Ludope
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Découverte d’un virus acoustique capable d’infecter même les machines non connectées à un réseau
La sécurité informatique est véritablement un domaine où l’ingéniosité du cerveau humain n’a semble-t-il pas de limite.
C’est ici l’histoire d’un étrange virus capable de se répandre sans connexion à Internet, sans réseau Wifi et sans Bluetooth. Un virus informatique acoustique oO
Quand Dragos Ruiu, le créateur du pwn2own contest, a découvert qu’un virus avait été capable :
- d’infecter un ordinateur sous Windows,
- qu’il était aussi capable d’infecter une machine sous BSD ou Mac OS,
- que le virus s’installait dans le BIOS de l’ordinateur, et que même une réinstallation du BIOS ne le faisait pas disparaître,
- qu’il empêche le démarrage de l’ordinateur sur un disque dur externe ou sur une clé USB,
- qu’il infecte automatiquement toute clé USB ou disque dur directement dans le firmware du matériel, sans même que le périphérique ait besoin d’être monté,
- et le plus terrifiant, que le virus était capable de se propager entre plusieurs ordinateurs non connectés à un quelconque réseau !
Beaucoup n’ont pas pris cet expert de la sécurité informatique au sérieux, malgré sa réputation, car l’existence d’un tel virus semble tout bonnement incroyable !
En effet, comment un virus pourrait-il se répandre sans que la moindre connexion ou branchement de périphérique ne se fasse ? Comment une machine peut-elle être infectée ?
D’autres chercheurs ont semble-t-il trouvé un début de réponse, en créant un Malware capable de communiquer entre plusieurs ordinateurs en utilisant les micro et enceintes intégrés. Des sons inaudibles à l’oreille humaine sont émis, qui permettent de transporter un volume de données.
Il semble donc que le virus découvert par Dragos utilise une technique similaire (ou alors c’est de la magie ! ^^) pour se répandre sur de nombreux ordinateurs, même ceux qui sont en théorie protégés de toute menace.
L’intérêt d’un tel virus, aussi discret et capable d’infecter des machines sur différents types de systèmes d’exploitation, pourrait bien être de s’installer au sein d’un parc informatique d’entreprise, d’une usine ou d’un gouvernement, afin de pouvoir espionner ou provoquer des pannes… Cela ne vous rappelle pas Flame ?
Il est à noter qu’il n’existe encore aucune parade contre ce virus acoustique, si ce n’est de supprimer les micro et les enceintes de votre bécane. Les procédures Air-Gap, qui consiste à isoler physiquement un système pour le protéger de toute attaque informatique, deviennent du même coup complètement obsolètes. Et nul n’est à l’abri d’une contamination par une simple clé USB…
Intel Edison, l’ordinateur minuscule qui tient dans une carte SD
Alors que la course à la puissance des processeurs d’ordinateurs s’est ralentie depuis quelques années car l’industrie approche de plus en plus des limites physiques de la micro-électronique, Intel semble décidé à revenir sur le devant de la scène en matière d’innovation.
Pas de processeur utilisant des nano-technologies au programme (il faudra encore de nombreuses années avant qu’un projet avec des capacités similaires à que nos composants actuels ne puisse voir le jour), ce sont plutôt de nouvelles utilisations des technologies qui sont à prévoir, notamment dans le domaine du wearable computing, une tendance consistant à informatiser nos accessoires (montre, lunettes…) et vêtements.
Intel propose pour rentrer sur ce marché un ordinateur minuscule qui tient dans un format de carte SD, l’Intel Edison.
Un processeur Intel double-coeur, du Wifi, du Bluetooth, de l’espace de stockage, la capacité de faire tourner Linux…
Annoncé pour le milieu de l’année 2014, l’Intel Edison devrait ravir les fabricants de gadgets connectés à la recherche d’un micro-ordinateur standard facile à intégrer… mais aussi les particuliers bidouilleurs, qui vont bien arriver à trouver des applications pour un ordinateur d’une dimension de 24 × 32 × 2,1 millimètres !
TF1 refait les maisons à l’arrache avec son émission Tous Ensemble
Tous Ensemble est une émission se présentant comme apportant une action de solidarité envers des familles dans le besoin ayant de gros soucis de logement. Si l’on suit le descriptif, rien à redire : l’animateur Marc-Emmanuel Dufour joue un rôle de coach et de collecteur de fonds pour mener à bien un projet de solidarité. Les personnes aidées sont souvent alors ébahies de ce qui a été réalisé en à peine quelques jours dans leur logement.
Sauf que quand les artisans et personnes ayant participé à ce show témoignent, on se rend alors vite compte que TF1 refait les maisons à l’arrache avec son émission Tous Ensemble !
Je reprends le témoignage d’un artisan ayant participé à la réfection d’un logement, avec des travaux bâclés, réalisés seulement pour assurer le côté visuel sans que l’isolation, l’étanchéité, les économies d’énergie, et autres paramètres indispensables n’aient été pris en compte :
Comment saccager une maison en cinq jours ? Au départ l’idée semble bonne. Pour des raisons « humanitaires », TF1 prétend venir en aide à des gens dans le besoin par le biais de l’émission « Tous ensemble ». Cette émission sélectionne des familles réellement dans le besoin – aucun doute là-dessus [1] – et déclare prendre en charge l’organisation de la rénovation complète de leur habitation, le tout dans l’urgence absolue. Cinq jours non-stop pour tout rénover.
Le problème vient sans doute de cette urgence. Sans aucune étude architecturale ou thermique préalable, les travaux commencent de suite en fonction des artisans et des matériaux disponibles, donnés par les fournisseurs. Persuadés de faire une bonne action et dans un élan de solidarité générale, artisans et bénévoles démarrent les travaux de démolition de tout ce qui semble trop vieux ou défectueux. Et zou ! Les faux plafonds, la vieille cloison, et même le corps de cheminée disparaissent du décor en deux temps trois mouvements. Idem pour le poêle à bois qui servait de cuisinière. Par contre les vieux planchers vermoulus restent en place.
Combien de temps faudra-t-il avant que tout ne pourrisse derrière les cloisons ?
A peine les gravats sont-ils évacués que des plaquistes arrivent et mettent en place des structures métalliques qui serviront au montage des cloisons en placoplâtre. Ces structures s’appuient évidemment sur les vieux planchers vermoulus. Une fois les structures du plafond mises en place, tout le monde s’affaire à poser l’isolant le plus vite possible (20 cm d’épaisseur). Et tant pis si on ne dispose que de 15 cm, parfois moins, pour le passer entre les structures (techniquement : un isolant écrasé ne sert à rien…). Au passage de toutes ces ferrailles, cet isolant s’accroche, se déchire. Le pare-vapeur est complètement ravagé, mais rien n’est réparé. En même temps les électriciens placent leurs gaines – histoire de bien achever l’isolant tout neuf. La mise en place des panneaux du plafond peut commencer.
Juste pour donner une idée : il y a en permanence vingt à trente bénévoles sympathiques sur le chantier, sur une surface de 100 m² environ. On se marche sur les pieds, on trébuche sur les rallonges, le tout dans une bonne humeur (et une inconscience) générale. On est là pour bien faire, non ?
Dans la précipitation on allait presque oublier la ventilation de la maison (VMC, ventilation mécanique contrôlée) : les gaines sont placées, l’emplacement du moteur est déterminé tout en haut sous les combles, et la sortie se fera en contrebas avec une remontée de deux mètres en bout de tuyau, histoire d’utiliser le bout de cheminée qui reste. Cette cheminée, qui maintenant sert d’évacuation à la VMC, permettait aux occupants (à faibles revenus) de se chauffer gratuitement avec le bois qu’ils ramassaient dans la campagne environnante, ou qu’ils achetaient quand ils en avaient la possibilité. Fini tout ça : cinq superbes radiateurs électriques, deux chauffe-eau électriques de 200 litres et la cuisson électrique, vont fournir à ces personnes dans le besoin de superbes factures EDF.
Qui risque d’avoir de l’asthme ? TF1 ? Les artisans ou les occupants ?
Pour des raisons de facilité, lors du raccordement de l’installation électrique au compteur, le scellé de celui-ci est arraché et le compteur ouvert. Il s’agit d’un compteur électronique qui enregistre cette manipulation comme tentative de fraude, et le signalera lors du prochain relevé. Qui paiera l’amende EDF de 300 à 400 euros (TF1 sans doute) ?
Je reviens à la VMC. La gaine d’évacuation de l’air humide part donc d’en haut, descend sur un dénivelé de deux mètres, et repart vers le haut en sortie toiture : un gigantesque point bas sans aucune possibilité de purge, bien sûr. Comme cette gaine évacue de l’air humide, l’air en sortant se refroidira et condensera dans le point bas. Une fois celui-ci plein (compter 3 à 4 litres d’eau) la gaine va se déchirer et larguer toute l’eau dans les cloisons, l’isolant et le mur. Par la suite la VMC va se remettre à fonctionner et continuer à renvoyer de l’air humide dans le mur et l’isolant (compressé).
Première question : Combien de temps faudra-t-il avant que tout ne pourrisse derrière les cloisons ? Deuxième question : Qui sera responsable ? TF1 ? Les artisans ou la fatalité ? Troisième question : qui risque d’avoir de l’asthme ? TF1 ? Les artisans ou les occupants (un couple avec trois enfants) ?
Une fois tout en place, on s’est enfin préoccupé des planchers vermoulus : on les a renforcés en plaçant des grosses lambourdes, puis des panneaux et enfin un plancher flottant pour la finition. Sauf que les lambourdes sont fixées dans le plancher vermoulu et ne touchent pas les murs. Normal : les cloisons étaient déjà placées et donc les murs porteurs inaccessibles. Il a fallu réduire la hauteur les portes (toutes neuves) de 10 cm. Personne n’a bien sûr songé qu’une porte post-formée n’a plus de solidité quand on enlève son montant du bas.
De l’émotion, du bling-bling, et vogue la galère
Dans toute cette précipitation, on a décrété qu’une chambre sans fenêtres pouvait être une chambre d’enfant. Il y a bien une lucarne au-dessus (hauteur 4 mètres) en simple vitrage. Pour l’esthétique, on a créé un puits de lumière en placoplâtre, sans prendre le temps d’isoler ce puits de lumière qui mesure quand même presque deux mètres de haut pour une largeur d’1m sur 1m. Tout cela, sans aucune isolation, bien que cela touche la toiture. Le plafond est isolé (dans les conditions décrites précédemment) mais reste un trou (le puits de lumière) de 1m sur 1m sans isolation, aucune. En dessous, il y a un de ces magnifiques radiateurs électriques, qui lui sera peut être filmé par la caméra.
Tout ce chantier ruche est filmé en grande partie. L’isolant déchiré et tous les défauts décrits ne seront pas visibles dans l’émission. Mais les jolis petits spots de la belle cuisine équipée, le petit détail soigné de-ci de-là passera très bien à l’écran. Ce qui passera aussi très bien, ce sera l’émotion des bénévoles et des artisans lorsque les occupants recevront les clefs de leur nouvelle demeure, et tout ça sans bourse délier. Ça va pleurer dans les chaumières le jour de l’émission « tous ensemble » !
Il est indéniable que ces gens avaient besoin d’être aidés. Leur maison était plus proche du taudis que d’une habitation. Visuellement, le résultat est époustouflant. C’’est tout ce que TF1 demande : de l’émotion, du bling-bling, et vogue la galère.
De belles factures EDF les attendent
Le principe de l’émission est bien en soi. Dommage, il aurait suffit de se donner une semaine de plus. D’abord démolir. Puis réfléchir, faire venir un architecte. Un thermicien peut être. Trouver les matériaux adéquats et puis commencer la ruche. En lieu et place, on a commencé avec les matériaux qu’on avait. Et là, on aurait pu donner un logement correct à ces gens. Maintenant ils ont juste de belles peintures, des beaux interrupteurs, de beaux éclairages, du placo partout et pas d’ampoules éco (pour la caméra, ce n’est pas une belle lumière) ; et surtout : de belles factures EDF qui les attendent (360 Watt d’éclairage rien que dans la cave).
Mais TF1 ne sera plus là à ce moment. A moins que cette famille ne trouve du courant dans la campagne environnante comme elle le faisait pour le bois avant. On peut rêver.
The show must go on ! On est prié dire : merci TF1 !
Un merci quand même aux artisans et bénévoles qui se sont rendus disponibles et ont fait ce qu’ils ont pu dans la précipitation. Cette précipitation a pu créer pour certains une émulation qui a fait perdre le sens de la globalité de ce chantier. Les régisseurs en ont sûrement conscience, mais la semaine prochaine, ils seront déjà ailleurs.
Roger Hubert, artisan, Prades, Pyrénées Orientales
Non seulement l’émission de TF1 ne réalise ses rénovations de solidarité en ne respectant pas le B.A.-ba de l’architecture et de la construction, mais les logements rénovés attirent vivement les jalousies de la part d’autres habitants des villages pourtant mobilisés dans cet élan de solidarité.
Le show de TF1 ferait mieux de proposer une vraie solution solide d’entraide plutôt que de bâcler ses interventions en laissant les personnes aidées dans une plus grande merde qu’elles ne l’étaient avant le passage éclair de Tous Ensemble. En tentant de nous faire croire qu’elle aide véritablement des gens dans le besoins, la première chaîne ne fait que nous jeter de la poudre aux yeux…
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Prise en main du Sony Xperia Z Ultra, le Galaxy Note 3 killer
L’événement parisien de Sony a été l’occasion pour le constructeur de revenir sur la première moitié de l’année 2013, mais aussi de nous présenter sa première phablet Full HD. Avant de nous laisser prendre en main le Xperia Z Ultra, David Mignot, le directeur général France de Sony Mobile, est revenu sur le très bon début d’année de l’entreprise.
Prise en main de du Sony Xperia Z Ultra
Après avoir expliqué que Sony espère conquérir 15 % du marché des smartphones d’ici la fin de l’année et que le Xperia Z a très bien résisté à l’arrivée du HTC One et du Galaxy S4, il a fait un premier point sur les ventes de Xperia Tablet Z dont les prévisions ont été revues à la hausse. On apprend également que la marque Sony serait celle ayant la meilleure réputation en Europe et qu’elles sont la deuxième marque préférée de la distribution en 2013. Une présentation qui avait pour unique but de valoriser le bilan de la marque ainsi que ces produits.
David Mignot nous présente la phablet Sony
Xperia Z Ultra : les caractéristiques techniques complètes
On a ensuite eu le droit à la présentation du Xperia Z Ultra dont voici les spécifications complètes :
- Écran : TFT 6,44 pouces Full HD 1920 x 1080 pixels avec Technologie TRILUMINOUS et X-Reality
- Processeur : quad core Qualcomm Snapdragon 800 à 2,2 GHz
- RAM : 2 Go
- Appareil photo / vidéo : 8 mégapixels « Exmor RS » (Vidéo Full HD)
- Capteur frontal : 2 mégapixels (vidéo Full HD)
- Stockage : 16 Go extensibles par carte microSDHC jusqu’à 64 Go supplémentaires.
- Batterie : 3000 mAh
- Dimensions : 179 x 92 x 6,5 mm => le smartphone Full HD le plus fin du monde.
- Poids : 212 grammes
- Connectivité : 4G jusqu’à 150 Mb/s et 3G+ jusqu’à 42 Mb/s, Wi-Fi 802.11ac (compatible Miracast), Bluetooth 4, NFC, GPS compatible GLONASS.
- Connectique : USB 2.0 avec support du MHL pour en faire une sortie HDMI.
- OS : Android 4.2 + Interface Sony
Un très bel écran de 6,44 pouces
Pour revenir sur l’écran de 6,44 pouces Full HD, il est très impressionnant, aussi bien par sa taille que par sa qualité. Il utilise la technologie TRILUMINOUS et X-Reality que l’on retrouve sur les téléviseurs Sony. La qualité des couleurs, le contraste et la finesse d’affichage sont au rendez-vous sur cet écran qui ne laisse pas indifférent. Il a la particularité de fonctionner avec n’importe quels stylos ou crayons à papier, ce qui explique qu’aucun stylet n’est fourni avec. Vous n’avez pas à craindre les rayures, l’écran étant parfaitement adapté à ce type d’usage.
Niveau gabarit, le terminal a beau être très fin, il n’en reste pas moins encombrant et l’utiliser avec une seule main relève d’un numéro d’équilibriste. Pour ce qui est du design, on retrouve celui qu’on connaît sur le Xperia Z et sur la dernière tablette Sony. Dans sa communication, Sony insiste qu’il s’agit du smartphone full HD le plus fin au monde. Une fine couche de verre minéral vient protéger le terminal dont le seul changement au niveau du design est le liseré gris que l’on retrouve tout autour. Malgré la prise jack non cachée comme c’est le cas sur les autres modèles, le Xperia Z Ultra est bien étanche grâce à la certification IP58. Vous pourrez ainsi l’immerger jusqu’à 1,5 mètre pendant 30 minutes.
Pas de flash LED pour le capteur 8 mégapixels
Comme vous l’avez vu dans les spécifications, le smartphone se positionne sur le très haut de gamme en embarquant le dernier processeur Qualcomm Snapdragon 800, ainsi que 2 Go de RAM et une batterie 3000 mAh capable de tenir 7,5 heures en vidéo et 14 h en conversation selon Sony. La capacité de stockage est de 16 Go avec la possibilité d’étendre la mémoire grâce à une carte microSDHC jusqu’à 64 Go supplémentaires.
L’appareil photo ne fait que 8 mégapixels contrairement à celui du Xperia Z qui possède un capteur de 13 mégapixels. Pas de flash LED non plus pour le Xperia Z Ultra qui n’est clairement pas orienté photo et qui laisse cela à son petit frère, ou plutôt au futur Sony i1 Honami, qui n’a malheureusement pas été dévoilé lors de cet événement…
Côté connectivité, on retrouve tout ce qu’on est en droit d’attendre d’un appareil de ce standing, dont la 4G jusqu’à 150 Mb/s ou encore le NFC. La connectique est classique avec notamment une prise jack 3,5 mm ou encore un port USB 2.0 avec support du MHL pour le connecter sur une TV comme on va le voir plus loin.
Interface logicielle et applications
Pour la première fois par défaut sur un smartphone de la marque, on retrouve Android 4.2.2 Jelly Bean avec une interface Sony qui sans rien révolutionner apporte quelques modifications comme la possibilité d’ouvrir plusieurs applications à la fois en pop-up grâce à la barre de lancement rapide en bas de l’écran, comme on a pu le voir sur la Tablet Z. Le clavier est également remanié pour s’adapter à l’impressionnant écran de 6,44 pouces. Nos doigts ne faisant pas 2 mètres, vous pourrez choisir de rabattre le clavier sur la gauche ou sur la droite de l’écran pour pouvoir écrire vos SMS et vos mails à une main.
Le clavier décalé pour les droitiers
Autre nouveauté, l’application Dessin. Phablet oblige, Sony a mis en avant la finesse de son écran et la possibilité d’utiliser n’importe quel stylo pour mettre en avant une application « dessin » aux énormes possibilités, que ce soit pour prendre des notes sur une photo ou dessiner depuis une page blanche, votre imagination sera la seule limite. Pour l’illustrer, un dessinateur était sur le stand et faisait une démonstration convaincante de l’application avec le téléphone relié à une TV grâce au port MHL du Xperia Z Ultra.
Démonstration de l’application dessin, le tout branché sur une TV
On retrouve également les applications Walkman, Films et Album qui constituent les trois hubs pour chacun des médias. Sony y a d’ailleurs intégré ses services en ligne Play Memories, Vidéo Unlimited et Music Unlimited. Le but étant de centraliser les contenus de votre téléphone et ceux de vos comptes en ligne. Concernant l’application Walkman, vous pourrez également y connecter vos comtes Spotify et Deezer.
Mini combiné Bluetooth, le meilleur ami de votre Xperia Z Ultra
Conscient de l’encombrement de sa phablet et de l’allure que cela peut donner quand vous décrochez votre téléphone, Sony a décidé de sortir un accessoire, le mini combiné Bluetooth SBH52. Le but étant de séparer les usages multimédias des usages voix. Vous allez alors pouvoir connecter les deux appareils grâce au NFC et via Bluetooth. Le micro et le haut-parleur de l’accessoire le transforment en véritable extension avec laquelle vous allez pouvoir prendre vos appels.
Le mini combiné Bluetooth
Le Xperia Z Ultra face à la concurrence
Afin que vous rendiez mieux compte de ce que peuvent représenter les 6,44 pouces de la phablet Sony, nous avons posé d’autres smartphones aux différents gabarits les uns à côté des autres. De gauche à droite sur la photo : le Xperia Z Ultra (6,44 pouces), le Samsung Galaxy Note 2 (5,5 pouces), le Sony Xperia Z (5 pouces), le Galaxy S3 (4,8 pouces) et enfin le HTC One (4,7 pouces).
La phablet de Sony face à la concurrence
L’occasion de constater que même le Note 2 paraît petit à côté du géant de Sony qui se rapproche toujours plus d’une tablette dont le format le plus petit commence avec 7 pouces. Face au Z Ultra, le Z passe pour un mouchoir de poche. Le géant réussit tout de même l’exploit d’être plus fin que son petit frère.
Le constat est un peu le même face au Galaxy Note 2 qui prend maintenant une petite claque en terme de finition, mais à l’avantage d’intégrer un stylet, ce qui joue également sur son épaisseur. La phablet du coréen a par contre l’avantage du poids avec 180 grammes contre 212 pour le Sony. Même le Galaxy Mega 6,3 se montre plus léger avec ses 199 grammes. Le choix des matériaux n’y étant pas pour rien. Mais ne soyons pas trop sévères dans la mesure où c’est bien le Note 3, annoncé en septembre, qui sera le concurrent direct du nouveau produit de la marque japonaise.
Prix et date de sortie
La Xperia Z Ultra comme le combiné Bluetooth seront disponible fin septembre, une fenêtre de lancement qui devrait sûrement coïncider avec celle du nouveau Galaxy Note 3.
Prix du Xperia Z Ultra : 729 euros
Prix du combiné Bluetooth : 119 euros
Prix et date de sortie du Xperia Z Ultra
Conclusion
Cette première prise en main du Xperia Z Ultra nous a permis de comprendre les ambitions de Sony sur ce segment. Comme toujours, la marque montre son savoir-faire sur le haut de gamme. Un produit très réussi pour une première incursion sur ce segment. Une finition au top, un superbe écran, une interface qui a fait ses preuves, mais un appareil photo en retrait et une diagonale impressionnante qui pourrait en rebuter plus d’un.
Le verdict final sera livré lors du test, mais aussi lors de la confrontation face à son vrai concurrent, le Samsung Galaxy Note 3. Rendez-vous en septembre pour la bataille finale.
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Prise en main du Sony Xperia Z Ultra
La nouvelle phablet de Sony, la Xperia Z Ultra, sera disponible à la fin du mois de septembre en France.
Sony Mobile a présenté ce matin à la presse française son nouveau smartphone, ou plutôt sa phablet. Des études ont montré que les possesseurs de phablets ne veulent plus d’un smartphone avec un écran plus petit pour 94 % d’entre eux et 60 % veulent même des écrans plus grands. Le Sony Xperia Z Ultra va répondre à cette demande grâce à sa dalle d’écran de 6,44 pouces.
Avec une définition FullHD et une densité de pixels de 344 ppi, Sony veut offrir le confort d’un smartphone avec un grand écran. Cette dalle utilise les mêmes technologies que les télévisions de la marque : Triluminos offre une plus large palette de couleurs naturelles et le moteur X-Reality présente les mêmes performances que le Bravia Mobile Engine 2, tout en permettant d’optimiser les images sur un écran plus grand (l’upscaling).
L’écran du Sony Xperia Z n’est pas son point fort, mais il semblerait que le Xperia Z Ultra offre des couleurs bien plus réalistes. Nous aurons dans quelques jours la phablet en test et nous pourrons vous dire si elle est atteinte ou non du même phénomène. Quoi qu’il en soit, cet écran a la particularité de pouvoir être utilisé avec des stylets capacitifs (du grand classique), mais surtout des stylos ou des crayons à papier. La détection est plutôt bonne (quelques petites imperfections sont notables sur le prototype) et est même déconcertante. Le verre minéral est traité contre les rayures, ce qui devrait le protéger contre ces stylos ou la dure vie que vous pourriez lui mener. Nous restons toutefois sur nos gardes car le même traitement est appliqué sur le Sony Xperia Z, qui n’a pas forcément brillé dans ce domaine…
A l’arrière, on retrouve comme sur le Xperia Z un dos en verre minéral. On note le capteur photo de 8 mégapixels et étonnamment, il n’y a pas de flash. Par ailleurs, la position n’est pas idéale car en paysage, le format imposant vous oblige presque à mettre vos doigts dessus. Les quelques clichés que nous avons pris n’étaient pas satisfaisants, mais il est encore trop tôt pour se faire une idée sachant que le téléphone ne sortira qu’à la fin du mois de septembre, c’est-à-dire dans plus de deux mois et demi.
En main, le Sony Xperia Z Ultra est un véritable ovni qui vous demandera un temps d’adaptation tant ses dimensions sont inhabituelles : 179,4 x 92,2 x 6,5 mm. Sa finesse et son poids “plume” (comparativement au gabarit) en font toutefois un objet agréable à manipuler. En revanche son utilisation à une seule main est ici quasiment impossible, d’où certaines optimisations logicielles (le clavier peut être déplacé sur un des bords, par exemple). Mais une chose est sûre : si vous mettez le Sony Xperia Z Ultra à votre oreille lors d’un appel téléphonique, vous ne passerez pas inaperçu, loin de là !
Contrairement au Xperia Z, le format du téléphone ne semble plus être un bloc “massif”. Grâce aux bords en aluminium qui sont légèrement courbés, la prise en main s’en voit grandement améliorée. Le Xperia Z Ultra est certifié IP58, c’est-à-dire qu’il est protégé contre les poussières et résiste à une immersion prolongée au-delà d’un mètre. Le port jack de 3,5 mm n’est ainsi plus caché dans une trappe, mais est directement accessible. Les possesseurs du Xperia Z verront ici une très belle évolution ergonomique, car devoir à chaque fois ouvrir et fermer la trappe est réellement agaçant au quotidien.
Du côté des autres boutons et connectiques, on retrouve sur la partie droite les lecteurs de carte microSIM et microSD dans un seul lieu sécurisé, le bouton On/Off avec son design unique et juste en dessous les touches du volume très fines. Le haut-parleur n’est plus situé sur cette face, mais sur le bas. C’est une belle amélioration ici aussi, car sur le Xperia Z, la paume de la main obstrue très facilement cette zone. De l’autre côté, on retrouve uniquement le port microUSB compatible MHL protégé sous un cache et les pins du dock.
On dit souvent que Sony est à la traîne en ce qui concerne le matériel embarqué, mais avec le dernier processeur de Qualcomm, le Snapdragon 800 (MSM8974) à 2,2 GHz, il nous démontre le contraire. A titre de comparaison, le Xperia Z utilise un Snapdragon S4 Pro, les Samsung Galaxy S4 et HTC One le Snapdragon 600. La puce graphique intégrée est également très performante : l’Adreno 330. Vous pouvez observer les résultats aux benchmarks dans les photos en fin d’article, mais notez qu’il s’agit encore d’une version logicielle prototype.
La partie logicielle est assurée par Android 4.2.2 (Jelly Bean) avec les modifications habituelles de l’interface par Sony. Nous retrouvons notamment les écrans de veille interactifs, les widgets sur l’écran de déverrouillage… Il n’y a hélas pas les paramètres rapides, mais sont remplacés par des raccourcis rapides sur le haut de l’écran contenant les notifications. Notez que les items sont sélectionnables à souhait, tout comme l’ordre qui est modifiable. Du côté de Sony, les applications Walkman, Albums, Films et Playstation Mobile répondront bien présentes.
Afin d’utiliser la reconnaissance des stylos sur l’écran, vous pourrez utiliser un clavier avec écriture manuscrite ou des applications permettant de prendre des notes. La solution logicielle est très loin de ce que peut offrir aujourd’hui Samsung, mais le minimum syndical est intégré, dommage ! La marque coréenne a encore de beaux jours devant elle en termes de différenciation.
Pour terminer cette prise en main, quelques autres caractéristiques : le téléphone est compatible 4G de catégorie 4, peut se connecter à des hotspots WiFi grâce à sa connectivité a/b/g/n/ac 2,4 et 5 GHz et intègre le Bluetooth 4.0 qui sera très utile avec la SmartWatch 2 ou le SBH52, un accessoire qui permet d’utiliser son téléphone à distance (téléphoner, écouter de la musique…) ce qui est fort pratique sur un écran de 6,44 pouces.
Petite ombre sur le tableau : la batterie de 3000 mAh paraît conséquente pour un smartphone, mais si Samsung arrive à offrir une autonomie si importante sur ses Galaxy Note, c’est justement avec des batteries conséquentes. Nous vous en dirons plus lors de notre test, mais clairement Sony ne s’est jamais démarqué dans ce domaine et nous avons peur que le Xperia Z Ultra ne déroge pas à la règle.
Pour conclure, le Sony Xperia Z Ultra nous a laissé une très bonne impression. Son format ne plaira pas à tout le monde, mais la copie du japonais est réussie sur tous les points. Un test plus approfondi permettra de lever les quelques doutes qu’il nous reste : l’autonomie, la qualité de l’écran ou encore la partie photo.
Bien que la phablet soit très séduisante, nous n’allons pas vous cacher que le prix demandé par Sony est conséquent : 729 €, et ce d’autant plus que les SBH52 sera vendu à part au prix de 119 €. Le Sony Xperia Z Ultra sera disponible en France dès la fin du mois de septembre.
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Sony Xperia Z Ultra et SmartWatch 2 : prix et disponibilités
Sony a organisé un événement dédié à la presse ce matin pour dévoiler les prix et disponibilités des derniers produits de la marque. Le Sony Xperia Z Ultra et la SmartWatch 2.
En attendant les prises en main des produits, voici des informations que de nombreux fans attendaient. Le Sony Xperia Z Ultra, la phablette japonaise, sera disponible à 729 euros “nue” et sans engagement. Ce n’est pas un prix plancher, ce qui veut dire que l’article pourra être vendu en dessous de ce prix-là. Sony mettra certainement en place des offres de réduction (ODR) et d’autres promotions. Quant au SBH52, l’accessoire Bluetooth destiné à passer des appels, recevoir des SMS ou des emails, ou encore à contrôler sa musique, il sera facturé 119 € de son côté.
A titre de comparaison, je vous ai concocté un graphique des prix de lancement et prix actuels des principaux smartphones du marché.
Concernant la Sony SmartWatch 2, elle sera commercialisée à 199 euros avec un bracelet en caoutchouc ; comptez sur un tarif de 219 € avec un bracelet en cuir. La LiveView (premier modèle Sony) avait été commercialisée à 69 euros, tandis que la Sony SmartWatch avait été commercialisée à 149 euros. Les montres concurrentes ont des prix qui oscillent entre 100 et 300 euros. Par exemple, la I’m Watch est vendue à 249 euros tandis que la Pebble, non commercialisée en Europe pour le moment, est vendue à 150 dollars (comptez 150 euros avec frais de port et les taxes, au maximum).
Enfin, les deux produits seront disponibles en septembre prochain. Les prises en main arrivent…
[Editoid] Firefox OS est-il un danger pour Google ?
Voici un paradoxe : Google a développé un système d’exploitation, Chrome OS, basé sur le web. Google a également un système d’exploitation mobile dédié aux smartphones, Android, qui est maintenant le plus populaire au monde. Et pourtant, Google n’est pas la première société à développer un système d’exploitation basé sur le Web pour smartphone. Cette distinction va à la Fondation Mozilla, dépositaire à but non lucratif du navigateur Firefox, dont Firefox OS pour smartphones vient juste d’être lancé en Espagne. Enfin presque, puisque webOS s’est appuyé en son temps sur des technologies similaires, avant d’être abandonné prématurément.
Avons-nous vraiment besoin d’un autre OS mobile ? Eh bien, pour comprendre ce qui est spécial chez Firefox OS, il faut comprendre comment fonctionnent les autres systèmes d’exploitation “modernes” pour mobiles en circulation, y compris iOS d’Apple, Android de Google, Windows Phone 8 de Microsoft, Tizen de Samsung/Intel, BlackBerry 10 de BlackBerry et Jolla OS de Sailfish. Ces OS permettent de télécharger et exécuter des applications qui sont, à de très rares exceptions, distinctes du web. Autrement dit, ces applications ne sont pas écrites dans la même langue que les pages Web. Firefox OS, en revanche, est entièrement constitué d’applications écrites dans les langues du Web : HTML5, JavaScript et CSS. Ces applications n’intègrent que des encapsuleurs en langage natif pour indiquer que l’application est une “web app”, de sorte que l’OS puisse les télécharger et les exécuter.
Ceci est important parce que le plus grand obstacle à tout nouveau système d’exploitation mobile est de devenir un acteur sérieux afin d’avoir la confiance des opérateurs historiques, des constructeurs ainsi que des éditeurs et développeurs. Concernant Firefox OS, un grand nombre de développeurs maîtrise les langues web. Ainsi, même si Firefox OS détient une part de marché minuscule aujourd’hui, l’OS a potentiellement une importante bibliothèque d’applications.
En outre, étant donné que ce sont des applications web, les utilisateurs de Firefox OS ne seront pas enfermés dans l’écosystème Mozilla, comme ils pourraient l’être sur les autres plateformes. Ils pourront tout aussi facilement accéder à leurs applications web via le navigateur de n’importe quel autre smartphone. Evidemment, il sera plus facile pour les utilisateurs de Firefox OS de l’abandonner pour une autre plateforme mobile. Enfin, vu que le parc d’utilisateurs de l’OS est aujourd’hui de zéro mobinaute, il n’y a aucun risque à essayer de retenir des utilisateurs.
L’approche de Mozilla est d’ailleurs exactement la même stratégie que derrière Chrome OS (Google). Chrome OS est en concurrence (frontale) avec Windows et OS X, néanmoins il fonctionne uniquement avec des applications basées sur le Web. De cette façon, il n’a pas besoin de compter sur les éditeurs de logiciels (traitement de texte, tableur, éditeur de photos et tous les myriades d’autres types de logiciels)… Des versions web de tout ces logiciels existent déjà (ou presque).
Alors, pourquoi le développement d’un OS “de bureau” basé sur le Web, mais pas d’un système d’exploitation mobile basé sur le Web ? D’une part, un système d’exploitation mobile basé sur le Web est encore très expérimental, et il n’est pas évident que Google aurait rivalisé avec Apple si Android était “web-centric”. Deuxièmement, un système d’exploitation mobile basé sur le Web est une idée assez radicale. En 2007, Google avait déjà pris une décision importante en choisissant de rendre “open-source” son OS mobile.
Mais il y a une raison de plus pour Google de ne pas craindre Firefox OS. Tout d’abord, Google est déjà le moteur de recherche par défaut sur Firefox, le navigateur Web de Mozilla. Le saviez-vous ? En 2012, 84% des revenus de Mozilla proviennent d’un partenariat avec Google.
Deuxièmement, Google développe un grand nombre d’applications web que Firefox OS sera susceptible d’utiliser, telles que Google Drive, son stockage dans le nuage, ou Google Docs, sa suite bureautique. Enfin, Google ne gagne pas de l’argent sur les logiciels ou les périphériques ; de toute façon, sa “logique métier” est d’amener les gens à utiliser les produits Google, autant que possible, partout où ils sont disponibles, que ce soit via une application, sur le web, ou une application web . En ce qui concerne Google, Firefox OS pourrait être considéré comme une version mobile de Chrome OS. Avec très peu de différence.
Bref, Android n’est pas basé sur le Web, mais il n’a certainement pas besoin de l’être. Enfin, Mozilla est sûrement le plus grand allié de Google.
PS : Firefox OS n’est pas le premier OS mobile basé à 99% autour du Web. En effet, WebOS ou encore LiMo avaient déjà initié le mouvement. Mais ces OS Mobiles n’ont plus vraiment d’avenir dans le paysage actuel.
38% des utilisateurs Sony Xperia proviennent de Samsung
38% des utilisateurs actuels de smartphones Sony Xperia sont d’anciens utilisateurs Samsung comme nous l’apprennent aujourd’hui les chiffres dévoilés par le dernier rapport Kantar Worldpanel ComTech. Ainsi, si le coréen représente encore et toujours près de la moitié du total des smartphones vendus en Europe, il apparait qu’un pourcentage significatif du Galaxy S2 ont préféré se ruer sur le Xperia Z plutôt que d’attendre le Galaxy S4.
Sony doit 38% des utilisateurs Xperia à Samsung
Ainsi, il apparait que tandis que certains préfèrent rester fidèles au coréen, certains utilisateurs Samsung préfèrent Sony Xperia. Il faut dire que la date de sortie du Xperia Z qui précède celle du dernier Galaxya sans doute joué dans ce choix. Par ailleurs, comme nous l’explique Paul Moore Kantar, à l’origine du rapport le dernier haut de gamme de Sony est l’un des rares appareils à allier châssis waterproof, écran Full HD et capteur photo 13 Megapixels.
Sony Xperia Z vs Galaxy S4.
Une préférence pour Sony Xperia au lieu de Samsung due à plusieurs facteurs, à commencer par le suivisme du coréen vis-à-vis d’Apple. Comme nous l’explique l’analyste, Samsung ne peut plus compter seulement sur la technologie de pointe ou sur sa position d’alternative à Apple. Bien que son taux de fidélisation en Grande Bretagne reste important, à savoir 59%, il est nettement en dessous de celui d’Apple qui est de 79%, un effort est donc encore à faire à ce niveau là afin de poursuivre la croissance engagée depuis 2 ans.
Autre point sur lequel le coréen aurait tout intérêt à s’améliorer : la qualité de construction des matériaux car, il est vrai qu’en dépit du fait que le Galaxy S4 offre un véritable concentré d’innovations matérielles et logicielles, sa coque en plastique fait pâle figure à côté de concurrents comme le HTC One ou le Xperia Z. Toutefois, il apparaît que le constructeur ait enfin décidé d’évoluer sur ce plan là comme le révèle son nouvel intérêt pour la fibre de carbone.
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Test du LG Optimus G Pro (E986)
La première phablet du Coréen LG, l’Optimus G Pro, de 5,5 pouces arrive finalement en France à la fin du mois de juillet pour 599 €. Écran 1080p, processeur Qualcomm Snadrapgon S4 Pro, Android 4.1… : ce smartphone-tablette tient-il la comparaison face aux Samsung Galaxy Note 2 ? La réponse dans ce test !
Samsung est arrivé il y a presque deux ans avec un véritable ovni sur le marché de la téléphonie : un smartphone qui est trop grand pour être considéré comme tel, mais trop petit pour être une tablette. La catégorie des phablets a alors été créée et face au succès des deux modèles Galaxy Note, LG a répliqué à son concurrent coréen avec les Optimus Vu et leurs écrans 4:3. Bien qu’ils embarquent un stylet, ils n’ont pas été accueillis très chaleureusement par le public européen, qui a été surpris par son format.
Avec l’Optimus G Pro, LG revient dans des codes plus classiques avec un ratio 16:9. Annoncé en février dernier, il sera finalement proposé cet été en France, mais uniquement auprès de revendeurs tiers. Aucun opérateur n’a souhaité référencer ce téléphone qui offre pourtant sur le papier des caractéristiques techniques supérieures au Samsung Galaxy Note 2. Notez qu’il n’intègre pas de stylet, contrairement à son concurrent direct.
Plan du test
1] Caractéristiques techniques du LG Optimus G Pro
Modèle | LG Optimus G Pro (E986) |
---|---|
Version et interface | Android Jelly Bean (4.1.2) Optimus UI |
Ecran | 5,5 pouces |
Résolution | 1920 x 1080 pixels (FullHD) |
Technologie | Full HD IPS Plus |
Densité de pixels | 401 ppi |
Traitement contre les chocs & rayures | Oui (Gorilla Glass 2) |
Processeur (CPU) | Qualcomm Snapdragon S4 Pro - (quadruple-coeur) APQ8064 cadencé à 1,7 GHz |
Chipset graphique (GPU) | Adreno 320 |
Mémoire vive (RAM) | 2 Go |
Mémoire Interne | 16 ou 32 Go |
Support microSD-HC | Oui |
APN / Caméra | 13 mégapixels + autofocus et flash (LED) |
Webcam (caméra frontale) | Oui (2,1 mégapixels) |
Vidéo | 1080p @30 fps |
WiFi | Oui, a/ac/b/g/n + WiFi Direct |
DLNA / Hostpot WiFi Hotspot Bluetooth / Hotspot USB |
Oui / Oui Oui / Oui |
Bluetooth | Oui (4.0 + A2DP) |
Réseaux | UMTS HSPA+, GSM/GPRS, LTE |
NFC (Near Field Communication) | Oui |
Boussole / GPS / Baromètre / Capteur d'humidité / Température |
Oui / Oui / Oui Oui / Oui |
Accéléromètre / Gyroscope | Oui / Oui |
Capteur de proximité et lumière | Oui / Oui |
Sortie jack 3,5 mm | Oui |
Port micro-USB / HDMI | Oui / Non |
Tuner FM (Radio) | Oui (avec RDS) |
Support DivX | Oui |
Batterie | 3 140 mAh |
Dimensions | 150.2 x 76.1 x 9.4 mm |
Poids | 172 grammes |
2] Le tour du propriétaire du LG Optimus G Pro
Tout comme pour les Galaxy Note, nous vous conseillons de vous interroger sur le format avant de passer à l’achat du LG Optimus G Pro. Cette taille n’est pas toujours agréable selon la taille de vos mains, vos habitudes d’utilisation… Si possible, essayez le téléphone avant de valider votre commande, car c’est un format que l’on adore ou que l’on déteste : il n’y a pas de juste milieu.
2.1] L’aspect général
La première impression est bonne lorsqu’on tient ce téléphone en main : il est à la fois massif par ses dimensions, mais reste sobre. Bien que l’on ne retrouve que du plastique, y compris sur les tranches qui ont une apparence métal, l’Optimus G Pro dégage un aspect bien fini. On aurait aimé des matériaux plus nobles comme de l’aluminium, mais le poids déjà important du téléphone (172 grammes) aurait été plus conséquent.
2.2] La face avant
L’écran de 5,5 pouces procure un véritable effet Wahou au premier contact. Les bords réduits accentuent cet effet et facilitent l’utilisation au quotidien. L’amplitude des gestes devra donc être moins importante pour atteindre les éléments. Toutefois, avec une diagonale d’écran si importante, il n’est pas toujours possible d’atteindre les différentes zones à une seule main. L’Optimus G Pro, tout comme le Galaxy Note, est un smartphone qui nécessite dans de nombreux cas d’être utilisé à l’aide de ses deux mains.
Logiciellement, il existe des modifications qui permettent d’utiliser le clavier, la composition de numéros et l’entrée de son code PIN avec une seule main. Ce ne sont que des cas isolés et les applications en général ne sont pas toujours optimisées, ce qui est notamment le cas de la nouvelle application GMail qui nécessite quelques mouvements de gymnastique selon les fonctionnalités que vous désirez utiliser.
Sur le haut du téléphone, on retrouve la grille du haut-parleur utilisée lors des appels ainsi que la caméra frontale de 2,1 mégapixels.
LG, tout comme Samsung, fait partie des constructeurs qui continuent d’utiliser la touche Menu, alors que les ActionBars permettent de la remplacer depuis Android 3.0 (Honeycomb). L’écran est certes utilisé à son maximum, mais l’agencement des boutons n’est absolument pas pratique ici. De par les dimensions de la phablet, il aurait été judicieux d’inverser les boutons Retour et Menu, car la touche Retour est moins accessible (geste plus grand) et pourtant plus utilisée.
Le bouton central a plusieurs fonctionnalités : un appui simple permet de retourner sur le bureau et un appui long affiche la fonction multitâche. LG n’intègre pas (encore ?) de solution à la Siri et n’utilise donc pas le double clic sur cette touche.
A l’intérieur de ce bouton, on retrouve une LED de notification multicolore, qui pourra s’illuminer selon les événements que vous aurez sélectionnés. Seule la luminosité est paramétrable, les couleurs intégrées par LG n’étant pas modifiables. Bien que cette intégration soit intelligente, elle a ses limites : selon l’angle de vue la couleur n’est absolument pas visible. De même, la couleur est parfois difficile à visualiser en extérieur avec un fort ensoleillement.
2.3] Les tranches
Tout comme son concurrent Samsung, LG utilise un aspect métal sur les contours de son téléphone. Hélas il ne s’agit que de plastique. Sur le haut, nous allons retrouver le jack de 3,5 mm, un micro et un capteur infrarouge. Concernant le micro, il est généralement situé sur le dos du téléphone, mais le choix de LG ne semble pas mener à des changements significatifs. Lors de nos prises de vidéos, le bruit du vent était similaire.
Pour ce qui est du capteur infrarouge, vous allez pouvoir piloter votre télévision, votre home-cinéma… ou plus généralement toute les télécommandes qui utilisent de l’infrarouge. Au niveau logiciel, LG n’est pas allé aussi loin que HTC ou Samsung, car vous n’aurez qu’une télécommande et non pas une grille des programmes intelligente. Contrairement à ces deux concurrents, QRemote (l’application du LG Optimus G Pro) est accessible depuis l’écran de déverrouillage et la barre de notification, là où les deux autres nécessitent quelques clics supplémentaires avant de pouvoir l’utiliser pleinement.
En passant maintenant sur le côté gauche du téléphone, nous remarquons que l’aspect aluminium est moins présent et laisse une grande place au plastique bleu foncé/noir glossy. Sur ce côté du téléphone, nous retrouvons une touche personnalisable qui permet de lancer l’application de votre choix. Un peu plus bas, LG a inséré les touches pour régler le volume. Aucun problème à signaler ici, le relief est idéal et permet une utilisation dans les poches, ce qui n’est pas aussi simple sur une HTC One par exemple.
De l’autre côté, on retrouve la touche On/Off et un peu plus bas une fente pour pouvoir détacher la coque arrière.
Enfin sur le bas du téléphone, nous retrouvons un microUSB 2.0 qui a la particularité d’être compatible MHL. Grâce à des adaptateurs spécifiques (non fournis), vous pourrez brancher un périphérique USB classique : clé USB, clavier, souris et les utiliser directement ou dupliquer l’affichage avec une sortie HDMI. Le micro se situe juste à côté.
2.4] Le dos
Passons maintenant au dos du téléphone, qui présente une coque en plastique glossy. Sur cette version bleu foncée/noire, nous n’avons pas noté une gêne avec les traces de doigts. Une texture pixellisée est présente et n’est pas s’en rappeler le Nexus 4, mais contrairement au Google phone, le motif est beaucoup plus visible.
Sur le dessus, on retrouve le capteur photo de 13 mégapixels situé en position centrale et entouré du haut-parleur sur sa gauche et du flash LED sur sa droite. La prise en main du téléphone fait que le haut-parleur n’est pas obstrué lorsque vous l’utiliserez. Toutefois, des haut-parleurs en façade comme sur le HTC One auraient été préférables.
Une fois la coque arrière retirée, on accède alors à l’emplacement pour la carte microSIM (téléphone compatible avec les réseaux 4G français) et le lecteur de cartes microSD (jusqu’à 64 Go). La batterie de 3140 mAh peut être retirée à tout moment et remplacée par un modèle de plus grande capacité. Toutefois l’autonomie du terminal est excellente, en faisant presque jeu égal avec le Samsung Galaxy Note 2, très bon élève dans le domaine.
2.5] Un format pratique au quotidien ?
Comme nous vous l’avons indiqué un peu plus tôt, le LG Optimus G Pro, tout comme les Samsung Galaxy Note, n’est pas un téléphone pour Monsieur ou Madame ToutLeMonde. Le format conséquent n’est pas ressenti de la même manière d’une personne à l’autre et les attentes sont aussi différentes.
Pour avoir utilisé le Samsung Galaxy Note 2 pendant plusieurs mois, le LG Optimus G Pro est plus agréable à utiliser, car ses dimensions sont moins imposantes : 150,2 x 76,1 x 9,4 mm contre 151,1 x 80,5 x 9,4 mm. Il est en de même pour le poids : 172 grammes, contre 183. Il en résulte une utilisation au quotidien plaisante.
Si les Galaxy Note rencontrent un tel succès, c’est aussi grâce à leur stylet SPen. LG n’a pas souhaité en intégrer un dans sa phablet, ce qui bride par conséquent les capacités de ce grand écran. Toutefois le public du smartphone de Samsung étant très large, le stylet n’est pas forcément utilisé régulièrement et par tous les clients.
3] L’écran du LG Optimus G Pro
Comme de nombreux autres concurrents, le LG Optimus G Pro utilise la technologie Corning Gorilla Glass sur son écran pour résister aux chocs et aux rayures. Après seulement quelques jours d’utilisation, le téléphone présente déjà des rayures, ce qui n’est pas un bon signe concernant son évolution dans le temps.
Un autre élément nous a également chagriné sur ce téléphone : la gestion de la luminosité automatique. Dans ce mode, la luminosité change peu et nous avons régulièrement été obligés de faire les réglages manuellement. Il est également possible d’ajuster des paliers sur ce mode, mais qui semblent également totalement inefficaces, car imitent le mode manuel.
3.1] La confrontation
De gauche à droite, nous retrouvons :
- Samsung Galaxy S4 : Super AMOLED Full HD
- LG Optimus G Pro : True HD IPS Plus
- LG Nexus 4 : True HD IPS
- HTC One : Super LCD 3
Les noirs
S’il y a bien un domaine dans lequel la technologie OLED est indétrônable, c’est sa gestion des noirs. En éteignant complètement le rétroéclairage de ces pixels, le rendu ne peut qu’être parfait. Par conséquent, le Samsung Galaxy S4 est celui qui est de loin le meilleur dans ce domaine.
Les trois téléphones utilisent du LCD avec certaines améliorations, mais essaient de recréer du mieux possible ce fameux coloris. Nous avons vu des améliorations au fur et à mesure des générations, mais un fossé sépare encore l’OLED du LCD. Avec les trois modèles, le Nexus 4 ne démérite pas mais ses fuites lumineuses viennent gâcher son rendu. L’Optimus G Pro offre un noir légèrement plus clair que le Nexus 4 et le HTC One nous montre un noir avec certains reflets rouges qui s’accompagne d’une tâche sur le haut de l’écran (problème uniquement sur notre modèle ?).
Les blancs
Alors que le noir est le terrain de jeu de l’OLED, le LCD reprend le dessus avec les blancs. Bien que cette technologie surpasse sa concurrente, un “vrai” blanc est encore impossible à obtenir. Chacun tire plus ou moins vers une couleur et la luminosité est souvent inégale.
Le HTC One s’en sort bien mais quelques reflets jaunes sont perceptibles. Le LG Optimus G Pro est très lumineux mais tend vers le jaune/vert. Le Nexus 4 utilisant une technologie moins évoluée de LG offre un assez bon rendu mais un contour jaune est visible à l’oeil. Du côté du Samsung Galaxy S4, d’énormes progrès ont été faits par rapport aux anciennes générations qui n’avaient de blanc que la dominante. Une teinte bleutée était particulièrement visible et tend à disparaître aujourd’hui. Toutefois il est encore en retrait par rapport à ce que peut offrir la technologie LCD aujourd’hui.
Les couleurs
Pour ce qui est des couleurs primaires en synthèse additive (Rouge Vert Bleu), l’AMOLED est généralement apprécié du public car sa palette tend vers des tons fluos, ce qui est visuellement attractif. En revanche, la fidélité des couleurs est, elle, assez éloignée. Notez que plusieurs modes sont disponibles sur le Galaxy S4 et que la photo professionnelle (basé sur l’Adobe RGB) ou vidéo offrent un rendu bien supérieur.
Le LG Optimus G Pro est ici en bonne posture en devançant le Nexus 4 et ses fuites lumineuses ou encore le HTC One dont les tons sont souvent trop sombres. Toutefois l’herbe n’est pas tout verte du côté de l’Optimus G Pro, car on note des différences de luminosité entre les bords de l’écran et le reste, à cause du choix de rétroéclairage fait par le LG. Cela est souvent notable dans l’interface, notamment sur les ActionBars foncées de la couche logicielle.
3.2] Un défaut ?
Nous avons testé plusieurs dizaines de smartphones et c’est bien la première fois que nous remarquons ce type d’effet sur un écran. N’ayant pas le matériel nécessaire pour vous le montrer avec précision, il faudra nous croire sur parole.
Lorsque nous nous déplaçons de manière horizontale : dans le lanceur d’applications, dans les catégories du Google Play ou plus généralement avec les applications ayant un Fly-in menu, nous avons remarqué qu’une partie de l’écran se dessine plus rapidement que le reste, donnant parfois le mal de mer. On perçoit qu’entre le haut et le bas de l’écran un délai, certes infime, est présent lors du dessin de l’interface.
Sony, le Xperia Z Ultra est officiel et sortira au troisième trimestre dans le monde entier
Même si nous nous en doutions, nous n’étions pas certain que Sony allait officialiser le Xperia Z Ultra. Désormais, c’est chose faite ! Le constructeur japonais a officiellement dévoilé son nouveau smartphone hors-normes, le Sony Xperia Z Ultra, qui est le premier produit de 6,44 pouces à se doter d’une résolution 1080p, d’un processeur Snapdragon 800, d’une résistance à l’eau et d’une épaisseur de 6,5 mm, pour une disponibilité au troisième trimestre 2013.
[Edit : le Xperia Z Ultra vient d'apparaître sur la version allemande du site d'Amazon au prix de 679 € en précommande]
Voici donc le grand frère de Xperia Z, le Sony Xperia Z Ultra qui s’avance tel un monstre en termes de performances. En plus d’un Snapdragon 800 cadencé à 2,2 GHz et d’un chipset graphique Adreno 330, le Z Ultra propose également 2 Go de mémoire vive RAM, une compatibilité LTE 4G, du NFC, une résistance à à l’eau et à la poussière (certifications IP55/IP58), un appareil photo Exmor RS de 8 mégapixels (capable de prendre des photos et des vidéos en HDR), une caméra frontale de 2 mégapixels, et 16 Go de mémoire interne ROM (avec emplacement micro-SD).
L’affichage Triluminos permet de choisir parmi une large gamme de couleurs, rouge, bleu et vert plus intenses que l’écran LCD standard.
Pour une épaisseur de 6,5 mm (dimensions de 179,4 x 92,2 x 6,5 mm) et un poids impressionnant de 212 grammes, le Sony Xperia Z Ultra embarque une batterie de 3000 mAh. Selon les estimations de Sony, l’autonomie est annoncée à 14 heures en appel et 5h30 en lecture de vidéo.
Installé sur Android 4.2.2 Jelly Bean, le Xperia Z Ultra propose toutes les fonctionnalités disponibles dans le Xperia Z, incluant le mode d’économie d’énergie “Stamina”, les applications multimédia et la possibilité d’écrire et de de dessiner sur l’écran grâce à un stylet capacitif ou un stylo en métal dont la pointe ne dépasse pas 1 mm).
La sortie du Xperia Z Ultra est prévue au troisième trimestre 2013, pour un prix de 719 euros. Nous reviendrons vers ce produit lors de l’IFA de Berlin où il devrait être présenté.
Sony Xperia Z Ultra, spécifications et photos (annonce officielle)
[Article publié sur http://www.test-mobile.fr/]
Sony Xperia Z Ultra : le phablet surpuissant officialisé !
Top 10 des web comics les plus drôles de la toile
Ce top est parfait pour toi. Mais pour cela 2 conditions : dans un premier temps il faut que tu aimes les dessins. Et dans un deuxième il faut que tu aimes rire. Si ces 2 prérequis sont réunis, alors on te prévient tout de suite, tu vas adorer. On t’a fait un petit top avec 10 sites où lire des webcomics, en français, en anglais, gentils ou très méchant, il y en a pour tous les goûts. N’hésite pas à nous dire en commentaire ceux que tu lis régulièrement, ça nous intéresse.
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Perry Bible Fellowship
Le plus fin, le plus drôle, le plus cruel, c’est Perry Bible Fellowship et ça existe depuis 2001. Malheureusement, cela fait maintenant plusieurs années que les mises-à-jour se font au compte-goutte. Il faut parfois (souvent) un peu de temps pour saisir le strip mais ça vaut le coup. Et pas besoin d’être anglophone.source photo : PBF
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Glory Owl
Glory Owl nous font tellement marrer qu’on est pas loin de leur consacrer un top rien que pour eux. C’est très bête, c’est très drôle, et c’est re-très bête derrière. Mention spéciale au très gentil Docteur Pute, personnage récurrent et détestable.source photo : gloryowlcomix
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Tu mourras moins bête
Une question, une réponse, énormément d’humour, et un des trucs les plus drôles du web francophone international (mondialement). Lisez donc ça. -
Space Avalanche
Depuis 2009, ce webcomic tenu par Eoin Ryan s’amuse de et avec la pop culture sous la forme de strips variés et toujours bien pensé.source photo : spaceavalanche
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Georges Clooney
Petit nouveau extrêmement drôle et déjà publié sur un vrai livre en papier et tout, Georges Clooney raconte les histoires d’un super-héros débile qui aimerait comprendre qui a chié sur son tapis.source photo : georgesclooney
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Bastien Vives
Vous le connaissez sûrement pour ces BD qui vont du péplum à la romance en passant le porno-parodique, mais Bastien Vives est aussi particulièrement doué pour les strips verticaux quasi-statiques. Aucun moyen de tous les regrouper, il vous faudra donc fouiller un peu son blog mais ça vaut le coup. Regardez plutôt ça. Ou ça. -
Cyanide & Happiness
Traduisez « Cyanure et Bonheur », cette BD en ligne est une des plus populaires sur les Internets. Chaque jour depuis 2005, une équipe de 4 personnes nous réjouit avec des saynètes noires et cyniques. Il vous faudra maîtriser un peu l’anglais mais rien d’insurmontable. Et si c’est vraiment c’est trop dur, certains sont traduits ici. -
xkcd
Du comics de nerd fait pour les nerd par un nerd ancien consultant robots à la NASA. A priori les mecs qui s’y connaissent en maths devraient plus s’amuser que les autres même si les sujets sont universels (vie, mort, amour etc.). N’oubliez pas de lire l’info-bulle qui apparaît sur le strip, elle pourrait vous aider à le comprendre. Et si l’anglais vous ennuie, vous pourrez trouver XKCD traduit ici.source photo : xkcd
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Formal Sweat Pants
Tous les lundi un nouveau strip proposé par l’américain Josh Mecouch. Au programme : des chats, des gros, un peu d’humour noir et pas mal de poilade.source photo : formalsweatpants
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Robert Cash
Robert Cash et Internet c’est une longue histoire d’amour. Il y a d’abord ce site, et puis maintenant celui-ci, dédié à commenter les commentaires. C’est un crado, c’est vulgos, c’est génial.
Bonne lecture !
Un spray pour rendre étanche tous vos gadgets
Un bon investissement que j'ai fait ces derniers mois, c'est sans doute cet iPod nano 100% étanche qui me permet d'écouter ma musique et mes podcasts à la piscine et sous l'eau. Ça fonctionne très bien et c'est plutôt cool de nager en musique.
Mais je me suis toujours demandé quel produit les mecs utilisaient pour produire ce miracle... Et bien la réponse se présente sous la forme d'un spray baptisé NeverWet qui pour 20$ environ vous permet de rendre totalement imperméable à l'humidité, n'importe quelle surface.
Je pense qu'au niveau chimique, ça doit être un peu violent et qu'il ne vaut mieux ne pas en boire, mais la vidéo de démonstration est assez impressionnante :
Génial pour imperméabiliser vos gadgets. Par contre, je ne pense pas qu'on peut trouver ça en vente en France, mais je me trompe peut-être.
Céréales KIX
Kix rejoint la longue liste des céréales qui ont disparues.. avec les céréales Trio, également de Nestle ou les Lucky Charms et Froot Loops encore trouvables à l’étranger. La promesse de Kix, du croustillant : “rien ne croustille comme Kix” et c’est vrai que de mémoire ils mettaient du temps à fondre dans le lait (j’aime bien les céréales molles…).
Les céréales au maïs enrobées de miel sont apparues en 1995 pour disparaître aux début des années 2000.
Voici la première publicité de 1995 pour les céréales KIX :
merci à JC Wojas pour ce souvenir sur twitter @coupdevieux
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Sound Track – Un train musical en bois pour les enfants !
“Sound Track” est un train musical en bois pour les enfants imaginé par le designer et musicien Ricardo Seola, qui revisite ce grand classique du jouet en bois de manière ingénieuse ! Avec des rails conçues comme une portée musicale ajustable et une locomotive équipée d’un “lecteur” métallique, ”Sound Track” permet aux enfants de composer leurs propres mélodies et de les jouer en faisant rouler le train dessus. Un excellent concept !
Images © Ricardo Seola / Quirky
Top 10 des produits américains que l’on voudrait en France
Malgré ce qu'on peut entendre à peu près partout, l'impact de la société américaine sur la nourriture française n'a pas encore atteint son paroxysme. Certes, Mac Donald's, M&M's et Oreo sont bien installés, mais il reste des milliers de produits, tout plus chimiques les uns que les autres qu'on reverrait d'avoir ici. En voici une sélection.
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Le Red Bull cola
Si vous pensez que le Red Bull n'est pas assez sucré voire pas assez énergisant, tentez le red bull cola. Y avait vraiment qu'eux pour pondre un truc comme ça. N'empêche on a quand même envie de goûter. -
Dr Pepper
Depuis qu'on a vu Forrest Gump en pisser une quinzaine, on en rêve. Il arrive d'en trouver dans certains magasins, mais c'est encore trop rare. -
Le Fluff
Cette pâte de Mashmallow aromatisée à la vanille, la fraise ou la framboise, peut-être dégusté dans un sandwich avec du beurre de cacahuète qu'on appelle le flufernut, soit le petit déjeuner que tous les petit Bobby mangent avant leurs matchs de baseball. -
Lucky Charms
C'est vrai que ça ressemble un peu à des croquettes, mais on a quand même envie de goûter. -
Les boissons Snapple
Comme du jus de fruits, mais sans fruits. Mmmhhhh du bon chimique bien bizarre qui rend addict slurp ! -
Reese's.
Des tartelettes enrobées de chocolat avec du beurre de cacahuète au centre. Est-ce qu'on a vraiment besoin d'en dire plus ? -
Wonka chocolate
Un chocolat de pédophile excentrique est forcément excellent. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. -
La sauce BBQ Jack Daniel's
Chuck Norris approved ! -
Pop Tarts
Des tartines remplies de saloperies sucrées qui passent au grille-pain et au micro-ondes. Parfait pour les sugar-addict et les feignasses (ce qui va souvent de pair). -
La French's
La moutarde sucrée et délicieuse, qui contrairement aux apparences n'a rien de français. -
Bonus : Les gobelets rouges
C'est con, mais on est convaincus que ce simple détail peut faire passer un apéro "kronembourg-apéricube" pour une soirée de folie.
God bless america !
Top 20 de ma vie en gif: les petits bonheurs de la vie de jeune papa
La paternité, c'est tout un ensemble de responsabilités. Mais être père, c'est également une somme infinie de petits tracas, d'émotions diverses et d'anecdotes truculentes que seuls les autres jeunes papas veulent bien entendre. Pour décrire cette avalanche de petites choses qui font les grands bonheurs, les mots sont parfois de trop. Alors le tumblr "quand je suis papa" a choisi de miser sur des images. Mais des images qui bougent, parce qu'un jeune papa ne vit que dans le mouvement, jour et nuit.
- Quand je constate avec amertume que la sieste du samedi après midi n’aura duré que 47 minutes au lieu des 2 heures habituelles
- Quand un gamin dans le parc a poussé ma petite fille
- Quand je me lève à 9h30 un dimanche matin
- Quand je n'ai plus besoin de tenir le biberon et que la petite se débrouille toute seule
- Quand je me prépare à passer une semaine tout seul avec les enfants
- Quand on me demande si c'est vraiment plus dur d'avoir 3 enfants quand on en a déjà 2
- Quand les grands ont l'âge de partir en colo
- Quand ils m'expliquent les traces de dentifrice sur le miroir et sur le plafond
- Quand je réalise qu'à l'école, il n'apprennent pas QUE le programme scolaire
- Quand ils me racontent la fête d'anniversaire à laquelle ils sont allés
- Quand je me prépare à leur faire avaler un médicament au goût "décalé"
- Quand j'accepte de regarder Gulli avec eux, pour leur faire plaisir
- Quand l'école m'appelle pour me dire que le petit s'est fait mal
- Quand je finis le McDo de mes enfants
- Quand je regarde les photos de la Saint Sylvestre de mes potes qui n'ont pas d'enfants
- Quand on m'explique qu'on peut très bien se passer de la télé avec les enfants
- Quand je propose une super sortie, youpi!
- Quand tu rentres de vacances et que la petite se met à hurler au bout de 7 minutes 54 secondes d’un trajet qui compte 4 heures
- Quand je tombe sur une aire d'autoroute avec une VRAIE aire de jeu
- Quand le lundi matin on me demande comment s'est passé mon week-end
Bon week-end à tous les papas.
Source : Quand je suis papa
Crédit photo (creative commons): Ahmad Hashim
Top 18 des pires gestes de parents à éviter, ou le meilleur des « Bad Options »
- (Laver bébé)
- (L'emmener faire du shopping)
- (L'attacher en voiture)
- (Nouer des liens)
- (Vérifier l'état de sa couche)
- (Réveiller bébé)
- (Le faire tenir en place)
- (Nettoyer son petit nez)
- (Mettre bébé au lit)
- (Faire sourire bébé)
- (Le calmer)
- (L'aider à faire ses dents)
- (Lui faire faire de l'exercice)
- (Jouer avec bébé)
- (Marcher avec bébé)
- (Un jeu sympa pour bébé)
- (Vérifier la température du biberon)
- (Emmitoufler bébé)