thunderbird, il vous suffit de télécharger l’extension sur le site officiel. Une fois installée, elle remplace la commande « Send Later » par une boîte de dialogue qui vous permet de spécifier le moment de l’envoi. Ce truc repose sur la puissante bibliothèque de parsing de dates d’Andrew Plummer, Sugar.js.

Pour ceux qui ont besoin d’envoyer des emails de manière récurrente, ‘Send Later’ offre la possibilité de programmer des envois répétitifs avec des règles simples (toutes les N heures, jours, etc.) ou des fonctions personnalisables, ce qui en fait un outil inestimable pour la gestion de la communication régulière.

Ainsi, si vous cherchez à mieux gérer vos emails en planifiant leur envoi, « Send Later » est l’extension qu’il vous faut. Le développement et la maintenance de cette extension sont assurés par Extended Thunder Inc., une organisation à but non lucratif dédiée au soutien des add-ons gratuits et open-source pour Thunderbird, donc n’hésitez pas à les soutenir.

Et n’oubliez pas de remettre au lendemain, les emails que vous pourriez écrire le jour même !

14 Jan 08:00

WipeOut Phantom Edition – Un classique rétro grandement amélioré sur PC

by Korben

Aujourd’hui, laissez moi vous présenter une pépite qui ravira les amateurs de jeux vidéo rétro et les fans de la série WipeOut. Bah oui ! Qui n’a pas envie de revivre ces courses folles à bord de vaisseaux futuristes tout en profitant des améliorations apportées par cette édition spéciale ?

Et cela est possible grace à WipeOut Phantom Edition, un portage amélioré pour PC du jeu original WipeOut, initialement sorti sur PlayStation.

Les développeurs de WipeOut Phantom Edition ont pris le temps d’améliorer les graphismes, de peaufiner la jouabilité avec différents modes de collision, d’ajouter un support pour clavier et manette, de proposer de nouvelles musiques et effets sonores, des options supplémentaires et une configuration personnalisable. Tout cela en utilisant les données originales de la version PlayStation. C’est comme revivre les souvenirs d’antan mais avec une touche moderne et des améliorations bienvenues.

Pour télécharger la dernière version du jeu, rendez-vous sur GitHub dans les releases. Une fois le téléchargement effectué, vous devrez placer vos fichiers originaux .bin et .cue (uniquement région USA) dans le dossier wipeout/diskimages. Utilisez l’image disque multi-bin, composée de 9 fichiers .bin et un fichier .cue. Rassurez-vous, le jeu extrait automatiquement les fichiers manquants au démarrage.

Pour installer le jeu Wipeout, copiez ensuite les fichiers dans le dossier wipeout/wipeoutgame. En ce qui concerne la musique, vous avez deux options. Vous pouvez utiliser la méthode Image disque, ou bien placer des fichiers musicaux individuels dans le dossier wipeout/music, en respectant une convention de nommage avec des numéros à deux chiffres (01-32). Vous pourrez ainsi utiliser d’autres morceaux de musique si ça vous chante.

Voilà, vous êtes maintenant prêt à vous lancer dans l’aventure WipeOut Phantom Edition sur PC !

Eclatez-vous bien !

13 Jan 18:36

AzurPoly’s OV-10 Bronco Nears Release for Microsoft Flight Simulator

by Vasco Ferreira

AzurPoly appears to be approaching the final stages of development for their next aircraft for Microsoft Flight Simulator, the OV-10 Bronco. Since our previous update in July 2023, the AzurPoly team has made significant strides in bringing this iconic aircraft to virtual skies. The latest updates reveal that the Bronco is not only nearing completion but will also feature some cool and innovative features.

Recently, AzurPoly has been more open in sharing details about the ongoing progress with the OV-10 Bronco. We’ve learned that 3D modeling and texturing were recently completed and that the team is incorporating numerous customization options, including the unique glass dome from the OV-10B variant.

AzurPoly OV 10 Bronco MSFS 9

Furthermore, AzurPoly aims to raise the bar in their products once again by including features such as:

  • Animated Antennas: These will react to relative wind and G-forces, adding a dynamic aspect to the aircraft’s behavior.
  • Fully Animated Canopy: Experience the canopy’s vibrations, which change depending on the environment.
  • Custom Tire Compression Animations: The Bronco’s tires will compress under the aircraft’s weight, with an appropriate animation as the wheels roll.

AzurPoly is also focusing on the Bronco’s systems and the TPE331 engines. Sound design is crucial for aircraft add-ons, and it’s notable that AzurPoly is using real aircraft recordings for the Bronco, promising a high-fidelity and accurate auditory experience.

AzurPoly OV 10 Bronco MSFS 3

AzurPoly OV 10 Bronco MSFS 8

AzurPoly OV 10 Bronco MSFS 4

Beta Phase has Begun

Entering 2024, the OV-10 Bronco took a significant leap forward by entering the beta testing phase. This phase is critical for refining the aircraft to meet AzurPoly’s standards and to create a polished final product that simmers will appreciate.

For those seeking a more menacing look for their Bronco, AzurPoly will be offering a weapons manager for non-Marketplace versions of the OV-10 Bronco. Due to Marketplace policies, the version for PC and Xbox users will remain weapons-free, but there’s always the option to purchase from third-party sources if you wish to display weapons.

AzurPoly OV 10 Bronco MSFS 6

AzurPoly OV 10 Bronco MSFS 7

Accompanying these updates, AzurPoly has released new preview images showcasing the OV-10 Bronco’s stunning detail and features. These images offer a glimpse of what to expect from the final product, including the impressive internal and external textures, tire compression, a few liveries (including CAL FIRE!), and more.

Stay tuned for more updates as we eagerly await the arrival of this very cool aircraft in Microsoft Flight Simulator!

Background

AzurPoly first announced the OV-10 Bronco in July of the previous year. This announcement followed their successful release of the C-160 Transall, which has garnered praise for its high-fidelity model and immersion.

The OV-10 Bronco, a twin-turboprop observation aircraft originally designed in the 1960s, is known for its versatility in roles ranging from counter-insurgency to light attack duties.

AzurPoly OV 10 Bronco MSFS 5

The OV-10’s unique structure, featuring a central nacelle with twin booms, has been a focus for AzurPoly. This design allowed the Bronco to excel in challenging environments, capable of short takeoffs and landings on diverse terrains, including aircraft carriers. AzurPoly’s model is based on the OV-10B variant, a target towing aircraft with distinctive features such as a transparent dome and an altered cockpit layout.

AzurPoly collaborated with the Musée Européen de l’Aviation de Chasse, gaining access to a rare, flying OV-10 Bronco in Europe. This partnership allowed the team to gather detailed information, which will hopefully result in a highly accurate simulation model. With the project now in beta testing, we will soon find out!

04 Jan 18:56

☕️ Sans fleur ni couronne, Kioxia enterre la marque Plextor

by Sébastien Gavois
SSD Plextor

C’est une marque mythique qui tire donc sa révérence, même si elle n’était plus que l’ombre d’elle-même depuis des années. Elle s’est fait connaitre dans les années 90 avec la qualité de ses lecteurs de CD/DVD, puis de ses SSD.

« Le site Web GoPlextor.com a déjà été fermé, et Plextor.com conduit à SSSTC.com, qui ne répertorie que des produits destinés aux entreprises et aux centres de données. Les SSD grand public ne sont plus répertoriés », explique Tom’s Hardware.com.

SSSTC signifie Solid State Storage Technology Corporation, c’est une marque de Kioxia (qui était auparavant Toshiba Memory Corporation). Kioxia a rachetée l’activté SSD de Lite-on en 2020, récupérant au passage Plextor. C’est la fin d’une époque… au moins pour les moins jeunes d’entre nous.

30 Dec 09:16

Le chargeur commun USB-C : fausse bonne idée ou vraie bêtise?

by contact@comptoir-hardware.com
Tribune — Le Chargeur Commun, cette directive européenne qui impose à toute une série d'appareils électroniques de posséder un port USB-C compatible avec le protocole USB Power Delivery de niveau 1, semble donc une grande avancée pour les gens qui détestaient le Lightning et l’USB Micro B. Et ces gens existent, apparemment... [Tout lire]
30 Dec 09:03

Crucial T700 Pro 4 TB Review - 4 TB of Gen 5 Goodness

by W1zzard
Crucial T700 Pro is the only PCI-Express Gen 5 SSD on the market with a 4 TB variant. Unlike some vendors who adopt fan-cooled solutions, Crucial has opted for a passive heatsink, which is why thermals are an important part of our review. We'll also look at power consumption and performance, too, of course.
29 Dec 07:59

Combat Pilot provides one more dev diary for 2023

by ShamrockOneFive

We’re almost at the end of the year and what a year it has been for combat flight simming with the announcement of Combat Pilot – a new entry into the marketplace helmed by an industry veteran and a development team that is well known for their attention to historical detail. Let’s have a look at what is in their latest developer update!

Building up

Jason Williams, Executive Producer, and an industry veteran for well over a decade now is back with Developer Diary 5 for Combat Pilot. The intro to this latest diary entry probably says it all when it comes to taking stock on what kind of year it has been for the newest development group to take on a combat flight sim project.

What a first year it has been! We’ve managed to form a team, set initial goals, build assets, establish a community, setup lines of communication, get a plane flying in the engine and lay the technical ground work for our playable prototype. We have a long road ahead, but we’re on the road or perhaps I should say that we’re taxing towards takeoff? That’s probably a better analogy.

The development update also includes plenty of new screenshots showing off the work that is currently underway. Jason’s update indicates that Digital Forms is making excellent progress on the USS Enterprise as well as on the IJN Akagi.

There’s also work ongoing for the buildings of Midway, the 5 in. / 38 Cal. Gun, 5 in. / 51 Cal. Gun, the F4F Wildcat and the A6M2. The latest images includes these that show the F4F in early texturing, shows off the interior detail (no doubt of tremendous importance when the damage model comes together), as well as the folding wingtip of the A6M2 and the landing gear.

FSExpo and Combat Pilot

This developer diary also includes news that Jason Williams and some of the Combat Pilot team are planning to attend and have a small booth at the show. They aren’t sure what they will be showing when they get there but it will be no doubt be exciting to see what has been done so far.

On a sidenote: I am hoping to be there to document so stay tuned for that coverage in June!

If you are thinking of going, learn more about FSExpo here and use the Stormbirds affiliate link for a small discount!

Read the full diary update here!

28 Dec 16:12

Bordeaux-Mérignac : « incident grave » entre deux avions en raison de l’absentéisme des contrôleurs aériens

by Thierry Blancmont

A l’aéroport Bordeaux-Mérignac, le 31 décembre 2022, un Airbus A320 d’easyJet avec 179 passagers avait reçu l’autorisation d’atterrir alors qu’un avion de tourisme DR400 se trouvait toujours au seuil de la piste. Le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) vient de publier son rapport sur cet incident, mettant en cause l’organisation du temps de travail des contrôleurs aériens.

Ce jour-là, seuls trois contrôleurs aériens dont le chef de tour étaient en service, au lieu de six, souligne le BEA. Le contrôleur aérien chargé de la gestion de plusieurs vols a autorisé tardivement l’A320 à atterrir, oubliant la présence du DR400 au seuil de la piste 23. Le pilote du DR400 ayant compris que l’A320 était autorisé à atterrir alors qu’il était toujours au seuil, s’est signalé au contrôleur, qui a immédiatement ordonné à l’A320 d’interrompre l’approche. Les deux appareils étaient alors à une distance de 290 mètres. Un « incident grave » qui a failli causé une catastrophe, selon le BEA.

Pour les enquêteurs du BEA, un nombre insuffisant de contrôleurs présents sur leur lieu de travail (et par conséquent un armement insuffisant des positions de contrôle) est à l’origine de cet « incident grave ». Et pour cause, « cette situation a été rendue possible en raison de la latitude implicitement laissée aux chefs de tour de gérer les effectifs sans respecter le tableau de service, et sans moyen de vérification extérieure de cette gestion par l’encadrement ».

« Un consensus social, ancré depuis de nombreuses années à la Direction des services de la Navigation aérienne (DSNA), laisse perdurer une situation dans laquelle les équipes de contrôleurs organisent, en dehors de tout cadre légal, un niveau d’effectif présent généralement inférieur à l’effectif théoriquement déterminé comme nécessaire. Cette situation, hors du cadre légal, mais connue et tolérée implicitement, est de nature à interdire toute collecte officielle d’informations qui conduirait à identifier ces écarts y compris dans le cadre de l’analyse d’événements de sécurité », expliquent sans détour les enquêteurs.

Dans ses recommandations, le BEA recommande de mieux contrôler le temps de travail effectif des contrôleurs aériens, afin de lutter contre l’absentéisme. Selon Le Figaro, à la suite du rapport du BEA, le ministre chargé des Transports, Clément Beaume, a demandé à Damien Cazé, le directeur général de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), de mettre en place avec la DSNA « un plan d’actions assorti d’un calendrier ambitieux visant à mettre en œuvre la recommandation du BEA ». Dossier à suivre donc…

Le rapport complet sur cet « incident grave » est disponible sur le site du BEA.

©Aéroport de Bordeaux-Merignac

26 Dec 16:35

☕️ Brouilleurs d’ondes : hélicoptères du SAMU et avions perdent leur position

by Vincent Hermann
Brouilleur GPS

L’Agence nationale des fréquences intervient sur le terrain lorsqu’elle est sollicitée pour un brouillage sur les ondes. Dans le cas présent, l’affaire prend les airs : « les hélicoptères du SAMU et les avions sont perturbés [à] une trentaine de kilomètres de Lille, à proximité de l’aérodrome de Merville (59) ».

L’ANFR nous livre alors le détail de son enquête. On vous laisse découvrir le détail pour sauter directement à la conclusion : « un véhicule professionnel en intervention, sans doute géolocalisé, dont la localisation a été neutralisée par un brouilleur installé par le conducteur ».

L’Agence rappelle que « la possession d’un brouilleur GPS est, au même titre que son utilisation et le brouillage causé, un délit soumis à une sanction pouvant aller jusqu’à 6 mois de prison et 30 000 euros d’amende au titre du code des postes et des communications électroniques (CPCE) ».

Ce n’est pas fini. Dans la suite de l’enquête, un brouilleur multi-bandes acheté sur Internet est identifié comme étant la cause de brouillage. Nouveau rebondissement : « l’émission perturbatrice continue !… C’est alors qu’un second brouilleur est découvert, caché dans le cabanon du jardin ! De quoi brouiller une large zone ».

Tout se termine bien dans les ondes : « Grâce à la traque efficace et la réactivité des enquêteurs de l’ANFR, les perturbations affectant les hélicoptères du SAMU et les avions aux alentours de Merville ont été définitivement supprimées ».

26 Dec 07:05

Chisel – Le tunnel sécurisé TCP/UDP via HTTP et SSH en un clin d’œil

by Korben

Si vous voulez traverser des firewalls comme la banane magique traverse les murs, ou si vous voulez exposer à l’extérieur de votre réseau, l’un de vos services web ou projet de dev quelconque, il vous faut la même chose qu’El Chapo, à savoir un bon tunnel !

Et pas n’importe lequel : un tunnel HTTP / Socks !

Et pour ça, je vous présente aujourd’hui Chisel : un tunnel TCP/UDP, écrit en Go, rapide et sécurisé via SSH et fonctionnant au travers de HTTP. Vous pouvez donc l’utiliser pour passer à travers un firewall, pour accéder à des services à vous qui ne sont pas disponibles via le web, ou l’utiliser dans vos missions de pentest.

Pour faire un test rapide, vous pouvez lancer Chisel sur un serveur équipé de Docker comme ceci :

docker run --name chisel -p 9312:9312 -d --restart always jpillora/chisel server -p 9312 --socks5

Le socks5 permet d’y accéder en websockets quand les proxys HTTP ne sont pas supportés par vos outils. Ensuite, il faut installer Chisel également côté client. Vous pouvez donc l’installer avec la commande suivante (ou en récupérant le binaire ici) :

curl https://i.jpillora.com/chisel! | bash

Une fois que c’est fait, y’a plus qu’à appeler Chisel en mode client comme ceci en remplaçant IP_SERVER par l’adresse IP de votre machine qui héberge Chisel lancé en mode serveur :

chisel client -v IP_SERVER:9312 socks

Ensuite, le tunnel sécurisé va s’établir et y’a plus qu’à configurer vos outils, par exemple votre navigateur pour passer à travers votre serveur et accéder par exemple à tous vos services dispo sur votre réseau local distant.

Mettez 127.0.0.1 et le port 1080 comme serveur Socks et le tour est joué !

À découvrir ici

Et en bonus, une vidéo grâce aux Patreons qui me soutiennent !

22 Dec 16:53

G.SKILL WigiDash, un petit écran externe de monitoring et de contrôle

A la recherche d'un petit accessoire qui fait office d'écran de monitoring et de contrôle en même temps ? Avec le WigiDash de G.SKILL, ces deux mondes sont réunis dans un écran tactile de 7" qui affiche en 1024 x 600. Et sur le papier, son fonctionnement est simple puisque le WigiDash fonctionne sur le principe d'une grille en 5 x 4 avec la possibilité d'avoir des cases plus ou moins grandes. Chacun va choisir son agencement, et chaque case sera un raccourci pour une macro, un contrôle multimédia ou un afficheur pour des informations diverses et variées à propos de la configuration, voire d'autres choses comme la météo. […]

Lire la suite
22 Dec 16:48

Microsoft Pulls the Plug on Windows Mixed Reality, Reportedly Downsizing VR Division

by btarunr
Microsoft is discontinuing Windows Mixed Reality. This was discovered when the company added it to a list of deprecated Windows features. The Windows Mixed Reality platform, along with its accompanying Mixed Reality Portal app, and Mixed Reality for Steam VR, are on the list. For now it is deprecated, and Microsoft says that it will be removed in a future release of Windows. Mixed Reality was released in 2017, during the thick of the VR craze in the tech industry, a time when Facebook, having acquired Oculus, and betting big on the Metaverse, an endeavor that cost the company over $20 billion since. Mixed Reality served as a gateway to games and apps in the VR space. The company developed its own HoloLens Mixed Reality headset rivaling Oculus Rift, and got its OEM partners, such as Acer, Dell, Lenovo, ASUS, and HP, to invest in ones of their own. In all this, it doesn't look like Microsoft is winding down its enterprise-focused HoloLens 2 headset just yet.
16 Dec 07:38

Exclusive: Interview with the IL-2 Karelia map team

by ShamrockOneFive

You’re hearing it here first! IL-2 Sturmovik: Great Battles is getting a new map developed by a third party team and I had the pleasure of talking with them quite a bit over recent weeks to learn all about the project. The map is being called the “Karelia map” and in this reveal I do a Q&A with elements of the team as well as show off some of the visuals, reference materials, and even a video of the map in action. Let’s go!

Updated: December 9, 2023 at 7:39 am EST with a small correction on the map scope.

What is the Karelia map project?

Years ago I was contacted by members of a third party team of enthusiasts that were working with IL-2 Sturmovik: Great Battles map tools to develop a Finnish Gulf based map for the series. This primarily Finnish-based team, weren’t ready or able to say anything about the project in the early days, however, the project is now moving into a new phase and they are ready to tell everyone about their efforts.

Now titled the Karelia map, the third party team has progressed to the point where they are ready to talk about the project, show it off, and talk about the road to release. The team have called themselves ‘KarttaKomppania’ and you can read the full Q&A below.

Q&A with KarttaKomppania

Let’s do some introductions first. Introduce yourselves and tell us a bit about how you became interested in this project either as a group or individually.

Kanttori: I’m an old Aces High and IL-2 Sturmovik 1946 player and also the founder of this project. In the summer of 2016, we were at the Mosquito Meeting of the Finnish Virtual Pilots Association in Ilomantsi, North Karelia, and we were excited about which front area Jason Williams would announce as the next part of the Battle of Stalingrad (BOS) game series.

Our expectations were that the next part after the Battle of Stalingrad and the Battle of Moscow to be one of the biggest fronts of Operation Barbarossa, i.e. the Siege of Leningrad. Unfortunately Jason announced that the next one would be the Battle of Kuban and we were quite disappointed. Then I told the present that if the gaming house wont make an important front to us Finns, then we will make the map ourselves.

Shortly after that, several of my squadron mates from different Finnish virtual Flight Squadrons signed up to join the map team, and some of them are still involved.

Already in 2006-2012 I had made with my Finnish friends the first historical Karelia terrain for the American game Aces High II and then planned the same for the old IL-2 Sturmovik 1946 sim. I even built a large 512 km x 384 km Karelia testing map base for it as well. We flew a multiplayer test flights on a still unfinished map already in 2015. 

Then I switched to the BoS and immediately realised that the Karelian project must be built in the most sophisticated game engine in terms of map technology of flight simulators, which was then IL-2 Sturmovik Battle of Stalingrad.

Mats: I joined the team back in the fairly early stages of the project to help out with GIS data. Now I do a bit of everything, mostly 3d modelling and management.  Our team size is currently 16 people, and that number has varied up and down over the years. We have six people working purely on 3d/2d art, five people working only on map data (converting data from old maps into game usable formats) as well as one guy working on the roads- and rail network and a researcher that can help us with archive material. In addition to these hard working people we have three of us who do the management and admin tasks. Most of our team is made up of old-school sim flyers from the Finnish Virtual Pilots community.

How long has the team been working on this project?

Kanttori: Because I am from North Karelia and my father’s family roots are in Eastern Karelia, Finnish military history was a common hobby for us all my life. Actually, I have been planning this project since the beginning of the 2000s, when I got to know Multiplayer flight simulators for the first time. That’s when I realised that in addition to the air war game, you can do a history project at the same time, i.e. the so-called Virtual Karelia. The game engine of Great Battles was good enough to build Karelia properly now. The game also has a great Mission Editor Tool with which maps are made in addition to Photoshop.

Karelia’s map team started working already in 2017, when I figured out the BOS map technology, but we still didn’t have proper data for the implementation of the map. I got the first elevation map of the current area from a French enthusiast and with it we did tests when I tried to import the very simple black and white bitmaps into the Mission Editor. At this point, many had already lost faith in me and the implementation possibilities of the entire map.

What is the scope of the map (i.e. how big is it?) and what time periods can it represent?

Kanttori: Actually, I would like this to be a real IL-2 Sturmovik game part called Siege of Leningrad and also Battle of Karelia. Our map covers all the relevant fronts of this region, from the Winter War to Operation Barbarossa, the Siege of Leningrad and finally the battles of the Karelian Isthmus and Narva. The time scale is really wide from November 1939 to September 1944 and all of them fit on our map. This is the only missing area of ​​the WWII Eastern Front that has never been published to this extent in any flight simulator.

After about three years, when we have expanded to all the borders of the flight areas limits, i.e. we have made an approximately 350 km x 350 km flyable area, that area starts 16 km west of the city of Kotka and ends on the east coast of Lake Ladoga. Map also covers a small part of the northeastern corner of Estonia near Lake Peipus and Narva. The northern border goes 15km north of the city of Savonlinna, so at some point we will get to model famous and beautiful Olavinlinna castle as well.

How long has the team been working on this project?

Kanttori: I started planning the flight area of ​​the map already in fall 2016, when French Laurent Cunin contacted me and made us the first height map from our current map. Thank you so much Laurent, you got us started! Then I contacted Jason Williams in November 2017 and I may have bombarded him with too much enthusiasm, but he finally gave us the mapping tools as a Christmas present in December as a 2018 and therefore believed in us. Thank you so much to Jason, here we are now.

I’ve seen some of the work behind the scenes and one of the things that the team has done is ensured that there are a lot of points of interest. That includes some well known landmarks. How many unique points of interest are planned and do you have some favourites that really stand out?

Kanttori: I have Karelian family roots and I have lived in both South and North Karelia all my life, and that’s why this region and the past wars are so important to me.

Lappeenranta is the Karelian city of my childhood and youth, and I know its landscapes inside out, as well as the whole of South Karelia. Lake Saimaa with thousands of islands is part of the most beautiful Finland. The ice age has made this area, also the Karelian Isthmus and the coast of the northern parts of Lake Ladoga, a unique landscape that cannot be found anywhere else in the world.

Mats: Most will know Finland as the land of the thousand lakes, and indeed you will find a lot of water on our map: The Gulf of Finland is perhaps the main water body, followed by Lake Ladoga to the east which is absolutely huge. The centre of the map is where you will find the Karelian Isthmus, the scene of the heaviest fighting in the Finnish Winter War and Continuation War. The nature on land is dense but varied forests, with comparatively small clearings for villages and fields. All the land coverage has been painstakingly recreated from war-time field maps and aerial photos to ensure that it is accurate. The map team deserves great credit for the hundreds of hours of comparatively boring editing of old maps, but the painstaking labour they put into the map really shows in the varied land cover.

As for land-marks the main ones will probably be the cities of Vyborg or Viipuri and Leningrad. Both cities will be quite unique and easily found from the air. We have tried to model as many important landmarks as we could and will continue to add them, but the list of important landmark buildings seems never ending at times.

Can you tell us a bit about the behind the scenes process that you used to develop historically accurate scenery and locations? Were photographs and charts used?

Kanttori: Enthusiasts of Finnish military history, I have collected thousands of photographs, maps, aerial photographs and plans of airfields, town plans and drawings of buildings from the Winter and Continuation War. I have also received many rare construction drawings from the Finnish Air Force Museum, e.g. aircraft dugouts, Finnish type buildings at airports, etc.

The internationally known Finnish air war historian Carl F. Geust has also been a great help and made his unique archive available to me. A few of my friends and I have shared documents between us and I can say that we have a really huge amount of digitally archived source material, at least a couple of terabits in total. A large part has yet to be arranged, but that work will be done after the map is published next spring 2024. Now we won’t have time to do it.

How much of a challenge is it to make a map project like this? Can you guess how many hours were spent over the years to make this happen?

Kanttori: We don’t even dare to count our working hours and they have never been recorded. I think from my point of view that I have been doing this now, excluding the planning phase, for almost five years. Since then, we have had about three months of summer vacation, because the summer in Finland is beautiful but short. Nine months of work from autumn to spring and I have it non-stop like a workaholic. Not 24/7, but on average 12/7, i.e. I somehow work on things related to the map for 12 hours every day. It might also include reading pilots’ memoirs or the history of the Finnish Air Force part of the time, because everything I do nowadays is somehow related to making the map of Karelia. About 270 working days a year and 12-hour working days for five years. I calculated that about 16,000 working hours, or 2,000 working days.

Which seasons are planned for the map?

Kanttori: All four seasons. We have completed summer and autumn, and winter is being worked on as we speak.

What is left for the team to do on the project before it can be released?

Kanttori: At this point, at the beginning of December 2023, we are already in the official beta test of the gaming house. In the middle of the large 409.6 km x 409.6 km map, we have delineated the most important fronts for us Finns, which are the Karelian Isthmus and the sea front of the Gulf of Finland.

The villages of Karelian Isthmus have already been populated (taken to the map) and we are now building new airports at the rate of about two airports per day. If only we can get town building blogs imported into the Mission editor and into the game, then the first map part to be published will be completed next March 2024 and will be given free of charge to all IL-2 Sturmovik game lovers.

How will this map be released to us? Will this be considered a separate DLC or how will it work?

Kanttori: Its free to all as I wrote. But if somebody wants to support us for the next two years or so, we will expand the entire map to use the 409.6 km x 409.6 km area and we will make the rest of the missing cities and airports as well. That’s why we have set up a Patreon page through which everyone can donate money to us for our work.

Support the team with their Patreon page here.

What kind of fronts and eras of battles will be possible when you’re done?

Kanttori: The time scale in the area of ​​this map is one of the longest it was during WWII: We can make missions from our Winter War 1939-1940 to the Continuation War 1941-1944. These wars or “Forgotten Battles” may be unknown to many, but we also have the Leningrad front where the German Northern Army Corps attacked in the summer of 1941 when Operation Barbarossa began.

That was the start of the 900-day siege of Leningrad, which basically lasted until January 1944, when the Red Army beat the Germans behind the Luga River, that’s on our map too.

We also model in the future the Estonian city of Narva, so the missions about the Battle of Narva in the summer of 1944 fit well on our map. I’ve always asked, what other 410 km x 410 km map allows for such versatile tasks on a five-year time scale and between the major battles of the military forces of three states?

Hypothetically, if the series were to add aircraft to support this map. What would you like to see?

Kanttori: We could bring all the missing aircraft of the Eastern Front, such as the Polikarpov I-153 Chaika, Brewster Model 239, Curtiss Hawk 75A, Fiat G.50, Morane Saulnier M.S.406 and Fokker D.XXI fighters as well as the Ilyushin DB-3F/IL-4, Dornier Do17Z and Blenheim I-IV bombers into the game. All these planes could also be used on the maps of other game parts, with the exception of our unique Pearl of the Sky Brewster, which was only used by the Finnish Air Force in Karelian fronts during WWII.

Tell us a bit about the names on the map. Many names have changed quite a bit during the 20th Century. How have you approached this?

Kanttori: I actually wanted this to be a real IL-2 Sturmovik part called Siege of Leningrad or rather Battle of Karelia at one time, as did apparently Jason. Now, it’s the same because we can do missions for all these different fronts on the same map. The majority of the area of ​​the map is Karelia and the old residential areas of our Finnish brother nations in Estonia and Inkeri, so we decided to put a Finnish name on the map as well.

That is why the historical place names on the Karelian Isthmus and south of the Gulf of Finland in the Leningrad Oblast area are primarily Finnish, Ingrian or Estonian, and then only in Russian.

For example, the place names of the Karelian Isthmus, which currently belongs to Russia, are nowadays in Russian and usually completely disconnected from their original Finnish names or meanings. Completely invented place names in Russian were only introduced long after the war, in 1948, as I recall.

Where does the team go from here? Do you have a sense of how long this project will take or is it a “done when it’s done” kind of project?

Kanttori: We will be expanding the flyable area of ​​the map in a few big updates and improving the existing landscape to the end, as well as replenishing the building base, especially in Leningrad! Local 3D modellers would really be needed for the construction site to make St. Petersburg’s wonderful landmark buildings. so you can register to work for us by contacting me or the game house developers.

We cannot pay anything for the building models at this stage, because we have been doing this ourselves for a long time without any compensation. But now everyone has a unique opportunity to have their building models and also names visible on the newest, biggest and perhaps also the most beautiful map of the IL-2 Sturmovik Great Battles game series. But the beauty of the map is actually up to the player community. We at KarttaKompania always do our best for our Karelia Map, which is so important to us!

A look at the map and more

A high resolution view of the map showing the more detailed areas as well as the extended sections of the map.

Some of the media that the team sent me included a mix of polished screenshots as well as some more work in progress items that give you a sense of what effort is being put into recreating some of the airbases and landmarks.

First we have this batch of aircraft screenshots that show off the map together with some Finnish aircraft.

Now let’s have a look at some more work in progress shots featuring airfield plans, photo reconnaissance imagery, architectural drawings, a real world photograph, a 3D model in progress and finally the layout of Taipalsaari airfield as it currently appears in the editor.

Some work is obviously left to do including the completion of that custom revetment. Still, you can see the details beginning to emerge.

The next batch of shots gives us some more countryside kind of details with more airfields as well as a mix of forests and fields.

The team have shared some work in progress images of various buildings that are currently being created for the map. The projects start off at relatively high resolutions and then I’m told that the details are tuned down later with the original details being baked into textures.

Finally, a video has been created to show off the project as well.

Content and final thoughts

In talking to the team I’ve also talked to Juri_JS, who is not part of the team but is in contact with them, about the possibility that missions and campaigns will also be created to support the project. The answer is a definite yes. Juri_JS has made several campaigns for the series previously (some of you may have played Ivan’s War or Kerch-Eltigen Operation) and seems well placed to create some content here. That’s good news as a map on its own is a good canvas but the scenery and missions together help to create the experience for most of us.

As you can probably gather from the Q&A, this is a real labour of love for the team behind this project. Over half a decade worth of effort and countless hours spent putting this together is finally coming together in a way that they can show off and talk about.

I want to think Kanttori, Mats and the rest of the KarttaKomppania team for sharing their efforts to bring an interesting new map to the IL-2 series. I also, of course, want to thank them for doing this Q&A with me. It’s been a pleasure to watch their project grow over the last few years with periodic updates. Now that they are talking about it more I’m sure you’ll be hearing both from them and from 1CGS about the project. There will surely be more to come!

10 Dec 18:34

Cartes graphiques : 30 ans d’évolution des GPU

by Sébastien Gavois
Ha… la bonne époque d’un CF de 4870 X2 !
Carte graphique AMD GeForce

AMD et NVIDIA se partagent aujourd’hui la part du lion dans le marché des cartes graphiques dédiées. Il n’en a pas toujours été ainsi : d’autres acteurs importants existaient dans les années 80, 90 et début 2000, avant une forte concentration du secteur. Détour par le passé avant de retracer 30 ans d’évolution des GPU, avec une explosion du nombre de transistors.

On remonte le temps à une époque où la 3D n’existait pas et les ordinateurs s’utilisaient en ligne de commande ; on est bien avant le premier Windows, dans les années 70 et début 80. Contrairement à AMD et Intel, NVIDIA n’existait même pas : la société a été fondée en 1993 (elle a le même CEO depuis 30 ans : Jensen Huang).

L’affichage n’était donc que 2D, avec des cartes au doux nom de CGA (Color Graphics Adapter), EGA (Enhanced Graphics Adapter) et VGA (Video Graphics Array). On est toujours dans les années 80. Au début des années 90, les premières cartes 3D débarquent, puis des cartes prenant en charge la 2D et la 3D, permettant ainsi de n’occuper qu’un seul emplacement sur la carte mère.

Diamond, Matrox, S3… morts sur-le-champ de bataille

Dans les années 90 et 2000, il existait pléthore de fabricants de cartes. Nous pouvons par exemple citer Matrox. La société s’était forgée une solide réputation dans le monde de la 2D, notamment avec sa Millenium. Elle s’est par la suite lancée dans la 3D, mais sans rencontrer le même succès et a fini par jeter l’éponge.

Il y a eu la Mystique en 1996 (suivi de la Mystique 220 en 1997) qui avait des atouts, mais qui n’a pas résisté à la déferlante 3dfx. Le constructeur a continué sur sa lancée à la fin des années 90 avec des déclinaisons G200, G400, G550, etc. de sa Millenium, sans convaincre. S’il a depuis quitté le marché des cartes 3D pour joueurs, Matrox propose toujours des produits pour les professionnels.

À la même période, STMicroelectronics et Videologic/Imagination étaient aussi présents dans le monde de la 3D avec leurs GPU PowerVR, Kyro et Kyro II. La 3D Prophet 4500 de chez Hercules (testée à l’époque par Hardware.fr) exploitait le Kyro II par exemple. Signalons aussi S3 Graphics avec ses Trio, ViRGE et Savage, Diamond avec ses Viper et Monster, etc. Des noms avec probablement un arrière-gout d’outre-tombe pour certains.

Les Voodoo de 3dfx ont marqué leur époque

Un autre fabricant qui avait défrayé la chronique au milieu des années 90 était 3dfx. À l’époque des cartes 3D « Rage » d’ATI et autre « Riva » de NVIDIA, il proposait ses Voodoo 1 et 2. Ces cartes PCI (pas encore Express) ne faisaient que de la 3D et devaient donc être utilisées en complémentait d’une carte 2D.

Un câble VGA se chargeait d’établir un pont entre la carte graphique 2D vers la Voodoo. On branchait ensuite son écran sur la Voodoo, qui ajoutait le rendu 3D au signal 2D par une simple superposition. Par la suite, 3dfx a proposé la Voodoo Banshee, qui prenait en charge à la fois avec la 2D et 3D. Aujourd’hui, toutes les cartes 3D gèrent également la 2D. Les Voodoo ont connu un rapide succès et une descente presque aussi rapide.

L’autre avantage des Voodoo était la possibilité de fonctionner en SLI (Scan Line Interleave). Oui, il s’agit bien de la technique utilisée ensuite par NVIDIA pour faire fonctionner de concert plusieurs cartes, sauf que SLI signifiait alors Scalable Link Interface.

Le fabricant jouait aussi les apprentis sorciers en multipliant les GPU comme des petits pains pour tenter de séduire les joueurs : deux sur la Voodoo 5 5500 et jusqu’à quatre sur la Voodoo 5 6000… avec des consommations électriques qui défrayaient la chronique à l’époque.

Fin du game : NVIDIA rachète 3dfx, AMD se paye ATI

Mais ce n’était plus suffisant pour lutter contre les cartes des concurrents de l’époque qu’étaient ATI et NVIDIA. En décembre 2000, NVIDIA se paye finalement 3dfx pour 120 millions de dollars. Quoi qu’il en soit, 3dfx a largement marqué la fin des années 90.

À partir de là, les GeForce et Radeon se sont livrées une guerre sans merci. Les Rage et Radeon étaient tout d’abord des marques ATI, mais cette dernière a ensuite été rachetée par AMD en 2006, pour 5,4 milliards de dollars. La marque ATI n’a pas été conservée, mais la dénomination Radeon oui.

Presque 25 ans plus tard, cette guerre continue de plus belle avec les GeForce RTX 40 chez NVIDIA et les Radeon RX 7000 chez AMD. Pour le moment, aucun autre challenger n’a réussi à se hisser au niveau. Intel s’est bien relancé sur ce marché avec ses cartes graphiques Arc, mais sans s’approcher d’AMD et de NVIDIA sur le haut de gamme.

La folle évolution de la densité des transistors 


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08 Dec 18:55

Heatblur and IndiaFoxtEcho launch F-14 for MSFS

by ShamrockOneFive

One of DCS World’s best modules has made the leap from that sim over to Microsoft Flight Simulator thanks to efforts from both Heatblur and IndiaFoxtEcho.

Mighty wings come to Microsoft Flight Simulator

Sporting both F-14A and B models with detailed simulations of the respective models Pratt & Whitney TF-30 and General Electric F110 engines, Heatblur and IndiaFoxtEcho have also incorporated a version of Jester AI, an essential part of the DCS World experience, with a lightweight version that they report will help you operate the jet.

DCS World fans will already know that Heatblur are among the best in the business producing aircraft at an extremely high quality level. The F-14 moving over to Microsoft Flight Simulator opens the door to a whole new market. Though DCS fans might find flying a military jet in a civilian sim unusual, fighter jets are popular in the sim and with such a large audience it makes a lot of business sense for the developer to bring such an impressive project over. IndiaFoxtEcho’s expertise on the platform also no doubt proved invaluable.

The aircraft is now on sale on the Heatblur.com website for $34.99. A discount code is also on offer for DCS World fans saving you $10 off the price. You’ll need to contact Heatblur on their website to offer up a proof of purchase to get the code.

08 Dec 18:46

EXODUS, le renouveau du space opera ?

Genre assez peu représenté sur nos machines, le space opera pourrait faire un retour en force avec EXODUS, un jeu développé par Archetype Entertainment. Si le nom est, pour l'instant, inconnu, le studio semble faire le plein de bonnes volontés et d'expérience avec d'anciens développeurs en provenance de chez BioWare, Naughty Dog, 343 Industries ou encore Blizzard. Plus d'autres, mais la liste serait visiblement trop longue. De quoi faire soulever un sourcil, tandis que le second se lèvera tout seul en découvrant que l'écrivain Drew Karpyshyn est également de l'aventure. Si tout ne n'est pas bien passé pour lui avec le dernier épisode de la trilogie originale Mass Effect, peut-être aura-t-il ici plus de libertés. […]

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