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"(Lake Natron) takes its name from natron, a naturally occurring compound made mainly of sodium carbonate, with a bit of baking soda (sodium bicarbonate) thrown in. Here, this has come from volcanic ash, accumulated from the Great Rift valley. Animals that become immersed in the water die and are calcified." Read the full article here.
Calcified birds (and bat) at Lake Natron, by Nick Brandt.
Naya’s Quest (Browser) de Terry Cavanagh. Naya’s Quest est un platformer, oui en 2D isométrique… Vous allez me dire, que ce sont deux genres qui ne collent pas vraiment… Et pourtant, Terry Cavanagh va justement jouer avec les défauts de la 2D iso, la perte des repaires et des distances, “cette plateforme devant vous est-elle bien devant vous ? Ou au dessus ? En dessous ? Sur votre droite ? Votre gauche ?”.
A tester par là !
Merci a @JeromeBD pour l’info !
Si vous avez suivi l’affaire Prism, vous êtes au courant de l’importance des métadonnées. Tout le monde craint que l’on puisse espionner les conversations que l’on tient par nos communications électroniques. Mais peu de gens savent que les métadonnées peuvent en apprendre beaucoup sur le profil d’un internaute. Les métadonnées (les données sur les données) regroupent pour Gmail par exemple qui envoie le mail, à qui, à quelle fréquence, avec quelle longueur, etc.
Pour démontrer que ces métadonnées en disent beaucoup sur vous, un groupe de chercheurs du MIT a mis au point une application web qui cartographie vos métadonnées Gmail. Il s’agit du programme Immersion.
Pris au jeu, et fervent utilisateur de Gmail depuis 2008, j’ai décidé d’analyser mes résultats. Et c’est assez bluffant. Suffisamment pour me faire prendre conscience d’un aspect de ma vie dont je n’avais qu’une vision floue : l’évolution de mes relations et réseaux dans le temps. Ou la chronique d’une isolation progressive. Une fois n’est pas coutûme, je vous propose de plonger avec moi dans ma vie, afin de vous démontrer à mon tour, que nos métadonnées sont très bavardes. J’ai bien sûr retiré les noms des contacts.
Jeune étudiant de Sciences Po Lyon, je quitte la capitale des Gaules pour rejoindre Paris, entamer un master 2 de communication en alternance chez TBWA\CORPORATE. Jeune hôte de ce blog, grâce à ma meilleure amie Marion, je découvre aussi le monde des soirées blogueurs parisiennes, et mon travail d’apprenti chef de projet ePR m’amène à côtoyer certains blogueurs professionnellement. J’ai la chance d’avoir pas mal d’amis dans mon cas, montés sur Paris pour finir les études ou travailler, la plupart anciens de Sciences Po. Je découvre un excellent master, et la petite vingtaine d’étudiants que nous sommes devient un vrai groupe d’amis. Nous nous voyons en cours et en dehors, avec un grand esprit de corps qui n’a rien à envier à celui connu à l’IEP. Quelques amis se détachent de ce groupe, on se voit encore plus régulièrement. En parallèle, je quitte petit à petit mes activités politiques et associatives lyonnaises. Ma nouvelle vie sera parisienne !
La vie parisienne prend forme ! Je découvre une vie sociale intense, au sein d’un groupe d’amis soudés, prêts à tous les 400 coups ! C’est l’époque de la Plurkie et de ses apéros sur le pont des Arts et à la Cordonnerie, ainsi que des débuts sous Twitter. Je suis officiellement embauché chez TBWA, j’étends mon réseau professionnel. Je vis une grande histoire d’amour à distance, je garde contact avec la famille par email. En partance de TBWA, j’hésite entre deux postes, je choisis Bercy. Une nouvelle année s’achève.
J’ai de moins en moins de contacts avec les anciens du Master 2. Le groupe très uni s’est disloqué avec la folie parisienne et les premiers contrats professionnels. Je suis de plus en plus proche avec mon frère et ma soeur, avec l’âge. Je garde de bons contacts avec mes anciens collègues de TBWA (nous formons une belle étoile !).
C’est aussi l’époque de la naissance du Réseau des Jeunes Communicateurs Publics, que je co-fonde avec deux autres collègues de ministère. Ce réseau professionnel se développe à grande vitesse.
Telle une deuxième vie, j’entame aussi des fonctions dans une association événementielle, avec des gens totalement différents, déconnectés des autres.
J’ai moins de temps, le groupe des meilleurs amis est moins actif qu’avant, les échanges baissent. Je déménage dans le 15e arrondissement.
Ma dernière année parisienne. Mes associations me prennent beaucoup de temps. J’y consacre beaucoup d’énergie. Je commence également à donner des cours à Sciences Po Lyon, avec mon meilleur ami qui a déménagé là-bas. Du groupe des meilleurs, je n’ai que quelques contacts avec ma meilleure amie et son dernier garçon. J’ai moins de contacts avec mes anciens collègues de TBWA. Et je ne parle pas des amis du Master. Je perds pied dans ma vie sociale. J’ai l’impression de ne plus avoir de socle fort. J’étouffe. Fin juillet 2012, je démissionne de Bercy. Je quitte Paris. Pour Lyon. Retour aux sources. Retour au calme.
La période Lyonnaise. Nouvelle vie. Je garde contact avec Paris, notamment via le Réseau JCP, que je ne quitte pas, bien au contraire. Avec mon meilleur ami, nous reformons un petit groupe de potes, ça ne durera pas bien longtemps. Une sombre histoire idiote viendra isoler les membres. Je ne connais plus grand monde ici à part mon meilleur ami, à qui je ne peux pas demander tout son temps. Que dirais sa future femme Je tente bien de prendre contact avec des anciens du lycée, notamment à mon arrivée, et aussi avec mes anciens colocs. On aime se revoir. Mais c’est très occasionnel.
L’avantage d’être à Lyon, c’est que je me suis rapproché de ma famille. Les échanges en sont plus forts.
Je garde quelques contacts, au début, avec la personne qui a partagé ma vie à Paris et ses ami(e)s. Et puis plus rien. J’ai des contacts de-ci, de-là, mais rien de soutenu. D’une vie sociale forte et animée, je suis passé à un vaste monde sans lien :
Voilà l’eclatante vérité telle que les métadonnées peuvent l’illustrer. Implacablement, froidement. Ma vie est cartographiée, statistique. Pas le place au doute, ou à l’interprétation subjective. Les données ne mentent pas. Et je suis affiché au grand jour. J’ai trouvé ça légèrement effrayant.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Black Square is a quick, well-polished bit of fun from Ghost Pixels. It's a top-down shooter with the rarely-used backdrop of the early Cold War. The graphics make use of a limited palette and excellent, low-res pixel art to convey the mood of playing a Gameboy game, or of watching an old black-and-white war film.
It's 1948 and the Cold War is already in full swing. You are Sergeant Chuck Taylor and your mission is to single-handedly infiltrate Stalin's stronghold of censorship and save an important minimalist painting, Kazimir Malevich's "The Black Square".
The compound is patrolled by Russian soldiers, which you can sneak by or shoot. You start out armed with only a pistol, but you'll be able to grab a machine gun later. The place is also protected by landmines, but you can often use these, in conjunction with exploding fuel barrels, to take out your enemies.
It's a fairly casual experience, as you have unlimited ammo and there are plenty of health pickups. However, the communists have an advantage in that they can shoot diagonally and you can't. You use the arrow keys to move and you can shoot with Shift, Ctrl, or Space.
Explore the compound and find your way to the titular MacGuffin, where you'll experience a final boss encounter which had me grinning from ear to ear. Give Black Square a play in your browser.
Oniken developer JoyMasher took some time away from its upcoming 'Castlevania meets ActRaiser' Odallus project to create adventure RPG Killing Moon for a Brazilian scary game jam called Pack of Horrors. In this RPG, you explore a high school during a costume party, gathering items used to gather even more items (typical adventure stuff) until... something horrifying happens.
As a word of warning: like a lot of horror films, Killing Moon takes several minutes to reach the scary tension. Still, it's enjoyable, especially for a game made in three days.
Goodness, Morphopolis sure is a sight to behold. I do not usually like bugs because I’m afraid they’ll crawl into my eyelids while I’m sleeping and lay eggs, but just look at that. So much insistently strange color. So many rich veins of detail popping and pulsating with life. The point-and-click adventure treats nature not as a playground, but as a canvas for the grotesquely gorgeous. I just want to go inhabit that place. Problem is – based on a bit of the game I played at Rezzed – I’m not sure if it’ll let me. Trailer and thoughts below.
Good day to you, fine Internet. Lumenox Games send word that their beautiful 2D platformer, Aaru’s Awakening, has a new trailer, which you can find embedded below. It’s astonishingly pretty, and shows off the game’s key mechanic – teleportation – across some exquisitely hand-drawn levels. You really will want to take a look at this. But wait! As Alec previously noted, there’s also a demo over on the Greenlight page. That means you can play it.
Perhaps you should.
(more…)
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"I'm a living breathing person... but I'm just going to stand frozen in this spot forever. Also, I'm a tortoise." |
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An important part of being good at games means looking past dissonance to value the "game underneath." |
What’s behind the door? That’s the question Amplitude Studios are asking in their mysterious teaser trailer for Dungeon of the Endless that arrived overnight.
Retro spaceships, explosions and beautiful music has us sold already. Sci-fi is making a comeback, and we couldn’t be happier. Given Amplitude’s success with Endless Space, we have confidence in Dungeon of the Endless.
Apparently more details will be revealed at Gamescom later this month. Our bet is on some kind of retro roguelike, which is A-OK with us!
The post What’s Behind The Door? Dungeon of the Endless teased appeared first on Pixels For Breakfast.
In case you don’t get the joke.
The comic comes from Greg Melo, who has more Animal Crossing: New Leaf strips — including one or two with offensive language — over at his DeviantArt gallery.
BUY Animal Crossing: New Leaf, AC:NL guide, upcoming games
Gloria Victis is an MMO that initially reminded me a bit of The Witcher, and then I read that some of its developers helped make The Witcher. “Ooooooooh,” I replied eloquently. The general vibe, especially, gives me flashbacks to Geralt’s particular brand of gallivanting (or Geraltivanting for short), with a fantasy setting where everything… well, it just sucks. No knights in shining armor, no one-man-army mega heroes, no mighty spells or gear sets that look like they emerged from the great costume glitter explosion of 1927. That’s certainly not a bad thing, though. I mean, there’s a reason “realistic” fantasy is all the rage right now. It’s a focus that bleeds into the game’s skill-based combat as well, with things like weather conditions even coming into play. Sounds like quite the thing, huh? Check out some gameplay footage after the break.
Après «The Eagleman Stag», découverte du trailer du futur court métrage de l’illustrateur anglais Mikey Please : «Marilyn Myller». Produit par le studio Hornet Inc, ce court métrage réalisé en stop motion et en noir et blanc, arborent des décors faits mains et une lumière toute particulière. Making of disponible dans la suite.
«Moleskine Doodles» est un projet de l’illustrateur Kerby Rosanes basé aux Philippines. Celui-ci nous livre ses sketchbook aux dessins très détaillés dont chacun renferme un grand nombre de personnages humoristiques et caricaturaux.
Coup de coeur pour le projet «It’s Hardly Noticeable» réalisé par John William Keedy. Diagnostiqué de troubles de l’anxiété il y a 9 ans, le photographe américain entreprit de transposer photographiquement les angoisses, névroses et autres troubles du comportement. A découvrir.